Salles de bains
Accessoires de salle de bains
10 erreurs à éviter pour éclairer correctement la salle de bains
Focus détaillé sur les fondamentaux à connaître avant de mettre en lumière une salle de bains
Véritable pièce à vivre, la salle de bains nécessite toute votre attention en matière d’éclairage. Il s’agit d’éviter la lumière trop froide, impersonnelle ou éblouissante. Mais aussi de veiller à apporter la bonne intensité lumineuse selon les usages de chaque espace. Le tout à l’aune de règles de sécurité à n’oublier sous aucun prétexte. Pas de panique, le défi n’est pas si difficile à relever. Voici de précieux conseils pour créer le juste équilibre, c’est-à-dire l’éclairage chaleureux et serein qui donne bonne mine et un moral au top !
2. Utiliser des ampoules avec un mauvais indice de rendu de couleur (IRC)
Une salle de bains nécessite une lumière la plus proche possible de celle du jour. Il convient donc de sélectionner des ampoules avec un bon IRC, c’est-à-dire de plus de 90. Comme dans cet exemple d’inspiration vintage à Paris, ce type d’éclairage placé à proximité d’un miroir assure une mise en beauté réussie.
Le conseil de pro : évitez les ampoules à température de couleur chaude (entre 3000 et 3500 kelvins), certes conviviales mais inadaptées pour les pièces d’eau. Choisissez un éclairage blanc neutre de plus de 4000 kelvins. Passez sans hésiter à 5500 voire 6500 kelvins à proximité du miroir.
Une salle de bains nécessite une lumière la plus proche possible de celle du jour. Il convient donc de sélectionner des ampoules avec un bon IRC, c’est-à-dire de plus de 90. Comme dans cet exemple d’inspiration vintage à Paris, ce type d’éclairage placé à proximité d’un miroir assure une mise en beauté réussie.
Le conseil de pro : évitez les ampoules à température de couleur chaude (entre 3000 et 3500 kelvins), certes conviviales mais inadaptées pour les pièces d’eau. Choisissez un éclairage blanc neutre de plus de 4000 kelvins. Passez sans hésiter à 5500 voire 6500 kelvins à proximité du miroir.
3. Se tromper d’indice de protection (IP)
L’IP de vos luminaires garantit votre sécurité et se choisit en fonction du volume de la pièce. Le premier chiffre décrit la protection d’un objet contre les corps étrangers et les contacts, le second son étanchéité (eau et humidité).
À savoir : IP 65 (contre les jets directs) : jusqu’à 2,25 mètres de haut autour du pommeau de douche, de la baignoire ou du bac de douche.
IP 44 (contre les aspersions d’eau) : pour une hauteur jusqu’à 60 centimètres autour de la douche, de la baignoire et des murs et jusqu’à 2,25 mètres de haut.
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L’IP de vos luminaires garantit votre sécurité et se choisit en fonction du volume de la pièce. Le premier chiffre décrit la protection d’un objet contre les corps étrangers et les contacts, le second son étanchéité (eau et humidité).
À savoir : IP 65 (contre les jets directs) : jusqu’à 2,25 mètres de haut autour du pommeau de douche, de la baignoire ou du bac de douche.
IP 44 (contre les aspersions d’eau) : pour une hauteur jusqu’à 60 centimètres autour de la douche, de la baignoire et des murs et jusqu’à 2,25 mètres de haut.
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4. Mal positionner ses points lumineux
L’éclairage se définit selon les usages et s’installe à des points stratégiques.
Le conseil de pro : Si le style de l’intérieur et la taille de la pièce s’y prêtent, cassez les codes avec un lampadaire. À poser à proximité de la baignoire ou à l’entrée pour envelopper votre réveil et vos moments de détente d’une lumière douce.
10 erreurs à éviter quand on aménage une salle de bains
L’éclairage se définit selon les usages et s’installe à des points stratégiques.
- Au plafond, pour l’éclairage global doux et chaleureux, avec un plafonnier ou une suspension, et certains points lumineux particuliers, comme au-dessus de la douche ou de la baignoire.
- Autour du miroir, lieu clé où l’on fait sa toilette.
Le conseil de pro : Si le style de l’intérieur et la taille de la pièce s’y prêtent, cassez les codes avec un lampadaire. À poser à proximité de la baignoire ou à l’entrée pour envelopper votre réveil et vos moments de détente d’une lumière douce.
10 erreurs à éviter quand on aménage une salle de bains
5. Ne pas respecter les normes de sécurité
La salle de bains est soumise à des normes de sécurité spécifiques et obligatoires pour ses installations électriques. Dans cette pièce où se côtoient en permanence l’eau et l’électricité, il est rigoureusement exigé de ne pas faire l’impasse sur la norme qui régit cet espace avant toute sélection de luminaire : la NF C 15-100/A2. Elle divise la salle de bains en quatre volumes de sécurité.
En dehors de ces zones, tous les modèles IPX0 sont autorisés !
La salle de bains est soumise à des normes de sécurité spécifiques et obligatoires pour ses installations électriques. Dans cette pièce où se côtoient en permanence l’eau et l’électricité, il est rigoureusement exigé de ne pas faire l’impasse sur la norme qui régit cet espace avant toute sélection de luminaire : la NF C 15-100/A2. Elle divise la salle de bains en quatre volumes de sécurité.
- Volume 0 (bac de douche ou baignoire) : En principe, aucun luminaire, sauf des modèles basse tension et étanches (IPX7).
- Volume 1 : Pour une baignoire, il est limité d’une part par la surface verticale du bord extérieur et, d’autre part, par le plan horizontal à 2,25 mètres au-dessus du sol (ou du fond de la baignoire), ou bien par celui à 2,25 mètres au-dessus du bord, lorsque ce dernier a une largeur supérieure à 60 centimètres. Pour une douche, il est limité horizontalement par un rayon de 1,20 mètre (ou par les parois si elle en a), et verticalement par le plus élevé des points suivants : soit 2,25 mètres au-dessus du sol ou du fond, soit la pomme fixe. Les luminaires autorisés sont ceux alimentés en très basse tension de sécurité inférieure à 12 V (IPX5 seulement).
- Volume 2 (hauteur égale au volume 1 ; 60 centimètres à partir de la surface extérieure du volume 1) : Les luminaires IPX4 sont préconisés.
- Volume 3 (jusqu’à 2,40 mètres autour du volume 2 puis en hauteur, jusqu’à 3 au-dessus des volumes 1 et 2) : Sélectionnez des luminaires IPX1.
En dehors de ces zones, tous les modèles IPX0 sont autorisés !
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6. Orienter les spots vers le bas
Voilà une erreur à ne plus commettre : une lumière franche, diffuse, sans éblouissement ni ombre, s’obtient en orientant les spots vers le mur, vers le haut. Jamais vers le bas !
Dans cette salle de bains design d’Atlanta, les spots encadrants le miroir sont dirigés à l’horizontal. Ce croisement de lumière est à la fois flatteur pour le teint et parfait pour l’éclairage fonctionnel !
Plus de photos de salles de bains sur Houzz
Voilà une erreur à ne plus commettre : une lumière franche, diffuse, sans éblouissement ni ombre, s’obtient en orientant les spots vers le mur, vers le haut. Jamais vers le bas !
Dans cette salle de bains design d’Atlanta, les spots encadrants le miroir sont dirigés à l’horizontal. Ce croisement de lumière est à la fois flatteur pour le teint et parfait pour l’éclairage fonctionnel !
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7. Choisir un éclairage trop éblouissant
Personne n’a envie d’être agressé tôt le matin ou tard le soir par une lumière trop vive dans sa salle de bains ! Parmi les astuces à conseiller : le rétroéclairage, très tendance, les plafonniers halogènes avec variateur de lumière, le verre dépoli et la spoterie orientable.
À ces égards, réussite totale pour cette salle de bains à Sydney, dont on envie la douce luminosité obtenue grâce à la combinaison de lumière directe et indirecte et au bon choix de puissance.
Personne n’a envie d’être agressé tôt le matin ou tard le soir par une lumière trop vive dans sa salle de bains ! Parmi les astuces à conseiller : le rétroéclairage, très tendance, les plafonniers halogènes avec variateur de lumière, le verre dépoli et la spoterie orientable.
À ces égards, réussite totale pour cette salle de bains à Sydney, dont on envie la douce luminosité obtenue grâce à la combinaison de lumière directe et indirecte et au bon choix de puissance.
8. Ne pas se contenter de la lumière naturelle
Une salle de bains s’utilise avant que le jour se lève et souvent bien après. Votre pièce ne peut donc pas faire l’impasse sur les deux sources de lumière artificielle indispensables (comme nous l’avons vu en 1).
Dans cette salle de bains israélienne contemporaine, la lumière naturelle est tamisée par des stores qui préservent par ailleurs l’intimité. Des appliques encadrent le miroir pour recréer la lumière naturelle. Un éclairage à la fois efficace et doux.
Une salle de bains s’utilise avant que le jour se lève et souvent bien après. Votre pièce ne peut donc pas faire l’impasse sur les deux sources de lumière artificielle indispensables (comme nous l’avons vu en 1).
Dans cette salle de bains israélienne contemporaine, la lumière naturelle est tamisée par des stores qui préservent par ailleurs l’intimité. Des appliques encadrent le miroir pour recréer la lumière naturelle. Un éclairage à la fois efficace et doux.
9. Oublier la zone miroir
Cette zone est déterminante car c’est celle où vous effectuez le maximum d’opérations matin et soir. Placez un point de lumière de part et d’autre du miroir, vous éliminerez ainsi toutes les ombres sur votre visage.
Ici, le miroir avec lumière intégrée a l’avantage d’éclairer de façon diffuse et homogène, quel que soit l’endroit où l’on se positionne.
Cette zone est déterminante car c’est celle où vous effectuez le maximum d’opérations matin et soir. Placez un point de lumière de part et d’autre du miroir, vous éliminerez ainsi toutes les ombres sur votre visage.
Ici, le miroir avec lumière intégrée a l’avantage d’éclairer de façon diffuse et homogène, quel que soit l’endroit où l’on se positionne.
10. Éclairer sa salle de bains comme son salon
Une salle de bains requiert un minimum de 500 lux par mètre carré… contre 300 pour un salon !
Cette salle de bains de Toronto mixe astucieusement rétroéclairage et points lumineux directs et indirects. C’est l’assurance de démarrer et d’achever sa journée dans les meilleures conditions !
ET VOUS ?
Comment avez-vous éclairé votre salle de bains ? Partagez vos photos et vos astuces dans la partie commentaires ci-dessous !
Une salle de bains requiert un minimum de 500 lux par mètre carré… contre 300 pour un salon !
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L’éclairage doit être naturel et valorisant. La règle pour ne jamais se tromper : équiper la salle de bains de deux sources de lumière. Une générale pour rendre la pièce agréable et sereine, une source localisée, aussi appelée fonctionnelle, plus puissante, destinée à un usage particulier (par exemple pour le rasage et le maquillage).
Dans cette belle réalisation à Miami, les principes de mise en lumière sont élégamment déclinés. Et s’y ajoute la luminosité naturelle !