Visites Privées
Maisons contemporaines
Avant/Après : Un rez-de-chaussée années 70 métamorphosé
La transformation de cet espace de 80 m² a changé les plans des propriétaires, qui souhaitaient vendre leur pavillon
Deux jeunes retraités, cherchaient à vendre leur pavillon de Péroy-les-Gombries, dans le sud de l’Oise. Acheté en 1979, il n’avait pas été rénové depuis et les matériaux (bois foncé et carrelage flammé) étaient datés. En l’état, le pavillon n’a pas su plaire à d’éventuels acquéreurs et, les mois passant, le découragement s’installant, ils se sont résolus à faire faire un devis de rénovation. La rencontre avec l’architecte d’intérieur et décoratrice Patricia Coignard a totalement bousculé leurs plans. Elle a tout de suite décelé le potentiel de leur rez-de-chaussée de 80 m², un espace atypique avec une partie sous un plafond cathédrale et une autre en demi-niveau, qui méritait mieux qu’un home staging. Décloisonné et rénové du sol au plafond, il est devenu un lieu moderne, lumineux et dynamique, à faire rêver les propriétaires. « Cela nous a donné la motivation nécessaire pour réussir et Patricia nous a accompagnés pas à pas, restant tout le temps à notre écoute », ont-ils affirmé. Les volumes, les couleurs, le mobilier, les luminaires et les textiles ont donc été entièrement repensés. Focus sur une transformation spectaculaire !
Coup d’œil
Qui vit ici : Un couple de jeunes retraités
Emplacement : Péroy-les-Gombries, un village au sud de l’Oise
Livraison du projet : octobre 2017
Durée des travaux : 6 mois
Superficie : 80 m² (seul le rez-de-chaussée du pavillon a été rénové)
Architecte d’intérieur : Patricia Coignard, Atmosphères design
Budget : 80 000 euros
Crédit photos : Sabine Serrad
Coup d’œil
Qui vit ici : Un couple de jeunes retraités
Emplacement : Péroy-les-Gombries, un village au sud de l’Oise
Livraison du projet : octobre 2017
Durée des travaux : 6 mois
Superficie : 80 m² (seul le rez-de-chaussée du pavillon a été rénové)
Architecte d’intérieur : Patricia Coignard, Atmosphères design
Budget : 80 000 euros
Crédit photos : Sabine Serrad
Nous nous trouvons ici entre l’entrée et le salon. En dépit du manque de lumière et de cet étroit passage entre le coin feu à droite, en contrebas, et le mur de la cuisine à gauche, le rez-de-chaussée bénéficiait de beaux volumes.
En fond de pièce, l’escalier imposant qui scinde en deux le séjour faisait partie de l’équation de base. Après l’avoir rénové il y a une dizaine d’années, les propriétaires souhaitaient le conserver. Le salon-salle à manger a donc été recomposé à partir de cet élément structurant fort.
En fond de pièce, l’escalier imposant qui scinde en deux le séjour faisait partie de l’équation de base. Après l’avoir rénové il y a une dizaine d’années, les propriétaires souhaitaient le conserver. Le salon-salle à manger a donc été recomposé à partir de cet élément structurant fort.
APRÈS
Voici la même vue après travaux. L’espace est complètement transformé ! Aujourd’hui, Les propriétaires comptent bien vivre le plus longtemps possible dans ce pavillon qu’ils étaient prêts à quitter quelques mois auparavant.
Voici la même vue après travaux. L’espace est complètement transformé ! Aujourd’hui, Les propriétaires comptent bien vivre le plus longtemps possible dans ce pavillon qu’ils étaient prêts à quitter quelques mois auparavant.
AVANT
Sombre et très exiguë, voici l’entrée du pavillon datée des années 70, époque de construction de la maison.
Sombre et très exiguë, voici l’entrée du pavillon datée des années 70, époque de construction de la maison.
APRÈS
Pour donner du caractère à l’entrée, premier regard que l’on porte sur une maison, le mobilier a été soigneusement sélectionné. Il devait notamment être compact afin de la faire paraître plus grande. Tous se sont mis d’accord pour ce secrétaire en chêne et ce miroir vide-poches, des meubles au design contemporain qui donnent le ton.
La suspension aérienne en bambou laisse passer la lumière en créant comme un soleil sur le plafond.
« L’escalier tout en rondeur et en bois clair a été utilisé comme le fil conducteur design de la sélection de mobilier. Dès l’entrée, des éléments en rondeur et ajourés reprennent les codes du colimaçon et de son garde-corps », décrypte la professionnelle.
Secrétaire Origami : Ethnicraft ; Miroir Alana : Made ; Suspensions : Delamaison
Pour donner du caractère à l’entrée, premier regard que l’on porte sur une maison, le mobilier a été soigneusement sélectionné. Il devait notamment être compact afin de la faire paraître plus grande. Tous se sont mis d’accord pour ce secrétaire en chêne et ce miroir vide-poches, des meubles au design contemporain qui donnent le ton.
La suspension aérienne en bambou laisse passer la lumière en créant comme un soleil sur le plafond.
« L’escalier tout en rondeur et en bois clair a été utilisé comme le fil conducteur design de la sélection de mobilier. Dès l’entrée, des éléments en rondeur et ajourés reprennent les codes du colimaçon et de son garde-corps », décrypte la professionnelle.
Secrétaire Origami : Ethnicraft ; Miroir Alana : Made ; Suspensions : Delamaison
AVANT
La porte d’entrée fait face à une autre porte, celle de la buanderie qui n’a pas été prise en compte dans la rénovation.
La porte d’entrée fait face à une autre porte, celle de la buanderie qui n’a pas été prise en compte dans la rénovation.
APRÈS
Comme le rez-de-chaussée était très sombre, l’accent a d’emblée été mis sur la lumière. Une base picturale, inspirée directement du style scandinave, a été choisie de concert : bois clair, murs blancs, avec quelques notes contrastantes et colorées.
Le sol du rez-de-chaussée, en carrelage marron, a laissé la place sur tout le niveau à un sol en « bois céramique », nom que l’on donne au grès cérame imitation parquet. Il est de très belle facture, avec un effet texturé imitant à s’y méprendre les veines du bois. Ses lames larges et sa teinte effet brut donnent au sol un aspect contemporain. « J’ai travaillé dans la perspective de la pérennité et d’une éventuelle revente en ne choisissant que des matériaux de qualité, résistant et facile à entretenir », souligne Patricia.
Sol : Woodland, finition Almond, de chez Castelvetro
Comme le rez-de-chaussée était très sombre, l’accent a d’emblée été mis sur la lumière. Une base picturale, inspirée directement du style scandinave, a été choisie de concert : bois clair, murs blancs, avec quelques notes contrastantes et colorées.
Le sol du rez-de-chaussée, en carrelage marron, a laissé la place sur tout le niveau à un sol en « bois céramique », nom que l’on donne au grès cérame imitation parquet. Il est de très belle facture, avec un effet texturé imitant à s’y méprendre les veines du bois. Ses lames larges et sa teinte effet brut donnent au sol un aspect contemporain. « J’ai travaillé dans la perspective de la pérennité et d’une éventuelle revente en ne choisissant que des matériaux de qualité, résistant et facile à entretenir », souligne Patricia.
Sol : Woodland, finition Almond, de chez Castelvetro
AVANT
Nous distinguons cette fois le seuil du salon depuis l’autre côté de la pièce, soit vu de l’escalier en colimaçon. La grande horloge comtoise, un meuble de famille de grande valeur, s’appuyait sur le mur qui cloisonnait la cuisine. À gauche, le coin feu s’enfonce dans le sol. Il faut descendre trois marches pour y accéder, car il se situe sous la mezzanine desservie par l’escalier. On distingue la cheminée d’origine, « un insert de grande taille », et le bois, stocké à même le sol.
Nous distinguons cette fois le seuil du salon depuis l’autre côté de la pièce, soit vu de l’escalier en colimaçon. La grande horloge comtoise, un meuble de famille de grande valeur, s’appuyait sur le mur qui cloisonnait la cuisine. À gauche, le coin feu s’enfonce dans le sol. Il faut descendre trois marches pour y accéder, car il se situe sous la mezzanine desservie par l’escalier. On distingue la cheminée d’origine, « un insert de grande taille », et le bois, stocké à même le sol.
APRÈS
Pour faire respirer cette entrée dans la pièce de vie, le mur de la cuisine a été abattu : « Cela a tout changé : l’apport de lumière de la cuisine a ainsi été récupéré et une belle vue traversante sur le jardin qui entoure le pavillon a été créée. Par ailleurs, cela a permis d’élargir le passage dangereux le long du coin feu. Enfin, grâce à ce décloisonnement, la propriétaire a pu envisager l’îlot dont elle rêvait dans sa cuisine. »
Pour faire respirer cette entrée dans la pièce de vie, le mur de la cuisine a été abattu : « Cela a tout changé : l’apport de lumière de la cuisine a ainsi été récupéré et une belle vue traversante sur le jardin qui entoure le pavillon a été créée. Par ailleurs, cela a permis d’élargir le passage dangereux le long du coin feu. Enfin, grâce à ce décloisonnement, la propriétaire a pu envisager l’îlot dont elle rêvait dans sa cuisine. »
La vue traversante sur le jardin a été un guide pour le choix d’une ambiance poudrée : « Il ne faut pas faire fi des vues extérieures en aménageant un intérieur. Quand la vue est aussi riche qu’ici, verdoyante et parsemée de fleurs, miser sur un intérieur aux couleurs vives peut s’avérer pesant. Cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut tomber dans l’immaculé. La couleur est toujours essentielle. Je l’utilise de façon structurante pour différencier visuellement les espaces et apporter du contraste », souligne la professionnelle.
AVANT
La cuisine d’origine, en plus d’être datée, était dysfonctionnelle. La propriétaire cuisinant beaucoup, il a fallu étudier un moyen de la simplifier et la fluidifier.
La cuisine d’origine, en plus d’être datée, était dysfonctionnelle. La propriétaire cuisinant beaucoup, il a fallu étudier un moyen de la simplifier et la fluidifier.
APRÈS
Bien que la nouvelle cuisine ne soit pas très grande, la propriétaire a pu se faire plaisir avec un petit îlot autour duquel il est possible de tourner (90 cm de recul). Une colonne toute en hauteur — équipée des fours classiques et micro-ondes, du combiné réfrigérateur congélateur et de placards — se cache sur le mur du fond. Sur la droite se concentrent l’évier, le lave-vaisselle, les plaques de cuisson ainsi que nombre rangements.
Bien que la nouvelle cuisine ne soit pas très grande, la propriétaire a pu se faire plaisir avec un petit îlot autour duquel il est possible de tourner (90 cm de recul). Une colonne toute en hauteur — équipée des fours classiques et micro-ondes, du combiné réfrigérateur congélateur et de placards — se cache sur le mur du fond. Sur la droite se concentrent l’évier, le lave-vaisselle, les plaques de cuisson ainsi que nombre rangements.
L’îlot n’a pas de vocation technique à proprement parler, mais crée une zone conviviale pour prendre l’apéritif ou le petit déjeuner et offre de l’espace de stockage.
« La propriétaire possède de nombreux ustensiles de cuisine, à la fois encombrants et peu esthétiques. J’ai fait en sorte de les dissimuler dans les placards bas afin que la manipulation soit facile », explique Patricia.
Pour donner du contraste à la cuisine et la différencier du reste de la pièce de vie, les murs ont été peints dans un anthracite mat. La crédence en grès cérame rehausse l’ensemble de son motif géométrique en relief.
Crédence : carrelage Porcelanosa ; Meubles et plans de travail en stratifié : Arthur Bonnet
Crédence : carrelage Porcelanosa ; Meubles et plans de travail en stratifié : Arthur Bonnet
La bibliothèque que l’on distingue à droite de la cuisine est un meuble d’about. Dessiné par Patricia et réalisé sur mesure par le cuisiniste Arthur Bonnet, dans les mêmes matériaux que la cuisine, il crée une transition/liaison harmonieuse avec les espaces séjour de la pièce de vie. Il reprend le code couleur blanc et bois et offre des places de choix pour les beaux objets ramenés de voyages par le couple.
AVANT
Demi-niveau accessible par deux marches anguleuses, le coin feu était un vestige des années 70, inspiré par l’architecture américaine. « J’ai tout de suite senti qu’il était sous exploité. Il était très sombre et ses trois fenêtres, pourtant jolies avec leur style bow-window, étaient sous exploitées et n’étaient pas mises en valeur », explique Patricia.
Demi-niveau accessible par deux marches anguleuses, le coin feu était un vestige des années 70, inspiré par l’architecture américaine. « J’ai tout de suite senti qu’il était sous exploité. Il était très sombre et ses trois fenêtres, pourtant jolies avec leur style bow-window, étaient sous exploitées et n’étaient pas mises en valeur », explique Patricia.
APRÈS
Pour lui redonner du charme, il a été converti en un cocon, composé autour d’un poêle et de mobilier bas sur mesure. « En arrondissant les marches et en créant à l’opposé ce meuble cintré en rappel, un espace bien différencié a été dessiné tout en douceur », affirme Patricia. Ce coin feu est devenu le préféré des propriétaires après la zone repas, un espace de convivialité où se relaxer lorsqu’ils invitent leurs amis.
Pour lui redonner du charme, il a été converti en un cocon, composé autour d’un poêle et de mobilier bas sur mesure. « En arrondissant les marches et en créant à l’opposé ce meuble cintré en rappel, un espace bien différencié a été dessiné tout en douceur », affirme Patricia. Ce coin feu est devenu le préféré des propriétaires après la zone repas, un espace de convivialité où se relaxer lorsqu’ils invitent leurs amis.
L’imposante cheminée a été remplacée par un poêle design avec trois côtés vitrés qui permettent de voir le feu dès l’entrée. Les trois fenêtres à l’effet bow-window ont été dégagées pour que la dégager la vue et élargir virtuellement ce petit coin. Enfin, le meuble TV sur mesure cache le radiateur tout en créant des rangements, une attente forte du couple.
AVANT
Le canapé était adossé à une maie ancienne, créant la séparation avec le salon.
Le canapé était adossé à une maie ancienne, créant la séparation avec le salon.
APRÈS
Elle a été remplacée par ce banc/coffre, qui sert de stockage pour les papiers de la propriétaire et accueille une lampe design et un lapin orange. Le fait d’avoir des meubles banquettes assez bas permet au regard d’embrasser de larges perspectives, ce qui faisait défaut précédemment. Les différents espaces de la pièce de vie sont ainsi mieux différenciés et d’apparence plus vaste.
Elle a été remplacée par ce banc/coffre, qui sert de stockage pour les papiers de la propriétaire et accueille une lampe design et un lapin orange. Le fait d’avoir des meubles banquettes assez bas permet au regard d’embrasser de larges perspectives, ce qui faisait défaut précédemment. Les différents espaces de la pièce de vie sont ainsi mieux différenciés et d’apparence plus vaste.
AVANT
Le séjour était partagé par l’escalier en colimaçon, un élément qui prenait beaucoup de place sans parvenir à structurer la pièce dans laquelle les meubles étaient davantage posés qu’organisés. La partie salon était pourtant intéressante avec son beau volume offert part le toit cathédrale. Les poutres marron foncé assombrissaient néanmoins l’espace et une grande tapisserie au mur, à droite de l’escalier, empêchait le regard de s’envoler en coupant la ligne de fuite.
Le séjour était partagé par l’escalier en colimaçon, un élément qui prenait beaucoup de place sans parvenir à structurer la pièce dans laquelle les meubles étaient davantage posés qu’organisés. La partie salon était pourtant intéressante avec son beau volume offert part le toit cathédrale. Les poutres marron foncé assombrissaient néanmoins l’espace et une grande tapisserie au mur, à droite de l’escalier, empêchait le regard de s’envoler en coupant la ligne de fuite.
APRÈS
« J’ai dû composer autour de cet escalier pour qu’il ne soit plus un pis-aller. Je l’ai pensé comme un élément design à part entière et fait en sorte qu’il s’épanouisse tout en servant d’élément structurant », explique Patricia.
« J’ai dû composer autour de cet escalier pour qu’il ne soit plus un pis-aller. Je l’ai pensé comme un élément design à part entière et fait en sorte qu’il s’épanouisse tout en servant d’élément structurant », explique Patricia.
À droite de l’escalier se dessine désormais le salon, l’endroit que privilégie le couple pour prendre l’apéritif. Une bibliothèque dessinée par l’architecte d’intérieur est le pendant du meuble d’about de la cuisine. Sa hauteur a volontairement été limitée à 1,60 m pour permettre au regard de s’envoler vers le plafond cathédrale repeint en blanc.
Canapé et fauteuil : Habitat
Canapé et fauteuil : Habitat
À gauche de l’escalier se dévoile la partie salle à manger. Elle se différencie des autres espaces par un fond de peinture beige lumineuse et un mobilier aux formes plus anguleuses que dans le reste de la pièce, afin de créer un contraste.
Les tables, chaises et buffet massif en chêne sont signés Ethnicraft.
« La propriétaire est passionnée de décoration. Je l’ai conseillée sur le choix des matières et la confiance qu’elle m’a accordée a nourri notre échange collaboratif pour remplacer son mobilier ainsi que ses rideaux et ses luminaires», affirme l’architecte d’intérieur.
« La propriétaire est passionnée de décoration. Je l’ai conseillée sur le choix des matières et la confiance qu’elle m’a accordée a nourri notre échange collaboratif pour remplacer son mobilier ainsi que ses rideaux et ses luminaires», affirme l’architecte d’intérieur.
La propriétaire souhaitait
conserver sa comtoise de famille. Elle a accepté de la confier à un artisan de la région qui l’a entièrement démontée et repeinte dans le même anthracite velouté que les murs de la cuisine. Elle s’intègre ainsi parfaitement dans le salon neuf, tout en le dotant d’un supplément d’âme.
conserver sa comtoise de famille. Elle a accepté de la confier à un artisan de la région qui l’a entièrement démontée et repeinte dans le même anthracite velouté que les murs de la cuisine. Elle s’intègre ainsi parfaitement dans le salon neuf, tout en le dotant d’un supplément d’âme.
Pour parfaire le style scandinave, quelques touches de contraste et de bonne humeur ont été ajoutées çà et là. On note côté salon les coussins en velours colorés, la lampe rose et le lapin orange. Les miroirs aux encadrements de métal laitonné ajoutent quant à eux des notes lumineuses à ce décor mat. « Ce sont autant de petits éléments qui semblent anodins, mais ajoutent de la personnalisation, de la cohérence et un aspect chaleureux ».
Enfin, dans un souci de confort et de finition, tous les rideaux ont aussi été changés pour d’épaisses tentures en coton grège. Les doubles rideaux assortis côté séjour et les stores bateaux côté de la cuisine et du coin feu ont été réalisés par un artisan de Crépy-en-Valois, Vincent Bonnenfant.
Miroirs : Made
Enfin, dans un souci de confort et de finition, tous les rideaux ont aussi été changés pour d’épaisses tentures en coton grège. Les doubles rideaux assortis côté séjour et les stores bateaux côté de la cuisine et du coin feu ont été réalisés par un artisan de Crépy-en-Valois, Vincent Bonnenfant.
Miroirs : Made
La propriétaire et son époux se plaisent énormément dans leur nouveau décor qu’ils ne souhaitent plus vendre : « Nous apprécions l’atmosphère lumineuse aux couleurs poudrées, les meubles d’inspiration design aux formes rondes, l’éclairage qui découpe les espaces et leur attribue à chacun une lumière douce. Patricia a su être là pendant les travaux, toujours à l’écoute. »
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
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Les propriétaires ont donné carte blanche à l’architecte d’intérieur pour rénover le rez-de-chaussée de leur pavillon et revoir la décoration intérieure. Mot d’ordre : apporter modernité, luminosité et dynamisme à l’ensemble. Sur ce plan du rez-de-chaussée avant travaux, la partie à rénover se situe sur la gauche et comprend l’entrée, le séjour, la cuisine et le coin feu.
Les propriétaires avaient quatre objectifs :
« J’ai proposé aux clients quelque chose de différent, ouvert, où les quatre fonctions — entrée, cuisine, salle à manger et coin feu — dialoguent entre elles tout en retrouvant leur véritable identité. Il a aussi fallu réintroduire de la lumière dans chaque espace selon les usages. J’ai opéré des choix pérennes qui expriment la singularité de la maison des propriétaires dans l’optique d’une revente éventuelle dans quelques années », explique la professionnelle.