Tour du monde
Tour du monde : 11 hommes ouvrent les portes de leurs repaires
A quoi ressemble donc le bureau, le salon ou même la salle de bains d'un homme ? Voyage à travers le monde pour une réponse en 11 temps
Cet article est issu d’une série de dossiers préparés par l’ensemble des rédactions Houzz. Ils explorent les foyers de Houzzers du monde entier pour comprendre la façon dont nos modes de vie et notre pays de résidence influencent la décoration et l’aménagement de nos maisons
Un « espace typiquement masculin » ne se limite pas au garage rempli de voitures anciennes – quoique. En réalité, c’est tellement plus que ça ! Si l’on se fie à ce qu’en pensent ces messieurs à l’imagination débordante, un espace masculin, c’est un lieu qui permet de méditer sur sa vie, de cultiver ses intérêts et ses passions, de s’échapper du quotidien et de s’entourer des objets qui nous sont chers. Par-dessus tout, c’est un espace qui reflète son individualité et sa personnalité, et ce, quel que soit le budget. C’est dans cet esprit que nous sommes allés à la rencontre de 11 hommes aux intérieurs créatifs.
Un « espace typiquement masculin » ne se limite pas au garage rempli de voitures anciennes – quoique. En réalité, c’est tellement plus que ça ! Si l’on se fie à ce qu’en pensent ces messieurs à l’imagination débordante, un espace masculin, c’est un lieu qui permet de méditer sur sa vie, de cultiver ses intérêts et ses passions, de s’échapper du quotidien et de s’entourer des objets qui nous sont chers. Par-dessus tout, c’est un espace qui reflète son individualité et sa personnalité, et ce, quel que soit le budget. C’est dans cet esprit que nous sommes allés à la rencontre de 11 hommes aux intérieurs créatifs.
Le lieu
La péniche de Lee est amarrée sur un canal tout juste à l’extérieur des bureaux de sa firme de design Bert & May. C’est un point de chute idéal lorsqu’il travaille à Londres et qu’il est loin de sa famille, qui habite dans le Yorkshire à 300 kilomètres de la capitale. « J’aime les intérieurs épurés et lumineux, ce qui représente parfois un défi à cause du climat anglais. J’ai conçu l’aménagement de cette péniche pour qu’elle soit traversée de lumière et qu’on puisse s’asseoir entre amis, regarder passer les gens et déguster tranquillement un verre de vin », raconte Lee.
À l’intérieur, plutôt que de surcharger l’espace – ce qui est souvent le cas avec les péniches traditionnelles – Lee a choisi de s’en tenir à l’essentiel. « Je n’ai utilisé qu’un petit nombre de matériaux. Le résultat : un look simple sans surcharge. Par contre, j’ai voulu que la vie ici devienne une véritable expérience, j’ai donc truffé le lieu de luxueux détails comme un comptoir de marbre avec prises électriques escamotables », souligne-t-il.
À l’extérieur, le designer a élaboré un toit-terrasse pour offrir un belvédère supplémentaire. « La terrasse est pavée de carreaux de ciment anciens provenant d’Italie et d’Espagne. Ils sont plus que centenaires et ont acquis une magnifique patine avec le temps », raconte Lee.
La péniche de Lee est amarrée sur un canal tout juste à l’extérieur des bureaux de sa firme de design Bert & May. C’est un point de chute idéal lorsqu’il travaille à Londres et qu’il est loin de sa famille, qui habite dans le Yorkshire à 300 kilomètres de la capitale. « J’aime les intérieurs épurés et lumineux, ce qui représente parfois un défi à cause du climat anglais. J’ai conçu l’aménagement de cette péniche pour qu’elle soit traversée de lumière et qu’on puisse s’asseoir entre amis, regarder passer les gens et déguster tranquillement un verre de vin », raconte Lee.
À l’intérieur, plutôt que de surcharger l’espace – ce qui est souvent le cas avec les péniches traditionnelles – Lee a choisi de s’en tenir à l’essentiel. « Je n’ai utilisé qu’un petit nombre de matériaux. Le résultat : un look simple sans surcharge. Par contre, j’ai voulu que la vie ici devienne une véritable expérience, j’ai donc truffé le lieu de luxueux détails comme un comptoir de marbre avec prises électriques escamotables », souligne-t-il.
À l’extérieur, le designer a élaboré un toit-terrasse pour offrir un belvédère supplémentaire. « La terrasse est pavée de carreaux de ciment anciens provenant d’Italie et d’Espagne. Ils sont plus que centenaires et ont acquis une magnifique patine avec le temps », raconte Lee.
Le petit plus
« Vivre sur le canal ouvre une toute nouvelle perspective sur la vie londonienne. Il y a des canards qui viennent patauger par ici et une foulque élève ses petits juste à côté », explique Lee qui aimerait acheter un canot pour faire des balades. « J’aime aussi que ce soit une vraie maison. On y est à l’aise et c’est élégant : les deux sont essentiels pour moi. »
Le must-have
« Pour moi, ça tient en un espace désencombré où l’on peut se relaxer et prendre du bon temps avec des amis. » Selon Lee, ça doit être « un lieu qui fait place à la technologie… mais avec élégance. Par exemple, des prises escamotables cachées sous le comptoir et un chauffage contrôlé à distance ».
Découvrez l’ensemble du projet
« Vivre sur le canal ouvre une toute nouvelle perspective sur la vie londonienne. Il y a des canards qui viennent patauger par ici et une foulque élève ses petits juste à côté », explique Lee qui aimerait acheter un canot pour faire des balades. « J’aime aussi que ce soit une vraie maison. On y est à l’aise et c’est élégant : les deux sont essentiels pour moi. »
Le must-have
« Pour moi, ça tient en un espace désencombré où l’on peut se relaxer et prendre du bon temps avec des amis. » Selon Lee, ça doit être « un lieu qui fait place à la technologie… mais avec élégance. Par exemple, des prises escamotables cachées sous le comptoir et un chauffage contrôlé à distance ».
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2. L’appartement gothique d’un styliste amateur en Allemagne
Nom : Marcus Kauth
Âge : 37 ans
Activités professionnelles : concepteur Web, photographe et créateur de mode gothique amateur
Emplacement : Berlin, Allemagne
Ce qui se passe ici : Marcus nourrit ici sa passion pour le gothique : il y collectionne antiquités et trouvailles et confectionne des vêtements dans ce même style pendant son temps libre.
Superficie : 146 m²
Nom : Marcus Kauth
Âge : 37 ans
Activités professionnelles : concepteur Web, photographe et créateur de mode gothique amateur
Emplacement : Berlin, Allemagne
Ce qui se passe ici : Marcus nourrit ici sa passion pour le gothique : il y collectionne antiquités et trouvailles et confectionne des vêtements dans ce même style pendant son temps libre.
Superficie : 146 m²
Le lieu
Quand il s’agit de son intérieur, Marcus aime que ses objets se remarquent et « s’expriment ». C’est pourquoi il a choisi des contrastes forts entre les bois foncés des meubles, les murs blancs et les photos noir et blanc. Marcus est un fan du travail d’Helmut Newton et de Peter Lindbergh. « Par chance, quand j’ai emménagé, l’appartement était déjà entièrement blanc et je n’ai pas eu à faire de gros travaux », raconte-t-il. « Ce qui fait que je m’y sens vraiment chez moi, c’est qu’il regorge de pièces anciennes. »
Quand il s’agit de son intérieur, Marcus aime que ses objets se remarquent et « s’expriment ». C’est pourquoi il a choisi des contrastes forts entre les bois foncés des meubles, les murs blancs et les photos noir et blanc. Marcus est un fan du travail d’Helmut Newton et de Peter Lindbergh. « Par chance, quand j’ai emménagé, l’appartement était déjà entièrement blanc et je n’ai pas eu à faire de gros travaux », raconte-t-il. « Ce qui fait que je m’y sens vraiment chez moi, c’est qu’il regorge de pièces anciennes. »
Le petit plus
« Même si l’appartement est assez chargé, il ne semble jamais encombré parce que chaque chose est à sa place et a une histoire propre », explique Marcus. « L’ensemble est agréable, mais chaque objet pris individuellement a aussi son intérêt. Il faut ajouter que j’adore mon piano et le lit que j’ai conçu et construit moi-même. »
Le must-have
« Les objets en eux-mêmes comptent moins que la façon dont ils révèlent la personnalité d’un homme », déclare Marcus. « En pénétrant dans un espace masculin, on devrait être en mesure de voir et de sentir quel genre d’homme y habite… Et un bar ne gâche rien ! »
Découvrez plus de photos de cet espace
« Même si l’appartement est assez chargé, il ne semble jamais encombré parce que chaque chose est à sa place et a une histoire propre », explique Marcus. « L’ensemble est agréable, mais chaque objet pris individuellement a aussi son intérêt. Il faut ajouter que j’adore mon piano et le lit que j’ai conçu et construit moi-même. »
Le must-have
« Les objets en eux-mêmes comptent moins que la façon dont ils révèlent la personnalité d’un homme », déclare Marcus. « En pénétrant dans un espace masculin, on devrait être en mesure de voir et de sentir quel genre d’homme y habite… Et un bar ne gâche rien ! »
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3. Le repaire d’un créa français
Nom : Maxime Charon
Âge : 25 ans
Activité professionnelle : rédacteur publicitaire
Emplacement : Caen, en Normandie
Ce qui se passe ici : Maxime donne libre cours à sa créativité dans son petit mais ô combien fonctionnel coin bureau
Superficie : 1,3 mètre de largeur
Nom : Maxime Charon
Âge : 25 ans
Activité professionnelle : rédacteur publicitaire
Emplacement : Caen, en Normandie
Ce qui se passe ici : Maxime donne libre cours à sa créativité dans son petit mais ô combien fonctionnel coin bureau
Superficie : 1,3 mètre de largeur
Le lieu
Maxime partage son appartement avec son amie Gwendoline Kerveillant et son chat Richard Parker. Parce qu’il avait besoin d’un espace pour stimuler son imagination et sa créativité, Maxime a investi le devant de l’appartement et a réussi à trouver un espace pour faire entrer un petit bureau ultra-fonctionnel. « C’est peut-être parce que je travaille dans une agence de pub, mais je trouve qu’un bureau doit refléter la créativité de celui qui l’occupe », affirme-t-il. « C’est un argument qui m’a permis de convaincre mon amie que j’ai le droit à mon coin, aussi désordonné soit-il. »
Son bureau, Maxime l’a installé dans un coin, face au mur pour tourner le dos au coin salon avec TV : « Quand j’arrive ici, je me sens comme dans une bulle. Une bulle qui me permet d’être mentalement et physiquement “dans mes pensées”. »
Ici, chaque objet raconte une histoire : depuis les photos de moments heureux, aux anciennes cartes, en passant par le kookaburra en peluche – qui lui rappelle l’Australie, où il a fait un voyage – et les clins d’œil à son enfance : des figurines des Tortues Ninja et une affiche de Retour vers le futur.
Un message encadré déposé sur le bureau fait référence à sa série télé favorite : « What Would Don Draper Do ? » (« Que ferait Don Draper ? ») « J’ai découvert Mad Men pendant mes études en publicité. J’ai été fasciné par cet univers sixties. Quand je suis à la recherche d’une accroche, je fais souvent des blagues au sujet de Don Draper en me demandant ce que lui aurait fait. »
Maxime partage son appartement avec son amie Gwendoline Kerveillant et son chat Richard Parker. Parce qu’il avait besoin d’un espace pour stimuler son imagination et sa créativité, Maxime a investi le devant de l’appartement et a réussi à trouver un espace pour faire entrer un petit bureau ultra-fonctionnel. « C’est peut-être parce que je travaille dans une agence de pub, mais je trouve qu’un bureau doit refléter la créativité de celui qui l’occupe », affirme-t-il. « C’est un argument qui m’a permis de convaincre mon amie que j’ai le droit à mon coin, aussi désordonné soit-il. »
Son bureau, Maxime l’a installé dans un coin, face au mur pour tourner le dos au coin salon avec TV : « Quand j’arrive ici, je me sens comme dans une bulle. Une bulle qui me permet d’être mentalement et physiquement “dans mes pensées”. »
Ici, chaque objet raconte une histoire : depuis les photos de moments heureux, aux anciennes cartes, en passant par le kookaburra en peluche – qui lui rappelle l’Australie, où il a fait un voyage – et les clins d’œil à son enfance : des figurines des Tortues Ninja et une affiche de Retour vers le futur.
Un message encadré déposé sur le bureau fait référence à sa série télé favorite : « What Would Don Draper Do ? » (« Que ferait Don Draper ? ») « J’ai découvert Mad Men pendant mes études en publicité. J’ai été fasciné par cet univers sixties. Quand je suis à la recherche d’une accroche, je fais souvent des blagues au sujet de Don Draper en me demandant ce que lui aurait fait. »
Le petit plus
« J’aime qu’ici, rien ne puisse me distraire. Comme le reste de l’appartement est derrière moi, je peux me concentrer sur mes pensées sans être dérangé par la télé et les autres bruits de la maison », affirme Maxime. « De plus, j’aime la fenêtre à ma gauche qui laisse entrer la lumière et me permet de laisser vagabonder mon esprit au-dessus des toits, vers le ciel. Comme il n’y a pas de voiture, c’est très calme. »
Le must-have
« Comme dirait John Gray, les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus. Parfois, les hommes ne ressentent pas le besoin de parler, mais plutôt celui d’avoir un espace bien à eux pour pouvoir réfléchir et faire le plein d’idées », conclut Maxime.
Découvrez plus de photos de ce bureau
« J’aime qu’ici, rien ne puisse me distraire. Comme le reste de l’appartement est derrière moi, je peux me concentrer sur mes pensées sans être dérangé par la télé et les autres bruits de la maison », affirme Maxime. « De plus, j’aime la fenêtre à ma gauche qui laisse entrer la lumière et me permet de laisser vagabonder mon esprit au-dessus des toits, vers le ciel. Comme il n’y a pas de voiture, c’est très calme. »
Le must-have
« Comme dirait John Gray, les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus. Parfois, les hommes ne ressentent pas le besoin de parler, mais plutôt celui d’avoir un espace bien à eux pour pouvoir réfléchir et faire le plein d’idées », conclut Maxime.
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4. En Russie, du sur-mesure pour un ébéniste
Nom : Vladimir Sedinkin
Âge : 30 ans
Activité professionnelle : propriétaire de l’atelier de fabrication de meubles Stolyarka Derevo
Emplacement : Moscou, Russie
Ce qui se passe ici : Ce sont les « terres privées » de Vladimir, un endroit pour échapper à l’agitation de la maison, qu’il partage avec ses colocataires.
Superficie : L’appartement fait 84 m² et la chambre de Vladimir 18 m².
Nom : Vladimir Sedinkin
Âge : 30 ans
Activité professionnelle : propriétaire de l’atelier de fabrication de meubles Stolyarka Derevo
Emplacement : Moscou, Russie
Ce qui se passe ici : Ce sont les « terres privées » de Vladimir, un endroit pour échapper à l’agitation de la maison, qu’il partage avec ses colocataires.
Superficie : L’appartement fait 84 m² et la chambre de Vladimir 18 m².
Le lieu
Même s’il possède un atelier de menuiserie, Vladimir a à peine eu le temps d’y mettre les pieds pendant 6 mois. En fait, jusqu’à ce qu’il emménage dans cet appartement du centre-ville de Moscou. Avec deux colocataires, il a tout repeint en blanc et s’est occupé de fabriquer presque tous les meubles de la cuisine et des trois chambres.
Deux priorités se sont rapidement imposées pour la chambre de Vladimir. Premièrement, il fallait créer une retraite calme et confortable pour s’isoler dans une maison de fêtards. Deuxièmement, il fallait exploiter au maximum un espace plus que restreint. Pour ce faire, l’ébéniste a conçu et fabriqué une estrade en bois, flanquée de quelques marches, qui ajoute un niveau et donne l’illusion que la pièce est beaucoup plus vaste qu’elle ne l’est en réalité. Sous le lit se cachent des rangements pour les vêtements et les livres.
Pour aménager son petit espace personnel, Vladimir a utilisé un bois qu’il affectionne particulièrement : l’orme. Il s’en est servi pour la tête de lit et l’estrade sur lequel il a déposé un matelas confortable. La pièce est aménagée avec des trouvailles dégotées partout dans le monde : les bois de cerf au-dessus de la fenêtre proviennent d’Israël et la balance, qui sert aujourd’hui de présentoir pour une collection de pin’s, a été fabriquée en Italie en 1939. « La tête de verre est une pièce de collection, il n’en existe que vingt. Je l’ai marchandé lors d’une exposition et je l’ai finalement troquée contre une bibliothèque sortie de mes ateliers », raconte Vladimir
Même s’il possède un atelier de menuiserie, Vladimir a à peine eu le temps d’y mettre les pieds pendant 6 mois. En fait, jusqu’à ce qu’il emménage dans cet appartement du centre-ville de Moscou. Avec deux colocataires, il a tout repeint en blanc et s’est occupé de fabriquer presque tous les meubles de la cuisine et des trois chambres.
Deux priorités se sont rapidement imposées pour la chambre de Vladimir. Premièrement, il fallait créer une retraite calme et confortable pour s’isoler dans une maison de fêtards. Deuxièmement, il fallait exploiter au maximum un espace plus que restreint. Pour ce faire, l’ébéniste a conçu et fabriqué une estrade en bois, flanquée de quelques marches, qui ajoute un niveau et donne l’illusion que la pièce est beaucoup plus vaste qu’elle ne l’est en réalité. Sous le lit se cachent des rangements pour les vêtements et les livres.
Pour aménager son petit espace personnel, Vladimir a utilisé un bois qu’il affectionne particulièrement : l’orme. Il s’en est servi pour la tête de lit et l’estrade sur lequel il a déposé un matelas confortable. La pièce est aménagée avec des trouvailles dégotées partout dans le monde : les bois de cerf au-dessus de la fenêtre proviennent d’Israël et la balance, qui sert aujourd’hui de présentoir pour une collection de pin’s, a été fabriquée en Italie en 1939. « La tête de verre est une pièce de collection, il n’en existe que vingt. Je l’ai marchandé lors d’une exposition et je l’ai finalement troquée contre une bibliothèque sortie de mes ateliers », raconte Vladimir
Le petit plus
Notre ébéniste, qui avoue commencer à se lasser de la vie de noceur, savoure maintenant la paix et le calme de son espace. « J’ai choisi la pièce la plus éloignée de l’entrée, celle qui est orientée sur la cour. C’est assez tranquille, bien qu’on soit dans le centre-ville », explique Vladimir. « Il était très important d’aménager ma chambre à ma manière. La seule chose à laquelle je n’ai pas touché, c’est le parquet. À part ça, il n’y a rien qui ne soit pas à moi ici. »
Le must-have
L’épure. « Je ne parle pas seulement de l’entretien de base, mais aussi de se libérer des trucs inutiles », affirme Vladimir.
Découvrez plus de photos de cet espace
Notre ébéniste, qui avoue commencer à se lasser de la vie de noceur, savoure maintenant la paix et le calme de son espace. « J’ai choisi la pièce la plus éloignée de l’entrée, celle qui est orientée sur la cour. C’est assez tranquille, bien qu’on soit dans le centre-ville », explique Vladimir. « Il était très important d’aménager ma chambre à ma manière. La seule chose à laquelle je n’ai pas touché, c’est le parquet. À part ça, il n’y a rien qui ne soit pas à moi ici. »
Le must-have
L’épure. « Je ne parle pas seulement de l’entretien de base, mais aussi de se libérer des trucs inutiles », affirme Vladimir.
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5. La jam room rétro d’un artiste graffeur australien
Nom : Austin « Nitsua » Moncrieff
Âge : 36 ans
Activité professionnelle : Concepteur graphique, artiste et « extrémiste créatif »
Emplacement : Byron Bay, Nouvelle-Galles du Sud, Australie
Ce qui se passe ici : Austin et ses collègues s’y payent du bon temps dans un univers rétro fait de planches de skates et de graffitis. L’endroit sert à la fois pour jammer et pour se relaxer.
Superficie : 2 chambres, 1 salle de bains
Nom : Austin « Nitsua » Moncrieff
Âge : 36 ans
Activité professionnelle : Concepteur graphique, artiste et « extrémiste créatif »
Emplacement : Byron Bay, Nouvelle-Galles du Sud, Australie
Ce qui se passe ici : Austin et ses collègues s’y payent du bon temps dans un univers rétro fait de planches de skates et de graffitis. L’endroit sert à la fois pour jammer et pour se relaxer.
Superficie : 2 chambres, 1 salle de bains
Le lieu
Ce qui n’était au départ qu’une toile vierge est rapidement devenu pour Austin un espace d’« extrémisme créatif », un défouloir. L’artiste, poussé par sa détermination, a voulu créer un espace où ses passe-temps pourraient se transformer en un mode de vie. C’est pourquoi la pièce entièrement dédiée à la musique – qu’il partage avec son colocataire, Flavio Biehl – est remplie de platines, d’une batterie, d’une guitare acoustique, d’une basse et de bongos. « On a tout ce que vous désirez ! », s’exclame le musicien. « C’est l’endroit idéal pour jouer ensemble : parfait pour les potes réguliers et ceux qui viennent de loin. »
Aux murs, on retrouve les œuvres de Nitsua (Austin épelé à l’envers) et des planches de skate customisées par des artistes locaux. Tout à côté de la jam room a été aménagé un espace pour se relaxer autour de meubles rétro de récup’. Ici, l’élément vedette est un petit meuble décoré par Nitsua, surnommé « Mr. Roboto ».
L’influence des seventies est partout : on la ressent dans le choix des couleurs, des formes et des motifs qu’Austin adore (il a travaillé comme designer textile) ainsi que dans l’atmosphère décontractée propre à la décennie. Comme le souligne l’artiste : « L’endroit est l’expression pure de notre mode de vie : l’art, les skates, la musique. C’est ce qu’on aime, ce qui nous nourrit et nous fait vibrer au quotidien. »
Ce qui n’était au départ qu’une toile vierge est rapidement devenu pour Austin un espace d’« extrémisme créatif », un défouloir. L’artiste, poussé par sa détermination, a voulu créer un espace où ses passe-temps pourraient se transformer en un mode de vie. C’est pourquoi la pièce entièrement dédiée à la musique – qu’il partage avec son colocataire, Flavio Biehl – est remplie de platines, d’une batterie, d’une guitare acoustique, d’une basse et de bongos. « On a tout ce que vous désirez ! », s’exclame le musicien. « C’est l’endroit idéal pour jouer ensemble : parfait pour les potes réguliers et ceux qui viennent de loin. »
Aux murs, on retrouve les œuvres de Nitsua (Austin épelé à l’envers) et des planches de skate customisées par des artistes locaux. Tout à côté de la jam room a été aménagé un espace pour se relaxer autour de meubles rétro de récup’. Ici, l’élément vedette est un petit meuble décoré par Nitsua, surnommé « Mr. Roboto ».
L’influence des seventies est partout : on la ressent dans le choix des couleurs, des formes et des motifs qu’Austin adore (il a travaillé comme designer textile) ainsi que dans l’atmosphère décontractée propre à la décennie. Comme le souligne l’artiste : « L’endroit est l’expression pure de notre mode de vie : l’art, les skates, la musique. C’est ce qu’on aime, ce qui nous nourrit et nous fait vibrer au quotidien. »
Le petit plus
Mr. Roboto. On peut l’apercevoir ici à gauche et encore plus aisément dans les photos précédentes. « Je ne serais jamais capable de le vendre. Avec son œil de cyclope, sa moustache en nuage et ses ailerons de planche de surf à la place des bras, il ressemble à un vieux radio-réveil des années 1950 qui se serait propulsé dans le futur », raconte Austin. « C’est un véritable personnage avec des centaines d’histoires à raconter. »
Le must-have
« On s’attendrait à ce que je dise un frigo à bière », plaisante Austin, « mais je dirais plutôt une horloge sans piles. »
Découvrez plus de photos de cette maison
Mr. Roboto. On peut l’apercevoir ici à gauche et encore plus aisément dans les photos précédentes. « Je ne serais jamais capable de le vendre. Avec son œil de cyclope, sa moustache en nuage et ses ailerons de planche de surf à la place des bras, il ressemble à un vieux radio-réveil des années 1950 qui se serait propulsé dans le futur », raconte Austin. « C’est un véritable personnage avec des centaines d’histoires à raconter. »
Le must-have
« On s’attendrait à ce que je dise un frigo à bière », plaisante Austin, « mais je dirais plutôt une horloge sans piles. »
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6. Le spa masculin d’un propriétaire de boutiques suédoises
Nom : Kristoffer Eliasson
Âge : 33 ans
Activité professionnelle : Propriétaire des boutiques de vêtements Soda
Emplacement : Halmstad, sur la côte ouest de la Suède
Ce qui se passe ici : Kristoffer profite de ses moments de liberté pour se détendre dans son sauna et son luxueux spa. La baignoire XXL qui les complète offre une vue époustouflante.
Superficie : 25 m²
Nom : Kristoffer Eliasson
Âge : 33 ans
Activité professionnelle : Propriétaire des boutiques de vêtements Soda
Emplacement : Halmstad, sur la côte ouest de la Suède
Ce qui se passe ici : Kristoffer profite de ses moments de liberté pour se détendre dans son sauna et son luxueux spa. La baignoire XXL qui les complète offre une vue époustouflante.
Superficie : 25 m²
Le lieu
Kristoffer travaille dans le monde de la mode et souhaitait recréer à la maison un lieu qui reflète cet aspect de sa personnalité. « Quand nous avons emménagé, l’idée m’est venue d’agrandir le sauna existant et de recommencer à zéro avec ma propre conception d’un spa pour homme », raconte le propriétaire. « Avant, on ne trouvait ici qu’une cabine de douche basique datant des années 1960… Je lui ai donné un coup de jeune très glamour. »
La baignoire surélevée est recouverte de marbre de Carrare. Elle est assez vaste pour que Kristoffer – qui fait 1,90 mètre – puisse y prendre ses aises. Celle qui en profite, c’est Selma, le carlin, mais « comme la baignoire fait 60 centimètres dans sa largeur, il y a aussi de l’espace pour ma copine », ajoute-t-il.
Kristoffer travaille dans le monde de la mode et souhaitait recréer à la maison un lieu qui reflète cet aspect de sa personnalité. « Quand nous avons emménagé, l’idée m’est venue d’agrandir le sauna existant et de recommencer à zéro avec ma propre conception d’un spa pour homme », raconte le propriétaire. « Avant, on ne trouvait ici qu’une cabine de douche basique datant des années 1960… Je lui ai donné un coup de jeune très glamour. »
La baignoire surélevée est recouverte de marbre de Carrare. Elle est assez vaste pour que Kristoffer – qui fait 1,90 mètre – puisse y prendre ses aises. Celle qui en profite, c’est Selma, le carlin, mais « comme la baignoire fait 60 centimètres dans sa largeur, il y a aussi de l’espace pour ma copine », ajoute-t-il.
Le petit plus
Tout a été mis en œuvre pour que la vue soit aussi relaxante que la baignade. Le propriétaire explique comment il s’y est pris : « Nous avons abattu un mur entre le spa et la chambre et nous avons maintenant une jolie vue sur la ville de Halmstad tant du spa que du sauna. »
Le must-have
« Tout ce qui détend vraiment, que ce soit de la musique, des magazines, une table de billard… ou un spa », conclut Kristoffer.
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Tout a été mis en œuvre pour que la vue soit aussi relaxante que la baignade. Le propriétaire explique comment il s’y est pris : « Nous avons abattu un mur entre le spa et la chambre et nous avons maintenant une jolie vue sur la ville de Halmstad tant du spa que du sauna. »
Le must-have
« Tout ce qui détend vraiment, que ce soit de la musique, des magazines, une table de billard… ou un spa », conclut Kristoffer.
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7. La salle d’arcade d’un concepteur graphique en Espagne
Nom : Alex Katz
Âge : 32 ans
Activité professionnelle : directeur artistique et directeur de création
Emplacement : Madrid, Espagne (Alex est originaire de Miami, en Floride.)
Ce qui se passe ici : L’espace où vit Alex abrite ses trois passions : les jeux, les œuvres d’art et les planches de skate
Superficie : C’est un duplex de 120 m² avec 1 chambre, 1 salle de bains, un atelier et une terrasse.
Nom : Alex Katz
Âge : 32 ans
Activité professionnelle : directeur artistique et directeur de création
Emplacement : Madrid, Espagne (Alex est originaire de Miami, en Floride.)
Ce qui se passe ici : L’espace où vit Alex abrite ses trois passions : les jeux, les œuvres d’art et les planches de skate
Superficie : C’est un duplex de 120 m² avec 1 chambre, 1 salle de bains, un atelier et une terrasse.
Le lieu
Après avoir acheté son premier appartement il y a deux ans, Alex savoure aujourd’hui la chance qu’il a eue de pouvoir tout concevoir à partir de zéro et de l’aménager avec des pièces qui reflètent sa personnalité. « Je suis quelqu’un qui n’a jamais vraiment voulu grandir : toute ma vie, j’ai eu cette obsession de collectionner les jouets et les souvenirs de mon enfance », raconte le propriétaire au milieu de ses collections de jeux, de figurines de BD – il en a à peu près 300 –, de ses planches de skate et de ses œuvres d’art. Il aime aussi acheter des vélos customisés qu’il utilise comme éléments de déco. « Je veux vivre dans un lieu où il y a toujours quelque chose de nouveau et de captivant partout où se pose le regard », explique Alex.
Après avoir acheté son premier appartement il y a deux ans, Alex savoure aujourd’hui la chance qu’il a eue de pouvoir tout concevoir à partir de zéro et de l’aménager avec des pièces qui reflètent sa personnalité. « Je suis quelqu’un qui n’a jamais vraiment voulu grandir : toute ma vie, j’ai eu cette obsession de collectionner les jouets et les souvenirs de mon enfance », raconte le propriétaire au milieu de ses collections de jeux, de figurines de BD – il en a à peu près 300 –, de ses planches de skate et de ses œuvres d’art. Il aime aussi acheter des vélos customisés qu’il utilise comme éléments de déco. « Je veux vivre dans un lieu où il y a toujours quelque chose de nouveau et de captivant partout où se pose le regard », explique Alex.
Le petit plus
« J’adore pouvoir choisir les meubles et les objets et me les approprier », déclare Alex. « Cet endroit est une parfaite représentation de mon esprit : encombré, avec un mélange éclectique de souvenirs, d’artefacts et d’anecdotes. »
Le must-have
« Tout homme devrait avoir une pièce dédiée à l’une de ses passions. Par exemple, un amoureux des livres devrait posséder un coin bibliothèque et un homme qui ne vit que pour le vélo devrait pouvoir avoir son atelier de réparation chez lui », déclare Alex. « Personnellement, c’est la maison tout entière que j’ai choisi d’envahir. »
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« J’adore pouvoir choisir les meubles et les objets et me les approprier », déclare Alex. « Cet endroit est une parfaite représentation de mon esprit : encombré, avec un mélange éclectique de souvenirs, d’artefacts et d’anecdotes. »
Le must-have
« Tout homme devrait avoir une pièce dédiée à l’une de ses passions. Par exemple, un amoureux des livres devrait posséder un coin bibliothèque et un homme qui ne vit que pour le vélo devrait pouvoir avoir son atelier de réparation chez lui », déclare Alex. « Personnellement, c’est la maison tout entière que j’ai choisi d’envahir. »
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8. Le labo d’un styliste d’intérieur au Japon
Nom : Katsuya Kubokawa
Âge : 41 ans
Activité professionnelle : styliste et accessoiriste
Emplacement : Tokyo, Japon
Ce qui se passe ici : C’est le « labo » de Katsuya : il y reçoit ses invités et y fait des essais sur de nouveaux produits.
Superficie : 116 m² ; 1 chambre, 1 salle de bains, 1 chambre d’ami, studio avec réserve
Le lieu
« Cette maison résume ma carrière. Mon existence entière y est cristallisée, il traduit parfaitement ma personnalité, mes goûts et mon mode de vie », déclare Katsuya. « Par exemple, je ne rapporte jamais de junk food à la maison. Les couleurs criardes des emballages en pollueraient l’atmosphère calme et reposante. »
Lors de la remise à neuf de sa résidence, le propriétaire a décidé de n’utiliser que des matériaux vintage qui prendront de la patine au fil des ans : « Ça fait maintenant huit ans que je vis ici. J’ai pu constater que d’année en année le charme de la maison se bonifie à la manière d’un bon vin ou d’un jean vintage », explique Katsuya.
Nom : Katsuya Kubokawa
Âge : 41 ans
Activité professionnelle : styliste et accessoiriste
Emplacement : Tokyo, Japon
Ce qui se passe ici : C’est le « labo » de Katsuya : il y reçoit ses invités et y fait des essais sur de nouveaux produits.
Superficie : 116 m² ; 1 chambre, 1 salle de bains, 1 chambre d’ami, studio avec réserve
Le lieu
« Cette maison résume ma carrière. Mon existence entière y est cristallisée, il traduit parfaitement ma personnalité, mes goûts et mon mode de vie », déclare Katsuya. « Par exemple, je ne rapporte jamais de junk food à la maison. Les couleurs criardes des emballages en pollueraient l’atmosphère calme et reposante. »
Lors de la remise à neuf de sa résidence, le propriétaire a décidé de n’utiliser que des matériaux vintage qui prendront de la patine au fil des ans : « Ça fait maintenant huit ans que je vis ici. J’ai pu constater que d’année en année le charme de la maison se bonifie à la manière d’un bon vin ou d’un jean vintage », explique Katsuya.
Tout à côté du bureau se trouve la réserve que Katsuya appelle son « laboratoire ». Les accessoires y sont rangés sur de grandes étagères de métal rouge qui donnent à la pièce des airs de garage, alors qu’une table et son parasol apportent la touche détente. Ce mélange atypique dépeint bien l’approche de Katsuya avec les styles.
Il reste prudent quand il s’agit de choisir ses meubles. Par exemple, la salle à manger est une pièce longue et étroite, basse de plafond, qui requérait LA table idéale pour recevoir. « J’étais tellement heureux de trouver cette table de présentation à la fois industrielle vintage ! », raconte Katsuya. « Ses proportions s’adaptent parfaitement à la pièce. Je fais souvent des soirées avec des amis car elle peut facilement accueillir dix personnes. »
Il reste prudent quand il s’agit de choisir ses meubles. Par exemple, la salle à manger est une pièce longue et étroite, basse de plafond, qui requérait LA table idéale pour recevoir. « J’étais tellement heureux de trouver cette table de présentation à la fois industrielle vintage ! », raconte Katsuya. « Ses proportions s’adaptent parfaitement à la pièce. Je fais souvent des soirées avec des amis car elle peut facilement accueillir dix personnes. »
Le petit plus
Katsuya nous raconte que cette maison de ville moderne, construite en 1956, abritait à l’époque des personnalités prestigieuses. « Le premier propriétaire était un écrivain avec un goût certain. J’adore que des détails architecturaux d’origine soient encore visibles aujourd’hui, comme ces énormes bibliothèques », explique-t-il. « Les fenêtres sont peu nombreuses et l’exposition mal dirigée, la maison est donc un peu sombre, même en plein jour. Mais les nuances de la lumière tamisée et les ombres qu’elle crée sont tellement belles que ça me rappelle la maison que j’habitais à Londres, ma ville préférée. »
Le must-have
« Plutôt que de cacher les objets dans des armoires et de n’être décoré qu’avec des accessoires banals, un espace masculin devrait plutôt présenter ce qu’on aime vraiment et les objets avec lesquels on veut vivre », affirme Katsuya. « La simplicité n’est pas ce qu’il y a de mieux dans ce genre d’espace ! »
Katsuya nous raconte que cette maison de ville moderne, construite en 1956, abritait à l’époque des personnalités prestigieuses. « Le premier propriétaire était un écrivain avec un goût certain. J’adore que des détails architecturaux d’origine soient encore visibles aujourd’hui, comme ces énormes bibliothèques », explique-t-il. « Les fenêtres sont peu nombreuses et l’exposition mal dirigée, la maison est donc un peu sombre, même en plein jour. Mais les nuances de la lumière tamisée et les ombres qu’elle crée sont tellement belles que ça me rappelle la maison que j’habitais à Londres, ma ville préférée. »
Le must-have
« Plutôt que de cacher les objets dans des armoires et de n’être décoré qu’avec des accessoires banals, un espace masculin devrait plutôt présenter ce qu’on aime vraiment et les objets avec lesquels on veut vivre », affirme Katsuya. « La simplicité n’est pas ce qu’il y a de mieux dans ce genre d’espace ! »
9. Un doublé studio/habitation pour ce designer italien
Nom : Yuri Premerlani
Âge : 44 ans
Activité professionnelle : designer
Emplacement : Zona Tortona, Milan, Italie
Ce qui se passe ici : Yuri reçoit ici ses clients potentiels afin qu’ils puissent entrer dans son univers.
Superficie : 73 m² sur deux étages
Nom : Yuri Premerlani
Âge : 44 ans
Activité professionnelle : designer
Emplacement : Zona Tortona, Milan, Italie
Ce qui se passe ici : Yuri reçoit ici ses clients potentiels afin qu’ils puissent entrer dans son univers.
Superficie : 73 m² sur deux étages
Le lieu
Après avoir transformé une ancienne casa di ringhiera (des immeubles HLM typiques à quelques étages et dont les appartements partagent un même balcon), les portes de la maison de Yuri sont aujourd’hui toujours ouvertes. Il invite ainsi ses clients à le visiter afin qu’ils puissent mieux comprendre son style et apprécier son talent.
Yuri aime le style industriel et adore s’entourer d’objets vintage qui ont un passé et une histoire à raconter. Il donne même des surnoms à certains d’entre eux. Par exemple, le fauteuil s’appelle Olga. Yuri vient d’ailleurs d’en transformer un en armoire pour y ranger ses documents.
Par-dessus tout, l’appartement de Yuri reflète qui il est et retrace sa vie : certains objets le suivent depuis des années, même s’il a déménagé à plusieurs reprises. Les travaux de rénovation ont permis au designer, qui vient d’une famille de menuisiers, de mettre ses talents de charpentier à l’épreuve. Par exemple, la cuisine a été refaite avec d’anciens panneaux qui recouvraient auparavant le plancher du grenier. Yuri avait tout simplement demandé à la société de construction de les garder pour lui.
Après avoir transformé une ancienne casa di ringhiera (des immeubles HLM typiques à quelques étages et dont les appartements partagent un même balcon), les portes de la maison de Yuri sont aujourd’hui toujours ouvertes. Il invite ainsi ses clients à le visiter afin qu’ils puissent mieux comprendre son style et apprécier son talent.
Yuri aime le style industriel et adore s’entourer d’objets vintage qui ont un passé et une histoire à raconter. Il donne même des surnoms à certains d’entre eux. Par exemple, le fauteuil s’appelle Olga. Yuri vient d’ailleurs d’en transformer un en armoire pour y ranger ses documents.
Par-dessus tout, l’appartement de Yuri reflète qui il est et retrace sa vie : certains objets le suivent depuis des années, même s’il a déménagé à plusieurs reprises. Les travaux de rénovation ont permis au designer, qui vient d’une famille de menuisiers, de mettre ses talents de charpentier à l’épreuve. Par exemple, la cuisine a été refaite avec d’anciens panneaux qui recouvraient auparavant le plancher du grenier. Yuri avait tout simplement demandé à la société de construction de les garder pour lui.
Le petit plus
« C’est un lieu cher à mon cœur », explique Yuri. « J’ai eu la chance de pouvoir y faire des travaux en suivant mon instinct et selon mes goûts. C’est un loft sous les combles, mais c’est aussi un chantier en constante évolution. »
Le must-have
« Je déteste les espaces stériles et impersonnels. J’aime les habitations qui ont une âme et qui racontent la vie des gens qui y vivent », précise Yuri.
Découvrez plus de photos de cet espace
« C’est un lieu cher à mon cœur », explique Yuri. « J’ai eu la chance de pouvoir y faire des travaux en suivant mon instinct et selon mes goûts. C’est un loft sous les combles, mais c’est aussi un chantier en constante évolution. »
Le must-have
« Je déteste les espaces stériles et impersonnels. J’aime les habitations qui ont une âme et qui racontent la vie des gens qui y vivent », précise Yuri.
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10. L’appartement d’un mélomane made in USA
Nom : David Greening
Âge : 35 ans
Activité professionnelle : assistant juridique qui mène une double vie de musicien et d’entrepreneur
Emplacement : Angelino Heights, dans le quartier d’Echo Park à Los Angeles, Californie, États-Unis
Ce qui se passe ici : L’appartement de David, c’est le lieu pour se détendre et recevoir des amis, mais il sert aussi de base à ses activités d’entrepreneur. On y tient des répétitions, des séances d’écriture et d’enregistrement de musique. C’est également d’ici que David dirige une petite entreprise horlogère indépendante.
Superficie : près de 93 m² ; 1 chambre et 1 salle de bains
Nom : David Greening
Âge : 35 ans
Activité professionnelle : assistant juridique qui mène une double vie de musicien et d’entrepreneur
Emplacement : Angelino Heights, dans le quartier d’Echo Park à Los Angeles, Californie, États-Unis
Ce qui se passe ici : L’appartement de David, c’est le lieu pour se détendre et recevoir des amis, mais il sert aussi de base à ses activités d’entrepreneur. On y tient des répétitions, des séances d’écriture et d’enregistrement de musique. C’est également d’ici que David dirige une petite entreprise horlogère indépendante.
Superficie : près de 93 m² ; 1 chambre et 1 salle de bains
Le lieu
N’étant pas propriétaire, David ne peut pas faire d’importants travaux de structure. À la place, il tente d’exploiter intelligemment l’espace et de créer un cadre dynamique et multitâche.
Il y a suffisamment de place dans l’appartement pour exposer toutes ses trouvailles et ses pièces de collection. De plus, il offre à David et ses deux chats, Curtis et Phinneus, tout le confort nécessaire : « J’y exprime ma passion pour la musique, l’art et le design. Mes nombreux livres, disques et œuvres d’art sont éparpillés partout », nous dit David. « C’est à l’image de mon style, qui mêle le chic et l’ordinaire, le classique et l’excentrique, et de ma nature décontractée. Tous les gens qui passent ici me disent à quel point l’endroit est confortable et accueillant. »
N’étant pas propriétaire, David ne peut pas faire d’importants travaux de structure. À la place, il tente d’exploiter intelligemment l’espace et de créer un cadre dynamique et multitâche.
Il y a suffisamment de place dans l’appartement pour exposer toutes ses trouvailles et ses pièces de collection. De plus, il offre à David et ses deux chats, Curtis et Phinneus, tout le confort nécessaire : « J’y exprime ma passion pour la musique, l’art et le design. Mes nombreux livres, disques et œuvres d’art sont éparpillés partout », nous dit David. « C’est à l’image de mon style, qui mêle le chic et l’ordinaire, le classique et l’excentrique, et de ma nature décontractée. Tous les gens qui passent ici me disent à quel point l’endroit est confortable et accueillant. »
Le petit plus
« Je suis tombé amoureux de cet endroit dès que j’ai vu la superbe arche qui sépare le séjour de la salle à manger et le buffet encastré que j’utilise comme bar : il abrite ma collection de disques. J’aime les fenêtres et la lumière naturelle qu’elles dispensent », raconte David. « Et l’emplacement n’est pas mal non plus ! »
Le must-have
« Je ne peux pas parler au nom de toute la gente masculine, mais selon moi, il devrait y avoir dans toutes les maisons un bon matelas et un divan confortable. Ce sont les deux endroits où il ne faut pas être chiche », affirme David.
Découvrez plus de photos de cet appartement
« Je suis tombé amoureux de cet endroit dès que j’ai vu la superbe arche qui sépare le séjour de la salle à manger et le buffet encastré que j’utilise comme bar : il abrite ma collection de disques. J’aime les fenêtres et la lumière naturelle qu’elles dispensent », raconte David. « Et l’emplacement n’est pas mal non plus ! »
Le must-have
« Je ne peux pas parler au nom de toute la gente masculine, mais selon moi, il devrait y avoir dans toutes les maisons un bon matelas et un divan confortable. Ce sont les deux endroits où il ne faut pas être chiche », affirme David.
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11. L’appartement intemporel d’un homme d’affaires danois
Nom : Nikola Cikusa
Activité professionnelle : cadre supérieur commercial chez Telmore
Emplacement : Frederiksberg, Copenhague, Danemark
Ce qui se passe ici : Nikola aime y lire, écouter de la musique, cuisiner et regarder des films.
Superficie : 97 m²
Nom : Nikola Cikusa
Activité professionnelle : cadre supérieur commercial chez Telmore
Emplacement : Frederiksberg, Copenhague, Danemark
Ce qui se passe ici : Nikola aime y lire, écouter de la musique, cuisiner et regarder des films.
Superficie : 97 m²
Le lieu
Nikola a quitté la banlieue de Copenhague il y a trois ans pour emménager à Frederiksberg. L’immeuble est assez neuf et l’appartement de Nikola, situé au troisième, ne nécessitait pas de gros travaux. « Repeindre tout en blanc et refaire les parquets a été suffisant pour qu’on s’y sente comme dans une voiture neuve », s’exclame Nikola.
« Au Danemark, la tradition veut que la mariée porte quelque chose de neuf, quelque chose de vieux, quelque chose d’emprunté et quelque chose de bleu. On peut dire que mon appartement suit la même logique », explique le propriétaire. « Je possédais déjà la table Noguchi et les meubles Le Corbusier. J’ai eu la chance de pouvoir emprunter à mes parents leurs fauteuils PK, qu’ils adorent, pour le séjour. Le reste, c’est le fruit de longues recherches. Pendant des années, j’ai cherché des meubles Eames, puis je me suis rapidement arrêté sur une palette de couleurs qui contient des bleus. Entre-temps, j’avais amassé pas mal de livres et d’objets, qui n’attendaient plus qu’un espace lumineux et vaste pour y être exposés. »
Nikola a quitté la banlieue de Copenhague il y a trois ans pour emménager à Frederiksberg. L’immeuble est assez neuf et l’appartement de Nikola, situé au troisième, ne nécessitait pas de gros travaux. « Repeindre tout en blanc et refaire les parquets a été suffisant pour qu’on s’y sente comme dans une voiture neuve », s’exclame Nikola.
« Au Danemark, la tradition veut que la mariée porte quelque chose de neuf, quelque chose de vieux, quelque chose d’emprunté et quelque chose de bleu. On peut dire que mon appartement suit la même logique », explique le propriétaire. « Je possédais déjà la table Noguchi et les meubles Le Corbusier. J’ai eu la chance de pouvoir emprunter à mes parents leurs fauteuils PK, qu’ils adorent, pour le séjour. Le reste, c’est le fruit de longues recherches. Pendant des années, j’ai cherché des meubles Eames, puis je me suis rapidement arrêté sur une palette de couleurs qui contient des bleus. Entre-temps, j’avais amassé pas mal de livres et d’objets, qui n’attendaient plus qu’un espace lumineux et vaste pour y être exposés. »
Le petit plus
« J’ai une vision assez claire de ce que j’aime et de ce que je n’aime pas. Je me sens chez moi lorsque je m’entoure de mes couleurs préférées ainsi que des objets qui me rappellent ma famille et mes amis. Le séjour s’ouvre sur un grand balcon qui est baigné de lumière tout l’après-midi et où les couchers de soleil sont extraordinaires. Je n’imagine pas vivre ailleurs pour le moment », ajoute Nikola.
Le must-have
« Un espace vraiment masculin se doit de posséder un ou plusieurs éléments faiblement APE (Approuvé Par l’Épouse). C’est la raison pour laquelle les repaires de mâles ressemblent souvent à des donjons moyenâgeux ou à des bars louches. Comme je n’ai ni donjon, ni épouse, j’ai simplement aménagé mon espace selon mes goûts. Toutefois, c’est toujours bon d’avoir une super chaîne hi-fi et un écran géant », conclut Nikola.
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ET VOUS ?
Possédez-vous un espace typiquement masculin ? Partagez vos photos dans la section commentaires en précisant votre ville et pays de résidence.
« J’ai une vision assez claire de ce que j’aime et de ce que je n’aime pas. Je me sens chez moi lorsque je m’entoure de mes couleurs préférées ainsi que des objets qui me rappellent ma famille et mes amis. Le séjour s’ouvre sur un grand balcon qui est baigné de lumière tout l’après-midi et où les couchers de soleil sont extraordinaires. Je n’imagine pas vivre ailleurs pour le moment », ajoute Nikola.
Le must-have
« Un espace vraiment masculin se doit de posséder un ou plusieurs éléments faiblement APE (Approuvé Par l’Épouse). C’est la raison pour laquelle les repaires de mâles ressemblent souvent à des donjons moyenâgeux ou à des bars louches. Comme je n’ai ni donjon, ni épouse, j’ai simplement aménagé mon espace selon mes goûts. Toutefois, c’est toujours bon d’avoir une super chaîne hi-fi et un écran géant », conclut Nikola.
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Nom : Lee Thornley
Âge : 34 ans
Activité professionnelle : fondateur de l’entreprise Bert & May
Emplacement : Londres, Angleterre
Ce qui se passe ici : Lee aime séjourner ici quand il travaille en ville. Des amis viennent parfois prendre un verre sur la terrasse. Ils se laissent alors entraîner au fil de l’eau.
Superficie : 50,8 m²