Le potager idéal de Carole Tolila
Dites-nous ce que vous pensez de ce potager idéal pour avoir une chance de gagner un bon d'achat de 50 euros !
La présentatrice de Silence, ça pousse, l’émission de France 5, brosse pour Houzz le portrait du potager de ses rêves
J’ai rejoint il y a deux ans l’émission Silence, ça pousse, de Stéphane Marie, jardinier expert, sans avoir la main verte. J’apprends beaucoup à ses côtés et avoir un potager me permettrait de mettre en pratique tout ce qu’il m’enseigne. Malheureusement, mon potager reste un fantasme pour l’instant car mon appartement parisien n’a même pas de terrasse… Pourtant, avec mon mari Thomas Isle, qui travaille à La Quotidienne sur France 5, nous nous sentons vraiment concernés par cette question. À la maison, c’est lui qui cuisine et mieux se nourrir est l’une de ses grandes préoccupations. De mon côté, je viens d’une famille où l’on travaillait la terre et j’ai beaucoup de respect pour ça. Aujourd’hui, je prends le temps d’expliquer à mes enfants d’où viennent les fruits et les légumes, mais bien entendu, ce serait encore mieux si nous pouvions vivre l’expérience du potager grandeur nature et en famille.
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Retrouvez les termes et conditions de ce concours ici.
J’ai rejoint il y a deux ans l’émission Silence, ça pousse, de Stéphane Marie, jardinier expert, sans avoir la main verte. J’apprends beaucoup à ses côtés et avoir un potager me permettrait de mettre en pratique tout ce qu’il m’enseigne. Malheureusement, mon potager reste un fantasme pour l’instant car mon appartement parisien n’a même pas de terrasse… Pourtant, avec mon mari Thomas Isle, qui travaille à La Quotidienne sur France 5, nous nous sentons vraiment concernés par cette question. À la maison, c’est lui qui cuisine et mieux se nourrir est l’une de ses grandes préoccupations. De mon côté, je viens d’une famille où l’on travaillait la terre et j’ai beaucoup de respect pour ça. Aujourd’hui, je prends le temps d’expliquer à mes enfants d’où viennent les fruits et les légumes, mais bien entendu, ce serait encore mieux si nous pouvions vivre l’expérience du potager grandeur nature et en famille.
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Comment imagines-tu ton potager ?
Mon potager idéal mélangerait les légumes, les fleurs, les fruits et les aromatiques. Je ne l’imagine pas tiré au cordeau, avec des carrés en monoculture, mais au contraire assez naturel, presque sauvage, avec des structures bien nettes qui apporteraient du graphisme. L’aspect visuel et déco est très important pour moi. J’y ajouterais des paniers suspendus dans lesquels on peut faire pousser de petits plants car j’ai une passion pour les paniers ainsi que pour les caissettes en bois.
Mon potager idéal mélangerait les légumes, les fleurs, les fruits et les aromatiques. Je ne l’imagine pas tiré au cordeau, avec des carrés en monoculture, mais au contraire assez naturel, presque sauvage, avec des structures bien nettes qui apporteraient du graphisme. L’aspect visuel et déco est très important pour moi. J’y ajouterais des paniers suspendus dans lesquels on peut faire pousser de petits plants car j’ai une passion pour les paniers ainsi que pour les caissettes en bois.
Dans mon potager, les fleurs seront essentielles, tant pour leur esthétisme que pour les notes odorantes. Je planterais également des fleurs comestibles car j’adore l’idée d’en décorer les plats.
J’ai été très marquée par l’un de mes reportages pour Silence, ça pousse chez une dame qui avait entouré son jardin de fleurs blanches. C’était magnifique. J’imagine mon potager lui aussi cerné de fleurs, uniquement blanches, et dans celui-ci, je parsèmerais de gros pots noirs, ici et là, pour donner du contraste.
J’ai été très marquée par l’un de mes reportages pour Silence, ça pousse chez une dame qui avait entouré son jardin de fleurs blanches. C’était magnifique. J’imagine mon potager lui aussi cerné de fleurs, uniquement blanches, et dans celui-ci, je parsèmerais de gros pots noirs, ici et là, pour donner du contraste.
Y aurait-il des arbres ?
Au fond de mon potager, il y aurait forcément un saule car Stéphane Marie m’a appris à regarder d’un autre œil cet arbre aux nombreuses vertus : outre l’ombrage qu’il apporte, on peut s’en servir pour tresser et fabriquer des objets ou encore faire des tuteurs ou se soigner avec ses feuilles.
Et bien entendu un pommier, car les pommes sont l’une des bases de mon alimentation et il semblerait que le pommier soit un arbre facile à planter et à entretenir. Je n’aime manger les pommes qu’avec la peau, car elle apporte au fruit tout son croquant. Pour le moment, je les achète au marché bio pour éviter les pesticides mais aller les chercher au jardin serait autrement plus intéressant.
Au fond de mon potager, il y aurait forcément un saule car Stéphane Marie m’a appris à regarder d’un autre œil cet arbre aux nombreuses vertus : outre l’ombrage qu’il apporte, on peut s’en servir pour tresser et fabriquer des objets ou encore faire des tuteurs ou se soigner avec ses feuilles.
Et bien entendu un pommier, car les pommes sont l’une des bases de mon alimentation et il semblerait que le pommier soit un arbre facile à planter et à entretenir. Je n’aime manger les pommes qu’avec la peau, car elle apporte au fruit tout son croquant. Pour le moment, je les achète au marché bio pour éviter les pesticides mais aller les chercher au jardin serait autrement plus intéressant.
As-tu des modèles ?
Le potager de Silence, ça pousse chez Stéphane Marie m’inspire beaucoup en effet. Mais mon potager idéal serait une vraie Madeleine de Proust. Mon grand-père du côté maternel cultivait la terre en Ardèche. Tous les étés, nous y allions en vacances et j’étais fière que l’on me confie la « corvée » de pommes de terre. En réalité, j’adorais les déterrer comme des trésors et, depuis, je leur voue toujours une admiration.
Le potager de Silence, ça pousse chez Stéphane Marie m’inspire beaucoup en effet. Mais mon potager idéal serait une vraie Madeleine de Proust. Mon grand-père du côté maternel cultivait la terre en Ardèche. Tous les étés, nous y allions en vacances et j’étais fière que l’on me confie la « corvée » de pommes de terre. En réalité, j’adorais les déterrer comme des trésors et, depuis, je leur voue toujours une admiration.
Je voudrais également planter un prunier pour raviver les souvenirs impérissables des grosses prunes violettes ardéchoises, qui sont d’ailleurs en voie de disparition. Elles m’évoquent les tartes dont nous nous régalions l’été et je voudrais absolument retrouver ce goût annuel de l’enfance.
Outre ce point d’ancrage ardéchois, comme j’ai grandi à Nice, je suis très attachée à la végétation du Sud, graphique et odorante : aux aromates, mais aussi aux oliviers, aux mimosas et aux fleurs de courgettes. Plongées dans de la friture, elles font un délicieux plat traditionnel niçois.
Outre ce point d’ancrage ardéchois, comme j’ai grandi à Nice, je suis très attachée à la végétation du Sud, graphique et odorante : aux aromates, mais aussi aux oliviers, aux mimosas et aux fleurs de courgettes. Plongées dans de la friture, elles font un délicieux plat traditionnel niçois.
Quels légumes planterais-tu ?
Des pommes de terre, évidemment, et des tomates pour qu’elles aient du goût. Je planterais une variété provenant du Bush australien, que l’on peut installer dans de petits paniers en hauteur. Et également des radis blancs, une variété de radis, gros comme deux pommes de terre, avec une peau noire et un intérieur blanc. Je les ai découverts dans l’émission eux aussi. Mixés avec des radis classiques, à l’apéro, c’est très graphique et délicieux. Je planterais également des salades, des épinards et des courgettes, mes légumes préférés.
Des pommes de terre, évidemment, et des tomates pour qu’elles aient du goût. Je planterais une variété provenant du Bush australien, que l’on peut installer dans de petits paniers en hauteur. Et également des radis blancs, une variété de radis, gros comme deux pommes de terre, avec une peau noire et un intérieur blanc. Je les ai découverts dans l’émission eux aussi. Mixés avec des radis classiques, à l’apéro, c’est très graphique et délicieux. Je planterais également des salades, des épinards et des courgettes, mes légumes préférés.
Quels fruits ?
Ma mère n’a jamais voulu que je quitte la table sans avoir mangé un fruit et j’ai conservé cette habitude. Ce sont donc des fruits que je planterais avant tout dans mon potager idéal, avant même les légumes. Outre les pommes et les prunes ardéchoises, il y aurait des fraises et des baies — mûres, myrtilles et framboises — car je les adore et mes enfants aussi. Mon fils Edgar, en particulier, est complètement accro aux fruits, notamment aux grenades. Entre un gâteau ou un fruit, il n’hésite jamais longtemps.
Ma mère n’a jamais voulu que je quitte la table sans avoir mangé un fruit et j’ai conservé cette habitude. Ce sont donc des fruits que je planterais avant tout dans mon potager idéal, avant même les légumes. Outre les pommes et les prunes ardéchoises, il y aurait des fraises et des baies — mûres, myrtilles et framboises — car je les adore et mes enfants aussi. Mon fils Edgar, en particulier, est complètement accro aux fruits, notamment aux grenades. Entre un gâteau ou un fruit, il n’hésite jamais longtemps.
Et les aromates ?
Je planterais en premier lieu de la menthe car j’adore le thé à la menthe, comme mon père, qui est pied-noir. Ça doit être dans mes gènes…
Mes autres aromatiques préférés sont le romarin, le thym, la sauge et l’oseille. Par contre, je ne suis pas du tout persil. Je planterais également du fenouil, non pour manger le bulbe, mais parce que la plante est belle et que ses ombelles peuvent servir à aromatiser.
Je planterais en premier lieu de la menthe car j’adore le thé à la menthe, comme mon père, qui est pied-noir. Ça doit être dans mes gènes…
Mes autres aromatiques préférés sont le romarin, le thym, la sauge et l’oseille. Par contre, je ne suis pas du tout persil. Je planterais également du fenouil, non pour manger le bulbe, mais parce que la plante est belle et que ses ombelles peuvent servir à aromatiser.
Y aurait-il un coin pour les enfants ?
Mes enfants Edgar, 5 ans et demi, et Thelma, 2 ans, sont déjà très attentifs aux plantes et je leur en parle souvent. Nous avons mis récemment un plant de tomate dans la cuisine et cela les intéresse beaucoup. Si nous avions un potager, ils auraient un endroit réservé où faire toutes leurs petites expériences car, au jardin, il est très important d’expérimenter soi-même : travailler la terre nous marque durablement. Nous commencerions par des plantations faciles, comme les radis, qui poussent vite et qui ne lassent pas les enfants, et nous planterions bien sûr des fraises car ils adorent ça.
Mes enfants Edgar, 5 ans et demi, et Thelma, 2 ans, sont déjà très attentifs aux plantes et je leur en parle souvent. Nous avons mis récemment un plant de tomate dans la cuisine et cela les intéresse beaucoup. Si nous avions un potager, ils auraient un endroit réservé où faire toutes leurs petites expériences car, au jardin, il est très important d’expérimenter soi-même : travailler la terre nous marque durablement. Nous commencerions par des plantations faciles, comme les radis, qui poussent vite et qui ne lassent pas les enfants, et nous planterions bien sûr des fraises car ils adorent ça.
As-tu des outils préférés ?
À l’âge de 7-8 ans, mon grand-père m’a fait conduire son tracteur un été en Ardèche et, une fois au volant, j’ai ressenti une immense fierté. C’était le plus beau des outils !
De façon générale, j’aime bien tous les outils de jardin, je suis attentive à leur forme, à leur design et à leurs couleurs. Je commencerais par m’équiper avec un panier. Pour le moment, mon panier de jardinage est en osier, mais le panier de mes rêves est fait de planches de bois, comme celui de mon grand-père. C’est de lui que je tiens ma passion pour toutes les caisses en bois et pour l’artisanat en général. Je le remplirais de mes outils fétiches : le sécateur, la serpette, la ficelle, que j’aime détourner quand je fais des papiers cadeaux, et une brosse à légumes car c’est un accessoire très tendance.
Pour aller au jardin, j’ai horreur de mettre des gants, mais en revanche, j’aime beaucoup les bottes. Ma tenue idéale pour jardiner : le short et les bottes, spécialement si elles sont fourrées pour ne pas avoir froid aux pieds.
Crédit photo : Christophe Fillieule / La Fabrik pour FTV
À l’âge de 7-8 ans, mon grand-père m’a fait conduire son tracteur un été en Ardèche et, une fois au volant, j’ai ressenti une immense fierté. C’était le plus beau des outils !
De façon générale, j’aime bien tous les outils de jardin, je suis attentive à leur forme, à leur design et à leurs couleurs. Je commencerais par m’équiper avec un panier. Pour le moment, mon panier de jardinage est en osier, mais le panier de mes rêves est fait de planches de bois, comme celui de mon grand-père. C’est de lui que je tiens ma passion pour toutes les caisses en bois et pour l’artisanat en général. Je le remplirais de mes outils fétiches : le sécateur, la serpette, la ficelle, que j’aime détourner quand je fais des papiers cadeaux, et une brosse à légumes car c’est un accessoire très tendance.
Pour aller au jardin, j’ai horreur de mettre des gants, mais en revanche, j’aime beaucoup les bottes. Ma tenue idéale pour jardiner : le short et les bottes, spécialement si elles sont fourrées pour ne pas avoir froid aux pieds.
Crédit photo : Christophe Fillieule / La Fabrik pour FTV
J’aimerais également évoquer ma manie pour les étiquettes de jardin. Si j’avais un potager, j’en mettrais partout, pour reconnaître les variétés que je planterais et pour ajouter de la gaieté. Je les fabriquerais moi-même, en impliquant les enfants car ce sont de formidables ateliers à faire en famille. Je pense d’ailleurs à leur faire faire un modèle en particulier, avec des spatules en bois pour la raclette en forme de pinceaux : on en repeint la partie haute sur laquelle on colle des pâtes alphabet pour indiquer le nom des plants.
Crédit photo : Christophe Fillieule / La Fabrik pour FTV
Crédit photo : Christophe Fillieule / La Fabrik pour FTV
Et comment envisages-tu l’entretien idéal de ton jardin ?
Je ne suis pas pour l’entretien intensif. Je considère qu’il faut laisser faire la nature, mais un potager demande néanmoins une forte implication. Je vois notre potager comme un projet de famille. Chacun son tour aurait ses tâches : biner, arroser… Ce serait un très bon apprentissage pour aider à responsabiliser les enfants et cela permettrait de passer un bon moment tous ensemble au jardin.
Bien sûr, dans mon potager idéal il y aurait aussi des transats pour pouvoir se reposer après les efforts et profiter du bon temps, en famille ou entre amis, entourés de verdure. Et ce serait également un endroit où je viendrais profiter du silence et me ressourcer en attendant que les plantes poussent, bien sûr !
Je ne suis pas pour l’entretien intensif. Je considère qu’il faut laisser faire la nature, mais un potager demande néanmoins une forte implication. Je vois notre potager comme un projet de famille. Chacun son tour aurait ses tâches : biner, arroser… Ce serait un très bon apprentissage pour aider à responsabiliser les enfants et cela permettrait de passer un bon moment tous ensemble au jardin.
Bien sûr, dans mon potager idéal il y aurait aussi des transats pour pouvoir se reposer après les efforts et profiter du bon temps, en famille ou entre amis, entourés de verdure. Et ce serait également un endroit où je viendrais profiter du silence et me ressourcer en attendant que les plantes poussent, bien sûr !
Retrouvez Carole Tolila aux côtés de Stéphane Marie tous les vendredis à 22 h 20 sur France 5 dans Silence, ça pousse !
Carole Tolila sera également l’une des ambassadrices de la Foire de Paris, dont la prochaine édition, du 27 avril au 8 mai, Porte de Versailles à Paris, mettra l’accent sur le « green ». Elle fera également partie du jury du Salon du végétal, le plus grand salon professionnel français consacré au végétal qui se tiendra du 19 au 21 juin au Parc des expos de Nantes.
Crédit photo : Christophe Fillieule / La Fabrik pour FTV
Carole Tolila sera également l’une des ambassadrices de la Foire de Paris, dont la prochaine édition, du 27 avril au 8 mai, Porte de Versailles à Paris, mettra l’accent sur le « green ». Elle fera également partie du jury du Salon du végétal, le plus grand salon professionnel français consacré au végétal qui se tiendra du 19 au 21 juin au Parc des expos de Nantes.
Crédit photo : Christophe Fillieule / La Fabrik pour FTV
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Il ne serait pas sur un petit balcon ni sur une terrasse. Dans mes rêves, il prendrait place dans le jardin de ma maison. Pour y entrer, on franchirait une arche palissée de jasmin.
Serait-il grand ?
Non, pas du tout. Quand on n’a pas la main verte, il faut être modeste et ne pas voir trop grand au départ. Il ne faut pas s’emballer, prendre le temps de faire ses petits essais et rester humble en observant la nature et en apprenant d’elle.