Avant/Après : Une studette gagne une chambre de 10 m² en combles
Dans le quartier étudiant de Paris, on a apporté charme et volume à une studette de 18 m² grâce à l'espace sous combles
Agnès Carpentier
10 janvier 2018
Contributrice HOUZZ. Journaliste.
Pour leur fille devenue étudiante, un couple a acheté une studette de 18 m² idéalement située entre Odéon et Saint-Michel. La surface était toute petite mais présentait deux avantages : elle était structurée en deux-pièces et a été vendue avec la possibilité de récupérer les combles. L’espace avait donc besoin d’une rénovation conséquente avec la nécessité de toucher à la charpente. Une transformation confiée à l’architecte Stéphanie Bertina Minel, qui avait déjà rénové leur appartement.
Coup d’œil
Qui habite ici : une étudiante
Emplacement : Paris VIᵉ
Superficie : 18 m² Carrez + combles
Budget : 39 000 euros HT pour la réfection complète (isolation sous toiture, électricité, peinture, création de la mezzanine, cuisine, salle d’eau…)
Durée des travaux : 5 mois, livraison septembre 2017
Architecte : Stéphanie Bertina Minel
Anecdote : « Les propriétaires ont dû débourser 5800 euros HT en plus de travaux de traitement de bois par injection et renforcement structurel de la charpente après bûchage, mais cette somme leur a été versée par la copropriété », explique l’architecte.
Photos « Après » : Émilie Arfeuil
Coup d’œil
Qui habite ici : une étudiante
Emplacement : Paris VIᵉ
Superficie : 18 m² Carrez + combles
Budget : 39 000 euros HT pour la réfection complète (isolation sous toiture, électricité, peinture, création de la mezzanine, cuisine, salle d’eau…)
Durée des travaux : 5 mois, livraison septembre 2017
Architecte : Stéphanie Bertina Minel
Anecdote : « Les propriétaires ont dû débourser 5800 euros HT en plus de travaux de traitement de bois par injection et renforcement structurel de la charpente après bûchage, mais cette somme leur a été versée par la copropriété », explique l’architecte.
Photos « Après » : Émilie Arfeuil
AVANT
Située au cinquième et dernier étage d’un immeuble ancien, la studette est le produit d’une ancienne réunion de deux chambres de bonne et de toilettes qui se situaient sur le palier. L’entrée de l’appartement, que l’on voit en fond de visuel, était une partie commune anciennement rattachée.
L’appartement dispose d’un plan en enfilade. De la cuisine, on passe au salon. La salle d’eau/toilettes se situe à l’entrée derrière le mur de la cuisine.
Quand les parents de l’étudiante ont acheté la studette, elle n’était pas vétuste, mais aménagée sommairement. Dans le coin cuisine par exemple, les tuyaux étaient apparents et il n’y avait même pas de plaques de cuisson.
Située au cinquième et dernier étage d’un immeuble ancien, la studette est le produit d’une ancienne réunion de deux chambres de bonne et de toilettes qui se situaient sur le palier. L’entrée de l’appartement, que l’on voit en fond de visuel, était une partie commune anciennement rattachée.
L’appartement dispose d’un plan en enfilade. De la cuisine, on passe au salon. La salle d’eau/toilettes se situe à l’entrée derrière le mur de la cuisine.
Quand les parents de l’étudiante ont acheté la studette, elle n’était pas vétuste, mais aménagée sommairement. Dans le coin cuisine par exemple, les tuyaux étaient apparents et il n’y avait même pas de plaques de cuisson.
APRÈS
Le plan de l’appartement étant bloqué par deux murs porteurs, l’architecte a travaillé sur l’optimisation, tant visuelle que spatiale. Ainsi, une poutre a été dégagée du porteur pour laisser respirer l’entrée. « Entre la poutre et la cuisine, nous avons aménagé de petites étagères de verre, ce qui permet de ne pas perdre de place et donne un sentiment d’ouverture et de légèreté depuis l’entrée, dans laquelle on se sentait confiné précédemment », explique Stéphanie Bertina Minel.
La surface a aussi pris un vrai coup de jeune grâce à deux fils conducteurs. « La jeune propriétaire avait envie de couleurs et de mixer le bois de la charpente avec des notes métalliques industrielles. Nous avons travaillé par touches pour préserver la légèreté de l’ensemble. »
Peinture : Seigneurie, jaune Klee, gamme Chromatic
Le plan de l’appartement étant bloqué par deux murs porteurs, l’architecte a travaillé sur l’optimisation, tant visuelle que spatiale. Ainsi, une poutre a été dégagée du porteur pour laisser respirer l’entrée. « Entre la poutre et la cuisine, nous avons aménagé de petites étagères de verre, ce qui permet de ne pas perdre de place et donne un sentiment d’ouverture et de légèreté depuis l’entrée, dans laquelle on se sentait confiné précédemment », explique Stéphanie Bertina Minel.
La surface a aussi pris un vrai coup de jeune grâce à deux fils conducteurs. « La jeune propriétaire avait envie de couleurs et de mixer le bois de la charpente avec des notes métalliques industrielles. Nous avons travaillé par touches pour préserver la légèreté de l’ensemble. »
Peinture : Seigneurie, jaune Klee, gamme Chromatic
Après plusieurs propositions de plans de cuisine, les parents de l’étudiante ont finalement opté pour celui-ci, proche du précédent. En effet, il permet de loger un maximum d’éléments dans un volume des plus compacts : évier, plaques de cuisson, réfrigérateur et four micro-ondes.
Le coffrage autour duquel sont agencés les éléments a servi à faire passer les tuyaux ainsi que la gaine de la VMC. « Cet appartement avait un vrai problème d’humidité avant les travaux. Nous l’avons isolé et mis aux normes avec une ventilation mécanique contrôlée dans les pièces humides, cuisine et salle d’eau. Le caisson de la VMC est caché dans les combles », explique l’architecte.
Une fenêtre au-dessus du four a également été créée : elle récupère en second jour la lumière de la grande fenêtre de la cuisine et éclaire la salle d’eau.
Le coffrage autour duquel sont agencés les éléments a servi à faire passer les tuyaux ainsi que la gaine de la VMC. « Cet appartement avait un vrai problème d’humidité avant les travaux. Nous l’avons isolé et mis aux normes avec une ventilation mécanique contrôlée dans les pièces humides, cuisine et salle d’eau. Le caisson de la VMC est caché dans les combles », explique l’architecte.
Une fenêtre au-dessus du four a également été créée : elle récupère en second jour la lumière de la grande fenêtre de la cuisine et éclaire la salle d’eau.
AVANT
Le plus gros chantier a consisté à déshabiller intégralement le plafond d’origine de l’appartement pour retrouver les solives et accéder aux combles. « Nous avons eu une mauvaise surprise : les poutres étaient en mauvais état, parsemées de petits trous et certaines étaient poudreuses suite à d’anciens dégâts des eaux en toiture. Nous avons dû les faire traiter puis faire renforcer la charpente. Comme il s’agit de la structure de l’immeuble, nous sommes intervenus auprès du syndic et avons fait prendre en charge la dépense par la copropriété », explique l’architecte.
Une première société a traité les poutres en bûchant les parties vermoulues puis en y injectant un gel antifongique et insectes xylophages (termites, vrillettes, capricornes, etc.). « Nous avons fait appel à une société certifiée CTBA plus, gage de qualité en matière de préservation du bâti », affirme Stéphanie. Une seconde société spécialisée en charpente a renforcé les poutres abîmées en boulonnant des renforts et a créé un solivage aux endroits où il faisait défaut. Ces travaux de charpente ont duré trois semaines et n’ont pas causé d’arrêts du chantier, mais les demandes faites à la copropriété ont tout de même allongé la durée de ce dernier.
Le plus gros chantier a consisté à déshabiller intégralement le plafond d’origine de l’appartement pour retrouver les solives et accéder aux combles. « Nous avons eu une mauvaise surprise : les poutres étaient en mauvais état, parsemées de petits trous et certaines étaient poudreuses suite à d’anciens dégâts des eaux en toiture. Nous avons dû les faire traiter puis faire renforcer la charpente. Comme il s’agit de la structure de l’immeuble, nous sommes intervenus auprès du syndic et avons fait prendre en charge la dépense par la copropriété », explique l’architecte.
Une première société a traité les poutres en bûchant les parties vermoulues puis en y injectant un gel antifongique et insectes xylophages (termites, vrillettes, capricornes, etc.). « Nous avons fait appel à une société certifiée CTBA plus, gage de qualité en matière de préservation du bâti », affirme Stéphanie. Une seconde société spécialisée en charpente a renforcé les poutres abîmées en boulonnant des renforts et a créé un solivage aux endroits où il faisait défaut. Ces travaux de charpente ont duré trois semaines et n’ont pas causé d’arrêts du chantier, mais les demandes faites à la copropriété ont tout de même allongé la durée de ce dernier.
APRÈS
Deux bonnes surprises ont compensé cette petite perte de temps : une fenêtre de toit existait déjà dans les combles et une partie du solivage offrait un espace suffisant pour placer un escalier sans percer de trémie.
Les propriétaires ont opté pour un escalier à pas décalés plutôt qu’une échelle de meunier afin de monter plus confortablement sur la mezzanine où devait être installé le coin nuit. « J’ai calculé le nombre de marches et le dégagement possible pour qu’il ne dépasse pas la porte, puis j’ai déduit sa pente », explique Stéphanie, qui a dessiné l’escalier et l’a fait peindre en blanc, pour plus de discrétion, avec une peinture pour sol.
En matière d’optimisation, les conduits de cheminée logés à droite de l’escalier ont également été déshabillés puis replaqués au plus juste, pour créer des étagères.
Deux bonnes surprises ont compensé cette petite perte de temps : une fenêtre de toit existait déjà dans les combles et une partie du solivage offrait un espace suffisant pour placer un escalier sans percer de trémie.
Les propriétaires ont opté pour un escalier à pas décalés plutôt qu’une échelle de meunier afin de monter plus confortablement sur la mezzanine où devait être installé le coin nuit. « J’ai calculé le nombre de marches et le dégagement possible pour qu’il ne dépasse pas la porte, puis j’ai déduit sa pente », explique Stéphanie, qui a dessiné l’escalier et l’a fait peindre en blanc, pour plus de discrétion, avec une peinture pour sol.
En matière d’optimisation, les conduits de cheminée logés à droite de l’escalier ont également été déshabillés puis replaqués au plus juste, pour créer des étagères.
AVANT
Voici les combles avant leur rénovation. La photo ne le montre pas, mais un plancher existait au-dessus de la salle d’eau et un autre au-dessus du salon. Un solivage a été bâti pour pouvoir réunir ces deux « mezzanines », puis un nouveau plancher en OSB a été posé au-dessus des poutres afin de gagner en charme et en hauteur de plafond dans les pièces de vie.
Par ailleurs, les combles ont soigneusement été isolés selon les normes en vigueur. « Nous avons fait poser deux couches de laine de verre croisées et un pare-vapeur. L’épaisseur de l’isolation a été calculée de sorte à garder le charme des poutres apparentes. Ces dernières ont été poncées et vernis mat », raconte l’architecte.
Voici les combles avant leur rénovation. La photo ne le montre pas, mais un plancher existait au-dessus de la salle d’eau et un autre au-dessus du salon. Un solivage a été bâti pour pouvoir réunir ces deux « mezzanines », puis un nouveau plancher en OSB a été posé au-dessus des poutres afin de gagner en charme et en hauteur de plafond dans les pièces de vie.
Par ailleurs, les combles ont soigneusement été isolés selon les normes en vigueur. « Nous avons fait poser deux couches de laine de verre croisées et un pare-vapeur. L’épaisseur de l’isolation a été calculée de sorte à garder le charme des poutres apparentes. Ces dernières ont été poncées et vernis mat », raconte l’architecte.
APRÈS
Un plancher en OSB peint en blanc, placé au-dessus des poutres, accueille désormais l’espace nuit de la studette. Le petit passage entre les deux mezzanines a été créé de toutes pièces sur un nouveau solivage en chêne.
Au plus haut, le plafond s’élève à 1,50 mètre, si bien qu’un matelas a été simplement posé au sol pour garder le plus de place possible en hauteur.
Un plancher en OSB peint en blanc, placé au-dessus des poutres, accueille désormais l’espace nuit de la studette. Le petit passage entre les deux mezzanines a été créé de toutes pièces sur un nouveau solivage en chêne.
Au plus haut, le plafond s’élève à 1,50 mètre, si bien qu’un matelas a été simplement posé au sol pour garder le plus de place possible en hauteur.
Derrière nous, au-dessus de la salle d’eau, un second espace sous combles permet de stocker l’aspirateur, la table à repasser, les valises… C’est également là qu’ont été cachés le caisson de la VMC et le ballon d’eau chaude : « Il s’agit d’un modèle Ariston extra-plat. Il n’est pas rond mais rectangulaire, ce qui permet de gagner beaucoup de place », explique la professionnelle.
AVANT
De retour en bas de l’escalier, on se tourne vers le salon. À gauche, nous distinguons la grande fenêtre de la cuisine. En face, au fond du salon, une porte vitrée conduit à la terrasse.
De retour en bas de l’escalier, on se tourne vers le salon. À gauche, nous distinguons la grande fenêtre de la cuisine. En face, au fond du salon, une porte vitrée conduit à la terrasse.
APRÈS
Cette porte a été remplacée par un modèle entièrement vitré, qui laisse entrer plus largement la lumière. Le petit salon possède également une grande fenêtre, ce qui rend la pièce très lumineuse.
À gauche de la porte-fenêtre, on distingue la télévision accrochée en hauteur sur un bras orientable. Le bureau de l’étudiante est une simple tablette escamotable.
Cette porte a été remplacée par un modèle entièrement vitré, qui laisse entrer plus largement la lumière. Le petit salon possède également une grande fenêtre, ce qui rend la pièce très lumineuse.
À gauche de la porte-fenêtre, on distingue la télévision accrochée en hauteur sur un bras orientable. Le bureau de l’étudiante est une simple tablette escamotable.
La jeune femme voulait un intérieur tonique et coloré. Dans le salon, elle a opté pour des murs turquoise et un clic-clac violine.
Peinture : Seigneurie, vert Tremble, gamme Chromatic
Peinture : Seigneurie, vert Tremble, gamme Chromatic
De retour dans l’entrée, zoom sur la porte de la salle d’eau. La poutre en bois au sol matérialise encore l’emplacement de la porte des toilettes, quand elles étaient sur le palier. Pour gagner de la place dans la salle d’eau, le choix s’est porté sur une porte pliante. « Un modèle assez onéreux (500 euros) acheté chez Leroy Merlin et habillé de miroirs pour agrandir visuellement l’entrée », précise Stéphanie.
La salle d’eau a elle aussi été parée de touches de couleurs. Sur une base sobre en grès cérame beige, un camaïeu en pâte de verre blanc et gris apporte du contraste.
Question aménagement, tout a été calculé au plus juste avec un meuble vasque gain de place, des toilettes à cuvette réduite et un mini-sèche-serviettes électrique.
Toilettes : Ideal Standard ; Sèche-serviettes : Acova
Question aménagement, tout a été calculé au plus juste avec un meuble vasque gain de place, des toilettes à cuvette réduite et un mini-sèche-serviettes électrique.
Toilettes : Ideal Standard ; Sèche-serviettes : Acova
Une bande de mosaïque en pâte de verre carmin rehausse le carré douche de 70 x 70 centimètres. On distingue en haut la fenêtre en second jour placée au-dessus du micro-ondes de la cuisine : elle permet de ne pas allumer la lumière dans la journée.
Au-dessus de la porte de la salle d’eau, les propriétaires ont également tenu à faire poser une petite fenêtre basculante afin de pouvoir aérer : « Pas vraiment nécessaire depuis que nous avons ajouté la VMC », concède Stéphanie.
Au-dessus de la porte de la salle d’eau, les propriétaires ont également tenu à faire poser une petite fenêtre basculante afin de pouvoir aérer : « Pas vraiment nécessaire depuis que nous avons ajouté la VMC », concède Stéphanie.
La studette ainsi augmentée des combles n’a pas gagné officiellement en surface, mais l’ajout de ces 10 m² au sol a changé la donne avec un coin nuit et un grand espace de rangement supplémentaires. De surcroît, en mettant à nu les poutres, tout l’appartement a été transfiguré et il a gagné en charme et surtout en volume et en sensation d’espace.
À noter encore que ces travaux ont permis d’isoler et de placer une VMC : la surface est ainsi beaucoup plus saine et confortable. Pour environ 2200 euros du mètre carré, rénovation et décoration comprises, c’est une bonne opération, en particulier à Paris !
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette studette ?
Découvrez d’autres avant/après
Visitez d’autres petits espaces
À noter encore que ces travaux ont permis d’isoler et de placer une VMC : la surface est ainsi beaucoup plus saine et confortable. Pour environ 2200 euros du mètre carré, rénovation et décoration comprises, c’est une bonne opération, en particulier à Paris !
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette studette ?
Découvrez d’autres avant/après
Visitez d’autres petits espaces
Dossiers Houzz associés
Avant/Après
5 avant/après balcons qui donnent envie
Par Malika Bouzidi
Plongée dans une sélection de balcons rénovés inspirants
Lire Plus
Avant/Après
Avant/Après : À Clichy, un studio de 20m2 plein de bonnes idées
Par Agnès Carpentier
Pour cette primo-accédante, une optimisation spatiale et une déco aussi efficaces qu'économiques
Lire Plus
Aménager sa salle de bains
20 astuces rangement pour optimiser une petite salle de bains
Par Agnès Carpentier
Gagnez de précieux centimètres carrés en organisant votre salle de bains
Lire Plus
Sur le balcon
20 idées d'aménagement pour un petit balcon urbain
Par Agnès Carpentier
Comment réveiller un petit balcon ? L'aménager de façon utile pour qu'il devienne votre cocon ouvert sur la ville
Lire Plus
Cuisines
20 astuces de rangement pour optimiser une petite cuisine
Par Agnès Carpentier
Les pros font preuve d'une inventivité incroyable en matière de rangement en cuisine. Inspirons-nous sans modération
Lire Plus
Avant/Après
Avant/Après : Rêve en blanc pour le 33 m2 d'une trentenaire
Par Agnès Carpentier
À Paris, cette trentenaire a rêvé son nid douillet comme un igloo chaleureux
Lire Plus
Cuisines
10 idées de coin repas pour les petites cuisines
Par Elen Pouhaer
Inspirez-vous de ces coins conviviaux pour créer votre cuisine dînatoire, même dans un petit espace
Lire Plus
Studios
Petits intérieurs : 18 appartements français de moins de 20 m2
Par Houzz France
Les petits espaces ont toujours fait partie de l’architecture française. Découvrez ici 18 studios au chic sublimé
Lire Plus
Avant/Après
Avant/Après : À Paris, le 40 m2 cocon d'une indépendante
Par Agnès Carpentier
Le choix d'un coin nuit permet de libérer beaucoup d'espace de vie dans le grand 2P d'une jeune femme aux goûts affirmés
Lire Plus
Avant/Après
Avant/Après : 17 m2 idéalement agencés pour 4, record à battre !
Par Agnès Carpentier
Deux chambres de bonne parisiennes métamorphosées en une délicieuse cabane pour 4 taillée pour le quotidien. Bluffant !
Lire Plus
Très bien optimisé pour ce petit espace toujours un peu tarabiscoté sous les combles à Paris.
Tout à fait d’accord avec NOb Pub sur la cuisine: c’est vraiment dommage de ne pas avoir utilisé le mur en longueur face aux fenêtres, il semble y avoir moyen d’y mettre encore (au moins) un ou deux éléments bas (et sur le mur). J’espère qu’au fil de temps, les propriétaires s’en sont rendus compte et que c’est déjà réglé!
Bonjour Stéphanie Bertina Minel, belle réalisation!
Quelle entreprise CTBA+ avez-vous fait intervenir ?
Merci d'avance