Conseils de pro : Comment choisir son four ?
Connaissez-vous réellement les progrès qui ont été faits en matière de fours ? Une professionnelle du secteur fait le point
Agnès Carpentier
25 juin 2016
Contributrice HOUZZ. Journaliste.
« On ne change pas son four tous les jours et, quand le remplacement se profile, on est souvent dans le noir… La plupart des points de vente ne proposent pas d’appareil en fonctionnement, difficile de se faire une idée… », concède Blandine Got, directrice marketing Siemens Électroménager. Les fours ont néanmoins beaucoup progressé depuis la traditionnelle gazinière – qui équipe encore 40 % des Français – et leur lot de nouveautés est appréciable pour mieux cuisiner, faciliter leur nettoyage ou encore augmenter notre sécurité. Blandine Got a bien voulu nous aider à y voir plus clair sur cet équipement assez onéreux et pas si simple à choisir.
1. Les grandes tendances
« Les fours à gaz ont quasiment disparu du marché », affirme Blandine Got. « Les équipements sur lesquels portent aujourd’hui les innovations sont essentiellement les fours électriques encastrables. » Depuis la vogue de la cuisine ouverte, il est dans l’air du temps de remplacer sa gazinière en pose libre par un four et une table de cuisson encastrés dans un meuble de cuisine, bien plus esthétiques. Dans ce cas, les Français optent majoritairement pour un four de 60 x 60 centimètres. Quant aux types de fours électriques, ils sont bien plus nombreux qu’on pourrait le penser et quelques innovations pourraient même nous changer la vie !
« Les fours à gaz ont quasiment disparu du marché », affirme Blandine Got. « Les équipements sur lesquels portent aujourd’hui les innovations sont essentiellement les fours électriques encastrables. » Depuis la vogue de la cuisine ouverte, il est dans l’air du temps de remplacer sa gazinière en pose libre par un four et une table de cuisson encastrés dans un meuble de cuisine, bien plus esthétiques. Dans ce cas, les Français optent majoritairement pour un four de 60 x 60 centimètres. Quant aux types de fours électriques, ils sont bien plus nombreux qu’on pourrait le penser et quelques innovations pourraient même nous changer la vie !
2. Les différents types de fours
Il existe quatre grandes familles de fours, explique Blandine :
Il existe quatre grandes familles de fours, explique Blandine :
- Les fours à cuisson conventionnelle : on regroupe ainsi les fours à convection naturelle – dont disposent traditionnellement les gazinières – qui chauffent en haut et/ou en bas et les fours à chaleur tournante où l’air pulsé répartit la chaleur de façon homogène dans la cavité.
- Les fours à micro-ondes : ils ne sont pas là pour cuire mais pour réchauffer et certains sont doublés d’un grill pour gratiner. 87 % de la population française en est équipée (étude Sofres 2013).
- Les combinés micro-ondes : aujourd’hui proposés dans la taille d’un four « normal », les combinés micro-ondes peuvent allier la performance d’un four à chaleur tournante et d’un micro-ondes.
- Les fours vapeur sont encore bien mal connus. Ils ne se contentent pas de faire de la cuisine diététique, comme on l’entend souvent, et peuvent même être combinés à d’autres types de cuissons.
3. Convection naturelle, chaleur brassée ou chaleur tournante ?
« La chaleur tournante (que l’on appelle aussi air pulsé) apporte un vrai plus en termes de cuisson », affirme Blandine Got. Ne la confondez pas avec la chaleur brassée, une amélioration de la convection naturelle. Comme la chaleur tournante, elle permet une cuisson un peu plus rapide et le mélange des plats sucrés et salés dans la même cavité. Mais c’est sur le préchauffage que la différence se creuse : quasiment pas de préchauffage pour la chaleur tournante, contre 20 minutes pour monter à 200° pour un four à convection naturelle ou à chaleur brassée.
Le gros des ventes concerne la taille standard 60 x 60, mais il existe aussi des fours aux dimensions réduites en hauteur (38 et 45 centimètres) quand la place fait défaut ou encore en grande largeur (90 centimètres).
« La chaleur tournante (que l’on appelle aussi air pulsé) apporte un vrai plus en termes de cuisson », affirme Blandine Got. Ne la confondez pas avec la chaleur brassée, une amélioration de la convection naturelle. Comme la chaleur tournante, elle permet une cuisson un peu plus rapide et le mélange des plats sucrés et salés dans la même cavité. Mais c’est sur le préchauffage que la différence se creuse : quasiment pas de préchauffage pour la chaleur tournante, contre 20 minutes pour monter à 200° pour un four à convection naturelle ou à chaleur brassée.
Le gros des ventes concerne la taille standard 60 x 60, mais il existe aussi des fours aux dimensions réduites en hauteur (38 et 45 centimètres) quand la place fait défaut ou encore en grande largeur (90 centimètres).
4. Les nouveaux micro-ondes
Le micro-ondes, dans sa version de base ou combiné à un grill, équipe presque neuf foyers sur dix. Il est largement plébiscité pour le réchauffage rapide des aliments, dont le principe (l’agitation des molécules d’eau au moyen d’ondes électromagnétiques) a néanmoins ses détracteurs.
Le combiné micro-ondes encastrable, récemment proposé dans le format d’un four « normal » allie les ondes à la chaleur tournante : « Ce four est un gain de temps incroyable. Il permet de cuire aussi bien qu’un four chaleur tournante avec un gain de temps de presque 50 %. Un poulet rôtit en 30 minutes, 15 pour un poisson, 20 pour des pommes de terre ! », détaille Blandine.
Mais elle s’enthousiasme encore davantage pour le plus récent de tous, le combiné micro-ondes avec apport de vapeur, un véritable trois-en-un : « J’ai opté pour une valeur sûre quand je suis arrivée chez Siemens : un four chaleur tournante avec pyrolyse. Maintenant que je connais bien le marché, je regrette de ne pas avoir acheté celui-ci car il permet de cuisiner à l’infini en un minimum de temps. »
Le micro-ondes, dans sa version de base ou combiné à un grill, équipe presque neuf foyers sur dix. Il est largement plébiscité pour le réchauffage rapide des aliments, dont le principe (l’agitation des molécules d’eau au moyen d’ondes électromagnétiques) a néanmoins ses détracteurs.
Le combiné micro-ondes encastrable, récemment proposé dans le format d’un four « normal » allie les ondes à la chaleur tournante : « Ce four est un gain de temps incroyable. Il permet de cuire aussi bien qu’un four chaleur tournante avec un gain de temps de presque 50 %. Un poulet rôtit en 30 minutes, 15 pour un poisson, 20 pour des pommes de terre ! », détaille Blandine.
Mais elle s’enthousiasme encore davantage pour le plus récent de tous, le combiné micro-ondes avec apport de vapeur, un véritable trois-en-un : « J’ai opté pour une valeur sûre quand je suis arrivée chez Siemens : un four chaleur tournante avec pyrolyse. Maintenant que je connais bien le marché, je regrette de ne pas avoir acheté celui-ci car il permet de cuisiner à l’infini en un minimum de temps. »
5. Le four vapeur
Autre innovation récente, les fours vapeur. Les modèles dits « basse pression » fonctionnent au moyen d’une cassette à remplir d’eau et diffusent de la vapeur de 30 à 100° dans la cavité que l’on peut ouvrir en cours de cuisson. Cette cuisson sans matière grasse leur vaut la palme des légumes croquants et de la cuisine diététique, mais « ils peinent à faire des adeptes car ils ne sont pas associés à une cuisson gourmande », explique Blandine. Selon elle, on méconnaît toutes leurs fonctionnalités. « Ils savent réchauffer les plats sans les rendre caoutchouteux. Ça va un peu moins vite qu’au micro-ondes, mais le plat de la veille semble du jour. Ils font lever le pain maison, régénèrent le pain de la veille et font des merveilles sur la cuisson du poisson, comme les Saint-Jacques. Les seuls inconvénients sont le prix et le coup d’éponge à passer sur la cavité après chaque cuisson. »
Ces fours vapeur sont donc la bonne solution pour tous ceux qui redoutent le micro-ondes mais qui souhaitent réchauffer leurs plats plus vite qu’avec un four traditionnel, avec une préservation des textures et des saveurs.
Autre innovation récente, les fours vapeur. Les modèles dits « basse pression » fonctionnent au moyen d’une cassette à remplir d’eau et diffusent de la vapeur de 30 à 100° dans la cavité que l’on peut ouvrir en cours de cuisson. Cette cuisson sans matière grasse leur vaut la palme des légumes croquants et de la cuisine diététique, mais « ils peinent à faire des adeptes car ils ne sont pas associés à une cuisson gourmande », explique Blandine. Selon elle, on méconnaît toutes leurs fonctionnalités. « Ils savent réchauffer les plats sans les rendre caoutchouteux. Ça va un peu moins vite qu’au micro-ondes, mais le plat de la veille semble du jour. Ils font lever le pain maison, régénèrent le pain de la veille et font des merveilles sur la cuisson du poisson, comme les Saint-Jacques. Les seuls inconvénients sont le prix et le coup d’éponge à passer sur la cavité après chaque cuisson. »
Ces fours vapeur sont donc la bonne solution pour tous ceux qui redoutent le micro-ondes mais qui souhaitent réchauffer leurs plats plus vite qu’avec un four traditionnel, avec une préservation des textures et des saveurs.
À savoir : Les fours vapeur dits « sous pression » sont dérivés du monde professionnel. Branchés sur une arrivée d’eau, ils montent en pression comme un autocuiseur avec une diffusion de vapeur de 100 à 120°. À la clé, une cuisson 50 % plus rapide et des vitamines préservées, mais le prix (plus de 4 000 euros) reste exorbitant…
6. Quelques nouvelles fonctions à adopter
- S’il n’y a qu’une des nouvelles fonctions à retenir, c’est bien la « porte froide ». Impossible de se brûler sur la porte du four pendant qu’il est en fonctionnement grâce à ces nouvelles portes avec « quatre épaisseurs de vitre et une aération entre elles ».
- En matière de cuisson, fin du réglage du temps et de la chaleur et place aux programmes ! On désigne ainsi des types de cuisson préenregistrée, de véritables assistants culinaires. On les obtient par un bandeau tactile simple à comprendre : on détermine un plat (gratin, quiche, gâteau…) ou une viande et son poids, et le four va adapter tout seul la chaleur et la durée. Pour Blandine Got, pas de doute : « C’est réellement efficace ! Il y a 68 cuissons préenregistrées dans les fours Siemens par exemple. Si vous passez un peu de temps à les découvrir au début pour bien prendre en main votre four, cela vous simplifiera vraiment la vie. »
- Quant à la sonde, « c’est l’outil des cuisiniers professionnels enfin accessible au grand public. Avec elle, impossible de rater la cuisson d’un rôti, d’un poulet… », ajoute-t-elle. La sonde enfoncée dans la viande interagit avec le menu du four. Il vous suffit d’indiquer de quel type il s’agit et quelle cuisson vous souhaitez. Dès que la température est atteinte au cœur de la viande, le four se coupe de lui-même. Terminé les rôtis de bœuf trop cuits ! Vous pouvez aller prendre tranquillement l’apéro avec les invités sans surveiller votre dîner comme le lait sur le feu. La sonde permet également de gérer une cuisson basse température (en dessous de 100°), un mode de cuisson prisé des chefs et qui permet de garder tout le moelleux d’un gigot, d’un foie gras…
- Derniers nés, les « fours connectés ». Reliés en wi-fi à votre réseau domestique, ils peuvent être pilotés depuis votre smartphone. Pour quoi faire, me direz-vous ? « Le four peut être démarré et arrêté à distance. Par exemple si vous avez vos enfants seuls à la maison et que vous ne pouvez pas rentrer à midi. Par ailleurs, une application vous donne accès à des recettes dont les cuissons sont déjà paramétrées dans le four. Enfin, pour répondre à l’une des principales attentes des clients en matière d’électroménager (récente étude Gifam), ces fours peuvent recevoir un SAV à distance en cas de dysfonctionnement. »
7. Quel nettoyage pour mon four ?
« Ne choisissez pas votre four sans opter pour son mode de nettoyage », insiste Blandine. «Le nettoyage manuel est fastidieux. L’hydrolyse permet un nettoyage économique et écologique, mais il faut la pratiquer après chaque cuisson. La catalyse ou la pyrolyse sont les plus connues. Le système EcoClean est une solution intermédiaire. »
« Ne choisissez pas votre four sans opter pour son mode de nettoyage », insiste Blandine. «Le nettoyage manuel est fastidieux. L’hydrolyse permet un nettoyage économique et écologique, mais il faut la pratiquer après chaque cuisson. La catalyse ou la pyrolyse sont les plus connues. Le système EcoClean est une solution intermédiaire. »
- En ce qui concerne les fours à catalyse, « les parois latérales et parfois le fond sont recouverts d’une matière poreuse qui, à partir de 180°, oxyde les graisses projetées dessus. Attention, la catalyse n’a aucun effet sur les projections de sucre et ces parois ont une durée de vie d’environ cinq ans. »
- « Le système EcoCleanrepose sur le même principe d’oxydoréduction que la catalyse mais nécessite une température de 270 °C. Ce système est inaltérable mais n’est efficace que sur les salissures grasses et non sucrées », détaille Blandine.
- La pyrolyse : C’est un programme actionné par l’utilisateur de temps à autre. Une montée en température jusqu’à 500° pendant au moins une heure carbonise toutes les salissures grasses et sucrées projetées sur les parois de la cavité. Dès 300°, la porte se verrouille et on trouve la plupart du temps une porte froide. « En France, la pyrolyse équipe 70 % des fours de 60 x 60 centimètres, ce qui est une exception en Europe », révèle Blandine Got. Un phénomène qui s’expliquerait par le fait qu’en France, on cuit plus chaud et moins longtemps que dans certains pays comme l’Allemagne et que les projections de graisse et sucre sont donc plus importantes.
8. Quel four à quelle place ?
Traditionnellement, on place le four sous le plan de travail, juste en dessous du plan de cuisson, une habitude héritée de la morphologie des gazinières. Il est également possible de le placer dans une colonne en hauteur pour garder le plat en train de cuire juste à la hauteur des yeux. « Dans une colonne, préférez les portes abattantes classiques (à gauche sur la photo) ou la porte à ouverture latérale », explique Blandine. « La porte tiroir (au centre) est adaptée à la position sous le plan de travail. Elle facilite la prise des plats brûlants. » Le dernier type d’ouverture, peut-être le plus ergonomique de tous, est déposé par la marque Neff. Avec le système Slide and Hide, la porte du four disparaît intégralement, s’escamotant dans la paroi inférieure de la cavité.
Traditionnellement, on place le four sous le plan de travail, juste en dessous du plan de cuisson, une habitude héritée de la morphologie des gazinières. Il est également possible de le placer dans une colonne en hauteur pour garder le plat en train de cuire juste à la hauteur des yeux. « Dans une colonne, préférez les portes abattantes classiques (à gauche sur la photo) ou la porte à ouverture latérale », explique Blandine. « La porte tiroir (au centre) est adaptée à la position sous le plan de travail. Elle facilite la prise des plats brûlants. » Le dernier type d’ouverture, peut-être le plus ergonomique de tous, est déposé par la marque Neff. Avec le système Slide and Hide, la porte du four disparaît intégralement, s’escamotant dans la paroi inférieure de la cavité.
9. Sur quels critères baser son choix ?
Selon Blandine, trois critères sont essentiels quand il est temps de faire le choix d’un four :
En ce qui concerne les classes énergétiques des fours, que vous trouverez bien en vue sur les étiquettes au moment de votre achat, Blandine affirme que cette donnée est moins importante pour un four que pour un réfrigérateur par exemple : « La plupart des fours commercialisés affichent des performances classées A et le four est loin de tourner en permanence comme un réfrigérateur… »
Selon Blandine, trois critères sont essentiels quand il est temps de faire le choix d’un four :
- le design (taille et aspect) ;
- le nettoyage ;
- la polyvalence.
En ce qui concerne les classes énergétiques des fours, que vous trouverez bien en vue sur les étiquettes au moment de votre achat, Blandine affirme que cette donnée est moins importante pour un four que pour un réfrigérateur par exemple : « La plupart des fours commercialisés affichent des performances classées A et le four est loin de tourner en permanence comme un réfrigérateur… »
10. Quel budget pour quel four ?
Nous avons voulu en savoir plus sur les prix des fours encastrés électriques dont nous a parlé Blandine Got. Les prix sont indicatifs.
Fours traditionnels et multifonctions (60 x 60)
nettoyage catalyse : dès 200 euros
nettoyage pyrolyse : dès 300 euros
porte froide, pyrolyse, programmes et sonde : dès 700 euros
ET VOUS ?
Comment avez-vous choisi votre four ?
Lire aussi :
10 questions essentielles à se poser avant d’acheter un lave-vaisselle
Comment choisir son évier de cuisine
Comment choisir son réfrigérateur ?
Découvrez d’autres façons d’accessoiriser votre cuisine
Nous avons voulu en savoir plus sur les prix des fours encastrés électriques dont nous a parlé Blandine Got. Les prix sont indicatifs.
Fours traditionnels et multifonctions (60 x 60)
- convection naturelle
nettoyage catalyse : dès 200 euros
- chaleur brassée
nettoyage pyrolyse : dès 300 euros
- chaleur tournante ou pulsée
porte froide, pyrolyse, programmes et sonde : dès 700 euros
- four chaleur tournante avec fonction vapeur : dès 650 euros
- four connecté : dès 1 400 euros
- four chaleur tournante, micro-ondes (VarioSpeed), vapeur (PureSteam) : 2 300 euros
- micro-ondes encastrable 20 litres : dès 250 euros
- micro-ondes grill encastrable 23 litres : dès 300 euros
- micro-ondes combiné chaleur pulsée ou tournante encastrable 25 litres : dès 400 euros
- micro-ondes vapeur encastrable 22 litres : dès 350 euros
- four vapeur basse pression encastrable 45 centimètres : dès 700 euros
- four vapeur haute pression encastrable : dès 4 200 euros
ET VOUS ?
Comment avez-vous choisi votre four ?
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Bonjour a tous
J ai un four built in
Donc se trouvant incorpore dans mes armoires de cuisine
Et a chaque utilisation du four je trouve de l eau dans le tiroir se trouvant en dessous du four et des coullures
Le fabricant et le cuisiniste disent que maintenant les fours ayant une aeration de face ceci explique cela
Mais moi cela m inquiete pour mes tiroirs se trouvant en dessous du four et comment eviter d avoir a toujours mettre une serviette sur la tranche du tiroir ?
Cela n est pas joli et il doit exister une solution. Non ?
Merci de votre aide
Lynda
Bonjour lyndachemouny,
Nous sommes désolés pour le dysfonctionnement que vous
semblez rencontrer avec votre four. Pouvez-vous nous transmettre vos coordonnées complètes sur notre adresse mail serviceconsommateur.fr@siemens-home.bsh-group.com afin qu’un conseiller du service consommateur
puisse vous rappeler ( indiquez en objet : Four Houzz).
A bientôt,
L'équipe Siemens.