Décryptage : Deux studios de 20 m² aménagés sous les toits
Deux projets de studios expliqués par les pros en charge de leur restructuration, astuces gain de place à la clé
Agnès Carpentier
19 septembre 2018
Contributrice HOUZZ. Journaliste.
Les prix de l’immobilier n’en finissent plus de s’envoler dans les grandes villes, si bien que les petites surfaces sont souvent les plus prisées par les jeunes en quête d’un premier achat. Y compris lorsqu’elles sont en piteux état, car c’est à ce prix que se réalisent les meilleures affaires. Chacun de leur côté, deux jeunes Parisiens, ont justement fait ce choix, celui d’investir dans des surfaces d’environ 20 m² sous les toits, à rénover de fond en comble. Les architectes qui ont orchestré ces grosses rénovations reviennent pour nous sur les travaux, le budget, leurs astuces déco et gain de place.
PROJET 1 : À Paris, un studio graphique avec coin nuit
Qui habite ici : Une jeune femme, la propriétaire, de 27 ans
Emplacement : quartier Strasbourg Saint-Denis (Paris Xᵉ)
Date de la réalisation : 2017
Superficie : 22 m² Carrez, 24 m² au sol
Designer d’intérieur : Jean-Florent Denée (Villages in Paris)
Budget : 40 000 euros
Qui habite ici : Une jeune femme, la propriétaire, de 27 ans
Emplacement : quartier Strasbourg Saint-Denis (Paris Xᵉ)
Date de la réalisation : 2017
Superficie : 22 m² Carrez, 24 m² au sol
Designer d’intérieur : Jean-Florent Denée (Villages in Paris)
Budget : 40 000 euros
AVANT
L’état des lieux : « Sur la centaine d’appartements réaménagés par notre agence, c’est sans doute l’un des pires avant/après que je n’ai jamais vus », résume Jean-Florent Denée, fondateur de Villages in Paris. Les visuels parlent d’eux-mêmes. Cette mini-surface en L avec deux fenêtres lucarnes, au dernier étage d’un immeuble de Strasbourg-Saint-Denis, était dans un état épouvantable : sale, sans toilettes, sans eau, ni électricité, ni assainissement, sans isolation et avec un plancher complètement de biais et la toiture défoncée par endroits… Bref, les plus difficiles conditions pour se projeter, mais « ce quartier de Paris, central et animé, est terriblement prisé actuellement », explique le professionnel pour justifier le choix de la propriétaire.
L’état des lieux : « Sur la centaine d’appartements réaménagés par notre agence, c’est sans doute l’un des pires avant/après que je n’ai jamais vus », résume Jean-Florent Denée, fondateur de Villages in Paris. Les visuels parlent d’eux-mêmes. Cette mini-surface en L avec deux fenêtres lucarnes, au dernier étage d’un immeuble de Strasbourg-Saint-Denis, était dans un état épouvantable : sale, sans toilettes, sans eau, ni électricité, ni assainissement, sans isolation et avec un plancher complètement de biais et la toiture défoncée par endroits… Bref, les plus difficiles conditions pour se projeter, mais « ce quartier de Paris, central et animé, est terriblement prisé actuellement », explique le professionnel pour justifier le choix de la propriétaire.
APRÈS
Le brief de la propriétaire : La jeune active trendy souhaitait transformer le local insalubre en un studio qui lui ressemble, un lieu de vie au quotidien qui reflète sa personnalité élégante et soignée et dans lequel elle puisse ranger toutes ses affaires. Autre requête : avoir un coin lit fixe, car la propriétaire ne voulait pas d’un clic-clac à refaire tous les jours. Enfin, elle voulait faire confiance à un quelqu’un de sérieux, car elle avait connu des déboires avec un précédent professionnel : en effet, un premier plan avait déjà été imaginé autour d’une colonne d’évacuation imaginaire et quand le premier maître d’œuvre est arrivé pour commencer les travaux, rien n’a été possible…
Le brief de la propriétaire : La jeune active trendy souhaitait transformer le local insalubre en un studio qui lui ressemble, un lieu de vie au quotidien qui reflète sa personnalité élégante et soignée et dans lequel elle puisse ranger toutes ses affaires. Autre requête : avoir un coin lit fixe, car la propriétaire ne voulait pas d’un clic-clac à refaire tous les jours. Enfin, elle voulait faire confiance à un quelqu’un de sérieux, car elle avait connu des déboires avec un précédent professionnel : en effet, un premier plan avait déjà été imaginé autour d’une colonne d’évacuation imaginaire et quand le premier maître d’œuvre est arrivé pour commencer les travaux, rien n’a été possible…
AVANT
L’expertise du pro :Jean-Florent Denée, le designer d’intérieur qui a pris en charge la rénovation, a pour sa part trouvé des avantages à la surface défoncée : « Je n’aime pas intervenir à Paris sur des restructurations avec des porteurs, car il faut demander des autorisations que l’on met des mois à obtenir. En dépit de son état, cette surface était décloisonnée, ce qui nous a permis de nous projeter plus facilement. Après avoir découvert la colonne, celle-ci a commandé de placer les points humides sur la gauche de l’appartement. Logiquement, le coin nuit a été placé en fond de pièce, tandis que le séjour a été rapproché de la source de lumière naturelle. »
L’expertise du pro :Jean-Florent Denée, le designer d’intérieur qui a pris en charge la rénovation, a pour sa part trouvé des avantages à la surface défoncée : « Je n’aime pas intervenir à Paris sur des restructurations avec des porteurs, car il faut demander des autorisations que l’on met des mois à obtenir. En dépit de son état, cette surface était décloisonnée, ce qui nous a permis de nous projeter plus facilement. Après avoir découvert la colonne, celle-ci a commandé de placer les points humides sur la gauche de l’appartement. Logiquement, le coin nuit a été placé en fond de pièce, tandis que le séjour a été rapproché de la source de lumière naturelle. »
APRÈS
Côté chambre : Pour la propriétaire qui voulait un vrai coin nuit, le pro a fait semi-cloisonner la surface avec une structure en MDF qui supporte une verrière. La partie basse (1,20 m de haut x 60 cm de large) contient une tringle, qui permet à la propriétaire de ranger son dressing conséquent. Grâce à cet aménagement, le studio s’est transformé en quasi-deux-pièces.
Côté chambre : Pour la propriétaire qui voulait un vrai coin nuit, le pro a fait semi-cloisonner la surface avec une structure en MDF qui supporte une verrière. La partie basse (1,20 m de haut x 60 cm de large) contient une tringle, qui permet à la propriétaire de ranger son dressing conséquent. Grâce à cet aménagement, le studio s’est transformé en quasi-deux-pièces.
La mini-pièce de 5 m² renferme un lit de 140 x 190 cm et une bibliothèque. On ne s’y sent pas confiné : la verrière permet de profiter de la vue sur l’appartement et de la lumière naturelle.
Le séjour :
Le canapé est appuyé de l’autre côté de la verrière tandis que, face à lui, le rampant sous la fenêtre accueille l’écran de télévision et un rangement pour la box et autres lecteurs. Sur le côté, un vaste placard sur mesure suit la pente du toit et optimise l’espace.
Le canapé est appuyé de l’autre côté de la verrière tandis que, face à lui, le rampant sous la fenêtre accueille l’écran de télévision et un rangement pour la box et autres lecteurs. Sur le côté, un vaste placard sur mesure suit la pente du toit et optimise l’espace.
Côté salle d’eau :
En face du coin nuit, une boîte dorée avec un pan coupé cloisonne la salle de bains : « Le mur en biais permettait de créer un sas d’entrée sans boucher la vue et également de jouer sur le graphisme d’un appartement sous combles », explique le pro.
L’astuce du pro :
Pour faire paraître l’espace plus grand, Jean-Florent a usé d’une astuce qu’il affectionne particulièrement : « Nous avons employé du plancher stratifié hydrofuge Quickstep sur toute la surface, salle d’eau comprise », explique-t-il.
En face du coin nuit, une boîte dorée avec un pan coupé cloisonne la salle de bains : « Le mur en biais permettait de créer un sas d’entrée sans boucher la vue et également de jouer sur le graphisme d’un appartement sous combles », explique le pro.
L’astuce du pro :
Pour faire paraître l’espace plus grand, Jean-Florent a usé d’une astuce qu’il affectionne particulièrement : « Nous avons employé du plancher stratifié hydrofuge Quickstep sur toute la surface, salle d’eau comprise », explique-t-il.
La salle d’eau est réduite à sa plus simple expression, mais confortable, telle que la souhaitait la propriétaire. La douche en occupe toute la largeur tandis que de l’autre côté se trouvent de vraies toilettes et une vasque.
Côté cuisine :
Bien que réduite, la cuisine est équipée avec un vrai four, un réfrigérateur congélateur, un lave-vaisselle et un lave-linge séchant. Pour la note déco, un mur rose pâle est animé par une crédence en chevrons.
Bien que réduite, la cuisine est équipée avec un vrai four, un réfrigérateur congélateur, un lave-vaisselle et un lave-linge séchant. Pour la note déco, un mur rose pâle est animé par une crédence en chevrons.
Les astuces du pro :
Le travail pictural a fait l’objet d’une étude poussée : « Nous travaillons comme les directeurs artistiques et faisons signer une charte graphique. En amont du projet, nous avons montré de nombreux visuels d’inspiration à la propriétaire et elle a validé une dominante couleur et une mineure. Le rose foncé part de la partie la plus sombre de la pièce, puis s’éclaircit vers la lumière tandis que le doré est employé en contrepoint pour le chic. Et bien sûr, le blanc illumine tandis que le noir souligne les contrastes », décrypte le pro.
Autre astuce intéressante, la gestion du plafond : « Étant donné l’état de la toiture nous n’avons pas conservé les poutres apparentes pour limiter les frais. Nous avons préféré isoler et plaquer. Mais à un endroit où il y avait davantage de hauteur, pour bénéficier d’une respiration et délimiter les espaces jour et nuit, nous avons créé une faille dans le plafond. » Un bel effet visuel à retenir.
Le travail pictural a fait l’objet d’une étude poussée : « Nous travaillons comme les directeurs artistiques et faisons signer une charte graphique. En amont du projet, nous avons montré de nombreux visuels d’inspiration à la propriétaire et elle a validé une dominante couleur et une mineure. Le rose foncé part de la partie la plus sombre de la pièce, puis s’éclaircit vers la lumière tandis que le doré est employé en contrepoint pour le chic. Et bien sûr, le blanc illumine tandis que le noir souligne les contrastes », décrypte le pro.
Autre astuce intéressante, la gestion du plafond : « Étant donné l’état de la toiture nous n’avons pas conservé les poutres apparentes pour limiter les frais. Nous avons préféré isoler et plaquer. Mais à un endroit où il y avait davantage de hauteur, pour bénéficier d’une respiration et délimiter les espaces jour et nuit, nous avons créé une faille dans le plafond. » Un bel effet visuel à retenir.
PROJET 2 : À Paris, trois chambres de bonne optimisées en studio
Qui habite ici : Un jeune homme, le propriétaire, d’une trentaine d’années
Emplacement : quartier Victor Hugo (Paris XVIᵉ)
Dates de la réalisation : 2017
Superficie : 15 m² Carrez, 20 m² au sol
Architectes : Flore Raimbault et Noa Peer (agence OUI : Office for Urban Innovation)
Budget : 30 000 euros
Qui habite ici : Un jeune homme, le propriétaire, d’une trentaine d’années
Emplacement : quartier Victor Hugo (Paris XVIᵉ)
Dates de la réalisation : 2017
Superficie : 15 m² Carrez, 20 m² au sol
Architectes : Flore Raimbault et Noa Peer (agence OUI : Office for Urban Innovation)
Budget : 30 000 euros
Photo Avant
AVANT
L’état des lieux : Le propriétaire a acquis trois chambres de bonne en enfilade, desservies par le couloir des parties communes. Chaque pièce disposait d’un Velux double vitrage et l’isolation du toit était récente, mais les chambrettes n’étaient pas habitées et servaient de grenier. Elles étaient d’ailleurs sans point d’eau ni assainissement.
Le brief du propriétaire :
Le but du propriétaire était de les faire transformer en un studio ultra-optimisé pour y vivre au quotidien et d’en faire un lieu de caractère car il est très attentif à l’aspect déco.
L’état des lieux : Le propriétaire a acquis trois chambres de bonne en enfilade, desservies par le couloir des parties communes. Chaque pièce disposait d’un Velux double vitrage et l’isolation du toit était récente, mais les chambrettes n’étaient pas habitées et servaient de grenier. Elles étaient d’ailleurs sans point d’eau ni assainissement.
Le brief du propriétaire :
Le but du propriétaire était de les faire transformer en un studio ultra-optimisé pour y vivre au quotidien et d’en faire un lieu de caractère car il est très attentif à l’aspect déco.
APRÈS
L’expertise des pros : « Les chambrettes pouvaient être décloisonnées sans problème de porteur. Pour le plan, tout est parti du passage d’une colonne qui a imposé la place de la salle d’eau/toilettes sur la gauche de l’appartement. Puis, comme la surface était vraiment petite, nous avons pensé modularité en imbriquant le lit et la cuisine. Nous sommes des adeptes des podiums dans les petits appartements que nous rénovons, car ils permettent de délimiter visuellement l’espace et de créer beaucoup de rangements cachés », décrypte Flore Raimbault l’une des architectes en charge du projet.
Au sol, les tomettes ont été conservées et les manques créés par le décloisonnement ont été rebouchés au ragréage et repeints dans une couleur approchante. Côté mur du couloir, deux portes sur trois ont été rebouchées et le mur bien isolé.
L’expertise des pros : « Les chambrettes pouvaient être décloisonnées sans problème de porteur. Pour le plan, tout est parti du passage d’une colonne qui a imposé la place de la salle d’eau/toilettes sur la gauche de l’appartement. Puis, comme la surface était vraiment petite, nous avons pensé modularité en imbriquant le lit et la cuisine. Nous sommes des adeptes des podiums dans les petits appartements que nous rénovons, car ils permettent de délimiter visuellement l’espace et de créer beaucoup de rangements cachés », décrypte Flore Raimbault l’une des architectes en charge du projet.
Au sol, les tomettes ont été conservées et les manques créés par le décloisonnement ont été rebouchés au ragréage et repeints dans une couleur approchante. Côté mur du couloir, deux portes sur trois ont été rebouchées et le mur bien isolé.
Côté pièce de vie :
L’estrade en OSB, peinte en bleu, supporte et met en valeur un linéaire de cuisine et une table façon bar. Les éléments laqués blancs ont été complétés sur la droite par un grand placard dont les portes ont été réalisées sur mesure en contreplaqué de bouleau, tout comme le plan bar. Le piètement métallique de la table a été également réalisé sur mesure pour suivre artistiquement la pente du toit et prendre un minimum de place.
Peinture bleue : Hague Blue de Farrow & Ball ; Éléments cuisine : Ikea ; Tabourets : But ; Lustre et appliques : Leroy Merlin
L’estrade en OSB, peinte en bleu, supporte et met en valeur un linéaire de cuisine et une table façon bar. Les éléments laqués blancs ont été complétés sur la droite par un grand placard dont les portes ont été réalisées sur mesure en contreplaqué de bouleau, tout comme le plan bar. Le piètement métallique de la table a été également réalisé sur mesure pour suivre artistiquement la pente du toit et prendre un minimum de place.
Peinture bleue : Hague Blue de Farrow & Ball ; Éléments cuisine : Ikea ; Tabourets : But ; Lustre et appliques : Leroy Merlin
AVANT
APRÈS
Côté « chambre » :
Le podium dissimule sur sa gauche un lit de 140 x 190 cm. Modulaire, celui-ci a été pensé comme un caisson à roulettes qui se tire entièrement en position lit ou alors à moitié pour faire canapé. « Nous avons équipé les roulettes d’un système de blocage pour caler l’assise dans la position souhaitée », explique l’architecte.
Chaise jaune : Maisons du Monde
Côté « chambre » :
Le podium dissimule sur sa gauche un lit de 140 x 190 cm. Modulaire, celui-ci a été pensé comme un caisson à roulettes qui se tire entièrement en position lit ou alors à moitié pour faire canapé. « Nous avons équipé les roulettes d’un système de blocage pour caler l’assise dans la position souhaitée », explique l’architecte.
Chaise jaune : Maisons du Monde
Les astuces des pros :
Pour augmenter la capacité de rangement de l’appartement sans perdre de place, tout en ajoutant à l’aspect déco, les architectes ont fait créer des rayonnages en contreplaqué de bouleau sous les rampants.
L’autre astuce rangement se situe au niveau de l’escalier qui monte à l’estrade : « Sous cette partie, le lit ne coulisse pas. Il restait un grand volume vide qui allait jusque sous le grand placard qui cache le lave-linge. Nous avons fabriqué une trappe pour y accéder, afin que le propriétaire puisse y ranger ses bagages, l’aspirateur… », dévoilent les pros.
Pour augmenter la capacité de rangement de l’appartement sans perdre de place, tout en ajoutant à l’aspect déco, les architectes ont fait créer des rayonnages en contreplaqué de bouleau sous les rampants.
L’autre astuce rangement se situe au niveau de l’escalier qui monte à l’estrade : « Sous cette partie, le lit ne coulisse pas. Il restait un grand volume vide qui allait jusque sous le grand placard qui cache le lave-linge. Nous avons fabriqué une trappe pour y accéder, afin que le propriétaire puisse y ranger ses bagages, l’aspirateur… », dévoilent les pros.
AVANT
APRÈS
La salle d’eau a été isolée de l’appartement par un cloisonnement en medium. Peinte en bleu, cette boîte structurante est assumée comme un élément décoratif. La douche de 80 x 80 cm occupe le côté gauche, seul endroit où l’on disposait de la pleine hauteur. À droite se trouvent les toilettes et, au milieu, un petit lave-mains posé sur un meuble réalisé sur mesure en contreplaqué de bouleau donne du style à l’ensemble.
Peinture bleue : Hague Blue de Farrow & Ball
La salle d’eau a été isolée de l’appartement par un cloisonnement en medium. Peinte en bleu, cette boîte structurante est assumée comme un élément décoratif. La douche de 80 x 80 cm occupe le côté gauche, seul endroit où l’on disposait de la pleine hauteur. À droite se trouvent les toilettes et, au milieu, un petit lave-mains posé sur un meuble réalisé sur mesure en contreplaqué de bouleau donne du style à l’ensemble.
Peinture bleue : Hague Blue de Farrow & Ball
L’astuce des pros :
« Sous les rampants, à droite de la salle de bains, il restait un espace où l’on ne pouvait se tenir qu’assis. Nous l’avons pensé comme le bureau du propriétaire. C’était une bonne place, car il y avait un Velux. Et pour bénéficier de cet éclairage naturel dans la salle d’eau, nous avons pensé créer une petite fenêtre au-dessus des toilettes », expliquent les pros.
ET VOUS ?
Que pensez-vous de ces deux rénovations ?
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« Sous les rampants, à droite de la salle de bains, il restait un espace où l’on ne pouvait se tenir qu’assis. Nous l’avons pensé comme le bureau du propriétaire. C’était une bonne place, car il y avait un Velux. Et pour bénéficier de cet éclairage naturel dans la salle d’eau, nous avons pensé créer une petite fenêtre au-dessus des toilettes », expliquent les pros.
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Très belle réalisation, mais bientôt les gens vont vivre dans une boîte d'allumettes...
@
chrisconty > oui et parfois même très heureux de leur choix :
https://www.houzz.fr/ideabooks/82999047/list/architecture-odyssee-la-tiny-house-de-sabrina-et-alexandre