Un après-midi chez Andréa, créatrice du blog La Délicate Parenthèse
Dites-nous ce que vous pensez de l'appartement de cette passionnée de DIY pour tenter de gagner un bon d'achat de 50 euros
Pauline Warlet
27 octobre 2016
Pousser la porte de chez Andréa, c’est plonger dans une oasis de douceur et de sérénité. Nous sommes ici à Versailles, loin du tumulte de Paris, sous les toits d’un vieil immeuble d’une rue pavée commerçante. Un cocon déniché par la plus vieille méthode du monde : le bouche-à-oreille. « C’était l’appartement d’un graphiste avec lequel je travaillais », explique la jeune femme. « Je ne suis pas du tout de Versailles, mais c’était un bon compromis, car je voulais être proche de la capitale sans souffrir de l’effervescence de la ville. J’avais besoin d’une sorte de bulle spatio-temporelle où me recentrer. »
Deux ans et demi plus tard, le gris anthracite a cédé la place à des murs immaculés qui renforcent la luminosité du 40 m². « Dans un lieu aussi vieux, rien n’est vraiment droit, ni lisse, mais c’est aussi ce côté atypique qui confère son charme à l’appartement », ajoute Andréa. Une toile de fond progressivement agrémentée des multiples créations de cette surdouée du DIY. « Je fabrique des objets toutes les semaines », confie-t-elle. « Le visage de l’appartement évolue donc en permanence ! À chaque fois que mes amis viennent à la maison, ils cherchent les nouveautés. » Une créativité que la décoratrice met au service de son blog, créé il y a moins d’un an. « Je voulais inviter les gens à prendre rendez-vous avec eux-mêmes, à prendre le temps de s’octroyer des parenthèses dans un quotidien effervescent. » Naturellement baptisé La Délicate Parenthèse, il propose régulièrement les tutoriels de ses créations. « Il y a une part d’accomplissement de soi quand on crée des objets qui nous ressemblent », explique-t-elle. « J’avais envie de dédramatiser le bricolage, qui est plus accessible qu’il n’y paraît, pour aider les gens à être fiers d’eux ! »
Deux ans et demi plus tard, le gris anthracite a cédé la place à des murs immaculés qui renforcent la luminosité du 40 m². « Dans un lieu aussi vieux, rien n’est vraiment droit, ni lisse, mais c’est aussi ce côté atypique qui confère son charme à l’appartement », ajoute Andréa. Une toile de fond progressivement agrémentée des multiples créations de cette surdouée du DIY. « Je fabrique des objets toutes les semaines », confie-t-elle. « Le visage de l’appartement évolue donc en permanence ! À chaque fois que mes amis viennent à la maison, ils cherchent les nouveautés. » Une créativité que la décoratrice met au service de son blog, créé il y a moins d’un an. « Je voulais inviter les gens à prendre rendez-vous avec eux-mêmes, à prendre le temps de s’octroyer des parenthèses dans un quotidien effervescent. » Naturellement baptisé La Délicate Parenthèse, il propose régulièrement les tutoriels de ses créations. « Il y a une part d’accomplissement de soi quand on crée des objets qui nous ressemblent », explique-t-elle. « J’avais envie de dédramatiser le bricolage, qui est plus accessible qu’il n’y paraît, pour aider les gens à être fiers d’eux ! »
Coup d’œil
Qui habite ici : Andréa Rolland et son compagnon
Emplacement : Versailles, au troisième et dernier étage d’un vieil immeuble.
Surface : environ 40 m²
Photos : Jérôme Cotton © 2016 Houzz
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Habitat. Le gagnant du tirage au sort du reportage chez Flore a été annoncé : félicitations à Isa Perinet !
Qui habite ici : Andréa Rolland et son compagnon
Emplacement : Versailles, au troisième et dernier étage d’un vieil immeuble.
Surface : environ 40 m²
Photos : Jérôme Cotton © 2016 Houzz
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Dans le salon, les objets récup’ côtoient les trouvailles chinées en brocante et les éléments faits maison. « Nous commençons tous par meubler notre intérieur avec des basiques pour tout faire rentrer dans notre budget », explique Andréa. « Je les ai progressivement remplacés par des objets qui me correspondent davantage. » La table basse, par exemple, est un touret récupéré sur un chantier. « J’ai rajouté une trappe pour pouvoir ranger des choses à l’intérieur et des roulettes pour la déplacer. C’était indispensable dans un aussi petit espace », confie-t-elle. Aucune table à manger, mais un espace convivial donc, où pique-niquer avec les amis de passage.
Contre le mur, le meuble TV a été fabriqué à partir d’une étagère murale en bois à laquelle ont été fixés des pieds. « Dans le commerce, ce type de meuble est toujours très encombrant avec une profondeur moyenne de 50 centimètres. J’avais besoin de quelque chose d’invisible et élégant et comme je n’arrivais pas à trouver ce que je voulais, je l’ai fabriqué ! »
Contre le mur, le meuble TV a été fabriqué à partir d’une étagère murale en bois à laquelle ont été fixés des pieds. « Dans le commerce, ce type de meuble est toujours très encombrant avec une profondeur moyenne de 50 centimètres. J’avais besoin de quelque chose d’invisible et élégant et comme je n’arrivais pas à trouver ce que je voulais, je l’ai fabriqué ! »
Posée contre le mur, une vieille planche à découper est aujourd’hui fièrement habillée de marbre… ou presque ! « Je voulais essayer cet effet sur un petit objet », explique Andréa. « J’ai ensuite fixé une pince pour que tout le monde puisse laisser un petit message. »
Soliflore : Designer BOX
Soliflore : Designer BOX
L’horloge, elle, arbore un effet doré. « J’ai toujours voulu tenter la pose de feuilles d’or ! Mais je voulais m’en servir pour créer quelque chose de minimaliste et aérien », explique-t-elle. « J’ai donc récupéré une planche à découper ronde, à laquelle j’ai fixé le mécanisme et la lanière de cuir. J’ai ensuite posé les feuilles d’or en créant un effet brush, comme si c’était de la peinture. Le rendu peut surprendre, mais à mes yeux, la beauté des choses résident dans les imperfections. »
Au sol, les vieilles tomettes d’origine ont été recouvertes d’un lino imitation parquet. « Elles étaient trop abîmées pour être sauvées », explique Andréa. « Et puis je voulais quelque chose de plus chaleureux, car j’aime beaucoup me balader pieds nus dans l’appartement. »
Cet escabeau a une place toute particulière aux yeux de la jeune femme. « Il me vient de quelqu’un qui nous a quittés récemment, il aura toujours sa place chez moi. » Sur chacune des marches, les accessoires déco défilent. « Je déplace les objets de cet appartement quasiment tous les jours ! Je crée des objets entre deux et trois fois par semaine, il y a donc toujours du mouvement. »
Les plantes aussi ont la part belle dans la déco. « J’ai besoin de me sentir proche de la nature, d’avoir du végétal autour de moi », explique Andréa. « Et puis j’adore voir les couleurs de fleurs comme l’hortensia évoluer naturellement en fanant. »
On remarque, tout en haut, une mappemonde. « J’ai une passion pour les globes ! », confie la jeune femme. « J’adore voyager et si je pouvais, je remplirais une étagère avec des modèles de toutes les couleurs et de toutes les tailles. » Celui-ci a été déniché en brocante il y a quelques années et apporte un charme suranné au salon.
Les plantes aussi ont la part belle dans la déco. « J’ai besoin de me sentir proche de la nature, d’avoir du végétal autour de moi », explique Andréa. « Et puis j’adore voir les couleurs de fleurs comme l’hortensia évoluer naturellement en fanant. »
On remarque, tout en haut, une mappemonde. « J’ai une passion pour les globes ! », confie la jeune femme. « J’adore voyager et si je pouvais, je remplirais une étagère avec des modèles de toutes les couleurs et de toutes les tailles. » Celui-ci a été déniché en brocante il y a quelques années et apporte un charme suranné au salon.
À côté d’une vieille burette à huile chinée, qui permet de vaporiser de l’eau sur les plantes, un appareil photo argentique n’immortalise plus d’instants volés, mais a fière allure sur l’escabeau. « C’est celui de mon copain », confie Andréa. « Je le trouve tellement beau qu’il est impossible pour moi de le vendre ou de le jeter ! »
La cuisine, qui était complètement ouverte sur le salon, est aujourd’hui délimitée par un bar « bidouillé » par la jeune femme. « Je voulais qu’il puisse cacher un peu la cuisine, que je ne trouve pas très jolie, pour qu’elle ne saute pas aux yeux quand on entre dans l’appartement », explique-t-elle. « J’ai trouvé le bar dans la zone bon coin d’Alinéa. Comme je n’aime pas le blanc laqué, je l’ai plaqué avec des textures bois. Pour le rendre plus modulable, j’ai ajouté des cloisons japonaises coulissantes et des étagères côté cuisine pour ajouter du rangement “invisible”. »
Au-dessus de l’évier, la suspension a été fabriquée à partir d’un morceau de bois flotté récupéré en vacances sur la Côte d’Azur, de cosses, de câbles d’acier et de conserves détournées et repeintes. « L’idée était de créer la surprise en récupérant des objets que l’on a l’habitude de jeter et en les combinant à quelque chose d’aussi beau que tu bois flotté », explique Andréa. « Cela me permet de cacher un peu le carrelage mural et ses mystérieux joints verts, de cultiver de petites plantes – j’y fais parfois pousser de la menthe ou du basilic par exemple – et d’avoir littéralement le nez dans la verdure quand je fais la vaisselle. »
« Je ne suis pas une fille particulièrement coquette, ni girly, mais je voulais montrer que l’on pouvait être délicat sans en faire des tonnes », explique Andréa. « Je privilégie les associations de matières brutes, comme le bois et la laine, et de textures, comme le gris chiné par exemple. »
Le canapé est un modèle basique qui a l’avantage d’être déhoussable. « Non seulement c’est beaucoup plus facile d’entretien, mais en plus ça permet de changer la déco de son salon à moindre coût », explique la jeune femme. « J’aurais adoré avoir un canapé d’angle, mais je ne pouvais pas me le permettre ici. Celui-ci est pratique car il a des accoudoirs plats qui ne ferment pas visuellement l’espace. » À côté, la chaise apporte un charme vintage inspiré des maisons de famille et de campagne. « J’ai la même en bleu gris dans la chambre, en attendant d’avoir une table à manger autour de laquelle associer des chaises dépareillées. »
Canapé : Ikea ; Chaise : Alinéa
Le canapé est un modèle basique qui a l’avantage d’être déhoussable. « Non seulement c’est beaucoup plus facile d’entretien, mais en plus ça permet de changer la déco de son salon à moindre coût », explique la jeune femme. « J’aurais adoré avoir un canapé d’angle, mais je ne pouvais pas me le permettre ici. Celui-ci est pratique car il a des accoudoirs plats qui ne ferment pas visuellement l’espace. » À côté, la chaise apporte un charme vintage inspiré des maisons de famille et de campagne. « J’ai la même en bleu gris dans la chambre, en attendant d’avoir une table à manger autour de laquelle associer des chaises dépareillées. »
Canapé : Ikea ; Chaise : Alinéa
Dans l’angle, des caisses en bois ont été empilées pour offrir un meuble de rangement d’appoint qui cache, par la même occasion, la multiprise du salon. « Je les ai dénichées dans le vieux grenier d’une personne de la famille qui se débarrassait de plein de choses. J’en ai récupéré plein et je les ai nettoyées. Il y en a plein la cave ! »
Une composition de bougeoirs aux imprimés végétaux habille le mur. « Chaque bougie diffuse le parfum emblématique d’un pays, c’est à la fois discret et délicat », ajoute Andréa.
Étagères murales : Urban Outfitters ; Bougies : Geodesis
Une composition de bougeoirs aux imprimés végétaux habille le mur. « Chaque bougie diffuse le parfum emblématique d’un pays, c’est à la fois discret et délicat », ajoute Andréa.
Étagères murales : Urban Outfitters ; Bougies : Geodesis
Plus spacieuse que le salon, la chambre fait également office de bureau. « J’ai voulu recréer un univers atelier d’artiste », confie Andréa. « En visitant l’appartement, j’ai adoré l’arche que l’on aperçoit à gauche. Elle mène à un renfoncement dans lequel un grand placard encastré me sert de dressing. »
« La personne qui habitait ici avant y avait installé son bureau, mais le mien était bien trop gros pour y tenir. J’ai préféré y installer une commode et un mood-board en liège », ajoute-t-elle. « Il est composé de plusieurs morceaux de liège car le mur n’est pas droit : un rouleur d’un seul tenant aurait gondolé. »
Dans le grand sac en papier, la jeune femme stock les papiers peints qui lui servent de fond lorsqu’elle réalise des shootings photo de ses DIY.
« La personne qui habitait ici avant y avait installé son bureau, mais le mien était bien trop gros pour y tenir. J’ai préféré y installer une commode et un mood-board en liège », ajoute-t-elle. « Il est composé de plusieurs morceaux de liège car le mur n’est pas droit : un rouleur d’un seul tenant aurait gondolé. »
Dans le grand sac en papier, la jeune femme stock les papiers peints qui lui servent de fond lorsqu’elle réalise des shootings photo de ses DIY.
Autre astuce récup’ d’Andréa : la transformation d’un tamis, auquel ont été ajoutés un tube de cuivre et un morceau de bois pour servir d’étagère. Une ficelle a ensuite été fixée pour pouvoir le suspendre. « C’est très facile à fabriquer soi-même et cela peut même servir à ranger ses bijoux, puisque les boucles d’oreilles peuvent être suspendues au tube en cuivre », explique la jeune femme. « Sans compter que l’on peut aussi s’amuser à coudre quelque chose sur la toile formée par le tamis. »
Face à la commode, la porte mène à la salle de bains.
« Je voulais un vieux banc de ferme très grand, car je rêve d’en avoir un dans mon entrée… quand j’aurai ma maison », explique Andréa.
Banc : Maginea
« Je voulais un vieux banc de ferme très grand, car je rêve d’en avoir un dans mon entrée… quand j’aurai ma maison », explique Andréa.
Banc : Maginea
Seule décoration murale dans le coin nuit de la chambre : un sticker à l’effigie de la lune. « L’astrologie est un univers qui me fascine, même si je n’y connais pas grand-chose », explique-t-elle. « Je trouve que la lune est très belle, et puis je voulais quelque chose de simple et de neutre pour exprimer mon côté rêveuse… Quand je me couche, j’aperçois d’ailleurs la vraie lune à travers le Velux, qui côtoie celle-ci. »
Décentrée, la lune habille l’angle de la pièce. « J’aime le passage de la 2D à la 3D », explique Andréa. « Nous avons tendance à fuir les angles et à tout concentrer sur les pans de mur, mais je trouve ça chouette de souligner un angle grâce à une composition de cadre, par exemple. Ça accentue la rupture dans l’espace et apporte du relief, notamment dans une pièce où, comme ici, les murs sont blancs. »
Sticker : Paper Mint
Sticker : Paper Mint
À défaut de trouver le bureau XXL de ses rêves, Andréa s’est inspirée des bureaux d’architecte composés d’un panneau de bois et de tréteaux. « J’ai recouvert un panneau de medium avec un vinyle imitation parquet », précise Andréa. « Les tréteaux sont un peu vieux, mais j’aime bien ce côté vieilli par le temps. »
À gauche, un meuble de métier chiné en ligne s’est glissé sous la pente du toit. « Je cherchais des dimensions particulières pour cette zone et j’ai craqué sur ce meuble équipé de tiroirs clapets très brut. »
Meuble de métier : Brocante La Bruyère
À gauche, un meuble de métier chiné en ligne s’est glissé sous la pente du toit. « Je cherchais des dimensions particulières pour cette zone et j’ai craqué sur ce meuble équipé de tiroirs clapets très brut. »
Meuble de métier : Brocante La Bruyère
Ces lampions font partie des premiers accessoires déco qu’Andréa a installés dans l’appartement. Depuis, le soleil a eu raison de leur couleur. « J’adore le fait que l’extérieur influence mon intérieur », confie la jeune femme. « J’aime beaucoup les teintes sourdes qu’ils ont prises. »
Ils permettent de camoufler la canalisation tout en soulignant le côté rêveur de la jeune femme.
Ils permettent de camoufler la canalisation tout en soulignant le côté rêveur de la jeune femme.
Au-dessus du bureau, des étagères en forme d’alvéoles, faites maison elles aussi, incarnent littéralement le « nid d’idées » d’Andréa. « J’ai personnalisé leur fond avec des morceaux de papier Canson coloré. »
Réalisée à partir d’un petit panneau perforé, l’éphéméride permet de garder un œil sur le temps qui passe.
Réalisée à partir d’un petit panneau perforé, l’éphéméride permet de garder un œil sur le temps qui passe.
Face au bureau, un panneau perforé, XXL cette fois, offre un meuble de rangement entièrement modulable qui occupait, à l’origine, l’entrée de l’appartement. « En déplaçant les morceaux de bois sur lesquels reposent les étagères, on compose le meuble selon nos besoins », précise Andréa. « C’est très facile à faire soi-même et incroyablement pratique. »
Bombées en noir, deux bouteilles en verre ont été transformées en d’élégants soliflores.
Miroir : Sostrene Grene
Bombées en noir, deux bouteilles en verre ont été transformées en d’élégants soliflores.
Miroir : Sostrene Grene
À droite, deux petites étagères permettent de tirer parti de l’espace sous pente. « Je voulais quelque chose sur deux niveaux pour habiller au maximum le mur. C’était finalement la solution la plus simple, la plus efficace, et aussi la moins coûteuse. »
Posée sur le meuble, la petite lampe boule est un classique de chez Ikea repeint pour imiter la lune. Le miroir, lui, est un vieux modèle pour salle de bains, que des morceaux de pâte à modeler bombés subliment.
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Posée sur le meuble, la petite lampe boule est un classique de chez Ikea repeint pour imiter la lune. Le miroir, lui, est un vieux modèle pour salle de bains, que des morceaux de pâte à modeler bombés subliment.
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Bonjour !
je suis particulièrement fan de la présence de verdure dans ce joli foyer !! j'adore mettre des plantes un peu partout dans mon chez moi alors forcément c'est la première chose qui m' a sauté aux yeux ! et puis l'utilisation super originale de l'escabeau est mon second coup de coeur, l'effet visuel est vraiment réussi !! au final la déco de ce foyer invite au calme et également au voyage (sticker Lune^^ tip top) ! superbe déco reposante !!
Un appartement lumineux, chaleureux et sublimé par la déco d'Andréa : je craque ! Merci pour cette belle page d'inspiration :-)
C'est super joli !