Salon / Pièce À Vivre
Des rayures pour étirer les murs ! Pure impression d’optique, ces bandes horizontales semblent repousser les murs de chaque côté du canapé. Attention, ce genre de décor ne convient pas aux pièces dont le plafond est bas (en dessous de 2,40 mètres de hauteur), car il pourrait produire l’effet inverse et « tasser » la pièce !
Pour circonscrire un salon étroit Dans le cas d’un salon peu large et positionné dans un angle, il vaut mieux éviter de mettre un tapis trop grand, sous peine de rétrécir l’espace. On optera pour un petit modèle rectangulaire, orienté vers le canapé, sur lequel reposera uniquement la table basse. Astuce : Laisser le sol visible à certains endroits permet d’agrandir la pièce. Gardez, par exemple, une bande d’environ 10 centimètres entre le canapé et le tapis.
Pour structurer le coin salon Face à un canapé simple, il est agréable de positionner deux ou trois fauteuils selon la place dont vous disposez. Pour ce type d’aménagement, on optera pour un tapis de 200 x 200 ou 200 x 300 centimètres, le tapis devant contenir les fauteuils et la table basse. C’est lui qui structurera le coin salon et lui donnera sa place dans l’espace. Dans ce cas de figure, le tapis peut être posé devant le canapé.
Pour rehausser une banquette vintage Peut-être avez-vous cédé à la tendance des canapés fifties pour votre salon ? Ces banquettes au design élancé sont généralement peu profondes avec un faible encombrement. Leur légèreté nécessite d’être associée à un tapis plus large qui donnera de l’ampleur à la pièce. Il vaut mieux positionner votre mobilier entièrement sur le tapis et prévoir un débord d’au moins 50 centimètres de chaque côté pour un effet généreux.
Pour épouser les formes d’un canapé d’angle Dans les grands volumes ouverts, le canapé d’angle joue un rôle de séparateur en isolant visuellement sans cloisonner. Le tapis va compléter cette fonction en délimitant au sol le salon et en lui donnant une emprise dans la pièce. On le choisira carré ou rectangulaire, en fonction des dimensions du canapé. L’important est que le tapis soit plus grand que ce dernier, car il doit englober l’ensemble du mobilier.
La « pose à l’anglaise » Dans nos intérieurs contemporains, lorsque l’on dit «pose de parquet », c’est à celle-ci que l’on pense. Il en existe deux formes : • À coupes perdues : les lames sont de longueurs différentes et alternées en ordre dispersé. • À coupe de pierre : les lames sont posées de façon régulière alternant toutes les deux travées. Les parquets stratifiés s’alignent bien sur cette tendance, vous proposant des teintes et essences de plus en plus diverses.
3. Industriel Comme on le voit dans cet haussmannien relooké récemment, le point de Hongrie se marie très bien avec l’acier ! Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il se conjugue sans problème avec les atmosphères industrielles. Une aubaine quand on sait que les verrières atelier ont la cote dans les intérieurs contemporains. Le parquet ancien apporte une touche de bois qui réchauffe le style indus’. Il est recommandé de foncer quelque peu son parquet ou de lui donner un effet cendré pour réduire le contraste entre le bois et le métal. Il est aussi possible de le teindre en gris. Dans ce cas, mieux vaut opter pour des meubles en bois car le total look métallisé est risqué.
Les cadres sur une étagère Pour poser plusieurs cadres de tailles et formes différentes sans se poser de question, on adopte la solution de l’étagère. Ici, une fine étagère blanche est réservée aux cadres qui ont été posés les uns à côté des autres. Pour plus de dynamisme, pensez à installer deux étagères décalées. Astuce : Alternez les tailles des cadres tout en conservant une unité de couleurs. Du noir et blanc et une touche de couleur pour réveiller le tout.
Blanc pur Éclatant et sans nuance, le vrai blanc pur ne subit aucune influence. Il ne contient pas de pigments roses, jaunes, ou gris, et il est reconnaissable à son éclat particulier, un peu comme un champ de neige au soleil. Ce blanc pur aime les pièces lumineuses, dans lesquelles les fenêtres laissent passer un maximum de lumière et de soleil. Il est par contre déconseillé dans les espaces sombres et orientés au nord, car la lumière y est insuffisante : cela le ternirait.
Blanc « optique » Comportant des pigments azurants, ce blanc émet une lumière légèrement bleutée, ce qui le rend… encore plus blanc ! C’est l’astuce employée par les lessiviers pour fabriquer des poudres qui lavent « plus blanc que blanc » ! Un blanc bleuté sera agréable pour renforcer la fraîcheur des ambiances marines des maisons de bord de mer, à condition que l’espace soit suffisamment lumineux.
Ne pas négliger la couleur des murs: Un mur sombre absorbe la lumière et en renvoie donc moins qu’un mur clair. Il faut donc choisir un éclairage puissant avec un indice de rendu des couleurs (IRC) d’au moins 90. Il est admis qu’il faut en général multiplier la puissance lumineuse par 10 dans une pièce aux surfaces sombres. Optez pour des spots encastrés qui répartissent la lumière de façon homogène et atténuent les zones d’ombre. Et complétez par des éclairages directs (suspensions, lampes fonctionnelles) destinés à des activités précises.
La mauvaise lampe au mauvais endroit Un large abat-jour au-dessus de la table à manger s’avère être un choix pertinent car dirige la lumière vers les convives. Le même au centre de la pièce et c’est l’erreur de casting (il n’éclaire qu’un rond au sol) ! Dans un bureau, un faisceau ascendant évite les reflets sur les écrans. Des bandeaux fluorescents fixés au mur ou sous des étagères/placards diffusent une lumière uniforme qui évite aux yeux de se fatiguer.
Une seule source de lumière Ce « grand classique » ruine tous les efforts d’aménagement et de décoration, car une seule source lumineuse « écrase » les objets et les volumes et laisse certains recoins dans l’ombre. À proscrire donc ! En pratique, on dispose trois sources de lumière différentes : un éclairage général indirect qui éclaire toute la pièce (un abat-jour, une boule japonaise), un éclairage fonctionnel (une lumière directe comme un spot au-dessus d’un tableau ou une lampe de bureau) et un éclairage d’ambiance qui diffuse une lumière douce. Astuce : Dans un salon, si les assises sont basses, des lampes de différentes hauteurs accentuent la verticalité de la pièce. On évite aussi dans ce lieu les luminaires fixes si l’on désire modifier de temps à autre la disposition de ses meubles.
Un portant Relégué au grenier ces dernières années, le portant fait un retour en force. Il existe de nombreux modèles design, très épurés, en bois clair ou métal, qui sont fiers de s’exposer dans nos chambres ou nos entrées. Si certains modèles sont signés par des designers, d’autres, très simples, coûtent moins de 10 euros dans les grandes surfaces de décoration. Complètement offert à la vue, le portant nécessite une certaine unité. Pensez à lui donner plus de style en triant les vêtements par couleur ou en harmonisant les cintres. Autre avantage : un portant est plus simple à déménager que l’armoire comtoise de grand-mère.
Vous ne savez pas quel style adopter pour donner de la personnalité à votre bureau, misez sur l’épure et le design. Clarté et luminosité vous permettront de vous concentrer. Ajoutez des éléments en bois pour une touche chaleureuse, tout en restant dans un budget raisonnable. Il existe des meubles et étagères très sobres, sans poignées pour ne pas rompre les lignes, qui donnent parfaitement le change. Mais rien ne vous empêche d’investir dans une belle pièce, comme une chaise ou un luminaire, qui constituera l’élément central de votre déco. Vous pouvez aussi marquer les esprits avec une couleur pop, tout simplemen
En plus d’être un lieu de travail, le bureau est l’endroit idéal pour intégrer du rangement à l’abri des regards. Si vous manquez de place pour cela, le maître mot est l’optimisation. Exploitez la hauteur et l’espace au-dessus du bureau pour installer des étagères. De même, la verticalité devient votre alliée : posez des placards fins mais toute hauteur, qui se glisseront entre un meuble et un mur. Vous pouvez aussi opter pour un meuble bas, qui se logera sous une fenêtre, servant également de banquette.
Photo, carte de visite, échantillon de tissu, carton d’invitation, croquis… Quoi de plus pratique que de rassembler vos sources d’inspiration sur un mood-board ? Chaque fois que vous lèverez le nez de votre carnet ou de votre ordinateur, votre œil vagabondera sur votre patchwork ! Notez qu’il existe un large éventail de mood-boards à fabriquer soi-même pour personnaliser son bureau
Chambre ou salon, votre pièce est suffisamment grande pour y créer un coin bureau, mais vous ne savez pas comment le délimiter ? Pensez au claustra intérieur en bois, une joie alternative à la verrière. Avec ses lames en bois, il laisse circuler la lumière et vous permettra, comme ici, de fixer un système d’étagères. Idéal pour concevoir une cloison partielle qui n’entravera pas la circulation ni la sensation d’espace, il n’offrira, en revanche, pas d’isolation phonique
4. Une porte verrière originale On retrouve ici un grand classique dans une version totalement revisitée, puisque du verre armé est monté sur de l’acier dont le dessin est inspiré de l’univers de Piet Mondrian. Autre astuce : son installation sous forme de porte sur rail. Un système coulissant peu encombrant, idéal dans cet appartement réaménagé par ses propriétaires à l’arrivée de jumelles.
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