12 portes intérieures invisibles se dérobent au regard
Suivez ces astuces pour permettre aux portes de se fondre dans le décor
S’il y a eu en décoration une époque où la porte devait être traitée comme un élément architectural à part entière, devant être vue et même soulignée, ces dernières années, la tendance semble s’inverser. Surfant sur la mode des espaces ouverts, les transitions entre les différentes pièces de la maison s’estompent et la porte se fait de plus en plus discrète. Si vous rêvez d’effacer vos portes intérieures sans pour autant les retirer, voici quelques exemples qui pourraient vous inspirer…
2. Décorée en trompe-l’œil
Dans cet appartement londonien des plus classiques, plutôt que de se démarquer, la porte qui mène aux sanitaires a été traitée comme une partie intégrante du mur. Avec sa couleur flamboyante, ses moulures dorées et ses tableaux classiques, qui reprennent les codes de décoration du reste de l’appartement, on ne la distingue même plus !
On aime : L’asymétrie des moulures et le tableau accroché à même l’ouvrant, qui renforcent encore plus cette illusion optique.
Trouvez un professionnel près de chez vous pour vos portes
Dans cet appartement londonien des plus classiques, plutôt que de se démarquer, la porte qui mène aux sanitaires a été traitée comme une partie intégrante du mur. Avec sa couleur flamboyante, ses moulures dorées et ses tableaux classiques, qui reprennent les codes de décoration du reste de l’appartement, on ne la distingue même plus !
On aime : L’asymétrie des moulures et le tableau accroché à même l’ouvrant, qui renforcent encore plus cette illusion optique.
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3. Cachée derrière des moulures
Sur le même principe, la partie inférieure de cette porte de transition s’habille des mêmes moulures que celles qui couvrent les murs. Cette continuité de traitement donne à l’ensemble une telle uniformité que l’on ne sait plus distinguer le passage une fois la porte complètement refermée.
On aime : Le tableau qui ouvre la perspective et qui, en focalisant le regard, fait oublier le reste.
Sur le même principe, la partie inférieure de cette porte de transition s’habille des mêmes moulures que celles qui couvrent les murs. Cette continuité de traitement donne à l’ensemble une telle uniformité que l’on ne sait plus distinguer le passage une fois la porte complètement refermée.
On aime : Le tableau qui ouvre la perspective et qui, en focalisant le regard, fait oublier le reste.
4. Pensée comme une paroi amovible
Dans ce studio parisien imaginé par Marion Vallerin, où se retrouvent dans un même volume couchage, rangements et sanitaire, il fallait impérativement trouver des solutions pour fermer les espaces sans perte de place. Ainsi, un panneau de bois toute hauteur fixé sur un rail au plafond prend des airs de cloison, alors qu’une fois déplacé, il devient porte de séparation entre chambre et salle de douche.
On aime : L’effet de surprise ainsi créé, renforcé par le traitement des éléments. Une fois ouverte, la porte d’un blanc éclatant laisse deviner un espace très graphique.
Dans ce studio parisien imaginé par Marion Vallerin, où se retrouvent dans un même volume couchage, rangements et sanitaire, il fallait impérativement trouver des solutions pour fermer les espaces sans perte de place. Ainsi, un panneau de bois toute hauteur fixé sur un rail au plafond prend des airs de cloison, alors qu’une fois déplacé, il devient porte de séparation entre chambre et salle de douche.
On aime : L’effet de surprise ainsi créé, renforcé par le traitement des éléments. Une fois ouverte, la porte d’un blanc éclatant laisse deviner un espace très graphique.
5. Coulissante et invisible
Sur le même principe, dans cette chambre ouverte sur le salon, une porte coulissante à galandage s’estompe comme par magie dans la cloison pour ouvrir l’espace au maximum.
On aime : Le traitement bicolore de cette porte rétractable : côté salon, toute de blanc vêtue, la porte fermée ne se laisse pas appréhender, alors que dans la chambre à coucher, c’est elle qui donne le ton et transforme l’espace en agréable cocon.
Sur le même principe, dans cette chambre ouverte sur le salon, une porte coulissante à galandage s’estompe comme par magie dans la cloison pour ouvrir l’espace au maximum.
On aime : Le traitement bicolore de cette porte rétractable : côté salon, toute de blanc vêtue, la porte fermée ne se laisse pas appréhender, alors que dans la chambre à coucher, c’est elle qui donne le ton et transforme l’espace en agréable cocon.

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6. Camouflée de manière monochrome
La couleur sert à mettre en valeur et même à camoufler certains défauts selon la manière dont elle est appliquée. Dans ce petit appartement moscovite ultracontemporain, murs, porte, sol et plafond sont peints de la même couleur foncée par un joli jeu géométrique. On ne sait alors plus où se situent les limites du volume.
On aime : Le sas d’entrée ainsi formalisé, qui crée une vraie transition entre intérieur et extérieur.
La couleur sert à mettre en valeur et même à camoufler certains défauts selon la manière dont elle est appliquée. Dans ce petit appartement moscovite ultracontemporain, murs, porte, sol et plafond sont peints de la même couleur foncée par un joli jeu géométrique. On ne sait alors plus où se situent les limites du volume.
On aime : Le sas d’entrée ainsi formalisé, qui crée une vraie transition entre intérieur et extérieur.
7. Tout en transparence
Si faire disparaître une porte dans une cloison en dur semble assez facile, difficile d’imaginer ce que cela peut donner avec une paroi complètement vitrée. C’est pourtant la jolie prouesse réalisée par Brengues Le Pavec Architectes dans cette cuisine qui s’ouvre à la demande.
On aime : Le cube en verre revisité dont le dessin de la structure cache les portes mais aussi les coulissants nécessaires à l’ouverture et à la fermeture.
Si faire disparaître une porte dans une cloison en dur semble assez facile, difficile d’imaginer ce que cela peut donner avec une paroi complètement vitrée. C’est pourtant la jolie prouesse réalisée par Brengues Le Pavec Architectes dans cette cuisine qui s’ouvre à la demande.
On aime : Le cube en verre revisité dont le dessin de la structure cache les portes mais aussi les coulissants nécessaires à l’ouverture et à la fermeture.
8. Imaginée tel un trompe-l’œil graphique
Dans cette pièce à vivre, pour distinguer le salon-salle à manger de l’espace télévision, l’architecte d’intérieure Charlotte Fequet a choisi de cloisonner l’espace d’une verrière un peu particulière. De part et d’autre de cette cloison légère, deux portes coulissantes imperceptibles permettent en un instant de changer la configuration de l’appartement.
On aime : Le joli jeu de découpes, qui se superpose une fois les portes ouvertes et ne laisse rien deviner de la nouvelle circulation ainsi créée.
Tout ce que vous devez savoir sur les portes coulissantes
Dans cette pièce à vivre, pour distinguer le salon-salle à manger de l’espace télévision, l’architecte d’intérieure Charlotte Fequet a choisi de cloisonner l’espace d’une verrière un peu particulière. De part et d’autre de cette cloison légère, deux portes coulissantes imperceptibles permettent en un instant de changer la configuration de l’appartement.
On aime : Le joli jeu de découpes, qui se superpose une fois les portes ouvertes et ne laisse rien deviner de la nouvelle circulation ainsi créée.
Tout ce que vous devez savoir sur les portes coulissantes
9. Absorbée par un papier peint
Pour faire oublier une porte, mieux vaut la traiter comme un élément à part entière. Ainsi, dans cet appartement anglais, les designers d’intérieur d’Etons of Bath ont pris le parti de recouvrir avec le papier peint aux mille visages de Fornasetti le mur faisant face au canapé, sans oublier bien sûr, la porte permettant d’accéder aux espaces privés. Le pan, ainsi uniformisé, fait oublier l’ouverture peu stratégique qui aurait été le centre de toutes les attentions s’il avait été laissé tel quel.
On aime : Tous ces visages poussent à la conversation et renforcent la convivialité du lieu.
Pour faire oublier une porte, mieux vaut la traiter comme un élément à part entière. Ainsi, dans cet appartement anglais, les designers d’intérieur d’Etons of Bath ont pris le parti de recouvrir avec le papier peint aux mille visages de Fornasetti le mur faisant face au canapé, sans oublier bien sûr, la porte permettant d’accéder aux espaces privés. Le pan, ainsi uniformisé, fait oublier l’ouverture peu stratégique qui aurait été le centre de toutes les attentions s’il avait été laissé tel quel.
On aime : Tous ces visages poussent à la conversation et renforcent la convivialité du lieu.
10. Dissimulée dans un placard
Dans cette chambre à coucher parentale, un bloc de bois distinct du reste de l’aménagement permet d’intégrer un magnifique dressing, mais pas seulement ! L’une des portes de cet aménagement sur mesure ouvre en effet un passage secret vers la salle de bains attenante.
On aime : L’ouverture à double battant, peu commune pour un accès à la salle de bains, qui préserve le rythme et l’alignement du reste de l’agencement.
Dans cette chambre à coucher parentale, un bloc de bois distinct du reste de l’aménagement permet d’intégrer un magnifique dressing, mais pas seulement ! L’une des portes de cet aménagement sur mesure ouvre en effet un passage secret vers la salle de bains attenante.
On aime : L’ouverture à double battant, peu commune pour un accès à la salle de bains, qui préserve le rythme et l’alignement du reste de l’agencement.
11. Dénuée de poignée
Pour faire oublier une porte, mieux vaut faire en sorte que la technique ne se voit pas. Si ce principe est depuis longtemps répandu dans le design d’éléments de rangement, il commence à se développer dans l’agencement intérieur. Charnières invisibles et système d’ouverture push-pull ne sont plus cantonnés aux placards, mais s’adaptent aux portes intérieures, comme dans cette chambre monacale lyonnaise. Ainsi, une simple pression permet d’ouvrir la porte en toute discrétion.
On aime : La pureté absolue du volume que rien ne vient perturber et qui renforce ainsi l’esprit du lieu.
Pour faire oublier une porte, mieux vaut faire en sorte que la technique ne se voit pas. Si ce principe est depuis longtemps répandu dans le design d’éléments de rangement, il commence à se développer dans l’agencement intérieur. Charnières invisibles et système d’ouverture push-pull ne sont plus cantonnés aux placards, mais s’adaptent aux portes intérieures, comme dans cette chambre monacale lyonnaise. Ainsi, une simple pression permet d’ouvrir la porte en toute discrétion.
On aime : La pureté absolue du volume que rien ne vient perturber et qui renforce ainsi l’esprit du lieu.
12. Porte accordéon
Autrefois proposée dans des petites pièces ou des placards pour son gain de place indéniable, la porte accordéon se décline aujourd’hui en porte intérieure dans nos maisons. Car elle sait aussi se faire très discrète ! C’est le cas dans cet appartement parisien, où elle ferme l’espace salle de bains du reste de l’habitation seulement quand cela est nécessaire.
On aime : Le fait que cette porte soit toute hauteur et qu’il n’y ait donc aucune rupture entre sol et plafond, laissant présager un passage.
ET VOUS ?
Êtes-vous adepte des portes invisibles ? Montrez-nous !
Autrefois proposée dans des petites pièces ou des placards pour son gain de place indéniable, la porte accordéon se décline aujourd’hui en porte intérieure dans nos maisons. Car elle sait aussi se faire très discrète ! C’est le cas dans cet appartement parisien, où elle ferme l’espace salle de bains du reste de l’habitation seulement quand cela est nécessaire.
On aime : Le fait que cette porte soit toute hauteur et qu’il n’y ait donc aucune rupture entre sol et plafond, laissant présager un passage.
ET VOUS ?
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Pour faire disparaître le passage entre cuisine et arrière-cuisine, les architectes de Murphy Mears Architects ont choisi de camoufler la zone de transition dans la structure même de la pièce. La paroi murale abritant le frigo, les rangements mais aussi la porte a ainsi été pensée dans son ensemble et, avec sa finition identique aux façades de la cuisine, l’accès se retrouve complètement absorbé.
On aime : Le joli jeu de symétrie dans le dessin des placards, qui ne laisse absolument rien présager.