Mes pires choix déco
Attention : ce qui suit ne doit surtout pas être reproduit chez vous !
Vous vous souvenez de ces annonces à la télévision dans lesquelles un acteur disait : « Je ne suis pas médecin dans la vraie vie, mais j’en joue un à la télévision » ? Eh bien, je ne suis pas designer d’intérieur, mais j’en joue un sur Internet.
Bon, ce n’est pas tout à fait exact. Je n’ai jamais prétendu être designer d’intérieur. Mais j’ai beaucoup écrit sur le sujet et j’en ai appris suffisamment pour être dangereux. Pas assez cependant pour éviter certaines erreurs monumentales. J’ai donc saisi cette opportunité pour prendre du recul et exposer certaines mauvaises décisions en matière de décoration que j’ai pu prendre au fil des ans. J’espère que vous apprendrez de mes erreurs ou, du moins, que vous rirez à mes dépens !
Note : Photos non contractuelles. Elles ne présentent pas mes réelles erreurs.
Bon, ce n’est pas tout à fait exact. Je n’ai jamais prétendu être designer d’intérieur. Mais j’ai beaucoup écrit sur le sujet et j’en ai appris suffisamment pour être dangereux. Pas assez cependant pour éviter certaines erreurs monumentales. J’ai donc saisi cette opportunité pour prendre du recul et exposer certaines mauvaises décisions en matière de décoration que j’ai pu prendre au fil des ans. J’espère que vous apprendrez de mes erreurs ou, du moins, que vous rirez à mes dépens !
Note : Photos non contractuelles. Elles ne présentent pas mes réelles erreurs.
2. Acheter la mauvaise table à manger, partie 2
Quand a sonné l’heure de remplacer ma table Ikea à cinquante euros, j’ai directement choisi une table avec un pied central : une très belle table ronde en bois, avec un pied fin en forme de sablier, qui avait la taille parfaite pour rentrer dans ma petite salle à manger.
Seul problème : le sol de la pièce est recouvert de moquette, à laquelle ce pied mince a bien eu du mal à s’adapter, offrant un équilibre précaire à ma table, qui s’est immédiatement balancée comme un berceau. Pas vraiment idéal pour partager un repas ! Chaque fois qu’une pression était exercée (en coupant la viande par exemple), elle menaçait de se renverser et d’emporter tout le dîner dans sa chute.
Quand a sonné l’heure de remplacer ma table Ikea à cinquante euros, j’ai directement choisi une table avec un pied central : une très belle table ronde en bois, avec un pied fin en forme de sablier, qui avait la taille parfaite pour rentrer dans ma petite salle à manger.
Seul problème : le sol de la pièce est recouvert de moquette, à laquelle ce pied mince a bien eu du mal à s’adapter, offrant un équilibre précaire à ma table, qui s’est immédiatement balancée comme un berceau. Pas vraiment idéal pour partager un repas ! Chaque fois qu’une pression était exercée (en coupant la viande par exemple), elle menaçait de se renverser et d’emporter tout le dîner dans sa chute.
3. Acheter des rideaux sur mesure
J’ai une fois écrit un article sur une maison dont le salon était doté de superbes rideaux en toile (comme ceux de la photo). Pour copier ce style pour ma chambre, j’ai donc fait appel à une couturière, à qui j’ai demandé de me fabriquer deux belles paires de rideaux. Elle m’a présenté une série d’échantillons et m’a demandé de choisir celui que je préférais. J’ai opté pour un joli coton épais, me disant qu’il occulterait mieux la lumière, mais les rideaux se sont avérés être extrêmement lourds, à tel point que c’était une vraie corvée de les tirer. De plus, le tissu était si épais qu’il était impossible de les accrocher dans leurs embrasses sur les côtés. Je les ai donc laissé fermés la plupart du temps, même si j’avais une très belle vue depuis ma chambre. Au fait, je ne vous ai pas dit à quel point ils m’avaient coûté cher ?
J’ai une fois écrit un article sur une maison dont le salon était doté de superbes rideaux en toile (comme ceux de la photo). Pour copier ce style pour ma chambre, j’ai donc fait appel à une couturière, à qui j’ai demandé de me fabriquer deux belles paires de rideaux. Elle m’a présenté une série d’échantillons et m’a demandé de choisir celui que je préférais. J’ai opté pour un joli coton épais, me disant qu’il occulterait mieux la lumière, mais les rideaux se sont avérés être extrêmement lourds, à tel point que c’était une vraie corvée de les tirer. De plus, le tissu était si épais qu’il était impossible de les accrocher dans leurs embrasses sur les côtés. Je les ai donc laissé fermés la plupart du temps, même si j’avais une très belle vue depuis ma chambre. Au fait, je ne vous ai pas dit à quel point ils m’avaient coûté cher ?
4. Commander des chaises de bar sans les avoir essayées au préalable
Aïe. Je ne savais pas qu’on pouvait faire des assises aussi dures et appeler ça des
« chaises ». En plus, les tabourets étaient si hauts que seul un géant pouvait les atteindre. Heureusement pour moi, j’ai des ancêtres géants. En revanche, ce n’est pas le cas de mes amis.
5. Faire confiance à la mousse
Quand j’ai meublé mon premier appartement, j’ai convoité un canapé convertible en mousse. Il était beau et moderne et son prix était raisonnable. J’en ai donc acheté un, ainsi que deux chaises assorties. Malheureusement il n’y avait pas de structure pour retenir la mousse, ce qui faisait que l’assise frontale s’affaissait sous le poids de n’importe qui. Inutile de préciser qu’à force de discuter, mes invités et moi-même nous enfoncions petit à petit, jusqu’à toucher le sol.
Tout ce que vous devez savoir sur le dessous des canapés
Aïe. Je ne savais pas qu’on pouvait faire des assises aussi dures et appeler ça des
« chaises ». En plus, les tabourets étaient si hauts que seul un géant pouvait les atteindre. Heureusement pour moi, j’ai des ancêtres géants. En revanche, ce n’est pas le cas de mes amis.
5. Faire confiance à la mousse
Quand j’ai meublé mon premier appartement, j’ai convoité un canapé convertible en mousse. Il était beau et moderne et son prix était raisonnable. J’en ai donc acheté un, ainsi que deux chaises assorties. Malheureusement il n’y avait pas de structure pour retenir la mousse, ce qui faisait que l’assise frontale s’affaissait sous le poids de n’importe qui. Inutile de préciser qu’à force de discuter, mes invités et moi-même nous enfoncions petit à petit, jusqu’à toucher le sol.
Tout ce que vous devez savoir sur le dessous des canapés
6. Penser que je pouvais maintenir en vie une plante hors de prix
Mon meilleur ami ne rate pas une occasion de me rappeler que la définition de la folie est de refaire sans cesse les mêmes choses en pensant que les conséquences seront différentes. Seule la folie peut donc expliquer ma décision d’acheter un ficus géant pour ma salle à manger. J’en avais déjà acheté un certain nombre par le passé ; aucun n’avait survécu. Évidemment, la meilleure chose à faire était d’en acheter un autre, énorme et très cher, n’est-ce pas ?
Dès le premier jour, l’arbre a commencé à perdre ses feuilles. Malgré tous mes efforts (j’ai même pensé utiliser de la colle forte), rien n’y faisait. Chaque feuille que je trouvais par terre me faisait l’effet d’un coup de poignard en pleine poitrine. J’ai fini par vendre ma maison, l’arbre avec. Je sais au moins qu’un des deux est toujours debout.
Astuces de pro pour conserver vos plantes plus longtemps
Mon meilleur ami ne rate pas une occasion de me rappeler que la définition de la folie est de refaire sans cesse les mêmes choses en pensant que les conséquences seront différentes. Seule la folie peut donc expliquer ma décision d’acheter un ficus géant pour ma salle à manger. J’en avais déjà acheté un certain nombre par le passé ; aucun n’avait survécu. Évidemment, la meilleure chose à faire était d’en acheter un autre, énorme et très cher, n’est-ce pas ?
Dès le premier jour, l’arbre a commencé à perdre ses feuilles. Malgré tous mes efforts (j’ai même pensé utiliser de la colle forte), rien n’y faisait. Chaque feuille que je trouvais par terre me faisait l’effet d’un coup de poignard en pleine poitrine. J’ai fini par vendre ma maison, l’arbre avec. Je sais au moins qu’un des deux est toujours debout.
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7. Tremper des bardeaux
Quand j’ai refait ma maison il y a quelques années, j’ai décidé de la parer de bardeaux. J’aimais beaucoup le style que donnent des bardeaux lasurés et je savais qu’ils dureraient plus longtemps si les deux côtés étaient vernis. J’ai donc décidé d’économiser un peu d’argent et de le faire moi-même. Dehors. En février.
J’ai donc passé plusieurs week-ends, dans le froid et le vent, à tremper des centaines de bardeaux dans un seau de lasure avant de les laisser sécher. Le grand jour est finalement arrivé, où l’entrepreneur les a installés sur ma maison. Et je… n’ai… pas… du… tout… aimé.
J’ai laissé les bardeaux tels quels pendant un an. Une fois cette terrible expérience de trempage derrière moi, j’ai décidé de tout repeindre. Enfin, ceux que je pouvais atteindre. Il reste encore un bout de pignon, recouvert de bardeaux lasurés, qui me nargue. Mais vous savez quoi ? Tout seul, il n’est pas si mal.
ET VOUS ?
Quelles anecdotes déco pouvez-vous partager avec nous ?
Retrouvez d’autres conseils pour bien commencer vos travaux
Quand j’ai refait ma maison il y a quelques années, j’ai décidé de la parer de bardeaux. J’aimais beaucoup le style que donnent des bardeaux lasurés et je savais qu’ils dureraient plus longtemps si les deux côtés étaient vernis. J’ai donc décidé d’économiser un peu d’argent et de le faire moi-même. Dehors. En février.
J’ai donc passé plusieurs week-ends, dans le froid et le vent, à tremper des centaines de bardeaux dans un seau de lasure avant de les laisser sécher. Le grand jour est finalement arrivé, où l’entrepreneur les a installés sur ma maison. Et je… n’ai… pas… du… tout… aimé.
J’ai laissé les bardeaux tels quels pendant un an. Une fois cette terrible expérience de trempage derrière moi, j’ai décidé de tout repeindre. Enfin, ceux que je pouvais atteindre. Il reste encore un bout de pignon, recouvert de bardeaux lasurés, qui me nargue. Mais vous savez quoi ? Tout seul, il n’est pas si mal.
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J’ai réalisé trop tard qu’il ne faut jamais associer une table avec quatre pieds, à un banc d’angle car les gens ne peuvent plus passer leurs jambes pour s’asseoir ou sortir de table ! Choisissez plutôt une table avec un pied unique et central.
J’ai acheté une superbe table vintage suédoise dont je ne voulais surtout pas me débarrasser. Pendant des années, j’ai donc dû la tirer et la pousser pour que les gens puissent s’installer. Sans compter qu’une fois à table, ils ne pouvaient plus sortir ! Vous devez aller aux toilettes au cours du dîner ? Dommage…