Conseils de pro pour photographier les fenêtres
L'occasion est trop belle de saisir les vues magnifiques qu'offrent portes vitrées et fenêtres en tout genre
Qui n’a pas essayé de retenir une splendide vue sur un jardin ou une montagne joliment cadrés par une fenêtre plongée dans l’obscurité de la pièce ? Malheureusement, l’expérience se révèle souvent frustrante pour diverses raisons. Voici comment vous préparer aux sujets les plus ambitieux et enfin ravir le propriétaire des lieux qui n’attendait que votre regard avisé !
Asymétrique
Lorsqu’il s’agit de restituer à la fois la lumière extérieure du jardin et la lumière intérieure de la pièce, les choses se compliquent un petit peu. Le premier réflexe, c’est de vérifier que votre cadrage contient bien l’intégralité de la fenêtre. Ensuite, cherchez à vous situer un peu en décalé par rapport à la lumière. Si vous vous trouvez dans l’axe direct des rayons de lumière, vous risquez un contre-jour fatal pour votre image. Le pire dans ce type d’image, c’est le « fromage blanc », comme disent les photographes, c’est-à-dire du blanc sur toute la partie vitrée. Dans cette image, seul le ciel (qui de toute façon ne devait pas être bleu) souffre de ce défaut. Le photographe a pourtant veillé autant que possible à placer le jardin comme sujet principal. Il a donc pris la précaution de trouver un point de vue excluant autant que possible le ciel dans son cadrage, tout en conservant assez de lumière pour éclairer la pièce à l’intérieur.
Lorsqu’il s’agit de restituer à la fois la lumière extérieure du jardin et la lumière intérieure de la pièce, les choses se compliquent un petit peu. Le premier réflexe, c’est de vérifier que votre cadrage contient bien l’intégralité de la fenêtre. Ensuite, cherchez à vous situer un peu en décalé par rapport à la lumière. Si vous vous trouvez dans l’axe direct des rayons de lumière, vous risquez un contre-jour fatal pour votre image. Le pire dans ce type d’image, c’est le « fromage blanc », comme disent les photographes, c’est-à-dire du blanc sur toute la partie vitrée. Dans cette image, seul le ciel (qui de toute façon ne devait pas être bleu) souffre de ce défaut. Le photographe a pourtant veillé autant que possible à placer le jardin comme sujet principal. Il a donc pris la précaution de trouver un point de vue excluant autant que possible le ciel dans son cadrage, tout en conservant assez de lumière pour éclairer la pièce à l’intérieur.
Panoramique
Le danger pour toutes les images dans ce type de configuration, c’est la gestion de la lumière. Étant forcément à contre-jour lorsque vous photographiez une ouverture sur l’extérieur, la contrainte est toujours compliquée à résoudre, même pour des photographes aguerris. Dans cet exemple spectaculaire, la lumière a été respectée sur les trois sujets de l’image. Le premier plan, la table basse et le tapis, décor minimal dans cette pièce ouverte sur la montagne, sont suffisament éclairés pour restituer l’ambiance douce du lieu apaisant. Le personnage est lui-même éclairé par la lumière naturelle émanant du paysage. En s’asseyant à la hauteur de la fenêtre, le photographe évite les nuisances du contre-jour tout en profitant de la lumière extérieure.
Contre-jour : Par définition, c’est votre position en face de la lumière directe qui empêche votre appareil de restituer la lumière sur votre sujet puisqu’il est éclairé par l’arrière. Ceci étant, l’effet « ombre chinoise » transforme votre image en lui offrant un contraste très appréciable, surtout pour les couchers de soleil.
Le danger pour toutes les images dans ce type de configuration, c’est la gestion de la lumière. Étant forcément à contre-jour lorsque vous photographiez une ouverture sur l’extérieur, la contrainte est toujours compliquée à résoudre, même pour des photographes aguerris. Dans cet exemple spectaculaire, la lumière a été respectée sur les trois sujets de l’image. Le premier plan, la table basse et le tapis, décor minimal dans cette pièce ouverte sur la montagne, sont suffisament éclairés pour restituer l’ambiance douce du lieu apaisant. Le personnage est lui-même éclairé par la lumière naturelle émanant du paysage. En s’asseyant à la hauteur de la fenêtre, le photographe évite les nuisances du contre-jour tout en profitant de la lumière extérieure.
Contre-jour : Par définition, c’est votre position en face de la lumière directe qui empêche votre appareil de restituer la lumière sur votre sujet puisqu’il est éclairé par l’arrière. Ceci étant, l’effet « ombre chinoise » transforme votre image en lui offrant un contraste très appréciable, surtout pour les couchers de soleil.
Forcer le flash
Dans certains cas, il vous faudra user de moyens un peu plus rusés pour éviter les inconvénients du contre-jour. Ici, le propos est certainement de montrer la vue, mais aussi d’illustrer le bonheur de travailler devant ce bureau. Le photographe a opté pour une prise de vue légèrement en plongée, de façon à laisser à l’assise de la chaise où est posé le livre la faveur du premier plan. Son message porte puisque nous nous voyons immédiatement assis devant le bureau. Pour éclairer suffisamment la pièce, presque autant que l’extérieur en fait, le photographe a eu recours au flash. Un coup de flash au bon moment, c’est l’aide idéale pour allumer la pièce alors que vous êtes en face de la lumière. D’autant que cette lumière « violente » découpe les objets, comme la chaise ici, de façon saisissante.
Astuce de pro : L’option « Flash forcé » est disponible sur tous les appareils. Cette fonction permet d’employer le flash même lorsque la cellule de l’appareil est en présence d’une lumière intense, comme devant une fenêtre. La lumière ponctuelle du flash permet de donner un coup de « boost » à la pièce, alors que vous vous occupez de mesurer la lumière sur la vue.
Dans certains cas, il vous faudra user de moyens un peu plus rusés pour éviter les inconvénients du contre-jour. Ici, le propos est certainement de montrer la vue, mais aussi d’illustrer le bonheur de travailler devant ce bureau. Le photographe a opté pour une prise de vue légèrement en plongée, de façon à laisser à l’assise de la chaise où est posé le livre la faveur du premier plan. Son message porte puisque nous nous voyons immédiatement assis devant le bureau. Pour éclairer suffisamment la pièce, presque autant que l’extérieur en fait, le photographe a eu recours au flash. Un coup de flash au bon moment, c’est l’aide idéale pour allumer la pièce alors que vous êtes en face de la lumière. D’autant que cette lumière « violente » découpe les objets, comme la chaise ici, de façon saisissante.
Astuce de pro : L’option « Flash forcé » est disponible sur tous les appareils. Cette fonction permet d’employer le flash même lorsque la cellule de l’appareil est en présence d’une lumière intense, comme devant une fenêtre. La lumière ponctuelle du flash permet de donner un coup de « boost » à la pièce, alors que vous vous occupez de mesurer la lumière sur la vue.
Transparence
Les fenêtres sont aussi synonymes de transparence, alors pourquoi ne pas en jouer ? Le problème dans ce type de contexte, c’est que vous devez restituer l’ambiance lumineuse des deux atmosphères, devant et derrière la vitre. Pas de panique ! Imaginez votre image et faites confiance à la mesure automatique de votre appareil. La technique est simple : vous visez le sujet principal de votre scène, ici l’enfant. Vous appuyez à mi-course sur le déclencheur pour faire la mise au point et prendre la mesure de la lumière. Sans relâcher le déclencheur, vous appuyez en même temps sur le bouton de mémorisation d’exposition. Ensuite, il ne reste plus qu’à cadrer votre image comme vous le souhaitez, en vous éloignant un peu si besoin pour bien contenir toute la fenêtre, et vous déclenchez. Peu importe ce qui se passe autour, vous avez réussi à garder toute la transparence de la fenêtre et votre sujet est bien éclairé.
Bouton mémorisation de l’exposition automatique : Chaque fois que vous voulez conserver une mesure d’exposition pour toute votre image et être certain que votre sujet est éclairé correctement, pensez à mémoriser les réglages que vous aurez effectués sur votre sujet principal. Ensuite, cadrez l’image comme vous le souhaitez et déclenchez.
Les fenêtres sont aussi synonymes de transparence, alors pourquoi ne pas en jouer ? Le problème dans ce type de contexte, c’est que vous devez restituer l’ambiance lumineuse des deux atmosphères, devant et derrière la vitre. Pas de panique ! Imaginez votre image et faites confiance à la mesure automatique de votre appareil. La technique est simple : vous visez le sujet principal de votre scène, ici l’enfant. Vous appuyez à mi-course sur le déclencheur pour faire la mise au point et prendre la mesure de la lumière. Sans relâcher le déclencheur, vous appuyez en même temps sur le bouton de mémorisation d’exposition. Ensuite, il ne reste plus qu’à cadrer votre image comme vous le souhaitez, en vous éloignant un peu si besoin pour bien contenir toute la fenêtre, et vous déclenchez. Peu importe ce qui se passe autour, vous avez réussi à garder toute la transparence de la fenêtre et votre sujet est bien éclairé.
Bouton mémorisation de l’exposition automatique : Chaque fois que vous voulez conserver une mesure d’exposition pour toute votre image et être certain que votre sujet est éclairé correctement, pensez à mémoriser les réglages que vous aurez effectués sur votre sujet principal. Ensuite, cadrez l’image comme vous le souhaitez et déclenchez.
Précision
Cet exemple est particulièrement intéressant, même si je ne vous souhaite pas de vous trouver dans une situation aussi embarrassante. Première évidence, le trépied. Impossible de se caler avec autant de précision dans un axe sans vous délester du problème de cadrage. Une fois que vous avez décidé du format vertical, car il convient pour situer votre sujet en plein centre, veillez à vous placer de façon à contenir tout ce qui vous intéresse, du sol au plafond. L’équilibre de l’image est aussi dû au fait que rien n’est « coupé », tout est entier, comme notre perception du lieu. Reste le problème de la lumière, ciselée, qui n’empêche même pas de briller les jolies étoiles générées par les ampoules du lustre.
Astuce de pro : En fait, une fois sur le trépied, votre appareil peut prendre plusieurs images parfaitement similaires. La solution, c’est alors d’en profiter pour prendre des images avec des mesures légèrement différentes, et de choisir parmi toutes celles que vous réalisez en fermant peu à peu le diaphragme. Commencez par une image « étalon » que vous définirez sur l’écran de votre appareil et continuez les prises de vue en variant les réglages.
Cet exemple est particulièrement intéressant, même si je ne vous souhaite pas de vous trouver dans une situation aussi embarrassante. Première évidence, le trépied. Impossible de se caler avec autant de précision dans un axe sans vous délester du problème de cadrage. Une fois que vous avez décidé du format vertical, car il convient pour situer votre sujet en plein centre, veillez à vous placer de façon à contenir tout ce qui vous intéresse, du sol au plafond. L’équilibre de l’image est aussi dû au fait que rien n’est « coupé », tout est entier, comme notre perception du lieu. Reste le problème de la lumière, ciselée, qui n’empêche même pas de briller les jolies étoiles générées par les ampoules du lustre.
Astuce de pro : En fait, une fois sur le trépied, votre appareil peut prendre plusieurs images parfaitement similaires. La solution, c’est alors d’en profiter pour prendre des images avec des mesures légèrement différentes, et de choisir parmi toutes celles que vous réalisez en fermant peu à peu le diaphragme. Commencez par une image « étalon » que vous définirez sur l’écran de votre appareil et continuez les prises de vue en variant les réglages.
Comme un tableau
La fenêtre est avant tout un cadre naturel formidable. Si vous avez envie de profiter de ses formes, de ses contours ou de ses dimensions, soignez particulièrement la composition. Deux écueils sont à prévoir. Vous devez en effet penser à la fois la composition de l’image dans son ensemble, mais aussi la composition de l’image dans la fenêtre ! Et là, c’est beaucoup plus palpitant. Dans cette image par exemple, le photographe s’est placé au niveau de l’horizon. La verticalité est « cassée » par la fenêtre carrée qui envahit l’image. La profondeur de cette dernière est renforcée par les plans successifs de lecture. L’œil circule ainsi : le tabouret, qui semble au centre, renvoie sur le coin du lit qui rebondit sur le fauteuil ; soudain, on s’aperçoit qu’il y a une table et l’œil passe des tulipes au pied rond de la lampe et là, hop, grand saut, on part dans la ville en passant par la fenêtre. La verticalité des bords de la fenêtre s’accordent parfaitement avec celle des tours, tandis que les rideaux tracent les dernières verticales… Impeccable.
La fenêtre est avant tout un cadre naturel formidable. Si vous avez envie de profiter de ses formes, de ses contours ou de ses dimensions, soignez particulièrement la composition. Deux écueils sont à prévoir. Vous devez en effet penser à la fois la composition de l’image dans son ensemble, mais aussi la composition de l’image dans la fenêtre ! Et là, c’est beaucoup plus palpitant. Dans cette image par exemple, le photographe s’est placé au niveau de l’horizon. La verticalité est « cassée » par la fenêtre carrée qui envahit l’image. La profondeur de cette dernière est renforcée par les plans successifs de lecture. L’œil circule ainsi : le tabouret, qui semble au centre, renvoie sur le coin du lit qui rebondit sur le fauteuil ; soudain, on s’aperçoit qu’il y a une table et l’œil passe des tulipes au pied rond de la lampe et là, hop, grand saut, on part dans la ville en passant par la fenêtre. La verticalité des bords de la fenêtre s’accordent parfaitement avec celle des tours, tandis que les rideaux tracent les dernières verticales… Impeccable.
Tester et fusionner
Parfois, il arrive que la scène présente tellement de configurations lumineuses variées qu’il est quasiment impossible de parer à toutes les problématiques. Dans tous les cas, rien ne doit vous empêcher de prendre une photo. Vous devez toujours insister. Tous les appareils proposent un écran, alors n’hésitez pas à l’employer pour tester toutes les solutions. Pour commencer, placez-vous. Ici, en se situant entre deux espaces, face au jardin, le photographe a laissé un tiers du bas de l’image entièrement dédié à l’intérieur. Judicieux cadrage qui oblige à contrôler la lumière de toute part. Ayez donc recours à tout ce que vous savez : trépied pour réaliser plusieurs images dans des expositions différentes, aide du flash pour éclairer l’intérieur, mémoriser l’exposition prise sur le jardin pour la conserver ensuite sur toute l’image… Testez tout.
Secret de pro : La technique utilisée par les pros consistent à réaliser deux à plusieurs images à différentes expositions de façon à obtenir toute la gamme des hautes et basses lumières. Ensuite, ils fusionnent les images grâce à un logiciel spécifique. De la triche, quoi !
Parfois, il arrive que la scène présente tellement de configurations lumineuses variées qu’il est quasiment impossible de parer à toutes les problématiques. Dans tous les cas, rien ne doit vous empêcher de prendre une photo. Vous devez toujours insister. Tous les appareils proposent un écran, alors n’hésitez pas à l’employer pour tester toutes les solutions. Pour commencer, placez-vous. Ici, en se situant entre deux espaces, face au jardin, le photographe a laissé un tiers du bas de l’image entièrement dédié à l’intérieur. Judicieux cadrage qui oblige à contrôler la lumière de toute part. Ayez donc recours à tout ce que vous savez : trépied pour réaliser plusieurs images dans des expositions différentes, aide du flash pour éclairer l’intérieur, mémoriser l’exposition prise sur le jardin pour la conserver ensuite sur toute l’image… Testez tout.
Secret de pro : La technique utilisée par les pros consistent à réaliser deux à plusieurs images à différentes expositions de façon à obtenir toute la gamme des hautes et basses lumières. Ensuite, ils fusionnent les images grâce à un logiciel spécifique. De la triche, quoi !
Trop parfait pour être vrai
Il y a enfin ces images sublimes qui sidèrent même les photographes. Celle-ci est surprenante et pousse à s’interroger sur la façon dont elle a été réalisée. Cadrage parfait, les murs blancs faisant office de cadre naturel pour cette « peinture » qui ne demande qu’à trôner dans un musée. Je m’aventure donc à penser soit que la lumière blanche, réfléchissant sur les parois, a permis d’éclairer toute la pièce, soit que l’image a été retouchée en postproduction, ce qui nous soulage un peu aussi, parce que la perfection doit bien avoir une explication ! Ceci étant, aucun photographe pro ne livre une image sans la corriger. C’est aussi toute la différence avec des images « brutes ».
Postproduction : Ce terme englobe tous les traitements et retouches d’images réalisés pour les corriger, les améliorer ou les truquer. Ces outils informatiques sont disponibles sous forme de logiciels spécifiques ou de petits programmes qui font des merveilles.
ET VOUS ?
Êtes-vous parvenus à photographier des fenêtres ? Montrez-nous le résultat et partagez vos astuces dans la partie commentaires ci-dessous !
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Postproduction : Ce terme englobe tous les traitements et retouches d’images réalisés pour les corriger, les améliorer ou les truquer. Ces outils informatiques sont disponibles sous forme de logiciels spécifiques ou de petits programmes qui font des merveilles.
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J’ai réalisé cette image très rapidement, à main levée, alors que nous repérions un endroit pour photographier des mariés dans un champ en contrebas. Comme quoi, il faut toujours tenter sa chance. Les vues par les fenêtres sont parfois si impressionnantes qu’il semble impossible d’en saisir leur beauté. La seule précaution basique qui assure au moins d’obtenir une image correcte, c’est de bien se placer face à la fenêtre. Plus vous vous rapprochez des bords de la fenêtre, plus votre appareil comprend que vous souhaitez retenir l’ambiance lumineuse de l’extérieur. Au moins, bien cadrée, votre image risque fort de vous offrir un rendu du paysage proche de ce que vous voyez.