Suivez le Guide : Un garage et un atelier réunis en un loft cosy
Aoibheann MacNamara a entrepris un ambitieux projet en transformant un atelier et un garage en une maison confortable
Kate Burt
15 décembre 2016
Dans le domaine du design, les dilemmes abondent. Mais décider de garder ou pas cette fosse de garage au centre du rez-de-chaussée a été épineux. Un choix parmi tant d’autres pour la propriétaire, Aoibheann MacNamara, propriétaire d’un café et conceptrice de mode, lorsqu’elle a rénové sa maison de Galway.
Il aura fallu beaucoup de temps pour transformer ces anciens garage et atelier de menuiserie en une maison familiale chaleureuse. Beaucoup d’objets vintage, des textiles et du bois, ainsi que le chauffage au sol ont été des ajouts majeurs. Et le résultat est spectaculaire !
Coup d’œil
Qui habite ici : Aoibheann MacNamara, propriétaire d’Ard Bia Interiors, du café et restaurant Ard Bia à Galway, ainsi que de la marque de mode The Tweed Project, et son fils, Öni, 7 ans
Emplacement : à l’ouest de Galway, Irlande
Propriété : un atelier de menuiserie construit dans les années 1950
Superficie : 3 chambres à coucher, 2 salles de bains, dont une attenante à la chambre parentale. La maison compte aussi une annexe autonome avec une suite. Il est possible de la louer.
Architecte : Patrick McCabe, Galway
Constructeur : Ian Morrissey Renovations
Aménagement de la cuisine : ThisIsWhatTheyDo
Photos : Doreen Kilfeather, sauf indication contraire
Il aura fallu beaucoup de temps pour transformer ces anciens garage et atelier de menuiserie en une maison familiale chaleureuse. Beaucoup d’objets vintage, des textiles et du bois, ainsi que le chauffage au sol ont été des ajouts majeurs. Et le résultat est spectaculaire !
Coup d’œil
Qui habite ici : Aoibheann MacNamara, propriétaire d’Ard Bia Interiors, du café et restaurant Ard Bia à Galway, ainsi que de la marque de mode The Tweed Project, et son fils, Öni, 7 ans
Emplacement : à l’ouest de Galway, Irlande
Propriété : un atelier de menuiserie construit dans les années 1950
Superficie : 3 chambres à coucher, 2 salles de bains, dont une attenante à la chambre parentale. La maison compte aussi une annexe autonome avec une suite. Il est possible de la louer.
Architecte : Patrick McCabe, Galway
Constructeur : Ian Morrissey Renovations
Aménagement de la cuisine : ThisIsWhatTheyDo
Photos : Doreen Kilfeather, sauf indication contraire
Aoibheann MacNamara souhaitait créer un look industriel nordique dans cet ancien atelier rénové et transformé en maison en 2014. Avant le début des travaux, le bâtiment était à peine « industriel ». « Et pas dans le bon sens du terme », affirme-t-elle. « Il n’y avait qu’un toit et des murs et c’était un véritable atelier plein de poussière et de scies mécaniques ! »
Et pourtant, ce n’était que la moitié de la propriété ! L’autre partie avait servi de garage et possédait encore une fosse à voiture au centre du rez-de-chaussée. Aoibheann a voulu jouer avec l’idée de garder cet élément inhabituel et souhaitait y encastrer un canapé, comme elle l’avait déjà vu dans un restaurant à Dublin… Malheureusement, l’ingénieur en structure le lui a déconseillé.
L’espace de vie qu’on voit ici se trouve dans ce qui était auparavant l’atelier de menuiserie situé sur un côté de la bâtisse. La porte au fond de la pièce mène à la chambre d’Aoibheann.
Et pourtant, ce n’était que la moitié de la propriété ! L’autre partie avait servi de garage et possédait encore une fosse à voiture au centre du rez-de-chaussée. Aoibheann a voulu jouer avec l’idée de garder cet élément inhabituel et souhaitait y encastrer un canapé, comme elle l’avait déjà vu dans un restaurant à Dublin… Malheureusement, l’ingénieur en structure le lui a déconseillé.
L’espace de vie qu’on voit ici se trouve dans ce qui était auparavant l’atelier de menuiserie situé sur un côté de la bâtisse. La porte au fond de la pièce mène à la chambre d’Aoibheann.
Pour faire un clin d’œil au passé industriel de l’endroit, la propriétaire a fait couler des sols de béton poli partout au rez-de-chaussée. Le chauffage au sol rend l’espace très confortable.
Autre touche industrielle : l’escalier de métal qui mène du salon jusqu’à une trappe découpée dans le mur. C’est le seul moyen d’accéder à la chambre du fils d’Aoibheann, Öni !
La décoration des lieux est également riche en souvenirs de voyages. « Le coussin de sol vient de Marrakech et j’ai trouvé la mappemonde sur le mur dans une boutique d’antiquités de Lisbonne », souligne Aoibheann. « Le poêle à bois avec ses décorations sur les côtés reprend le style des pays d’Europe de l’Est. On peut doucement y laisser mijoter des tagines grâce à un réchaud intégré. Je suis fan des objets multifonctionnels. »
L’œuvre encadrée sur le mur de droite est d’Eimearjean McCormack, un artiste originaire de Cork qui vit maintenant à Galway. « Ce cadre profond est en réalité une boîte qui s’illumine avec la lumière naturelle et non à l’électricité », explique Aoibheann, « elle n’est pas rétroéclairée, mais elle réagit lorsque la lumière ambiante la touche. »
Autre touche industrielle : l’escalier de métal qui mène du salon jusqu’à une trappe découpée dans le mur. C’est le seul moyen d’accéder à la chambre du fils d’Aoibheann, Öni !
La décoration des lieux est également riche en souvenirs de voyages. « Le coussin de sol vient de Marrakech et j’ai trouvé la mappemonde sur le mur dans une boutique d’antiquités de Lisbonne », souligne Aoibheann. « Le poêle à bois avec ses décorations sur les côtés reprend le style des pays d’Europe de l’Est. On peut doucement y laisser mijoter des tagines grâce à un réchaud intégré. Je suis fan des objets multifonctionnels. »
L’œuvre encadrée sur le mur de droite est d’Eimearjean McCormack, un artiste originaire de Cork qui vit maintenant à Galway. « Ce cadre profond est en réalité une boîte qui s’illumine avec la lumière naturelle et non à l’électricité », explique Aoibheann, « elle n’est pas rétroéclairée, mais elle réagit lorsque la lumière ambiante la touche. »
« Pour ce bardage de bois, nous nous sommes inspirés d’un incroyable restaurant appelé Fäviken dans le nord de la Suède, qui fait d’ailleurs partie des cinquante meilleurs établissements au monde », indique la propriétaire. « Nous l’avons huilé pour l’assombrir. »
« Le canapé doit bien avoir dix ans mais il est encore en bon état. C’est un Laura Ashley », ajoute-t-elle.
« Le canapé doit bien avoir dix ans mais il est encore en bon état. C’est un Laura Ashley », ajoute-t-elle.
Un mur séparait à l’origine l’atelier et le garage. Il a été abattu pour réunir les deux parties du bâtiment en un espace de 10 mètres de long qui forme aujourd’hui le rez-de-chaussée de la maison. D’un côté, le coin salon, de l’autre la cuisine. Son plafond culmine à près de 5 mètres de hauteur.
« J’ai collaboré avec un constructeur et un architecte fantastiques », affirme-t-elle. « Ils sont très pro et ça a été un plaisir de travailler avec eux. La cuisine a été conçue par une entreprise de Dublin, ThisIsWhatWeDo, qui a créé de belles unités très simples avec des planches recyclées. Les poignées ont été réalisées à partir de l’acier des échafaudages. »
« J’adore les cuisines ouvertes parce que nous organisons des rencontres gastronomiques et des dîners », poursuit Aoibheann. « J’aime beaucoup aussi les étagères ouvertes, elles permettent de repérer ses ingrédients en un coup d’œil, ça facilite la préparation des repas. On cuisine avec ce qu’on a sous la main. Je suis un chef sans prétention donc ici, pas de gadgets : un ouvre-boîte et de bons couteaux me suffisent. »
Au premier plan de la photo, sur le plan de travail, on aperçoit une fontaine filtrante en céramique. « On change le filtre seulement une fois l’an. La fontaine peut contenir jusqu’à deux litres d’eau et possède un robinet sur le côté », explique Aoibheann.
Armoire métallique PS et lampes Ranarp blanches : Ikea
Photo : Ben Geoghegan
« J’ai collaboré avec un constructeur et un architecte fantastiques », affirme-t-elle. « Ils sont très pro et ça a été un plaisir de travailler avec eux. La cuisine a été conçue par une entreprise de Dublin, ThisIsWhatWeDo, qui a créé de belles unités très simples avec des planches recyclées. Les poignées ont été réalisées à partir de l’acier des échafaudages. »
« J’adore les cuisines ouvertes parce que nous organisons des rencontres gastronomiques et des dîners », poursuit Aoibheann. « J’aime beaucoup aussi les étagères ouvertes, elles permettent de repérer ses ingrédients en un coup d’œil, ça facilite la préparation des repas. On cuisine avec ce qu’on a sous la main. Je suis un chef sans prétention donc ici, pas de gadgets : un ouvre-boîte et de bons couteaux me suffisent. »
Au premier plan de la photo, sur le plan de travail, on aperçoit une fontaine filtrante en céramique. « On change le filtre seulement une fois l’an. La fontaine peut contenir jusqu’à deux litres d’eau et possède un robinet sur le côté », explique Aoibheann.
Armoire métallique PS et lampes Ranarp blanches : Ikea
Photo : Ben Geoghegan
La vitrine peinte dans la pièce à vivre a été upcyclée par un ami.
Après avoir aménagé de nombreux restaurants au fil des ans, Aoibheann fait aujourd’hui confiance à son sens esthétique. « Mais on ne sait jamais exactement comment tous les éléments vont finir par s’agencer et créer un ensemble », souligne-t-elle.
Pendant les travaux, elle a réduit son temps de travail pour pouvoir être sur place et superviser le projet. Certains entrepreneurs n’ont pas été immédiatement convaincus par les idées d’Aoibheann, surtout concernant ses choix esthétiques, mais ça ne l’a pas empêchée de rester fidèle à ses convictions.
Pendant les travaux, elle a réduit son temps de travail pour pouvoir être sur place et superviser le projet. Certains entrepreneurs n’ont pas été immédiatement convaincus par les idées d’Aoibheann, surtout concernant ses choix esthétiques, mais ça ne l’a pas empêchée de rester fidèle à ses convictions.
Les robinets dans la cuisine en sont un bel exemple. « Je crois que des robinets doivent rester sobres », déclare-t-elle. « Ils doivent avant tout être fonctionnels. J’aime la simplicité dans ce genre d’accessoires. »
Aoibheann a demandé au plombier de fabriquer les robinets. Un projet impliquant une personnalisation créative et un peu de soudure. « Il m’en a un peu voulu », s’amuse-t-elle, « mais depuis, nous sommes devenus amis. »
Le plateau a été offert par un ami.
Photo : Ben Geoghegan
Aoibheann a demandé au plombier de fabriquer les robinets. Un projet impliquant une personnalisation créative et un peu de soudure. « Il m’en a un peu voulu », s’amuse-t-elle, « mais depuis, nous sommes devenus amis. »
Le plateau a été offert par un ami.
Photo : Ben Geoghegan
Dans la même veine, Aoibheann a vraiment dû insister pour la réalisation de la porte coulissante : c’est son constructeur qui l’a fabriquée à partir de planches d’échafaudage afin de l’harmoniser avec l’étagère (voir les photos précédentes). Il faut dire que ce n’était pas une décision économique !
Le projet a dépassé le budget de 40-50 000 euros d’Aoibheann, mais cette dernière ne s’est pas démontée et a pu couvrir ces frais en souscrivant une hypothèque. « Je préfère payer un peu plus aujourd’hui et vivre avec une maison qui me plaira longtemps. Comme disait Frank Lloyd Wright : “La qualité s’inscrit dans la durée.” En voulant faire des économies, on finit parfois par payer deux fois le prix. »
Le projet a dépassé le budget de 40-50 000 euros d’Aoibheann, mais cette dernière ne s’est pas démontée et a pu couvrir ces frais en souscrivant une hypothèque. « Je préfère payer un peu plus aujourd’hui et vivre avec une maison qui me plaira longtemps. Comme disait Frank Lloyd Wright : “La qualité s’inscrit dans la durée.” En voulant faire des économies, on finit parfois par payer deux fois le prix. »
Les couleurs sont volontairement sourdes. « Je suis un peu obsédée par les cinquante nuances de gris », poursuit-elle.
Les plans de travail en béton ont été fabriqués sur mesure par le même entrepreneur qui a coulé les sols. Le mur blanchi à la chaux a, lui aussi, laissé perplexes les entrepreneurs qui s’attendaient à voir la propriétaire les plâtrer. « C’était un mur de ciment très banal », ajoute-t-elle, « mais je leur ai simplement demandé de le peindre. »
L’abondance de bois donne un aspect rustique et décontracté. « J’ai voulu intégrer du bois pour adoucir l’effet du sol en béton poli », explique-t-elle.
L’évier timbre d’office (plus grand qu’un modèle Belfast) est une pièce vintage. « J’aime bien son petit côté historique », raconte Aoibheann. Les carreaux en crédence viennent de Marrakech.
La table a été fabriquée par son menuisier, Nathan Nokes. « La base est faite de piliers d’échafaudage tandis que le plateau en bois est neuf », souligne-t-elle. « Je voulais que ce soit vraiment épuré et sans fissures, dans lesquelles les miettes auraient pu tomber. Je crois que c’est de l’orme, c’est très résistant et extrêmement bien scellé. »
Meubles de cuisine peints en Plummett : Farrow & Ball
Les plans de travail en béton ont été fabriqués sur mesure par le même entrepreneur qui a coulé les sols. Le mur blanchi à la chaux a, lui aussi, laissé perplexes les entrepreneurs qui s’attendaient à voir la propriétaire les plâtrer. « C’était un mur de ciment très banal », ajoute-t-elle, « mais je leur ai simplement demandé de le peindre. »
L’abondance de bois donne un aspect rustique et décontracté. « J’ai voulu intégrer du bois pour adoucir l’effet du sol en béton poli », explique-t-elle.
L’évier timbre d’office (plus grand qu’un modèle Belfast) est une pièce vintage. « J’aime bien son petit côté historique », raconte Aoibheann. Les carreaux en crédence viennent de Marrakech.
La table a été fabriquée par son menuisier, Nathan Nokes. « La base est faite de piliers d’échafaudage tandis que le plateau en bois est neuf », souligne-t-elle. « Je voulais que ce soit vraiment épuré et sans fissures, dans lesquelles les miettes auraient pu tomber. Je crois que c’est de l’orme, c’est très résistant et extrêmement bien scellé. »
Meubles de cuisine peints en Plummett : Farrow & Ball
Les anneaux de gym apportent une touche d’excentricité. Ils ont été réalisés par le conjoint de l’associée d’Aoibheann. « Öni y grimpe sans arrêt. Nous avons l’espace pour ça, alors autant en profiter. »
« J’ai ces chaises de salle à manger depuis très longtemps », indique Aoibheann. « Elles proviennent d’une vieille maison et doivent bien avoir cent ans. Elles ont été peintes en blanc et gris. »
L’espace ouvert est illuminé par trois grandes suspensions (qu’on ne voit pas sur la photo), mais Aoibheann préfère s’éclairer à l’aide de lampes dispersées dans la pièce, ou à la bougie.
L’espace ouvert est illuminé par trois grandes suspensions (qu’on ne voit pas sur la photo), mais Aoibheann préfère s’éclairer à l’aide de lampes dispersées dans la pièce, ou à la bougie.
Ce collage est l’œuvre d’une amie d’Aoibheann, Joana Astolfi, artiste de Lisbonne. Elle est accrochée au-dessus d’un assemblage coloré de cactus disposé sur une armoire métallique PS, de chez Ikea.
Ici, c’est la chambre d’Aoibheann, que l’on a pu apercevoir sur les photos de la pièce à vivre. « J’ai fait installer une cimaise parce que j’aime changer régulièrement les œuvres exposées », explique-t-elle.
Le portant a été fabriqué à partir d’un poteau d’acier industriel. « Une armoire occupe beaucoup trop d’espace », explique Aoibheann. « Comme pour les contenants translucides de la cuisine, c’est facile de voir ce qu’on veut porter. C’est ce qui se fait de plus épuré, de plus agréable, de plus léger et de moins encombrant pour une chambre. »
Le portant a été fabriqué à partir d’un poteau d’acier industriel. « Une armoire occupe beaucoup trop d’espace », explique Aoibheann. « Comme pour les contenants translucides de la cuisine, c’est facile de voir ce qu’on veut porter. C’est ce qui se fait de plus épuré, de plus agréable, de plus léger et de moins encombrant pour une chambre. »
La chambre d’Öni, au sommet de l’escalier du salon, se trouve sous les combles.
Une œuvre de l’artiste américain Spencer Tunick est exposée dans le hall d’entrée. On y trouve aussi une patère, un petit bureau et la collection de raquettes de tennis de la propriétaire.
L’escalier – le seul dans la maison, à part celui de métal qui mène à la chambre d’Öni – conduit à un appartement privé et autonome qu’Aoibheann loue aux vacanciers.
Bureau et tabouret : Ikea
Photo : Ben Geoghegan
L’escalier – le seul dans la maison, à part celui de métal qui mène à la chambre d’Öni – conduit à un appartement privé et autonome qu’Aoibheann loue aux vacanciers.
Bureau et tabouret : Ikea
Photo : Ben Geoghegan
Une collection de chapeaux est rangée dans une étagère posée à côté de l’escalier, dans le couloir du bas qui mène à une pièce que la propriétaire utilise pour son entreprise de mode, The Tweed Project.
The Tweed Project a son propre showroom dans la maison. Ce portant rustique sert notamment à présenter les vêtements de la collection.
Au sommet de l’escalier, Aoibheann a créé un mur composé d’anciennes fenêtres pour augmenter la luminosité dans la chambre à louer, d’où cette photo est prise.
Aoibheann aurait voulu utiliser les fenêtres d’origine du bâtiment, mais celles-ci tombaient en morceaux. À la place, elle a conçu avec son équipe une mosaïque de fenêtres recyclées pour créer cette verrière étonnante.
Dans la salle de bains parentale, la baignoire sur pieds a été dénichée dans une déchetterie et aussitôt repeinte dans l’une des cinquante nuances préférées de la propriétaire. Une caisse à vin retournée sert de table d’appoint tandis qu’une peau de renne achetée lors d’un séjour dans le cercle arctique est utilisée comme tapis de bain. Les carreaux proviennent de Marrakech.
Photo : Ben Geoghegan
Photo : Ben Geoghegan
Le lavabo de la salle de bains, monté sur des piliers d’échafaudage, est en fait un ancien évier de cuisine avec égouttoir. Les carreaux de la crédence sont les mêmes que ceux de la cuisine.
« Le miroir rétroéclairé est identique à celui de l’hôtel Michel Berger, à Berlin », raconte Aoibheann. Ici, l’intensité lumineuse s’ajuste selon les besoins.
Évier : CS Architectural Salvage, à Derry ; Miroir rétroéclairé : Ikea
« Le miroir rétroéclairé est identique à celui de l’hôtel Michel Berger, à Berlin », raconte Aoibheann. Ici, l’intensité lumineuse s’ajuste selon les besoins.
Évier : CS Architectural Salvage, à Derry ; Miroir rétroéclairé : Ikea
Witchy le chat adore sa nouvelle maison !
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La rubrique Suivez le Guide est composée de reportages photo organisés par Houzz dans les intérieurs de Houzzers décorés avec goût. Vous aussi, vous êtes fier de votre foyer et voulez le partager avec nous ? Envoyez-nous quelques photos à redaction@houzz.com !
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