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Avant/Après : Rénovation de charme d'une maison en bord de Marne
Pour une maman solo, une lourde rénovation maîtrisée d'une maison 1970 en 2,5 mois et un budget record de 940 euros/m²
Accrocher son paddle au ponton qui s’élance dans la rivière depuis le bout du jardin était le rêve de cette maman solo avec deux enfants. Elle l’a réalisé en achetant en 2016 cette maison posée en bord de Marne, au fond d’une impasse privée. Vétuste, la bâtisse en pierre des années 1970 exige cependant des travaux. En 2017, la propriétaire retape par elle-même l’étage composé de trois chambres et d’une salle de bains, puis investit dans un coûteux changement de chaudière. Mais cinq ans après, force est de constater que la maison est toujours aussi froide et que le rez-de-chaussée connaît des désordres liés à l’humidité. Stressée de se confronter seule à une nouvelle rénovation et de se tromper dans ses choix, elle se tourne vers Adeline Bellot, une professionnelle de l’aménagement qu’elle a repérée sur Houzz, pour revoir le rez-de-chaussée et mettre en œuvre une amélioration énergétique efficace.
Avant. Pour la propriétaire, cette maison fut un vrai coup de cœur. L’architecte d’intérieur Adeline Bellot se remémore elle aussi sa première visite avec des étoiles dans les yeux : « Cette maison, avec son jardin adorable et son balcon qui domine la rivière, était un vrai paradis. Tous les intervenants de ce chantier sont d’ailleurs tombés tour à tour sous le charme des lieux. »
Pourtant, derrière l’image de carte postale, la situation n’est pas rose. Quelque temps après avoir emménagé, la propriétaire a constaté que les tomettes qui recouvraient le rez-de-chaussée – occupé par le salon/salle à manger, la cuisine fermée et une petite buanderie – commençaient à se fissurer. Elle a néanmoins préféré allouer son budget au changement de chaudière, car le système central à eau chaude n’était pas performant. L’artisan convoqué lui a conseillé une chaudière à granulés, un appareil coûteux qui a été placé dans le jardin, dans un local technique construit à cet effet. Malheureusement, ladite chaudière n’a jamais alimenté convenablement le réseau à eau du chauffage central, tout en requérant des allers et retours incessants de la propriétaire jusqu’au jardin lorsqu’elle la rechargeait. « La chaudière n’était pas programmable, et devait être remplie de pellets toutes les deux heures. Ma cliente était très fatiguée en raison de la maintenance engendrée et se gelait souvent ainsi que ses deux enfants, car la chaudière faisait des arrêts inopinés” expose l’architecte d’intérieur Adeline Bellot.
Pourtant, derrière l’image de carte postale, la situation n’est pas rose. Quelque temps après avoir emménagé, la propriétaire a constaté que les tomettes qui recouvraient le rez-de-chaussée – occupé par le salon/salle à manger, la cuisine fermée et une petite buanderie – commençaient à se fissurer. Elle a néanmoins préféré allouer son budget au changement de chaudière, car le système central à eau chaude n’était pas performant. L’artisan convoqué lui a conseillé une chaudière à granulés, un appareil coûteux qui a été placé dans le jardin, dans un local technique construit à cet effet. Malheureusement, ladite chaudière n’a jamais alimenté convenablement le réseau à eau du chauffage central, tout en requérant des allers et retours incessants de la propriétaire jusqu’au jardin lorsqu’elle la rechargeait. « La chaudière n’était pas programmable, et devait être remplie de pellets toutes les deux heures. Ma cliente était très fatiguée en raison de la maintenance engendrée et se gelait souvent ainsi que ses deux enfants, car la chaudière faisait des arrêts inopinés” expose l’architecte d’intérieur Adeline Bellot.
Après. Pour la propriétaire dépitée, l’idée est de retrouver une situation thermique saine et d’en profiter pour repenser le rez-de-chaussée avec chic. Elle souhaite améliorer la distribution de ce premier niveau d’habitation de sorte à profiter d’une cuisine ouverte et d’une chambre d’appoint avec une petite salle de bains pour loger les amis de passage.
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Avant. L’entrée de la maison dispose d’un plafond cathédrale et joue le rôle de cage d’escalier pour regagner l’étage. Si cela lui confère de belles proportions, cela cause aussi de grosses déperditions thermiques. C’est d’ailleurs pourquoi les anciens propriétaires l’ont recouverte de lambris.
Après. Le budget de la propriétaire était serré si bien que la professionnelle a dû le ventiler sur les postes les plus importants.
Le sol a été entièrement revu sur tout le niveau. « Sous les tomettes fissurées qui avaient été peintes en blanc, nous avons découvert d’anciens carreaux de ciment eux aussi fissurés. La présence proche de la rivière et l’humidité dégagée avait fait bouger la maison sans cave. Nous avons donc opté pour du grès cérame petit format avec des multiples joints de dilatation pour pallier les futurs mouvements de sol inévitables et ajouter des entrées de ventilation hautes et basses afin de prévenir l’humidité », explique Adeline.
L’entrée a été recouverte d’une imitation carreaux de ciment pour renouer avec l’histoire de la bâtisse. Le séjour a été quant à lui habillé d’un grès cérame imitation parquet point de Hongrie pour ramener chic et chaleur.
Le sol a été entièrement revu sur tout le niveau. « Sous les tomettes fissurées qui avaient été peintes en blanc, nous avons découvert d’anciens carreaux de ciment eux aussi fissurés. La présence proche de la rivière et l’humidité dégagée avait fait bouger la maison sans cave. Nous avons donc opté pour du grès cérame petit format avec des multiples joints de dilatation pour pallier les futurs mouvements de sol inévitables et ajouter des entrées de ventilation hautes et basses afin de prévenir l’humidité », explique Adeline.
L’entrée a été recouverte d’une imitation carreaux de ciment pour renouer avec l’histoire de la bâtisse. Le séjour a été quant à lui habillé d’un grès cérame imitation parquet point de Hongrie pour ramener chic et chaleur.
Avant. Aux murs de l’entrée, le lambris a été ôté en partie basse et les murs isolés par l’intérieur avec 7 centimètres de laine de roche.
Le système de chauffage à eau chaude, inefficace, a été totalement déposé. « J’ai rarement vu des tuyaux d’aussi grosse section. Comme ils étaient criblés de coudes, le réseau fonctionnait très mal », explique Adeline qui a préconisé de remplacer la chaudière et le réseau par un poêle à bois performant et des appoints électriques à l’étage et dans l’entrée.
9 systèmes de chauffage moins nocifs pour l’environnement
Le système de chauffage à eau chaude, inefficace, a été totalement déposé. « J’ai rarement vu des tuyaux d’aussi grosse section. Comme ils étaient criblés de coudes, le réseau fonctionnait très mal », explique Adeline qui a préconisé de remplacer la chaudière et le réseau par un poêle à bois performant et des appoints électriques à l’étage et dans l’entrée.
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Après. Enfin, pour apporter un surcroît de fonction à cette entrée, sans oublier la touche chic bien sûr, elle est aménagée avec un mobilier sur mesure en MDF, peint dans un bleu cobalt, une couleur intense appréciée par la propriétaire. Les compteurs ont disparu derrière les portes des placards sans poignées. Dessous, une banquette en contrecollé chêne est pratique pour se chausser/déchausser et cache des tiroirs pour les chaussures. Sous l’escalier, aux marches repeintes en gris pâle, avec une peinture sol dédiée, plusieurs autres placards servent de vestiaire.
Peinture bleue : Cobalt chez Tollens (groupe Chromology ) ; Peinture escalier : Pâte à pain de Tollens ; Lustre : Cher chez Made.com ; Appliques plafond : Nymâne chez Ikea
Peinture bleue : Cobalt chez Tollens (groupe Chromology ) ; Peinture escalier : Pâte à pain de Tollens ; Lustre : Cher chez Made.com ; Appliques plafond : Nymâne chez Ikea
Après. Pour le bien-être thermique de la maison, la porte d’entrée a été remplacée par un modèle plus isolant. « Nous en avons profité pour l’élargir de 73 centimètres à 83 centimètres car la porte d’entrée n’était vraiment pas assez large », explique la pro. Entre l’entrée et la pièce de vie, une grande verrière fabriquée sur mesure par un serrurier, en acier finition sablée, crée également une isolation sans couper la lumière ni les perspectives.
Plus de photos de grandes entrées sur Houzz
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« Je l’ai fait réaliser avec des charnières à 360° afin qu’elle puisse s’ouvrir complètement et que le battant se replie totalement sur l’autre », détaille Adeline.
Après. Toutes les fenêtres du niveau ont été remplacées par des doubles vitrages à crémones en laiton pour la petite touche de chic souhaitée par la propriétaire. Si les parois vers l’extérieur ont été isolées par 7 centimètres de laine de roche, la propriétaire n’a pas souhaité faire poser d’isolation sur le plafond afin de garder le cachet des poutres apparentes supportant le plancher de l’étage.
L’ancienne partie salle à manger a été transformée en salon télé. C’est le coin préféré des enfants, qui aiment particulièrement s’y tenir lorsque leur maman s’attarde avec des amis dans le salon principal. Ce petit salon, appelé à servir de chambre d’appoint de temps en temps, a été meublé avec un lit banquette appartenant à la propriétaire et une vitrine originale supportant la télé, fabriquée par sa sœur.
Au fond de la pièce apparaissent les portes des nouvelles buanderie et salle de bains. « La porte de la buanderie a été réalisée sans cadre par le menuisier afin qu’elle soit plus discrète. Il l’a fabriquée telle une porte de placard plutôt que de faire appel à une coûteuse porte sous tenture. Pour une question d’acoustique, la porte de la salle d’eau est classique », explique Adeline. Afin de séparer ce deuxième séjour du reste de la pièce, sans couper la circulation de lumière, l’architecte d’intérieur a imaginé un claustra derrière le meuble télé. Elle l’a prévu en chêne contrecollé vernis en trois passes et assez épais pour qu’il ne soit pas fragile au cas où les enfants s’y appuient. « Je préfère toujours surdimensionner un peu par sécurité », glisse-t-elle.
L’ancienne partie salle à manger a été transformée en salon télé. C’est le coin préféré des enfants, qui aiment particulièrement s’y tenir lorsque leur maman s’attarde avec des amis dans le salon principal. Ce petit salon, appelé à servir de chambre d’appoint de temps en temps, a été meublé avec un lit banquette appartenant à la propriétaire et une vitrine originale supportant la télé, fabriquée par sa sœur.
Au fond de la pièce apparaissent les portes des nouvelles buanderie et salle de bains. « La porte de la buanderie a été réalisée sans cadre par le menuisier afin qu’elle soit plus discrète. Il l’a fabriquée telle une porte de placard plutôt que de faire appel à une coûteuse porte sous tenture. Pour une question d’acoustique, la porte de la salle d’eau est classique », explique Adeline. Afin de séparer ce deuxième séjour du reste de la pièce, sans couper la circulation de lumière, l’architecte d’intérieur a imaginé un claustra derrière le meuble télé. Elle l’a prévu en chêne contrecollé vernis en trois passes et assez épais pour qu’il ne soit pas fragile au cas où les enfants s’y appuient. « Je préfère toujours surdimensionner un peu par sécurité », glisse-t-elle.
Après. La professionnelle a œuvré de sorte à redonner de la chaleur aux lieux, tant visuellement que thermiquement parlant. À la place de la cheminée, un poêle à bois Aduro 15.3 allège cette partie de la pièce et lui confère un rendu plus moderne. Ce dispositif de chauffe, classé A et d’une puissance nominale de 6,5 kW, a été sélectionné pour son efficacité thermique (rendement > 78 %). « Si la propriétaire doit toujours se livrer à la manutention de combustible, le rechargement du poêle est beaucoup plus espacé que celui de la chaudière à granulés et il se montre très efficace pour chauffer le rez-de-chaussée. On ressent même la chaleur à l’étage sans les appoints électriques », affirme Adeline.
De part et d’autre du poêle, deux coffres à bûches, fabriqués sur mesure en chêne contrecollé, servent également de banquette d’appoint lorsque la propriétaire reçoit. « Depuis ce shooting, elle a fait faire depuis de jolis coussins pour les habiller. Différentes finitions ont été apportées après coup car ma cliente a souhaité avancer en fonction de son budget », partage Adeline.
De part et d’autre du poêle, deux coffres à bûches, fabriqués sur mesure en chêne contrecollé, servent également de banquette d’appoint lorsque la propriétaire reçoit. « Depuis ce shooting, elle a fait faire depuis de jolis coussins pour les habiller. Différentes finitions ont été apportées après coup car ma cliente a souhaité avancer en fonction de son budget », partage Adeline.
Au mur, le poêle a été installé sur un parement pierre protecteur. De part en part, une teinte Red Earth de Farrow&Ball a été sélectionnée pour réchauffer le salon composé autour de deux canapés installés face à face. Cette teinte met en valeur deux tableaux, soulignés par des appliques aux délicates finitions laitonnées. « Ce sont des tubes à placer à la verticale mais que l’on a détournés pour créer un éclairage qui souligne les tableaux », indique l’architecte d’intérieur.
Canapés : Miro chez Made.com et appliques : Wanda chez Made.com
Canapés : Miro chez Made.com et appliques : Wanda chez Made.com
Avant. La propriétaire rêvait d’une vaste cuisine ouverte avec beaucoup de rangements alors que pour l’heure, la petite cuisine se trouvait emprisonnée derrière le mur au fond à droite. Cela tombait bien car l’arrière de la pièce de vie manquait de fonction comme on le voit sur ce visuel avant travaux et il était judicieux d’y étendre la partie cuisine/salle à manger.
Après. Après décloisonnement, la nouvelle cuisine a pris de l’ampleur dans la pièce de vie. « La propriétaire cuisine beaucoup et elle souhaitait consacrer de la place et du budget pour disposer de la cuisine de ses rêves », justifie Adeline. Deux plans de travail en parallèle offrent beaucoup de place pour cuisiner et de nombreux tiroirs en dessous pour ranger. Sur le côté, figurent les colonnes intégrant le réfrigérateur, le four traditionnel et, derrière des portes, le micro-ondes. « Ma cliente a souhaité conserver son combiné récent à la face de verre, mais j’ai prévu le caisson pour pouvoir en encastrer un autre au besoin », explique Adeline qui met un point d’honneur à concevoir des rénovations pérennes.
Après. Question ambiance, ses mots d’ordre ont été « cuisine lumineuse, chaleureuse et chic ». Comme elle aime beaucoup le marbre et avait repéré dans ce reportage, consacré à un autre projet de l’architecte d’intérieur Adeline Bellot, l’idée d’une crédence qui apporte de la personnalité à la cuisine, la professionnelle lui a concocté un décor idéal à base de blanc grisé, de marbre et de bois clair. Appuyée perpendiculairement à l’îlot, la table à manger est beaucoup mieux placée qu’avant et permet à la maman de surveiller les devoirs, tout en préparant le repas.
Lustre : Moricio chez La Redoute
Lustre : Moricio chez La Redoute
Sur la crédence, le marbre poli brillant (une imitation en grès cérame plus facile pour l’entretien) appelle tous les regards, tempéré par les plans de travail d’un gris très pâle à la légère veinure. « Les plans sont en quartz Ariel de Silestone, un matériau taillé pour faire la cuisine, hygiénique et durable », affirme Adeline. Un mitigeur en laiton, assorti aux nouvelles crémones des fenêtres, apporte la touche bijou finale.
Pour une maîtrise du budget au plus juste, la cuisine a été réalisée sur la base de caissons Ikea, finis par des panneaux striés de chez Superfront en bois clair façon scandinave : du frêne blanchi façon chêne Alabaster non traité. Adeline, qui a l’habitude de travailler avec cette marque, préfère recourir à la commande de panneaux un peu plus grands qu’elle fait retailler sur mesure par son menuisier. « Le sur-mesure est possible mais onéreux, et requiert une livraison de six semaines », explique-t-elle.
Or ici, impossible de faire traîner ce chantier car la mère et ses enfants ont d’abord vécu à l’étage avant de déménager lorsque les travaux leur ont rendu la vie sur place très compliquée. « Je conseille toujours à mes clients d’habiter hors des lieux en cas de grosse rénovation, mais ce n’est pas toujours simple, pour une question de budget », explique en effet Adeline. Les travaux ont donc eu lieu à cadence accélérée, en 2,5 mois.
Or ici, impossible de faire traîner ce chantier car la mère et ses enfants ont d’abord vécu à l’étage avant de déménager lorsque les travaux leur ont rendu la vie sur place très compliquée. « Je conseille toujours à mes clients d’habiter hors des lieux en cas de grosse rénovation, mais ce n’est pas toujours simple, pour une question de budget », explique en effet Adeline. Les travaux ont donc eu lieu à cadence accélérée, en 2,5 mois.
Après. « J’étais favorable à des toilettes invités séparées mais il a fallu faire des choix. La propriétaire a préféré avoir une seconde micro-salle d’eau car elle trouvait pratique d’avoir le lavabo près des toilettes pour se laver les mains », partage la pro. Pour accompagner le meuble vasque en bambou et les toilettes posables, une douche à l’italienne avec un sol en carrelage gris imitation pierre a été posée.
En dépit de la présence idéale d’une petite fenêtre existante, Adeline Bellot a également conseillé l’ajout d’une VMC pour ventiler l’espace et éviter que l’humidité ne stagne dans les lieux.
En dépit de la présence idéale d’une petite fenêtre existante, Adeline Bellot a également conseillé l’ajout d’une VMC pour ventiler l’espace et éviter que l’humidité ne stagne dans les lieux.
La propriétaire avait envie d’un rendu qualitatif et a réclamé une robinetterie et un ciel de pluie encastrés. On retrouve également les finitions marbre grisé et bois clair qui font le succès de la cuisine. Dans la douche, Adeline a fait ajouter des niches, comme sur la crédence de cuisine, encadrées d’un profilé métallique. « Je préconise toujours cette finition dans les endroits fortement sollicités comme les niches. Les coupes à l’onglet à 45° sont trop fragiles dans le temps », explique-t-elle.
Après. Adjacente à la salle de bains, une petite buanderie, minimaliste mais très utile, renferme lave-linge et sèche-linge empilés.
Pour conclure, nous évoquerons le fait que les propriétaires redoutent souvent de faire appel à un architecte d’intérieur, dans la crainte de devoir se livrer à des travaux de trop grande ampleur et trop onéreux. Néanmoins, sous la houlette d’un pro, il est possible de se livrer à une étude complète de la maison puis de faire réaliser les travaux par tranches, à son rythme. En initiant les travaux par elle-même ou avec des artisans, sans aucune vision globale des désordres de la bâtisse ancienne, cette propriétaire reconnaît s’être trompée. Aujourd’hui, elle envisage une prochaine tranche de travaux à l’extérieur, toujours sous la direction d’Adeline Bellot, dès que son budget le lui permettra bien sûr.
ET VOUS ?
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Pour conclure, nous évoquerons le fait que les propriétaires redoutent souvent de faire appel à un architecte d’intérieur, dans la crainte de devoir se livrer à des travaux de trop grande ampleur et trop onéreux. Néanmoins, sous la houlette d’un pro, il est possible de se livrer à une étude complète de la maison puis de faire réaliser les travaux par tranches, à son rythme. En initiant les travaux par elle-même ou avec des artisans, sans aucune vision globale des désordres de la bâtisse ancienne, cette propriétaire reconnaît s’être trompée. Aujourd’hui, elle envisage une prochaine tranche de travaux à l’extérieur, toujours sous la direction d’Adeline Bellot, dès que son budget le lui permettra bien sûr.
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Qui habite ici ? Une quadragénaire et ses deux enfants
Superficie : 128 m² (seul le premier niveau de 64 m² a été concerné par les travaux)
Emplacement : dans une maison à Nogent-sur-Marne
Date de livraison : avril 2022
Durée des travaux : 2,5 mois
Architecte d’intérieur : Adeline Bellot d’Atelier B2
Budget : 60 000 euros (dont 48 000 euros pour la partie supervisée par Adeline Bellot, 10 000 euros pour le changement de fenêtres du rez-de-chaussée et 2 000 euros pour le poêle à bois)
Photos : © JEM Photographie