Découverte Houzz : Laurent Greslin, design et territoire
« Le designer est là pour apporter des solutions. »
Sylvain Reignault
31 octobre 2015
Contributeur Houzz. Journaliste
Après plusieurs échanges de sms, Laurent Greslin nous fixe rendez-vous dans un bar de Montreuil, sa ville. C’est le début de l’après-midi. Dehors, les équipes d’éboueurs en finissent bruyamment avec le nettoyage de la place du marché. D’ailleurs, nous sommes attablés au Bar du marché dont le zinc semble prêt à déballer un paquet d’histoires. Un décor urbain à l’image du personnage, regard clair et sourire canaille, jeune quadra (une estimation, il s’accorde « volontiers » la coquetterie de l’âge) et père de deux enfants. Parce qu’il a déjà beaucoup vu et beaucoup fait, Laurent Greslin nous pose un problème de synthèse. Nous reprendrons donc les mots de ce passionné. Laurent se définit comme un « designer de quartier ».
Après des études plurielles, Laurent Greslin dévore une première vie de designer industriel. Responsable du design industriel pour le groupe SEB dans l’agence Delo Lindo, il décide un jour de quitter sa zone de confort et envoie balader les grille-pain. Nous sommes en 2011, Laurent ouvre son studio de design et crée Z.I. lab (prononcez Zilab), un « atelier de design lié à un réseau d’entreprises allant de la fabrication à la distribution ». Il enseigne dans le même temps à l’École nationale de création industrielle de Paris (Ensci) où travaille avec Jean-François Dingjian. Laurent y enseigne également l’éco conception et les aspects techniques du développement d’un projet. Au travers des étapes qui marqué son parcours, il nous donne quelques idées.
Le jour où… vous avez eu envie d’exercer ce métier
Ça a toujours été en moi. Quand j’étais môme, je faisais des chaises avec des bonbons qui se collent. Mais ça n’avait pas de nom. « Designer », ce n’était pas un mot connu, je me contentais juste de faire des objets. Je fabriquais des chaises, des tables.
Par la suite, cette direction a été le cumul de plusieurs éléments. D’abord, la rencontre avec l’échec scolaire. J’avais une importante dyslexie qui à cette époque n’avait pas été détectée. La question s’est alors posée de trouver un enseignement professionnel. Je voulais dessiner et faire des meubles. J’ai choisi l’ébénisterie.
Ça a toujours été en moi. Quand j’étais môme, je faisais des chaises avec des bonbons qui se collent. Mais ça n’avait pas de nom. « Designer », ce n’était pas un mot connu, je me contentais juste de faire des objets. Je fabriquais des chaises, des tables.
Par la suite, cette direction a été le cumul de plusieurs éléments. D’abord, la rencontre avec l’échec scolaire. J’avais une importante dyslexie qui à cette époque n’avait pas été détectée. La question s’est alors posée de trouver un enseignement professionnel. Je voulais dessiner et faire des meubles. J’ai choisi l’ébénisterie.
Le jour où… vous avez tenté l’école Boulle
J’ai commencé par tenter l’école Boulle. Mon dossier était tellement catastrophique que je n’ai pas passé la première étape. Je me suis retrouvé dans un lycée professionnel à Bagnolet. J’y ai passé mon CAP avec mention, et j’ai présenté mon BMA (bac des métiers d’art) à l’école Boulle. Et j’ai été pris. J’y ai obtenu mon bac métier d’art option ébénisterie, spécialisation vernis au tampon et période Louis XV.
J’ai commencé par tenter l’école Boulle. Mon dossier était tellement catastrophique que je n’ai pas passé la première étape. Je me suis retrouvé dans un lycée professionnel à Bagnolet. J’y ai passé mon CAP avec mention, et j’ai présenté mon BMA (bac des métiers d’art) à l’école Boulle. Et j’ai été pris. J’y ai obtenu mon bac métier d’art option ébénisterie, spécialisation vernis au tampon et période Louis XV.
Le jour où… l’ébénisterie n’a plus suffi
Plus j’avançais, plus je me rendais compte que ce n’était pas le métier que je voulais faire. J’avais compris comment travailler le bois. Ce que je voulais, c’était dessiner des objets. J’avais appris à les fabriquer, pas à les dessiner. Je me suis alors retrouvé dans une situation compliquée. Bac « métier d’art », c’est une fin d’études en soi. J’avais une bonne culture du meuble, mais question littérature, c’était zéro pointé. Pareil, voire pire, pour la peinture. Je suis donc allé à la fac, à Paris VIII où je ne me suis pas inscrit immédiatement. J’avais le sentiment que l’université était une bibliothèque où on lisait les livres à votre place. J’allais voir tout ce qui m’intéressait. À Noël, la moitié des amphis se sont vidés. Je me suis alors inscrit en histoire de l’art et j’ai rattrapé toutes mes UE de retard : j’étais sur la bonne voie.
Plus j’avançais, plus je me rendais compte que ce n’était pas le métier que je voulais faire. J’avais compris comment travailler le bois. Ce que je voulais, c’était dessiner des objets. J’avais appris à les fabriquer, pas à les dessiner. Je me suis alors retrouvé dans une situation compliquée. Bac « métier d’art », c’est une fin d’études en soi. J’avais une bonne culture du meuble, mais question littérature, c’était zéro pointé. Pareil, voire pire, pour la peinture. Je suis donc allé à la fac, à Paris VIII où je ne me suis pas inscrit immédiatement. J’avais le sentiment que l’université était une bibliothèque où on lisait les livres à votre place. J’allais voir tout ce qui m’intéressait. À Noël, la moitié des amphis se sont vidés. Je me suis alors inscrit en histoire de l’art et j’ai rattrapé toutes mes UE de retard : j’étais sur la bonne voie.
Le jour où… vous avez décidé de quitter Paris
Je suis un Parisien de la sixième génération… Mais après la fac, le moment était venu pour moi de quitter la capitale. Je me suis intéressé à l’ESAD de Reims, très dynamique. Une nouvelle équipe venait de se mettre en place autour d’un nouveau directeur. Il y avait des enseignants comme Mathilde Bretillo, Pierre Charpin. Ce sont devenus des références par la suite, mais à l’époque, ils étaient encore pour la plupart inconnus du grand public.
Je suis un Parisien de la sixième génération… Mais après la fac, le moment était venu pour moi de quitter la capitale. Je me suis intéressé à l’ESAD de Reims, très dynamique. Une nouvelle équipe venait de se mettre en place autour d’un nouveau directeur. Il y avait des enseignants comme Mathilde Bretillo, Pierre Charpin. Ce sont devenus des références par la suite, mais à l’époque, ils étaient encore pour la plupart inconnus du grand public.
Le jour où… vous avez découvert le travail du fer
Je suis arrivé à Reims en début d’été. Il y avait un chantier qui démarrait à côté de la cathédrale. Des hommes faisaient de la ferronnerie, tapaient le métal. Comme je n’avais rien à faire en juillet, je me suis proposé comme homme à tout faire, gratuitement, et ils ont accepté. Je portais les lourdes charges. Le soir, petit à petit, j’apprenais des choses à la forge. C’est là que j’ai découvert les arts du feu et réalisé que j’adorais ça.
J’ai alors construit une forge. Elle fonctionnait avec un petit moteur et faisait envie même au plus exigeant des métallos. Sur les trois années de cursus, j’ai passé un an dans cette école à taper tout en continuant sur le chantier. J’ai passé un diplôme consacré entièrement au métal. Ce fut une merveilleuse expérience.
Je suis arrivé à Reims en début d’été. Il y avait un chantier qui démarrait à côté de la cathédrale. Des hommes faisaient de la ferronnerie, tapaient le métal. Comme je n’avais rien à faire en juillet, je me suis proposé comme homme à tout faire, gratuitement, et ils ont accepté. Je portais les lourdes charges. Le soir, petit à petit, j’apprenais des choses à la forge. C’est là que j’ai découvert les arts du feu et réalisé que j’adorais ça.
J’ai alors construit une forge. Elle fonctionnait avec un petit moteur et faisait envie même au plus exigeant des métallos. Sur les trois années de cursus, j’ai passé un an dans cette école à taper tout en continuant sur le chantier. J’ai passé un diplôme consacré entièrement au métal. Ce fut une merveilleuse expérience.
Le jour où… vous vous êtes lancé dans le design industriel
Après mon master, j’ai commencé à faire des stages, à bosser les week-ends dans différentes agences. L’une en particulier, qui venait d’avoir un contrat avec l’industrie, m’a énormément intéressé : c’était la seule chose que je n’avais pas apprise. J’étais critique envers l’industrie car je rêvais d’une liberté que, d’après moi, elle ne pouvait pas m’apporter. J’ai quand même voulu m’en faire une idée, avec le projet de partir au bout d’un ou deux ans.
Et j’y ai finalement trouvé un univers passionnant, avec des gens aux idées très novatrices. On travaillait sur des gammes de produits, comme dans le prêt-à-porter par exemple. Ce qui m’enthousiasmait par-dessus tout, c’était l’entrée de gamme, les objets les moins chers. En France, le design est un peu élitiste : il peut bien souvent être onéreux, unique. Le design, pour moi, c’est produire pour les gens. Cette idée de l’exception à la française me gênait un peu et j’ai commencé en me faisant la main sur un grille-pain.
Après mon master, j’ai commencé à faire des stages, à bosser les week-ends dans différentes agences. L’une en particulier, qui venait d’avoir un contrat avec l’industrie, m’a énormément intéressé : c’était la seule chose que je n’avais pas apprise. J’étais critique envers l’industrie car je rêvais d’une liberté que, d’après moi, elle ne pouvait pas m’apporter. J’ai quand même voulu m’en faire une idée, avec le projet de partir au bout d’un ou deux ans.
Et j’y ai finalement trouvé un univers passionnant, avec des gens aux idées très novatrices. On travaillait sur des gammes de produits, comme dans le prêt-à-porter par exemple. Ce qui m’enthousiasmait par-dessus tout, c’était l’entrée de gamme, les objets les moins chers. En France, le design est un peu élitiste : il peut bien souvent être onéreux, unique. Le design, pour moi, c’est produire pour les gens. Cette idée de l’exception à la française me gênait un peu et j’ai commencé en me faisant la main sur un grille-pain.
Le jour où… vous décidez de quitter le design industriel
Je ne voulais y rester qu’un an ou deux, qui se sont transformés en sept belles années. Une période étonnante ! Tous les moyens étaient mis à notre disposition pour travailler très confortablement. Je venais d’avoir mon premier enfant, le deuxième était en route, les choses étaient posées… Après 7 ans à travailler pour l’industrie, il était temps pour moi de passer à autre chose. C’était très prenant, avec beaucoup de responsabilités et j’ai réalisé que je pouvais faire ça toute ma vie. J’ai arrêté il y a cinq ans.
Je ne voulais y rester qu’un an ou deux, qui se sont transformés en sept belles années. Une période étonnante ! Tous les moyens étaient mis à notre disposition pour travailler très confortablement. Je venais d’avoir mon premier enfant, le deuxième était en route, les choses étaient posées… Après 7 ans à travailler pour l’industrie, il était temps pour moi de passer à autre chose. C’était très prenant, avec beaucoup de responsabilités et j’ai réalisé que je pouvais faire ça toute ma vie. J’ai arrêté il y a cinq ans.
Le jour où… vous avez imaginé Sentiment
Pour comprendre cet objet, il faut revenir à ma formation. J’ai commencé par étudier l’ébénisterie. Au cours de ma formation, j’ai appris à dessiner et réaliser des pieds Louis XV, ce sont des réalisations techniquement très compliquées, avec beaucoup de calculs. Mais avant ces calculs, l’objet part d’une première courbe, réalisée à main levée par le maitre. On appelle cette courbe, la courbe au sentiment. C’est ce qui explique qu’à l’époque il y avait des pieds Louis XV beaux et élégants et d’autres lourds et pâteux. Du coup, ce projet a constitué à dessiner sur une feuille blanche, juste à la main, des ronds, qui sont imparfaits. Je ne suis pas Leonard de Vinci… Ils ont ensuite été numérisés. Je voulais un objet qui soit polyvalent. Pour un mariage par exemple, l’anneau le plus grand va pour l’homme, le petit va pour la femme. Il y a plein d’hypothèses… C’est l’utilisateur qui choisit.
Pour comprendre cet objet, il faut revenir à ma formation. J’ai commencé par étudier l’ébénisterie. Au cours de ma formation, j’ai appris à dessiner et réaliser des pieds Louis XV, ce sont des réalisations techniquement très compliquées, avec beaucoup de calculs. Mais avant ces calculs, l’objet part d’une première courbe, réalisée à main levée par le maitre. On appelle cette courbe, la courbe au sentiment. C’est ce qui explique qu’à l’époque il y avait des pieds Louis XV beaux et élégants et d’autres lourds et pâteux. Du coup, ce projet a constitué à dessiner sur une feuille blanche, juste à la main, des ronds, qui sont imparfaits. Je ne suis pas Leonard de Vinci… Ils ont ensuite été numérisés. Je voulais un objet qui soit polyvalent. Pour un mariage par exemple, l’anneau le plus grand va pour l’homme, le petit va pour la femme. Il y a plein d’hypothèses… C’est l’utilisateur qui choisit.
Le jour où… vous avez eu l’idée de Z.I. lab
Z.I. lab repose sur l’idée qu’ici, à Montreuil, on trouve beaucoup de savoir-faire et d’entreprises. Au départ, le principe était donc de démarcher des firmes, pour leur demander ce qu’elles savaient faire, ce qu’elles voulaient développer, quels problèmes elles rencontraient…
Quand on connaît du monde, on s’aperçoit que les talents peuvent se conjuguer, ce qui permet de cibler de nouveaux marchés. La place que je vise, c’est celle qui est entre le boulanger et le boucher : être un designer de quartier, un peu comme un chef d’orchestre. Ce rôle n’existe pas, mais c’est vraiment quelque chose qui m’intéresse. Le designer a aussi sa place sur le territoire : il connaît bien ses forces vives et peut créer du lien.
Z.I. lab repose sur l’idée qu’ici, à Montreuil, on trouve beaucoup de savoir-faire et d’entreprises. Au départ, le principe était donc de démarcher des firmes, pour leur demander ce qu’elles savaient faire, ce qu’elles voulaient développer, quels problèmes elles rencontraient…
Quand on connaît du monde, on s’aperçoit que les talents peuvent se conjuguer, ce qui permet de cibler de nouveaux marchés. La place que je vise, c’est celle qui est entre le boulanger et le boucher : être un designer de quartier, un peu comme un chef d’orchestre. Ce rôle n’existe pas, mais c’est vraiment quelque chose qui m’intéresse. Le designer a aussi sa place sur le territoire : il connaît bien ses forces vives et peut créer du lien.
Nous avons par exemple le projet de créer sur Montreuil un festival qui durerait cinq jours. Il permettrait de rencontrer les différents acteurs, artistes, artisans, dans leurs ateliers, et d’organiser des workshops participatifs. Nous aimerions également intégrer les jeunes en lycée pro pour qu’ils voient vers quels métiers se diriger.
Le jour où… vous avez conçu le fauteuil Stacked
Le designer est amené à reproduire des objets qui existent déjà. Leur apporter un peu d’élégance, c’est déjà beaucoup. Quand on produit quelque chose, il y a des contraintes, notamment environnementales. En tant que créateur, on devient porteur de valeurs et ces considérations écologiques me tiennent à cœur.
Le designer est amené à reproduire des objets qui existent déjà. Leur apporter un peu d’élégance, c’est déjà beaucoup. Quand on produit quelque chose, il y a des contraintes, notamment environnementales. En tant que créateur, on devient porteur de valeurs et ces considérations écologiques me tiennent à cœur.
Prenons l’exemple d’un objet basique, en l’occurrence un fauteuil. La prise en compte de différentes contraintes, comme les matériaux utilisés, leur origine, la facilité de démontage, oblige à innover, comme avec ces piétements qui traversent la coque et deviennent des accoudoirs de l’autre côté.
Ce meuble est aisément démontable. Autre avantage : il peut évoluer dans le temps. Si l’on veut changer la couleur, par exemple, il suffit de remplacer la coque. Si on casse un pied, il sera remplacé facilement. Le fauteuil a été validé pour l’Espace Collectivités. En choisissant une optique environnementale, on a obtenu un objet facile à déplacer, réutilisable, qui va trouver sa place dans l’espace public, dans des salons événementiels.
Le jour… de la rentrée des classes
Dans nos métiers, la question de la transmission est très importante. J’enseigne notamment à l’Ensci. Souvent, les étudiants pensent que le métier consiste à inventer sans arrêt des nouveautés. Ce que j’apprends avant tout à mes élèves, c’est que le designer est là pour apporter des solutions, ni plus ni moins. Je leur explique que les bonnes idées ne font pas tout et qu’il y en a plein au concours Lépine. Le rôle du designer n’est pas tant d’avoir de bonnes idées que pour créer un produit tangible après avoir respecté toute une chaîne : un coût, une logique de transport, des procédures, des contraintes matérielles. Le but est d’arriver à dépasser ces obstacles tout en gardant exactement tout ce que l’on avait voulu mettre dans ce produit. Apporter des solutions techniques, mais aussi presque sociétales.
ET VOUS ?
Que pensez-vous du parcours et des créations de Laurent Greslin ?
Lire aussi :
Découverte Houzz : Alex de Rouvray, designer en quête de perfection
Découverte Houzz : Marie Benattar ou l’art de savoir célébrer les corps
Découverte Houzz : Les architectures intérieures de Régis Botta
Dans nos métiers, la question de la transmission est très importante. J’enseigne notamment à l’Ensci. Souvent, les étudiants pensent que le métier consiste à inventer sans arrêt des nouveautés. Ce que j’apprends avant tout à mes élèves, c’est que le designer est là pour apporter des solutions, ni plus ni moins. Je leur explique que les bonnes idées ne font pas tout et qu’il y en a plein au concours Lépine. Le rôle du designer n’est pas tant d’avoir de bonnes idées que pour créer un produit tangible après avoir respecté toute une chaîne : un coût, une logique de transport, des procédures, des contraintes matérielles. Le but est d’arriver à dépasser ces obstacles tout en gardant exactement tout ce que l’on avait voulu mettre dans ce produit. Apporter des solutions techniques, mais aussi presque sociétales.
ET VOUS ?
Que pensez-vous du parcours et des créations de Laurent Greslin ?
Lire aussi :
Découverte Houzz : Alex de Rouvray, designer en quête de perfection
Découverte Houzz : Marie Benattar ou l’art de savoir célébrer les corps
Découverte Houzz : Les architectures intérieures de Régis Botta
Dossiers Houzz associés
Rencontre Houzz
Mathieu Lehanneur : « L'Outonomy, c'est un état d'esprit ! »
Par Agnès Carpentier
À la croisée de la nature et de la technologie, Mathieu Lehanneur livre sa vision artistique d'un futur harmonieux
Lire Plus
Rencontre Houzz
Rencontre Houzz : Muller Van Severen, designers de l'année 2023
Par Elen Pouhaer
Rencontre avec le duo créatif flamand élu designer de l'année lors du dernier opus de Maison&Objet
Lire Plus
Rencontre Houzz
Rencontre avec Raphaël Navot, designer de l'année 2023
Par Agnès Carpentier
Des lieux d'hospitalité à l'édition haut de gamme, découvrons le travail et les valeurs inspirants de ce designer
Lire Plus
Artisans
Métier d'art : Plumassier, l'art de la plume
Par Elen Pouhaer
Mêlant design et artisanat d’art, les créations en plumes d’oiseaux dévoilent un univers singulier dans la décoration
Lire Plus
Rencontre Houzz
Bienvenue dans le Retrofutur de Franklin Azzi designer de l'année
Par Agnès Carpentier
Rencontre avec l'architecte Franklin Azzi, à l'occasion de la présentation de son installation artistique à Maison&Objet
Lire Plus
Rencontre Houzz
Rencontre avec Akari-Lisa Ishii, conceptrice lumière
Par Claire Tardy
L'experte mondialement reconnue décrypte la lumière et nous éclaire sur la théorie du Human Centric Lighting
Lire Plus
Rencontre Houzz
4 pros racontent leur reconversion professionnelle
Par Claire Tardy
Ils ont décidé de vivre de leur passion et racontent leur changement de vie
Lire Plus
Architecture
Deux architectes français remportent le prix Pritzker 2021
Par Mitchell Parker
Le duo est reconnu pour son approche créative en matière de développement durable : "ne jamais démolir"
Lire Plus
Travailler avec un pro
9 architectes parlent de leurs défis en tant que femmes
Par Houzz France
À l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, 10 architectes parlent de l'évolution de la profession
Lire Plus
Développement durable
Rencontre avec le père du Cradle to Cradle, Michael Braungart
Par Jadranka Kursar
Le Cradle to Cradle n'est plus seulement une philosophie de recyclage : c'est un tout nouveau modèle économique
Lire Plus
Parcours et réalisations
Merci
très bel article, Bravo.