Tour du monde : 10 jardiniers nous invitent dans leur potager secret
De New York à Tokyo, des jardiniers ont transformé leur arrière-cour, leur terrasse et leur toit en corne d’abondance
Cet article est issu d’une série de dossiers préparés par l’ensemble des rédactions Houzz. Ils explorent les foyers de Houzzers du monde entier pour comprendre la façon dont nos modes de vie et notre pays de résidence influencent la décoration et l’aménagement de nos maisons
C’est tellement satisfaisant de croquer dans une tomate juteuse et sucrée, surtout quand on l’a fait pousser soi-même. Et que dire d’une salade qu’on cueille au jardin et qui porte encore des gouttes de la rosée du matin… Originaires du monde entier, ces dix jardiniers goûtent ces plaisirs au quotidien. Du potager sur le toit d’un garage à Moscou jusqu’aux jardinières de tôle ondulée à Sydney, il n’y a pas deux jardins qui se ressemblent.
C’est tellement satisfaisant de croquer dans une tomate juteuse et sucrée, surtout quand on l’a fait pousser soi-même. Et que dire d’une salade qu’on cueille au jardin et qui porte encore des gouttes de la rosée du matin… Originaires du monde entier, ces dix jardiniers goûtent ces plaisirs au quotidien. Du potager sur le toit d’un garage à Moscou jusqu’aux jardinières de tôle ondulée à Sydney, il n’y a pas deux jardins qui se ressemblent.
Jacqueline Cashen habite en bord de mer dans la communauté de Belle Harbour, dans le Queens, à New York. Cette plage a été complètement dévastée quand l’ouragan Sandy a frappé il y a trois ans. « Plus d’un mètre de sable recouvrait les propriétés et les rues tout autour », se souvient Jacqueline. « Il n’y avait plus d’électricité, plus de chauffage et il était impossible de rouler dans les rues. » Plutôt que de refaire un aménagement paysager devant sa résidence, elle a opté pour un potager.
Aujourd’hui, soit un an plus tard, le potager fournit à Jacqueline et à ses amis un lieu de rencontre où l’on désherbe, arrose et récolte.
« Pour moi, c’était la seule façon de reconstruire », explique Jacqueline. Sa fille Michelle travaille à la Brooklyn Grange et la Edgemere Farm, deux vastes fermes urbaines de la ville de New York. « Elle a eu beaucoup d’influence et m’a donné un bon coup de main », ajoute-t-elle.
Pourquoi jardiner : « C’est tellement difficile de mettre la main sur des fruits et légumes bio dans les Rockaways », raconte Jacqueline. « On doit traverser des ponts pour se rendre sur la terre ferme et ce n’est pas simple de trouver un magasin qui propose des produits sains. »
Une journée type : « On arrose, on désherbe et on se sent bien. J’inspecte chacune des plantes, j’enlève les feuilles mortes ou les fruits abîmés et je coupe tout ce qui pourrait éventuellement pourrir ou être attaqué par les insectes », déclare Jacqueline « On fait du compost derrière la maison et on l’utilise à l’occasion pour nourrir le jardin. Ce qui me prend beaucoup de temps, c’est d’attacher les plants de tomates aux treillages. Il me faudrait quatre mains ! »
Qu’est-ce qui pousse ici : Sur la plus grosse parcelle, devant la maison, on trouve du maïs, du brocoli, des haricots, des salades rouges, des courgettes, des choux kalé et verts, des blettes, des poivrons, des choux-fleurs, des aubergines, des pommes de terre, des betteraves, des carottes, de la roquette, des épinards, des concombres, des physalis et des tomates. Sur le côté de la résidence, il y a du fenouil, des poireaux et toute une variété d’herbes aromatiques.
« C’est tellement plus joli et plus utile que de la pelouse », s’exclame Jacqueline qui voudrait cultiver plus de physalis, de salades et de maïs et en apprendre davantage sur l’agriculture.
Ce qu’elle préfère : « La satisfaction de regarder une graine se transformer en plante et savoir qu’à son tour, elle deviendra le légume qui nous nourrira. »
Découvrez plus de photos de ce jardin
Aujourd’hui, soit un an plus tard, le potager fournit à Jacqueline et à ses amis un lieu de rencontre où l’on désherbe, arrose et récolte.
« Pour moi, c’était la seule façon de reconstruire », explique Jacqueline. Sa fille Michelle travaille à la Brooklyn Grange et la Edgemere Farm, deux vastes fermes urbaines de la ville de New York. « Elle a eu beaucoup d’influence et m’a donné un bon coup de main », ajoute-t-elle.
Pourquoi jardiner : « C’est tellement difficile de mettre la main sur des fruits et légumes bio dans les Rockaways », raconte Jacqueline. « On doit traverser des ponts pour se rendre sur la terre ferme et ce n’est pas simple de trouver un magasin qui propose des produits sains. »
Une journée type : « On arrose, on désherbe et on se sent bien. J’inspecte chacune des plantes, j’enlève les feuilles mortes ou les fruits abîmés et je coupe tout ce qui pourrait éventuellement pourrir ou être attaqué par les insectes », déclare Jacqueline « On fait du compost derrière la maison et on l’utilise à l’occasion pour nourrir le jardin. Ce qui me prend beaucoup de temps, c’est d’attacher les plants de tomates aux treillages. Il me faudrait quatre mains ! »
Qu’est-ce qui pousse ici : Sur la plus grosse parcelle, devant la maison, on trouve du maïs, du brocoli, des haricots, des salades rouges, des courgettes, des choux kalé et verts, des blettes, des poivrons, des choux-fleurs, des aubergines, des pommes de terre, des betteraves, des carottes, de la roquette, des épinards, des concombres, des physalis et des tomates. Sur le côté de la résidence, il y a du fenouil, des poireaux et toute une variété d’herbes aromatiques.
« C’est tellement plus joli et plus utile que de la pelouse », s’exclame Jacqueline qui voudrait cultiver plus de physalis, de salades et de maïs et en apprendre davantage sur l’agriculture.
Ce qu’elle préfère : « La satisfaction de regarder une graine se transformer en plante et savoir qu’à son tour, elle deviendra le légume qui nous nourrira. »
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2. Jardinage ingénieux au Royaume-Uni
Emplacement : Londres, Angleterre
Qui jardine ici : Esiah Levy, qui travaille pour la société Transport for London et également comme designer de potagers freelance
Superficie : 12,5 m²
« Au départ, mon jardin était recouvert à 90 % de pelouse », se remémore Esiah. Avec sa méthode de culture sans travail au sol, il a superposé directement sur la pelouse des couches de crottin de cheval, de carton, de marc de café, d’écales de cacao, de terre végétale et de compost, le tout obtenu complètement gratuitement ! Le jardinier a ainsi transformé la pelouse en un terreau fertile qui produit des poires, de l’ail et plein d’autres choses.
« C’est aujourd’hui un jardin qui attire les abeilles, les papillons, les écureuils, les coccinelles, les rouges-gorges et de nombreuses araignées », déclare Esiah. « Je me suis complètement approprié cette parcelle et, en retour, elle me nourrit. »
Pourquoi jardiner : « Acheter des fruits et légumes bio au supermarché est devenu tellement cher », dit Esiah. « Avec des matériaux recyclés comme le marc de café, les écales de cacao et le paillis, je peux cultiver et entretenir mon potager pour presque rien. »
Une journée type : « Je mets une couche de paillis sur le terreau et, si c’est nécessaire, j’y ajoute une couche de fruits et de légumes gâtés que je coupe en petits morceaux, puis je vérifie le pH de mon sol. Souvent, je m’installe au jardin et je m’en inspire pour créer des potagers pour ma clientèle privée, mais aussi pour des communautés. »
Emplacement : Londres, Angleterre
Qui jardine ici : Esiah Levy, qui travaille pour la société Transport for London et également comme designer de potagers freelance
Superficie : 12,5 m²
« Au départ, mon jardin était recouvert à 90 % de pelouse », se remémore Esiah. Avec sa méthode de culture sans travail au sol, il a superposé directement sur la pelouse des couches de crottin de cheval, de carton, de marc de café, d’écales de cacao, de terre végétale et de compost, le tout obtenu complètement gratuitement ! Le jardinier a ainsi transformé la pelouse en un terreau fertile qui produit des poires, de l’ail et plein d’autres choses.
« C’est aujourd’hui un jardin qui attire les abeilles, les papillons, les écureuils, les coccinelles, les rouges-gorges et de nombreuses araignées », déclare Esiah. « Je me suis complètement approprié cette parcelle et, en retour, elle me nourrit. »
Pourquoi jardiner : « Acheter des fruits et légumes bio au supermarché est devenu tellement cher », dit Esiah. « Avec des matériaux recyclés comme le marc de café, les écales de cacao et le paillis, je peux cultiver et entretenir mon potager pour presque rien. »
Une journée type : « Je mets une couche de paillis sur le terreau et, si c’est nécessaire, j’y ajoute une couche de fruits et de légumes gâtés que je coupe en petits morceaux, puis je vérifie le pH de mon sol. Souvent, je m’installe au jardin et je m’en inspire pour créer des potagers pour ma clientèle privée, mais aussi pour des communautés. »
Qu’est-ce qui pousse ici : Des poires, des pommes, des goyaves, des cassis, des fraises sauvages, des pommes de terre, des nèfles, des butternuts, des rutabagas, des blettes, des cerises, du quinoa et du soja, de la rhubarbe, de l’ail, de la ciboulette, de l’herbe à curry, des mûres (de mûrier ou de ronces), des quetsches, des pêches, des prunes, des amélanchiers, des grenades, des framboises, des airelles, des sureaux, des baies de goji, des carottes, des betteraves, des asperges, des petits pois, des tomates, des myrtilles, des noix, du chou kalé, de la lavande (pour parfumer les biscuits mais aussi attirer les pollinisateurs au jardin), des groseilles, des vignes, des coings, des navets, des oignons, des haricots noirs et azuki, des baies d’aronia et des kiwis. La saison prochaine, Esiah veut agrandir son jardin pour y cultiver des kakis, de l’Akebia quinata, des pommes d’api, du maïs doux et ses premières baies ‘Full Moon’.
Ce qu’il préfère : « Les gens qui passent ici sont épatés de ce que je réussis à faire pousser dans un si petit espace », raconte Esiah. « J’adore me prendre pour un artiste et je cultive mon jardin comme le peintre soigne sa toile. »
Découvrez comment fonctionne ce jardin potager
Ce qu’il préfère : « Les gens qui passent ici sont épatés de ce que je réussis à faire pousser dans un si petit espace », raconte Esiah. « J’adore me prendre pour un artiste et je cultive mon jardin comme le peintre soigne sa toile. »
Découvrez comment fonctionne ce jardin potager
3. Un jardin sur les toits en Russie
Emplacement : dans la périphérie de Moscou, Russie
Qui jardine ici : Marina Ogneva, conceptrice graphique pour une compagnie pétrolière et gazière, et son garçon de cinq ans
Superficie : 24,7 m²
« J’ai passé mon enfance en Sibérie. Là-bas jardiner est une tradition familiale et c’est de là que me viennent mes habitudes », soutient Marina. Comme sa propriété n’est pas assez vaste pour y faire tenir un carré de jardin, pour l’été, Marina a transformé l’espace au-dessus de son garage en véritable séjour à ciel ouvert avec cuisine extérieure.
« L’idée fonctionne très bien ! », lance Marina. Des jardinières surélevées, installées en plein soleil entourent le périmètre du toit et le protègent du vent. De la pièce à vivre et de la cuisine, Marina peut accéder directement à son jardin.
Pourquoi jardiner : « Quand on travaille cinq jours par semaine dans la capitale, le week-end venu, on a envie de fuir la ville et de cultiver son jardin », explique-t-elle. « Pour moi, c’est une source constante de plaisir et de divertissement. »
Emplacement : dans la périphérie de Moscou, Russie
Qui jardine ici : Marina Ogneva, conceptrice graphique pour une compagnie pétrolière et gazière, et son garçon de cinq ans
Superficie : 24,7 m²
« J’ai passé mon enfance en Sibérie. Là-bas jardiner est une tradition familiale et c’est de là que me viennent mes habitudes », soutient Marina. Comme sa propriété n’est pas assez vaste pour y faire tenir un carré de jardin, pour l’été, Marina a transformé l’espace au-dessus de son garage en véritable séjour à ciel ouvert avec cuisine extérieure.
« L’idée fonctionne très bien ! », lance Marina. Des jardinières surélevées, installées en plein soleil entourent le périmètre du toit et le protègent du vent. De la pièce à vivre et de la cuisine, Marina peut accéder directement à son jardin.
Pourquoi jardiner : « Quand on travaille cinq jours par semaine dans la capitale, le week-end venu, on a envie de fuir la ville et de cultiver son jardin », explique-t-elle. « Pour moi, c’est une source constante de plaisir et de divertissement. »
Qu’est-ce qui pousse ici : Des tomates, des potirons, des carottes, du céleri, des poivrons, des aubergines, des courges, des petits pois, de la roquette, du basilic, de la coriandre, de l’aneth et du thym. « J’ai même vu surgir une pastèque, mais ce n’est encore qu’une jeune pousse », relate fièrement Marina. « Mais on ne sait jamais, peut-être que les températures seront suffisamment chaudes pour en faire un vrai fruit… d’ici la fin de l’été ou au début de l’automne. » L’an prochain, la maraîchère pourra cultiver son jardin à partir des graines qu’elle aura elle-même recueillies.
Ce qu’elle préfère : « Quand on a un potager à portée de la main, on trouve plus facilement des idées pour les repas », explique Marina. « Et c’est très agréable de simplement s’allonger et prendre le soleil en respirant le parfum de la coriandre. »
Découvrez plus de photos de ce jardin
Ce qu’elle préfère : « Quand on a un potager à portée de la main, on trouve plus facilement des idées pour les repas », explique Marina. « Et c’est très agréable de simplement s’allonger et prendre le soleil en respirant le parfum de la coriandre. »
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4. Un jardin pas comme les autres dans la banlieue de Sydney
Emplacement : Hunters Hill en périphérie de Sydney, Australie
Qui jardine ici : Melanie Rankin, mère de quatre enfants, et leur chien Tops
Superficie : Près de 50 m²
Non seulement le potager de Melanie nourrit toute sa famille, mais il alimente les conversations dans la petite rue tranquille où vivent les Rankin. Alors qu’ils étaient de parfaits étrangers il n’y a pas longtemps, les gens s’arrêtent aujourd’hui pour bavarder ou même admirer les fruits et les légumes. Les cinq jardinières surélevées sont en tôle ondulée et elles ont transformé une façade banale en un espace fonctionnel que tout le voisinage apprécie.
Pourquoi jardiner : « Tout simplement pour le plaisir de manger ce que j’ai semé », raconte Melanie. « J’adore les fruits et légumes frais, j’ai voulu relever le défi de cultiver les miens. »
Une journée type : « J’ai beaucoup de chance : au fond, je n’ai pas tant de travail à faire ici et il est rare que je doive y passer une journée entière. Je m’y arrête parfois pour désherber, pour débarrasser les choux des chenilles envahissantes et j’arrose tout ce qui a soif. Quand arrive la nouvelle saison, ça ne prend qu’un après-midi pour ajouter une couche de fumier, de foin et de compost, puis semer et arroser. On ne travaille jamais le sol. »
Emplacement : Hunters Hill en périphérie de Sydney, Australie
Qui jardine ici : Melanie Rankin, mère de quatre enfants, et leur chien Tops
Superficie : Près de 50 m²
Non seulement le potager de Melanie nourrit toute sa famille, mais il alimente les conversations dans la petite rue tranquille où vivent les Rankin. Alors qu’ils étaient de parfaits étrangers il n’y a pas longtemps, les gens s’arrêtent aujourd’hui pour bavarder ou même admirer les fruits et les légumes. Les cinq jardinières surélevées sont en tôle ondulée et elles ont transformé une façade banale en un espace fonctionnel que tout le voisinage apprécie.
Pourquoi jardiner : « Tout simplement pour le plaisir de manger ce que j’ai semé », raconte Melanie. « J’adore les fruits et légumes frais, j’ai voulu relever le défi de cultiver les miens. »
Une journée type : « J’ai beaucoup de chance : au fond, je n’ai pas tant de travail à faire ici et il est rare que je doive y passer une journée entière. Je m’y arrête parfois pour désherber, pour débarrasser les choux des chenilles envahissantes et j’arrose tout ce qui a soif. Quand arrive la nouvelle saison, ça ne prend qu’un après-midi pour ajouter une couche de fumier, de foin et de compost, puis semer et arroser. On ne travaille jamais le sol. »
Qu’est-ce qui pousse ici : Des courgettes, cinq variétés de salades, des choux kalé et du chou noir de Toscane, des brocolis, des betteraves, des poivrons, du thym, du persil, de la sauge, du romarin et de l’origan, de l’herbe à curry, des capucines, des pois mange-tout, des potirons, des fruits de la passion, de l’ail, des poireaux et des oignons blancs. Au printemps, Melanie songe à ajouter des pastèques, des cantaloups, des haricots verts, des tomates, des aubergines, du maïs, des radis, et s’il reste encore un peu de place, elle aimerait planter un citronnier.
Ce qu’elle préfère : « Le partage. Montrer à quel point il est facile de cultiver ses propres légumes et apprendre les uns des autres. »
Découvrez plus de photos de ce projet
Ce qu’elle préfère : « Le partage. Montrer à quel point il est facile de cultiver ses propres légumes et apprendre les uns des autres. »
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5. Jardinage holistique en Italie
Emplacement : à la campagne, près de Turin, Italie
Qui jardine ici : Angelica Meschini, mère au foyer et tailleur à mi-temps
Superficie : 25 m²
« J’ai toujours rêvé d’un potager bien à moi, mais ça n’a été possible que lorsque nous nous sommes installés à la campagne », explique Angelica. « Quand j’étais enfant, nous habitions déjà la campagne. J’aidais mon père à traire les vaches et faisais des balades dans les rizières. »
La première année, les escargots ont tout mangé. Angelica a persévéré et elle a eu l’idée de surélever son jardin. Son mari a construit des carrées en utilisant le bois récupéré d’un ancien pont. Aujourd’hui, Angelica applique les principes de la culture biologique et biodynamique à son potager : « J’avoue que ça fonctionne très bien, je n’ai plus que quelques escargots qui visitent mes plants à l’occasion. »
Pourquoi jardiner : Pour procurer des aliments de qualité à sa famille et pour vivre en rythme avec la nature.
Une journée type : « Chaque jour est différent selon la période de l’année. Parfois je peux semer, transplanter ou récolter. Je dois constamment faire de l’entretien, enlever les feuilles mortes et arroser », ajoute Angelica.
Emplacement : à la campagne, près de Turin, Italie
Qui jardine ici : Angelica Meschini, mère au foyer et tailleur à mi-temps
Superficie : 25 m²
« J’ai toujours rêvé d’un potager bien à moi, mais ça n’a été possible que lorsque nous nous sommes installés à la campagne », explique Angelica. « Quand j’étais enfant, nous habitions déjà la campagne. J’aidais mon père à traire les vaches et faisais des balades dans les rizières. »
La première année, les escargots ont tout mangé. Angelica a persévéré et elle a eu l’idée de surélever son jardin. Son mari a construit des carrées en utilisant le bois récupéré d’un ancien pont. Aujourd’hui, Angelica applique les principes de la culture biologique et biodynamique à son potager : « J’avoue que ça fonctionne très bien, je n’ai plus que quelques escargots qui visitent mes plants à l’occasion. »
Pourquoi jardiner : Pour procurer des aliments de qualité à sa famille et pour vivre en rythme avec la nature.
Une journée type : « Chaque jour est différent selon la période de l’année. Parfois je peux semer, transplanter ou récolter. Je dois constamment faire de l’entretien, enlever les feuilles mortes et arroser », ajoute Angelica.
Qu’est-ce qui pousse ici : Des aubergines, des poivrons, des cardons, des choux, des choux de Savoie, des brocolis, du céleri, des fraises, des framboises, des myrtilles, des baies de goji et des herbes aromatiques comme du persil, du basilic, de la coriandre, de la menthe et du romarin.
Ce qu’elle préfère : « Je suis fascinée par le cycle des saisons. Pour moi, c’est l’allégorie des âges de la vie. »
Découvrez plus de photos de ce jardin
Ce qu’elle préfère : « Je suis fascinée par le cycle des saisons. Pour moi, c’est l’allégorie des âges de la vie. »
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6. Une terrasse d’herbes aromatiques en France
Emplacement : Orsay, au sud de Paris
Qui jardine ici : Philippe Grolier, photographe et architecte
Superficie : 5 m²
Philippe utilise sa terrasse pour y cultiver ce qu’il n’a pas dans son jardin, situé de l’autre côté de la maison. Parmi les plants qui poussent ici en jardinières, on trouve de la menthe marocaine, de la ciboulette fine danoise, du persil frisé, du basilic thaï, des « tomtato » (une plante hybride qui produit à la fois des pommes de terre et des tomates) et des fraises.
Pourquoi jardiner : « Nous avons trois enfants. Nous voulions donc manger bio et tenter d’être autosuffisants », déclare Philippe.
Une journée type : « J’aime me lever tôt les week-ends », avoue l’architecte qui préfère les températures fraîches du petit matin. « Les oiseaux volent par centaines et la lumière est magnifique. » Philippe examine ses légumes pour vérifier que les escargots n’aient pas causé trop de dommage durant la nuit et il arrose son potager en savourant son café. « Je fais la sieste l’après-midi lorsque les températures sont à leur apogée et je retourne au jardin le soir, avant le dîner, pour cueillir de quoi préparer le repas. »
Emplacement : Orsay, au sud de Paris
Qui jardine ici : Philippe Grolier, photographe et architecte
Superficie : 5 m²
Philippe utilise sa terrasse pour y cultiver ce qu’il n’a pas dans son jardin, situé de l’autre côté de la maison. Parmi les plants qui poussent ici en jardinières, on trouve de la menthe marocaine, de la ciboulette fine danoise, du persil frisé, du basilic thaï, des « tomtato » (une plante hybride qui produit à la fois des pommes de terre et des tomates) et des fraises.
Pourquoi jardiner : « Nous avons trois enfants. Nous voulions donc manger bio et tenter d’être autosuffisants », déclare Philippe.
Une journée type : « J’aime me lever tôt les week-ends », avoue l’architecte qui préfère les températures fraîches du petit matin. « Les oiseaux volent par centaines et la lumière est magnifique. » Philippe examine ses légumes pour vérifier que les escargots n’aient pas causé trop de dommage durant la nuit et il arrose son potager en savourant son café. « Je fais la sieste l’après-midi lorsque les températures sont à leur apogée et je retourne au jardin le soir, avant le dîner, pour cueillir de quoi préparer le repas. »
Qu’est-ce qui pousse ici : « Durant l’été, je cultive des tomates que je cuisine ou que je mets en conserve », résume Philippe, qui plante aussi des aubergines et des herbes comme du basilic, de la ciboulette et du romarin. La saison prochaine, il se promet d’ajouter des choux, des groseilles et des cassis.
Ce qu’il préfère : « Que ce soit au jardin ou sur la terrasse, il y a toujours moyen de cultiver ses propres légumes. »
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Ce qu’il préfère : « Que ce soit au jardin ou sur la terrasse, il y a toujours moyen de cultiver ses propres légumes. »
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7. Des récoltes à l’année pour une famille en Espagne
Emplacement : Barcia, dans la principauté des Asturies, sur la côte nord de l’Espagne
Qui jardine ici : Moisés Álvarez, un employé municipal, María del Valle, une community manager, et leurs quatre enfants
Superficie : 3 000 m²
« Plus qu’un travail, mon jardin est aussi un passe-temps », déclare Moisés. « C’est vrai que c’est difficile, mais c’est aussi très amusant et tellement gratifiant. »
Depuis un an et demi, le couple jardine ici, sur un lopin situé à cinq kilomètres de chez eux. Ils y cultivent des légumes toute l’année pour nourrir leur famille. María nous confie que « Moisés adore la sauce tomate. Il fait en sorte de planter suffisamment pour en avoir toute l’année ». La famille prépare aussi des conserves de petits pois et de choux de Bruxelles qu’ils gardent pour la saison froide.
Pourquoi jardiner : Ils ont tiré un énorme plaisir à cultiver des légumes sur leur terrasse ce qui leur a donné l’idée d’acheter un coin de terre pour produire encore plus.
Une journée type : Les week-ends, la famille passe beaucoup de temps au jardin. « C’est tôt le matin que nous effectuons le travail le plus éreintant », c’est-à-dire le désherbage et la préparation du sol, explique Moisés. Il déjeune ensuite d’un repas préparé avec le fruit de ses récoltes. « Nous passons aussi beaucoup de temps à débarrasser le jardin des escargots, des limaces, des larves et de tous les insectes nuisibles à nos plantations. »
Emplacement : Barcia, dans la principauté des Asturies, sur la côte nord de l’Espagne
Qui jardine ici : Moisés Álvarez, un employé municipal, María del Valle, une community manager, et leurs quatre enfants
Superficie : 3 000 m²
« Plus qu’un travail, mon jardin est aussi un passe-temps », déclare Moisés. « C’est vrai que c’est difficile, mais c’est aussi très amusant et tellement gratifiant. »
Depuis un an et demi, le couple jardine ici, sur un lopin situé à cinq kilomètres de chez eux. Ils y cultivent des légumes toute l’année pour nourrir leur famille. María nous confie que « Moisés adore la sauce tomate. Il fait en sorte de planter suffisamment pour en avoir toute l’année ». La famille prépare aussi des conserves de petits pois et de choux de Bruxelles qu’ils gardent pour la saison froide.
Pourquoi jardiner : Ils ont tiré un énorme plaisir à cultiver des légumes sur leur terrasse ce qui leur a donné l’idée d’acheter un coin de terre pour produire encore plus.
Une journée type : Les week-ends, la famille passe beaucoup de temps au jardin. « C’est tôt le matin que nous effectuons le travail le plus éreintant », c’est-à-dire le désherbage et la préparation du sol, explique Moisés. Il déjeune ensuite d’un repas préparé avec le fruit de ses récoltes. « Nous passons aussi beaucoup de temps à débarrasser le jardin des escargots, des limaces, des larves et de tous les insectes nuisibles à nos plantations. »
Qu’est-ce qui pousse ici : Des tournesols, des haricots verts, des tomates, des salades, des betteraves, des pommes de terre, des radis, de l’ail, des poivrons, des fabes (un haricot traditionnel du nord de l’Espagne), des choux, des oignons, du maïs, des potirons et des poireaux.
Ce qu’ils préfèrent : « Nous ne mangeons que ce que nous produisons », dit María, ravie de pouvoir offrir à sa famille les meilleurs produits qui soient.
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Ce qu’ils préfèrent : « Nous ne mangeons que ce que nous produisons », dit María, ravie de pouvoir offrir à sa famille les meilleurs produits qui soient.
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8. Apprendre à jardiner ensemble au Japon
Emplacement : Zama, préfecture de Kanagawa, près de Tokyo, Japon
Qui jardine ici : Shoji Mimura, employé d’une grande entreprise, sa femme et leurs deux enfants
Superficie : Près de 6 m²
Ce petit potager fait partie de Hoshinotani Danchi, un complexe immobilier de Zama, récemment rénové et qui abritait autrefois les employés d’une des plus vastes sociétés de chemin de fer de banlieue de Tokyo. Blue studio, l’atelier de design derrière cette transformation a repensé complètement l’ensemble et y a intégré un potager communautaire.
La famille de Shoji s’adonne au jardinage depuis trois mois déjà et elle fait partie des 31 familles du complexe qui ont accès à un petit carré. Ici, la plupart des jardiniers sont des novices, mais sont aidés par deux consultants en management des organisations agricoles, qui organisent des ateliers et prodiguent des conseils personnalisés. Les apprentis horticulteurs peuvent trouver sur place tous les outils dont ils ont besoin.
Pourquoi jardiner : « Mes enfants ne mangent pas beaucoup de légumes et j’ai pensé qu’ils les apprécieraient plus s’ils les faisaient pousser eux-mêmes », estime Shoji.
Emplacement : Zama, préfecture de Kanagawa, près de Tokyo, Japon
Qui jardine ici : Shoji Mimura, employé d’une grande entreprise, sa femme et leurs deux enfants
Superficie : Près de 6 m²
Ce petit potager fait partie de Hoshinotani Danchi, un complexe immobilier de Zama, récemment rénové et qui abritait autrefois les employés d’une des plus vastes sociétés de chemin de fer de banlieue de Tokyo. Blue studio, l’atelier de design derrière cette transformation a repensé complètement l’ensemble et y a intégré un potager communautaire.
La famille de Shoji s’adonne au jardinage depuis trois mois déjà et elle fait partie des 31 familles du complexe qui ont accès à un petit carré. Ici, la plupart des jardiniers sont des novices, mais sont aidés par deux consultants en management des organisations agricoles, qui organisent des ateliers et prodiguent des conseils personnalisés. Les apprentis horticulteurs peuvent trouver sur place tous les outils dont ils ont besoin.
Pourquoi jardiner : « Mes enfants ne mangent pas beaucoup de légumes et j’ai pensé qu’ils les apprécieraient plus s’ils les faisaient pousser eux-mêmes », estime Shoji.
Sur la photo : Shoji Mimura (à gauche) et le consultant Kenichi Masuda
Qu’est-ce qui pousse ici : Des poivrons verts, des aubergines, des tomates, des concombres, du maïs. En hiver, on cultivera des choux chinois et des radis blancs.
Ce qu’il préfère : « À la fin de la saison, sur la terrasse à côté du jardin, on s’est tous réunis pour faire la fête et partager notre récolte. C’était vraiment agréable », se souvient Shoji.
Qu’est-ce qui pousse ici : Des poivrons verts, des aubergines, des tomates, des concombres, du maïs. En hiver, on cultivera des choux chinois et des radis blancs.
Ce qu’il préfère : « À la fin de la saison, sur la terrasse à côté du jardin, on s’est tous réunis pour faire la fête et partager notre récolte. C’était vraiment agréable », se souvient Shoji.
9. Un jardin laboratoire en Suède
Emplacement : Stockholm, Suède
Qui jardine ici : Elin Unnes, critique musical
Superficie : 120 m²
Le lopin sur lequel Elin loue son espace de jardin est situé sur les terres du roi de Suède. Depuis six ans, elle s’approprie le lieu en le transformant. « C’est mon père qui a construit la remise à partir d’anciennes portes recyclées », explique Elin, qui a meublé l’espace avec des chaises et une table de chez Massproductions, ses designers préférés.
« Je n’ai pas de connaissances précises en jardinage, mais je faisais une fixette sur les potagers avant même d’avoir le plus petit carré de légumes à cultiver », déclare-t-elle. Lorsqu’elle est en déplacement pour couvrir des concerts et des festivals, elle en profite pour jeter un œil à d’autres jardins.
Pourquoi jardiner : « Je n’ai jamais aimé les jardins trop proprets et bien ordonnés qui regorgent de fleurs. Ce que je veux, c’est un potager auquel je peux goûter. »
Une journée type : Il y a beaucoup de travail au printemps et en été. « J’aime venir ici en hiver simplement pour savourer une tasse de café et nourrir les oiseaux », explique Elin.
Emplacement : Stockholm, Suède
Qui jardine ici : Elin Unnes, critique musical
Superficie : 120 m²
Le lopin sur lequel Elin loue son espace de jardin est situé sur les terres du roi de Suède. Depuis six ans, elle s’approprie le lieu en le transformant. « C’est mon père qui a construit la remise à partir d’anciennes portes recyclées », explique Elin, qui a meublé l’espace avec des chaises et une table de chez Massproductions, ses designers préférés.
« Je n’ai pas de connaissances précises en jardinage, mais je faisais une fixette sur les potagers avant même d’avoir le plus petit carré de légumes à cultiver », déclare-t-elle. Lorsqu’elle est en déplacement pour couvrir des concerts et des festivals, elle en profite pour jeter un œil à d’autres jardins.
Pourquoi jardiner : « Je n’ai jamais aimé les jardins trop proprets et bien ordonnés qui regorgent de fleurs. Ce que je veux, c’est un potager auquel je peux goûter. »
Une journée type : Il y a beaucoup de travail au printemps et en été. « J’aime venir ici en hiver simplement pour savourer une tasse de café et nourrir les oiseaux », explique Elin.
Derrière Elin, des bouteilles transformées en photophores pendent du prunier. Le fond de verre a été remplacé par une petite plaque de métal sur laquelle on dépose une bougie. Un fil de fer scelle l’assemblage et permet de suspendre le tout aux branches de l’arbre.
Qu’est-ce qui pousse ici : Des mûres, du houblon, des prunes, des artichauts et des choux de Bruxelles. À la saison prochaine, Elin aimerait planter davantage d’herbe. « Je suis fascinée par les nombreux usages qu’on peut faire de certaines plantes », explique-t-elle. « Par exemple, avec les baies de sureau, on peut fabriquer un bon vin pétillant et l’ortie fait des merveilles sur les cheveux. »
Ce qu’elle préfère : « J’ai toujours aimé tester et expérimenter et c’est ce que je fais dans mon jardin. Certains de mes essais sont plus ou moins réussis, alors que d’autres sont un véritable succès, comme mes mûres ‘Loch Ness’. »
Découvrez plus de photos de ce jardin
Ce qu’elle préfère : « J’ai toujours aimé tester et expérimenter et c’est ce que je fais dans mon jardin. Certains de mes essais sont plus ou moins réussis, alors que d’autres sont un véritable succès, comme mes mûres ‘Loch Ness’. »
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10. Détente garantie en Allemagne
Emplacement : Cologne, Allemagne
Qui jardine ici : Sandra Geeck, responsable marketing online et blogueuse cuisine et jardinage
Superficie : 50 m²
Depuis quatre ans, Sandra loue son carré de jardin à un fermier. Avant le début de la saison, qui dure de mai à novembre, le propriétaire prépare et laboure la terre. « C’est à ce moment-là que mon travail commence », déclare Sandra. « Je sème encore un peu, j’arrose, je désherbe, je plante et finalement je récolte. »
Sandra cultive suffisamment de légumes pour nourrir deux ou trois personnes durant toute la saison. Elle fait constamment de nouvelles expérimentations qu’elle relate régulièrement sur son blog Grüne Liebe. « Je mange beaucoup plus de légumes qu’avant, parce que je sais maintenant exactement d’où ils proviennent et aussi tout le travail qu’il y a derrière une simple portion de petits pois écossés », explique Sandra.
Pourquoi jardiner : « J’ai toujours cultivé quelques pousses sur mon balcon, comme des tomates et des herbes, mais ce n’était que pour des encas. Un jour, ça ne m’a plus suffi. »
Une journée type : La journée de Sandra commence par une promenade à vélo jusqu’à son jardin. « Une fois dans les champs, j’enfile mes chaussures de jardin et je me balade entre les plants. Je grignote une tomate ou un physalis et je fais des photos pour mon blog », raconte la maraîchère. Puis, il faut se mettre au travail : Sandra arrache les mauvaises herbes, aère la terre et se débarrasse des plants morts. À la fin de la journée, elle repart, le panier de son vélo plein à craquer de ses bons légumes.
Emplacement : Cologne, Allemagne
Qui jardine ici : Sandra Geeck, responsable marketing online et blogueuse cuisine et jardinage
Superficie : 50 m²
Depuis quatre ans, Sandra loue son carré de jardin à un fermier. Avant le début de la saison, qui dure de mai à novembre, le propriétaire prépare et laboure la terre. « C’est à ce moment-là que mon travail commence », déclare Sandra. « Je sème encore un peu, j’arrose, je désherbe, je plante et finalement je récolte. »
Sandra cultive suffisamment de légumes pour nourrir deux ou trois personnes durant toute la saison. Elle fait constamment de nouvelles expérimentations qu’elle relate régulièrement sur son blog Grüne Liebe. « Je mange beaucoup plus de légumes qu’avant, parce que je sais maintenant exactement d’où ils proviennent et aussi tout le travail qu’il y a derrière une simple portion de petits pois écossés », explique Sandra.
Pourquoi jardiner : « J’ai toujours cultivé quelques pousses sur mon balcon, comme des tomates et des herbes, mais ce n’était que pour des encas. Un jour, ça ne m’a plus suffi. »
Une journée type : La journée de Sandra commence par une promenade à vélo jusqu’à son jardin. « Une fois dans les champs, j’enfile mes chaussures de jardin et je me balade entre les plants. Je grignote une tomate ou un physalis et je fais des photos pour mon blog », raconte la maraîchère. Puis, il faut se mettre au travail : Sandra arrache les mauvaises herbes, aère la terre et se débarrasse des plants morts. À la fin de la journée, elle repart, le panier de son vélo plein à craquer de ses bons légumes.
Qu’est-ce qui pousse ici : Des pommes de terre, des carottes, des oignons, des patates douces, des potirons, des artichauts, des aubergines, des physalis, des choux-fleurs violets et des fleurs comestibles. L’an prochain, la blogueuse veut ajouter des tomates, des concombres et des noix tigrées.
Ce qu’elle préfère : « J’adore sortir de la ville », lance Sandra. « Travailler au jardin me permet de vraiment me détendre et de faire de l’exercice. »
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ET VOUS ?
Avez-vous un potage ? Partagez vos photos dans la section commentaires en précisant votre ville et pays de résidence.
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Ce qu’elle préfère : « J’adore sortir de la ville », lance Sandra. « Travailler au jardin me permet de vraiment me détendre et de faire de l’exercice. »
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Emplacement : Belle Harbor, New York, États-Unis
Qui jardine ici : Jacqueline Cashen (au centre), propriétaire de la compagnie Big Dog Imprints, Gary Streisand, son fiancé (à sa gauche), et quelques voisins (comme Dan Epstein, à droite sur la photo)
Superficie : Le potager devant la maison fait 45 m² ; un plus petit qui longe le côté de la maison fait 8,4 m².