Avant/Après : Travail de précision sur toile de fond années 30
Une belle rencontre entre la propriétaire, un architecte plein de ressource et une société de rénovation à l'écoute
Cette jeune femme avait déjà fait, quelques années auparavant, un premier achat immobilier dans le XVe arrondissement, près de l’agréable Rue du Commerce. Pour s’agrandir en restant dans le même quartier, elle jette son dévolu sur un trois pièces de 48 m², au deuxième étage d’un immeuble années 30 de l’avenue Félix Faure. L’appartement n’a pas été rénové depuis une quarantaine d’années et n’est plus aux normes. La tapisserie orange au mur, la moquette sale au sol, et surtout la division en petites pièces, ne lui conviennent pas. Elle souhaite retrouver de la modernité et du volume, tout en gardant les particularités Art déco qui font le charme du bien. Par bouche à oreille, elle entre en contact avec l’architecte Aurélien Duny, lequel va travailler avec finesse et précision pour faire renaître un appartement magnifié, tant dans sa distribution que sa décoration.
Coup d’œil
Qui vit ici : une jeune femme trentenaire
Superficie : 48 m²
Emplacement : Avenue Félix Faure, Paris XVe
Architecte : Aurélien Duny
Livraison du projet : janvier 2019
Durée des travaux : 3 mois
Durée des études : 2,5 mois
Entreprise tout corps d’état : Sweet Home Paris
Budget : 65 000 euros tout compris
Crédit photos : Bertrand Fompeyrine
Coup d’œil
Qui vit ici : une jeune femme trentenaire
Superficie : 48 m²
Emplacement : Avenue Félix Faure, Paris XVe
Architecte : Aurélien Duny
Livraison du projet : janvier 2019
Durée des travaux : 3 mois
Durée des études : 2,5 mois
Entreprise tout corps d’état : Sweet Home Paris
Budget : 65 000 euros tout compris
Crédit photos : Bertrand Fompeyrine
Au deuxième étage, le 48 m² donne intégralement sur rue. On entre dans un long couloir de 8,5 m² desservant trois pièces : un salon central de 16 m², une chambre de 12 m² et les pièces d’eau regroupées dans un volume de 11,5 m².
Dès la première visite, la jeune femme imagine transformer le 3 pièces en deux afin de maximiser la pièce de vie en créant une cuisine ouverte sur le salon. Comme l’appartement est fortement cloisonné, elle se met en quête d’un architecte, préférable selon elle pour faire un bon suivi de chantier, être rassurée sur les questions techniques et mener les études nécessaires à la suppression de cloisons.
Dès la première visite, la jeune femme imagine transformer le 3 pièces en deux afin de maximiser la pièce de vie en créant une cuisine ouverte sur le salon. Comme l’appartement est fortement cloisonné, elle se met en quête d’un architecte, préférable selon elle pour faire un bon suivi de chantier, être rassurée sur les questions techniques et mener les études nécessaires à la suppression de cloisons.
« Ce couloir était clairement une perte de place et j’ai tout de suite compris qu’une des clefs du projet était de le minimiser pour regagner des mètres carrés habitables. Nous avons décloisonné la chambre et le salon pour créer une grande pièce de vie avec cuisine. Les anciennes pièces d’eau ont été transformées en chambre et l’astuce a consisté à fusionner sanitaires et salle d’eau et déplacer le tout dans une partie du couloir », explique l’architecte Aurélien Duny qui a consacré un peu plus de deux mois en étude sur ce projet.
Après. Dès le début des travaux, la propriétaire et son architecte ont eu deux bonnes surprises : sous la moquette, le parquet était en état et un décloisonnement « simple » était possible entre la chambre et le salon d’origine.
« Nous avons fait réaliser des études par un bureau d’ingénieurs structures car dans les immeubles Art déco il y a toujours une forte suspicion que les cloisons soient devenues semi-porteuses avec le temps. Mais ici il n’en était rien et nous n’avons donc pas eu à poser d’IPN ni faire de démarches auprès de la copropriété comme c’est le cas lorsqu’il s’agit de porteurs », explique Aurélien.
« Nous avons fait réaliser des études par un bureau d’ingénieurs structures car dans les immeubles Art déco il y a toujours une forte suspicion que les cloisons soient devenues semi-porteuses avec le temps. Mais ici il n’en était rien et nous n’avons donc pas eu à poser d’IPN ni faire de démarches auprès de la copropriété comme c’est le cas lorsqu’il s’agit de porteurs », explique Aurélien.
Question déco, la propriétaire possédait uniquement les meubles du salon : le canapé gris perle, le fauteuil outremer, le tapis et la table basse en chêne. Combinée à l’esprit Art déco de l’immeuble, l’architecte a trouvé intéressant de partir de cette base pour composer un décor à la fois féminin et chaleureux.
« Afin de personnaliser et souligner les espaces, j’ai pensé à un soubassement coloré qui reprend l’idée des moulures traditionnelles en les modernisant. Nous avons trouvé la bonne association de couleurs en nous basant sur le bleu du fauteuil. Le rose poudré s’est imposé car il est clair, lumineux, féminin et tendance », explique Aurélien.
Canapé gris : Mags chez Hay ; Fauteuil bleu : Croisette chez Honoré ; Suspension cannage : Alinéa ; Autre suspension : Fleux’ ; lampe à poser noire : Ribbon chez Habitat
« Afin de personnaliser et souligner les espaces, j’ai pensé à un soubassement coloré qui reprend l’idée des moulures traditionnelles en les modernisant. Nous avons trouvé la bonne association de couleurs en nous basant sur le bleu du fauteuil. Le rose poudré s’est imposé car il est clair, lumineux, féminin et tendance », explique Aurélien.
Canapé gris : Mags chez Hay ; Fauteuil bleu : Croisette chez Honoré ; Suspension cannage : Alinéa ; Autre suspension : Fleux’ ; lampe à poser noire : Ribbon chez Habitat
Dans le précédent appartement de la jeune femme, il y avait beaucoup de mobilier sur mesure si bien qu’elle manquait de rangements. Aurélien Duny a misé sur cette nécessité pour proposer d’habiller les pourtours de la pièce avec des buffets filants : « C’était à la fois un geste architectural pour marquer et allonger ses lignes et une réponse fonctionnelle qui condense les rangements d’un côté », nous explique-t-il.
Côté salon, l’entreprise Sweet Home Paris a créé un buffet de 40 cm de profondeur en stratifié blanc et latté chêne. Il se prolonge en partie haute par une bibliothèque. « La propriétaire utilise ce buffet pour ranger ses dossiers. La partie haute contient des prises pour brancher la box, recharger la tablette… », indique Aurélien.
Trouvez une entreprise générale du bâtiment sur Houzz
Côté salon, l’entreprise Sweet Home Paris a créé un buffet de 40 cm de profondeur en stratifié blanc et latté chêne. Il se prolonge en partie haute par une bibliothèque. « La propriétaire utilise ce buffet pour ranger ses dossiers. La partie haute contient des prises pour brancher la box, recharger la tablette… », indique Aurélien.
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Avant. La porte d’entrée se trouvait pile en face du salon, lequel s’ouvrait « à l’ancienne » par une porte vitrée à deux battants qui a été supprimée pour davantage de fluidité.
Sous la moquette sale de l’entrée, le parquet droit n’a pu être récupéré. Il a été remplacé par un parquet de rénovation, posé à 45°, créant un motif de point de Hongrie géant avec celui du salon: « Je souhaitais détourner le regard d’une perspective existante vers l’entrée et identifier les différents espaces subtilement. Je suis toujours partisan de marquer l’empreinte contemporaine d’une rénovation tout en faisant des clins d’œil au passé », décrypte Aurélien Duny.
Sous la moquette sale de l’entrée, le parquet droit n’a pu être récupéré. Il a été remplacé par un parquet de rénovation, posé à 45°, créant un motif de point de Hongrie géant avec celui du salon: « Je souhaitais détourner le regard d’une perspective existante vers l’entrée et identifier les différents espaces subtilement. Je suis toujours partisan de marquer l’empreinte contemporaine d’une rénovation tout en faisant des clins d’œil au passé », décrypte Aurélien Duny.
Après. En décloisonnant le plus possible au niveau de l’entrée du salon, Aurélien est tombé sur un pilier porteur qu’il a soigneusement conservé. De concert avec la propriétaire, ils ont même décidé de renforcer sa présence en le peignant en rose poudré : « Cette contrainte s’est avérée très utile car ce poteau sert à créer une barrière physique pour marquer l’entrée et ne pas pénétrer directement dans la pièce de vie », explique-t-il.
De l’autre côté de l’issue du salon, le buffet se poursuit, filant jusqu’à la cuisine. Pour plus de légèreté, les meubles sans poignées ont été équipés en push-lash.
Pour cette partie, l’architecte a travaillé en volume plutôt qu’en plan. Il n’a pas hésité à faire varier la profondeur du buffet en fonction de la place disponible à l’arrière. Ainsi, dans la partie entrée, l’enfilade se retourne jusqu’au poteau qu’elle englobe, créant du rangement côté entrée. A cet endroit, la profondeur est telle qu’il a même été possible de dissimuler le lave-linge de la propriétaire.
De l’autre côté de l’issue du salon, le buffet se poursuit, filant jusqu’à la cuisine. Pour plus de légèreté, les meubles sans poignées ont été équipés en push-lash.
Pour cette partie, l’architecte a travaillé en volume plutôt qu’en plan. Il n’a pas hésité à faire varier la profondeur du buffet en fonction de la place disponible à l’arrière. Ainsi, dans la partie entrée, l’enfilade se retourne jusqu’au poteau qu’elle englobe, créant du rangement côté entrée. A cet endroit, la profondeur est telle qu’il a même été possible de dissimuler le lave-linge de la propriétaire.
Dans le prolongement de l’enfilade, un meuble fermé en chêne dessine le pendant de la bibliothèque du salon, en symétrie : « Le buffet bas sert a ranger les affaires de cuisine et la vaisselle tandis que la partie haute, à la manière d’un “pantry” ou d’un “larder anglo-saxon”, regroupe tout le nécessaire pour les petits déjeuners : le micro-ondes, la cafetière, l’appareil à toast, le mousseur à lait, le rangement pour le pain, la confiture, le miel… », explique Aurélien Duny.
Le placard en chêne semble ne faire que 40 cm de profondeur mais lui aussi a été envisagé en déplaçant légèrement la cloison à l’arrière, de sorte à pouvoir gagner 20 cm de profondeur là où ont été placés les éléments électroménagers (micro-ondes etc). Par souci esthétique, le graphisme de ses portes a été particulièrement soigné.
Le placard en chêne semble ne faire que 40 cm de profondeur mais lui aussi a été envisagé en déplaçant légèrement la cloison à l’arrière, de sorte à pouvoir gagner 20 cm de profondeur là où ont été placés les éléments électroménagers (micro-ondes etc). Par souci esthétique, le graphisme de ses portes a été particulièrement soigné.
Sur la demande d’Aurélien, l’entreprise de rénovation a multiplié les essais afin de trouver la hauteur parfaite pour appliquer la bande de couleur sur le pourtour de la pièce : « Une rayure longitudinale peut tasser les espaces. Nous avions ici 2,70 m sous plafond et il ne s’agissait pas de perdre ce beau volume. Après quelques essais, notre hauteur parfaite s’est révélée être 103 cm, juste de quoi passer au dessus des plans installés à 90 cm », dévoile l’architecte.
Référence peinture rose poudré : SC240 chez Ressource, version satinée, une teinte mise au point par Patrick Baty, chercheur-expert, spécialisé dans l’histoire de la couleur en architecture
Référence peinture rose poudré : SC240 chez Ressource, version satinée, une teinte mise au point par Patrick Baty, chercheur-expert, spécialisé dans l’histoire de la couleur en architecture
Avant. Poursuivant la ligne de rangements qui habille le pourtour de la pièce, la cuisine est venue se placer à la perpendiculaire des fenêtres : « Un emplacement idéal pour cuisiner dans la pièce quand les amis sont sur le canapé, qui a également permis de se servir de la cloison avec la chambre pour appuyer le mobilier de cuisine et mettre la chambre à distance du salon. »
Notez que symétriquement au plan de travail, le plafond dessine une retombée qui vient s’appuyer à la perfection sur le meuble petit déjeuner et sur les rangements colonnes de la cuisine. Ce soffite qui cadre habilement l’espace cuisine a permis à l’architecte de faire passer le conduit de la VMC (ventilation mécanique contrôlée), solution préférée à une hotte. Le coffrage accueille également les câbles du nouveau réseau électrique qui se terminent par trois spots à l’ancienne, en porcelaine, pour éclairer le plan de travail.
Table salle à manger : Miliboo
Spots : Zangra
Notez que symétriquement au plan de travail, le plafond dessine une retombée qui vient s’appuyer à la perfection sur le meuble petit déjeuner et sur les rangements colonnes de la cuisine. Ce soffite qui cadre habilement l’espace cuisine a permis à l’architecte de faire passer le conduit de la VMC (ventilation mécanique contrôlée), solution préférée à une hotte. Le coffrage accueille également les câbles du nouveau réseau électrique qui se terminent par trois spots à l’ancienne, en porcelaine, pour éclairer le plan de travail.
Table salle à manger : Miliboo
Spots : Zangra
La propriétaire avait envie de se sentir au large et de disposer de belles perspectives. C’était même la motivation principale de son déménagement. Pour éviter de bloquer la vue sur toute la longueur de l’appartement, l’architecte a préconisé de bâtir une cloison chambre/salon tout en transparence.
Une fois les éléments de la cuisine placés, il restait un pan de mur presque carré pour accueillir une verrière. « Fidèles au type Art déco de l’immeuble, nous avons inventé son dessin en nous basant sur les œuvres de Mondrian. Le but était de laisser un large espace central en verre cristal pour ne pas couper la perspective et d’alterner avec du vitrage opaque — un “verre imprimé petit carreaux” — pour intimiser néanmoins la chambre à l’arrière », décrypte le pro.
Une fois les éléments de la cuisine placés, il restait un pan de mur presque carré pour accueillir une verrière. « Fidèles au type Art déco de l’immeuble, nous avons inventé son dessin en nous basant sur les œuvres de Mondrian. Le but était de laisser un large espace central en verre cristal pour ne pas couper la perspective et d’alterner avec du vitrage opaque — un “verre imprimé petit carreaux” — pour intimiser néanmoins la chambre à l’arrière », décrypte le pro.
Zoom sur le plan de travail en terrazzo, véritable petit bijou de la cuisine : « Nous avons employé ce matériau par clin d’œil au style Art déco qui l’a beaucoup utilisé. Il s’agit ici d’un agrégat classique, noir, beige rosé et gris, enrichi de morceaux de pâte de verre bleue. Pour une question de coût nous ne l’avons pas fait faire sur mesure mais avons employé des dalles de sol que nous avons collées quasiment bord à bord, à l’aide d’un ciment de la couleur du liant contenu dans le matériau. Les découpes du dosseret étaient ardues mais nos partenaires pour les travaux étaient très à l’écoute et désireux de relever les défis techniques », raconte Aurélien Duny.
Après. Les deux radiateurs des pièces d’eau ont été supprimés et remplacés dans la chambre par un nouveau modèle, raccordé à une autre colonne du circuit de chauffage central de l’immeuble. « Il fallait faire appel à la copropriété pour couper le circuit d’eau collectif chez le voisin du dessous. Nous nous sommes synchronisés avec son départ en vacances pour intervenir car les travaux ont eu lieu en hiver », raconte Aurélien Duny dont les attentions d’architecte pour limiter les nuisance des travaux envers le voisinage ne nous ont pas échappées.
La chambre a été personnalisée avec un soubassement « bleu velours » qui prolonge harmonieusement la bande rose poudrée du salon. Il se poursuit même sur le dressing réalisé sur mesure en médium à peindre. « Le même bleu que le fauteuil du salon car nous trouvions qu’il a une vraie force et qu’il contraste parfaitement avec le saumon », développe Aurélien.
Comme dans cette pièce le sol d’origine était le carrelage des pièces d’eau, le même plancher de chêne ancien a été posé en biais, comme dans l’entrée. « Nous avons cherché expressément des lames d’origine Art déco car elles ont la particularité de faire 8,5 cm de large », souligne le professionnel.
Référence peinture bleue : IT 15, couleur Bleu velours, chez Ressource ; Chevet : marchepied Bekväm chez Ikea
Comme dans cette pièce le sol d’origine était le carrelage des pièces d’eau, le même plancher de chêne ancien a été posé en biais, comme dans l’entrée. « Nous avons cherché expressément des lames d’origine Art déco car elles ont la particularité de faire 8,5 cm de large », souligne le professionnel.
Référence peinture bleue : IT 15, couleur Bleu velours, chez Ressource ; Chevet : marchepied Bekväm chez Ikea
La propriétaire a souhaité un grand dressing dans sa chambre, lequel occupe désormais le pan de mur complet face à la fenêtre : « Elle avait beaucoup de robes et de valises car elle se déplace souvent à l’étranger pour son travail », explique l’architecte.
Aurélien l’a donc soignée avec ce dressing de 60 cm de profondeur, équipé de tringles et de tiroirs, qui s’éclaire à l’ouverture.
Aurélien l’a donc soignée avec ce dressing de 60 cm de profondeur, équipé de tringles et de tiroirs, qui s’éclaire à l’ouverture.
Après. Pour gagner de la place, les sanitaires ont été rattachées à la salle d’eau. Le tout a été déplacé dans le couloir et sublimé par une base blanche, du mobilier en chêne et des détails noirs (robinetterie et luminaires).
Carrelage cabochon Hisbalit ; Colonne de douche Shenti de Rousseau chez Leroy Merlin ; Miroir : Tikamoon
Carrelage cabochon Hisbalit ; Colonne de douche Shenti de Rousseau chez Leroy Merlin ; Miroir : Tikamoon
Après. Le tournant du couloir a été aménagé avec une douche sur mesure, laquelle se trouve plutôt immense pour une si petite salle d’eau : « 140 cm de long sur 110 au niveau le plus large. On peut se doucher à deux ! », plaisante l’architecte. Le plan de la pièce est d’une efficacité rare : les toilettes posées en entrant créent un semi-cloisonnement grâce à leur bâti-support. Le meuble vasque de 60cm, placé derrière, s’en trouve légèrement isolé et mis en relation directe avec la douche. Quant aux finitions, elles signent l’une des plus jolies petites salles d’eau repérées sur Houzz cette année.
Et Aurélien Duny de conclure : « Tout au long de ce projet nous avons pu échanger intelligemment et ce bon relationnel l’a fait aboutir dans la joie. Quant au budget de 65 000 euros, il englobe la mission complète : travaux, mobilier, électroménager… Je n’annonce ni de délais records ni de budgets miracles car je considère que c’est le premier acte de vérité d’un architecte. Quand on dit oui à tout au départ, le client doit souvent faire face à de mauvaises surprises et des dépassements. »
ET VOUS ?
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Et Aurélien Duny de conclure : « Tout au long de ce projet nous avons pu échanger intelligemment et ce bon relationnel l’a fait aboutir dans la joie. Quant au budget de 65 000 euros, il englobe la mission complète : travaux, mobilier, électroménager… Je n’annonce ni de délais records ni de budgets miracles car je considère que c’est le premier acte de vérité d’un architecte. Quand on dit oui à tout au départ, le client doit souvent faire face à de mauvaises surprises et des dépassements. »
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