Avant/Après
Ouvrez l'œil : Quel est le point commun entre ces 10 pièces ?
La réponse se trouve dans leur structure
Poteau, IPN, muret bas ou différence de niveaux, les dix intérieurs suivants comportent les traces d’une ou de plusieurs anciennes cloisons. Ces dernières ont été déposées lors de travaux de rénovation pour ouvrir les espaces et créer de grandes pièces à vivre, qui rassemblent différentes fonctionnalités. Décryptage.
Vous avez certainement remarqué la présence d’un coffrage au plafond, entre les zones cuisine et salle à manger. Afin d’ouvrir entièrement cet espace, un mur porteur a dû être déposé pour ne conserver qu’un IPN et un poteau. Derrière ce dernier, un claustra en bois délimite le coin salon sans casser la perspective de la pièce. Elle sert aussi d’appui pour la télévision et créé un couloir de circulation entre les chambres et la terrasse.
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Les poteaux dissimulés dans toute la pièce témoignent de la présence d’anciennes cloisons. Le volume était précédemment séparé en plusieurs espaces : une cour intérieure, que les anciens propriétaires avaient déjà fermée avec un puits de lumière, et une cuisine séparée du reste de la maison. Les murs intérieurs et les portes coulissantes en verre ont donc été supprimés pour créer une seule pièce à vivre.
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Dans cette cuisine provençale, le faux plafond peint en bleu marque l’emplacement de l’ancien couloir. Ce dernier, dont le sol n’était pas au même niveau que celui des autres pièces de la maison, séparait la cuisine du salon d’origine. Il rythme désormais l’espace et dessine une perspective entre les deux zones, situées dans un volume de près de 35 m².
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L’absence de mur porteur, typique des appartements construits dans les années 60-70 comme celui-ci, a permis de rassembler trois pièces dans un seul espace. Les anciens salon, entrée et cuisine forment aujourd’hui une zone de vie de près de 40 m², où aucune contrainte d’aménagement n’a été imposée, à l’exception de la cuisine. La disposition des différents coins peut donc être modifiée à l’infini.
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Les poteaux qui séparent visuellement le salon de la salle à manger ne pouvaient être que porteurs. Pour créer cette grande pièce à vivre de 50 m², le couloir d’entrée a complètement été déposé et les cloisons qui fermaient une petite cuisine et une chambre ont été supprimées. La principale contrainte de ce projet a été de trouver l’emplacement des porteurs dans une construction des années 70.
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Vous n’êtes certainement pas passé à côté de l’IPN laissé apparent entre le salon et la salle à manger de cette pièce à vivre. D’une longueur de 4,20 mètres, il remplace l’ouverture initiale de 1,20 mètre et permet d’augmenter les perspectives entre les deux espaces. Au niveau de la mezzanine, un fin garde-corps en métal remplace celui en bois et rappelle les matériaux de l’IPN.
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Ici, le mur qui séparait la cuisine du salon a été déposé pour laisser place à un meuble snack. En plus de faire la séparation entre les deux espaces, ce dernier peut être utilisé de différentes manières. Côté cuisine, deux tabourets de bar en font un coin parfait pour les apéritifs, et vu du salon, l’aménagement se transforme en meuble télé. La suppression de la cloison a permis la création d’une pièce à vivre de 36 m².
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Dans l’entrée de cette maison angevine, toutes les cloisons intérieures ont été abattues. Seuls les soutiens centraux ont été conservés et délimitent aujourd’hui les espaces. Transformé en bureau en raison de sa largeur, l’ancien couloir a ainsi été complètement ouvert sur le salon-bibliothèque et la cuisine-salle à manger.
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Sur cette photo, les différences de niveau du sol témoignent de l’emplacement des anciennes cloisons. Ces mini-marches habillées de grès cérame constituent aujourd’hui des démarcations subtiles entre les espaces salon, cuisine et salle à manger. Pour agrandir la pièce visuellement et ne pas entraver ses volumes, les poutres du plafond ont été peintes en blanc et l’escalier en bois d’origine a été remplacé par une structure métallique aérienne.
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ET VOUS ?
Que pensez-vous de ces espaces décloisonnés ?
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