Retour sur les 10 Avant/Après les plus spectaculaires de 2019
Revivez les expériences de ces propriétaires qui ont eu le courage d'entreprendre des rénovations de grande ampleur !
Parmi toutes les transformations que nous vous avons présentées au fil de nos reportages en 2019, nous avons sélectionné les plus spectaculaires. Laissez-vous de nouveau transporter par l’aventure de ces propriétaires et professionnels, qui ne se sont pas laissés abattre devant l’ampleur des travaux à réaliser pour concevoir une habitation de rêve !
1. 10 ans pour rénover un hameau en ruines
1. 10 ans pour rénover un hameau en ruines
Avant. Les courageux propriétaires ont acheté ce hameau en ruines, situé dans les environs du pic Saint-Loup aux portes des Cévennes, avec l’objectif de créer un lieu unique pour en faire leur foyer. Tout était à faire et ils se sont laissés séduire par l’idée de concevoir un lieu qui leur ressemble vraiment, non sans quelques doutes et appréhensions, en plus de craquer sur la vue et les caves voûtées de l’existant.
Après. Dix ans plus tard, les lieux sont méconnaissables et respirent la douceur de vivre. Différentes pièces s’articulent désormais dans le bâtiment d’origine, il s’agit essentiellement de chambres d’hôtes. La famille a, quant à elle, établi ses appartements dans une nouvelle construction qui s’appuie sur les toitures de l’ancienne. Le corps de la maison s’ouvre sur une terrasse arborée, protégée du soleil par des canisses, qui adoucissent également la lumière. L’ensemble s’étend aujourd’hui sur une superficie totale de 950 m², dont 270 m² sont réservés à l’habitat personnel des propriétaires.
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2. 150 000 € pour rénover une maison pleine de malfaçons
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2. 150 000 € pour rénover une maison pleine de malfaçons
Avant. Cette maison située en région parisienne est certainement l’une des histoires les plus folles que nous vous avons racontées en 2019. Après avoir vécu 15 ans dans leur bâtisse 1930, les propriétaires ont mandaté une architecte pour créer une extension et maximiser les pièces de vie. Mais, six mois après la fin de la rénovation, les escaliers ont commencé à s’effriter, le plancher à gondoler, les fenêtres à se desceller, les murs à pourrir et la terrasse à s’effondrer. Dix années de procédure contre l’architecte et la décennale de la société de travaux ont finalement permis de récupérer l’argent de l’assurance et d’entamer la réfection intégrale de la maison.
Après. Pour cette vaste tâche, les propriétaires ont fait confiance à l’architecte Émilie Melin et à la société Rénovation sur Mesure. Deux ans ont été nécessaires pour rénover la bâtisse de 100 m² devenue insalubre, du rez-de-jardin à l’étage, en passant par le rez-de-chaussée et les façades. Au fur et à mesure que le chantier avançait, de nouvelles malfaçons étaient découvertes par les professionnels. Le couple qui vit ici a finalement récupéré une maison très agréable à vivre avec des pièces de vie ouvertes et confortables, ainsi que des chambres optimisées. « Ce fut un chantier de longue haleine très lourd à gérer mais cela restera pour moi une expérience inoubliable », nous a confié l’architecte en conclusion de ce projet.
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3. Un appartement parisien incendié retrouve sa superbe pour 3 000 € du m²
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3. Un appartement parisien incendié retrouve sa superbe pour 3 000 € du m²
Avant. Difficile d’imaginer à quoi ressemblait cet appartement haussmannien de 300 m², proche du Panthéon, avant l’incendie qui a ravagé absolument toutes ses pièces. Le feu a duré trois heures, dévastant tous les biens de la famille qui occupait les lieux depuis une vingtaine d’années. Après le désastre, Mélanie Jaulin (architecte) et Anastasia Ecalard (architecte d’intérieur) du Studio Gazelles ont été chargées de seconder le cabinet d’architectes urbanistes mandaté par l’assureur afin d’établir le relevé nécessaire à l’indemnisation, puis de superviser la rénovation totale du bien dans la foulée.
Après. Une année entière a été nécessaire pour orchestrer la rénovation complète de l’appartement. Quatre mois ont d’abord été consacrés à l’inventaire des biens et matériaux ainsi qu’au chiffrage pièce par pièce, pour que l’assurance puisse estimer le montant de l’indemnisation. Les murs ont ensuite été curés, soit mis à nu jusqu’aux briques en ôtant 5 à 7 centimètres de plâtre, avant de pouvoir repartir sur une base saine. Les travaux de réfection à l’identique ont ensuite pu commencer et les professionnels ont profité de la phase d’étude afin de proposer quelques améliorations aux propriétaires : notamment au niveau de l’agencement de la suite parentale et du studio attenant à l’appartement.
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4. 200 000 € pour faire renaître une maison abandonnée
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4. 200 000 € pour faire renaître une maison abandonnée
Avant. Lorsque les propriétaires ont décidé de quitter Paris pour Bagnolet afin d’avoir un logement plus grand, ils sont tombés sous le charme de cette petite maison malgré son état d’abandon. Les lieux n’avaient pas été habités depuis une dizaine d’années et tout était à refaire dans les 130 m² de la bâtisse, composée de deux plateaux de 65 m², d’un sous-sol et de combles mansardés. La façade témoignait déjà de l’histoire du bâtiment, avec ses revêtements sales et ses ouvertures murées pour éviter les squatteurs.
Après. L’architecte d’intérieur Cécile Humbert a commencé par restaurer la façade de la maison, son escalier extérieur et sa terrasse. Les vieilles dalles ternes ont été remplacées par de la pierre bleue du Vietnam, qui s’accorde parfaitement avec les nouveaux volets, et une corniche a été ajoutée pour apporter du relief et du caractère au bâtiment. À l’intérieur, seuls les murs structurels ont été conservés et les espaces ont été ouverts au maximum afin de faire entrer la lumière naturelle et de créer une vaste pièce à vivre au rez-de-chaussée. À l’étage, trois chambres et deux salles de bains offrent désormais tout le confort nécessaire à la famille qui occupe les lieux.
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5. 240 000 € pour transformer un vieux garage en petite maison
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5. 240 000 € pour transformer un vieux garage en petite maison
Avant. Situé dans la ville de Montreuil, cet ancien garage était à l’abandon quand ses nouveaux propriétaires ont eu l’idée de le transformer en maison. D’une surface de près de 40 m², le bâtiment servait d’espace de stockage et sa structure se composait de quatre murs en parpaing et d’un toit en tôle en très mauvais état. Le couple de repreneurs avait, dans un premier temps, élaboré un projet de surélévation de la structure existante avec un architecte. Mais, le temps d’obtenir le permis de construire, ce dernier était finalement parti à la retraite avant de pouvoir entamer la transformation.
Après. Lorsqu’il a repris le projet, l’architecte Samuel Cajet a d’abord fait réaliser une étude de structure et de sol. Il s’est ainsi rendu compte que les murs n’avaient pas de fondations et qu’il fallait tout détruire pour les mettre en place. La nouvelle maison a ensuite été construite en respectant le volume du bâtiment prévu par le précédent projet, afin de ne pas avoir à demander un nouveau permis de construire. D’une superficie totale de 65 m², avec une terrasse à l’abri des vis-à-vis, elle a été réalisée en l’espace d’un an. Ses murs sont en parpaing de brique et sa toiture est composée de panneaux en zinc gris d’ardoise.
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6. 150 000 € pour illuminer un appartement sombre sous les toits
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6. 150 000 € pour illuminer un appartement sombre sous les toits
Avant. Situé au troisième et dernier étage d’un immeuble parisien, ce grand studio de 60 m², doté d’une cuisine et d’une salle de bains séparées, était un vrai taudis. Ouverts à l’est par deux petites lucarnes, les lieux étaient aussi très sombres. L’architecte Mélanie Gonin est toutefois parvenue à déceler son potentiel en imaginant une ouverture en plein ciel afin de faire entrer la lumière naturelle dans ce volume, écrasé par une faible hauteur sous plafond. La surface atypique était aussi vendue avec les combles attenants, augmentant son potentiel d’aménagement.
Après. Une grande verrière de 3,10 m de haut sur 2,30 m de large a été percée au centre de la pièce de vie, tout en conservant au maximum la structure du toit apparente. Ainsi métamorphosés et envahis de lumière naturelle, les lieux n’avaient déjà plus rien à voir avec l’appartement d’origine. Les combles ont également été aménagés en suite parentale, portant la superficie totale du logement à 80 m² au sol, contre 60 m² avant les travaux. Afin d’aménager une chambre à la petite fille du couple de propriétaires, la cuisine a été déplacée dans la pièce à vivre et l’espace libéré transformé en cocon pour enfant.
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7. Une maison délabrée rénovée et agrandie pour 80 000 €
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7. Une maison délabrée rénovée et agrandie pour 80 000 €
Avant. À la recherche d’un premier achat immobilier pour y vivre, l’architecte d’intérieur Laura Gimenez et son conjoint sont tombés sous le charme de cette maisonnette de 45 m² datant des années 30. Située à Pessac près de Bordeaux, l’espace était totalement à l’abandon et tout était à refaire pour créer un logement à leur image. À l’origine, l’intérieur de la maison était divisé en quatre pièces assez mal réparties et les nouveaux propriétaires ont choisi de ne rien conserver de l’existant en dehors de la charpente et des murs.
Après. La maison a été agrandie par l’avant avec une extension, construite dans le prolongement de la toiture existante afin de conserver le volume d’origine. Mêlant de grandes baies vitrées avec un bardage bois, qui rappelle les villas arcachonnaises, la nouvelle construction porte la superficie totale du logement à 72 m² habitables. La façade extérieure d’origine a été nettoyée et conservée dans la pièce de vie, qui s’étend désormais sur une surface de 26 m². Les sept mois de travaux ont aussi permis de réaménager les lieux pour optimiser au mieux les espaces. Deux chambres ont ainsi été créées grâce à la suppression de couloirs inutiles.
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8. 850 000 € pour une maison de rêve en Bretagne
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8. 850 000 € pour une maison de rêve en Bretagne
Avant. Cette belle maison bretonne, idéalement située face à la mer près de Paimpol, était abandonnée depuis 20 ans lorsqu’elle a tapé dans l’œil de ses nouveaux propriétaires. La bâtisse en L construite dans les années 70 s’étendait sur 170 m² et était prolongée par une terrasse et une piscine, sur un terrain de 3000 m². Ses murs de granite étaient solides et sa charpente était en bon état, mais toute la distribution intérieure était à revoir au rez-de-chaussée et l’étage n’avait jamais été aménagé. Aussi, les lieux ne tiraient pas assez parti de la belle vue sur mer.
Après. Afin de placer la vue au centre de l’aménagement intérieur, le pignon donnant sur mer a été percé lors de la phase de démolition. Une idée proposée par l’architecte d’intérieur Sébastien Guinut, de la société Octant Design, aux propriétaires et concrétisée par l’installation d’un mur-rideau, soit un vitrage placé exactement à fleur de façade. Pour le reste, 10 mois ont été nécessaires à la rénovation, l’ameublement, la décoration et l’aménagement des extérieurs de la bâtisse. Le cahier des charges était d’en faire une agréable maison de vacances de famille, dotée de cinq chambres avec salle de bains, contre trois chambres simples à l’origine.
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9. 320 000 € bien investis dans l’achat et la rénovation d’une vieille grange
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9. 320 000 € bien investis dans l’achat et la rénovation d’une vieille grange
Avant. Nichée dans le sud de la Gironde, cette vieille grange en bois et pierres de pays date des années 1900. Elle servait d’étable et de fenil au grand-père du cultivateur qui la possédait précédemment, mais n’était plus en service depuis de nombreuses années. Le bardage extérieur était d’ailleurs en très mauvais état, pourri par endroits. La partie sud du bâtiment culminait à six mètres et était couverte d’un bardage reposant sur une structure de poutres en chêne, le tout reposant sur un soubassement en pierre. De lourds travaux de rénovation étaient obligatoires pour transformer la bâtisse agricole de 120 m² en lieu de résidence.
Après. En pleine reconversion professionnelle, Frédéric Brillet ne s’est pas laissé impressionner par l’ampleur des travaux, qu’il a d’ailleurs réalisés en l’espace de 13 mois. L’idée principale du projet était de reproduire ce qui existait à l’origine avec des matériaux naturels : du bois de la région, de l’enduit à la chaux et une isolation en laine de bois. Un bardage en pin des Landes et une nouvelle toiture ont également été posés en faisant attention de laisser apparente la structure en bois d’origine, entièrement sablée, et des ouvertures ont été percées de tous les côtés. L’intérieur se compose aujourd’hui d’une grande pièce de vie, qui profite du volume sous charpente, de deux chambres, d’une salle de bains et d’un cellier. Un solivage a aussi été rebâti d’un côté de la bâtisse pour bénéficier d’un espace de rangement à l’étage.
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10. Une cave viticole transformée en cocon familial de 180 m²
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10. Une cave viticole transformée en cocon familial de 180 m²
Avant. Située au cœur d’un vignoble nantais, cette ancienne cave viticole avait déjà été partiellement aménagée mais était inoccupée depuis un peu plus d’un an. Les murs en pierre et la toiture étaient néanmoins en très bon état. À gauche se trouvait un garage ouvert sur la rue et la partie habitation prenait place derrière la façade en pierre apparente. Le volume intérieur de la bâtisse n’était pas simple à aménager en raison de différences de niveaux au sol. Des caves enterrées étaient en effet présentes à 1,80 mètre, voire 2 mètres.
Après. Menée par l’architecte Alexandra Crémois, de l’agence Ti.Pi-Architects, la rénovation a été faite en conservant au maximum l’existant : soit le portail, les murs en pierre, la charpente et la toiture d’origine. Toutes les ouvertures de la façade ont aussi été respectées, rénovées et consolidées par endroits, et l’aménagement intérieur a été pensé en fonction de leur emplacement. Situé à 10 mètres de haut au-dessus de la double porte, le faîtage d’origine a permis la création d’une mezzanine. Ainsi, le rez-de-chaussée a pu être consacré aux espaces de vie et les chambres ont pris place à l’étage.
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ET VOUS ?
Quel projet de rénovation vous a le plus impressionné ? Lequel avez-vous préféré ?
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