Maisons contemporaines
Visites Privées
Avant/Après : D'anciennes écuries se muent en demeure familiale
L'archi d'intérieur Alix Delclaux nous entraîne dans l'épopée de la rénovation de sa maison à Colombes, dedans dehors !
Alors qu’ils cherchaient à quitter Bécon-les-Bruyères, c’est un heureux hasard qui a amené Alix Delclaux et son mari à trouver leur maison, celle dont ils avaient rêvé. Il y a une quinzaine d’années, à la faveur d’un barbecue chez des amis, ils découvrent Colombes et son agréable vie de quartier aux portes de Paris. Ils tentent leur chance un peu au hasard dans une agence immobilière, exposant rechercher une propriété à rénover avec deux maisons. L’agent leur fait visiter d’anciennes écuries et ils ont le coup de cœur. Dès cette première et unique visite, le couple se projette complètement dans les lieux et signe d’emblée. Depuis, les anciennes écuries ont bien changé, sans perdre leur cachet historique ni jamais lasser leurs habitants. La maison principale s’est transformée en habitation pour la famille qui s’est agrandie de deux enfants tandis qu’au fond du jardin, l’autre maisonnette est devenue le bureau d’Alix, qui est architecte d’intérieur. Elle nous dévoile aujourd’hui ses bonnes idées pour transformer son logement en maison familiale où il fait bon vivre.
Important : La différence de qualité entre les photos avant et après s’explique par le fait que les photos avant sont des photos amateurs, souvent prises par le propriétaire ou le professionnel lui-même, et les photos après sont issues de shootings réalisés par des photographes professionnels.
Coup d’œil
Qui habite ici : Alix Delclaux et sa famille
Emplacement : Colombes
Superficie : 180 m²
Date de la réalisation : 2005-2020
Architecte d’intérieur : Alix Delclaux
Budget rénovation intérieure : 90 000 euros TTC
Crédits photos : © Shoootin
Important : La différence de qualité entre les photos avant et après s’explique par le fait que les photos avant sont des photos amateurs, souvent prises par le propriétaire ou le professionnel lui-même, et les photos après sont issues de shootings réalisés par des photographes professionnels.
Coup d’œil
Qui habite ici : Alix Delclaux et sa famille
Emplacement : Colombes
Superficie : 180 m²
Date de la réalisation : 2005-2020
Architecte d’intérieur : Alix Delclaux
Budget rénovation intérieure : 90 000 euros TTC
Crédits photos : © Shoootin
Plans du rez-de-chaussée avant/après
En entrant dans la maison, l’architecte d’intérieur se remémore l’ampleur de la tâche : « Tout ce que nous avions imaginé à la première visite a été réalisé. Nous avons évidé le niveau bas qui était constitué de cinq petites pièces et n’avons conservé que les sols et l’étage. La trémie a été déplacée et tous les espaces remodelés. Avec mon mari, nous avons déblayé 17 tonnes de gravats à nous deux ! »
Puis l’isolation a été refaite, en toiture et en périphérie, de même que l’électricité et la plomberie. Le système de chauffage au gaz a été conservé mais les radiateurs changés. Alix affirme à ce propos : « Je ne suis pas fan de chauffage au sol car changer la finition de sol est ensuite difficile techniquement. »
Trouvez un architecte d’intérieur sur Houzz
En entrant dans la maison, l’architecte d’intérieur se remémore l’ampleur de la tâche : « Tout ce que nous avions imaginé à la première visite a été réalisé. Nous avons évidé le niveau bas qui était constitué de cinq petites pièces et n’avons conservé que les sols et l’étage. La trémie a été déplacée et tous les espaces remodelés. Avec mon mari, nous avons déblayé 17 tonnes de gravats à nous deux ! »
Puis l’isolation a été refaite, en toiture et en périphérie, de même que l’électricité et la plomberie. Le système de chauffage au gaz a été conservé mais les radiateurs changés. Alix affirme à ce propos : « Je ne suis pas fan de chauffage au sol car changer la finition de sol est ensuite difficile techniquement. »
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Avant. À l’origine, un couloir fermé distribuait sur la gauche une chambre froide et une buanderie et, sur la droite, une cuisine. De la cuisine, on passait dans la pièce de vie coupée en salon et salle à manger par une différence de niveaux de deux marches. Le salon se prolongeait par une salle de bains. L’escalier de l’étage se trouvait au centre de la bâtisse, au niveau de la salle à manger.
Après. Les porteurs et cloisons sont tombés, dévoilant un espace de vie voulu le plus large possible. « Nous avons travaillé au centimètre près, même si la maison était grande », affirme la pro.
Cette dernière a néanmoins tenu à garder un élément qui faisait pour elle le charme des lieux : « D’un bout à l’autre de la bâtisse, il y avait en deux endroits des différences de niveau compensées par deux marches. Nous les avons gardées précieusement pour casser l’effet couloir et segmenter le nouvel aménagement. Les espaces paraissent plus intimes et on ne ressent pas le dénivelé. C’est très fluide. »
Cette dernière a néanmoins tenu à garder un élément qui faisait pour elle le charme des lieux : « D’un bout à l’autre de la bâtisse, il y avait en deux endroits des différences de niveau compensées par deux marches. Nous les avons gardées précieusement pour casser l’effet couloir et segmenter le nouvel aménagement. Les espaces paraissent plus intimes et on ne ressent pas le dénivelé. C’est très fluide. »
Avant. Ce cliché date de l’époque du décloisonnement. Le bas du mur du couloir, porteur, a été conservé pour créer le bar qui semi-cloisonne la pièce de vie entre séjour et cuisine.
Après. On distingue ici le nouvel aménagement de la pièce de vie en enfilade. La partie centrale, dédiée à la salle à manger, est plus haute tandis que l’on descend deux marches vers la cuisine au niveau du bar et deux autres vers le salon au niveau de la cheminée.
Parmi les péripéties de chantier, Alix se remémore spécialement le choix du sol : « Nous nous étions initialement arrêtés sur un parquet mais n’avions plus les moyens. Nous avons dû faire poser des dalles d’aggloméré de 1 x 2 m en attendant. Le jour où les ouvriers les ont installées, j’ai eu une inspiration. J’ai prix deux heures pour foncer au BHV acheter des cornières métalliques puis je leur ai demandé de les poser entre chaque dalle dans la longueur pour souligner la perspective. Vous me croirez ou pas, les dalles sont toujours là, peintes en marine et, il y a peu, nous avons repeint les cornières en doré. Depuis, cette solution peu coûteuse m’a souvent été demandée par mes clients », nous raconte-t-elle.
Parmi les péripéties de chantier, Alix se remémore spécialement le choix du sol : « Nous nous étions initialement arrêtés sur un parquet mais n’avions plus les moyens. Nous avons dû faire poser des dalles d’aggloméré de 1 x 2 m en attendant. Le jour où les ouvriers les ont installées, j’ai eu une inspiration. J’ai prix deux heures pour foncer au BHV acheter des cornières métalliques puis je leur ai demandé de les poser entre chaque dalle dans la longueur pour souligner la perspective. Vous me croirez ou pas, les dalles sont toujours là, peintes en marine et, il y a peu, nous avons repeint les cornières en doré. Depuis, cette solution peu coûteuse m’a souvent été demandée par mes clients », nous raconte-t-elle.
L’escalier sculptural fait également partie de ses réussites, estime-t-elle : « L’effet sculpture provient du fait qu’il n’y a pas de limon et qu’à partir d’un palier, l’escalier se divise en deux bras pour parvenir à l’étage. Cette forme a été pensée afin de ne pas perdre une pièce à l’étage ».
Pour faire réaliser cette monumentale pièce en béton brut, elle n’a pas hésité à aller frapper à la porte du maçon qui a fabriqué les escaliers de la boutique Vuitton sur les Champs-Elysées. Il a conçu des coffrages à partir de la forme dessinée par la pro et a coulé le béton. Depuis, Alix a toujours souhaité garder la matière brute, pour favoriser le mélange des styles, l’un de ses préceptes en déco.
Pour faire réaliser cette monumentale pièce en béton brut, elle n’a pas hésité à aller frapper à la porte du maçon qui a fabriqué les escaliers de la boutique Vuitton sur les Champs-Elysées. Il a conçu des coffrages à partir de la forme dessinée par la pro et a coulé le béton. Depuis, Alix a toujours souhaité garder la matière brute, pour favoriser le mélange des styles, l’un de ses préceptes en déco.
Avant. Si l’escalier d’origine en bois n’a pas été conservé, en revanche les propriétaires ont décidé de recycler l’insert déjà en place côté salon, en le modernisant. Par ailleurs, ils ont fait déposer la salle de bains qui mangeait le salon et n’était pas rationnelle à cet emplacement.
Après. Débarrassé de la salle de bains, le salon s’est épanoui du côté jardin. Pour mieux en profiter, l’architecte d’intérieur a fait percer une large baie vitrée.
L’insert a été laissé à sa place, mais coffré avec du Placoplâtre ignifugé pour un rendu contemporain. « Dommage, il est un peu haut pour que nous puissions bénéficier de la chaleur qu’il dégage et du visuel des flammes, mais il a le mérite d’exister », déplore la pro.
L’insert a été laissé à sa place, mais coffré avec du Placoplâtre ignifugé pour un rendu contemporain. « Dommage, il est un peu haut pour que nous puissions bénéficier de la chaleur qu’il dégage et du visuel des flammes, mais il a le mérite d’exister », déplore la pro.
Côté déco, Alix ne dédaigne pas le mobilier contemporain comme le montre son salon, mais elle est également férue de mobilier et d’art anciens. « En tant que fille d’une antiquaire et d’un peintre, j’aime les mélanges de style, l’architecture et l’histoire. Tout est une question de dosage », affirme-t-elle.
Et de souligner comment elle a fait dialoguer de manière totalement décomplexée son encadrement d’une photo de John Wright au-dessus du canapé avec sa peinture Renaissance placée sur la gauche de la table à manger.
Et de souligner comment elle a fait dialoguer de manière totalement décomplexée son encadrement d’une photo de John Wright au-dessus du canapé avec sa peinture Renaissance placée sur la gauche de la table à manger.
Avant. En ce qui concerne la nouvelle cuisine, elle englobe aujourd’hui l’ancien couloir d’entrée de la maison, que nous découvrons ici alourdi de boiseries et d’un buffet Henri IV.
Après. C’est le bas du mur de ce couloir qui constitue la structure du bar séparant la cuisine du reste de la pièce de vie : « Ce bar a un passage à droite et a gauche. On tourne autour, ce qui nous permet d’avoir une double circulation, plus fluide, entre la salle à manger et la cuisine. De plus il n’a pas une hauteur de bar habituel de 110 cm : il y a trois ans, nous l’avons descendu à 90 cm (hauteur d’un îlot), une hauteur suffisante pour cacher le bazar de la cuisine, car la cuisine est plus basse de deux marches. En prime, cela lui donne un côté moins imposant et nous sommes mieux assis car nos pieds touchent le sol contrairement à un bar », explique Alix.
Avant. À l’époque, la cuisine était emmurée entre le couloir et la chambre froide de la boucherie chevaline, laquelle comportait encore ses crochets de boucher. Elle était vraiment dans son jus avec ses carrelages flammés au mur et sa collection de « tourniquettes » pour faire la vinaigrette au plafond.
Après. Totalement décloisonnée sur la pièce de vie, la nouvelle cuisine a été agrandie grâce à l’adjonction des anciennes chambre froide et buanderie. Esthétiquement, elle n’a plus rien à voir, adoptant un esprit bijou revendiqué. Alix a choisi un thème « cuisine de paquebot de croisière » en marine, marbre et or. Les côtes exotiques se profilent à travers un décor panoramique noir et blanc en toile de fond. Sur ce dernier, se découpent les portes des toilettes et d’une nouvelle buanderie plus compacte.
Quand Alix est rentrée dans les murs, elle a d’abord posé une cuisine Ikea pour limiter son budget rénovation. Il y a trois ans, elle l’a fait refaire à ses goûts par un menuisier. C’est elle qui a conçu le dessin de l’îlot avec ses retraits en quinconce pour permettre le passage de jambes des convives attablés.
Les meubles bas ont été laqués en usine avec le même RAL que la peinture de sol du salon. La hotte circulaire est l’un des éléments préférés de la jeune femme : « Mon frère m’a installé cette hotte cylindrique il y a 15 ans. J’ai fait faire une extension métallique jusqu’au plafond. Elle était couleur Inox mais quand nous avons refait faire la cuisine je l’ai bombée en or, comme la cheminée d’un bateau. Plutôt que jeter, je repeins tout d’ailleurs : des vieilles commodes aux bergères, du sol à la table d’extérieur. Ça me permet de changer ma déco quand je veux et ça fonctionne très bien », explique la jeune femme.
Les meubles bas ont été laqués en usine avec le même RAL que la peinture de sol du salon. La hotte circulaire est l’un des éléments préférés de la jeune femme : « Mon frère m’a installé cette hotte cylindrique il y a 15 ans. J’ai fait faire une extension métallique jusqu’au plafond. Elle était couleur Inox mais quand nous avons refait faire la cuisine je l’ai bombée en or, comme la cheminée d’un bateau. Plutôt que jeter, je repeins tout d’ailleurs : des vieilles commodes aux bergères, du sol à la table d’extérieur. Ça me permet de changer ma déco quand je veux et ça fonctionne très bien », explique la jeune femme.
Dans sa cuisine, Alix voulait profiter de nombreux rangements mais, pour éviter qu’elle ne paraisse trop massive, elle a fait laquer les colonnes dans un gris Dior très clair, choisi comme le marine sur son nuancier Farrow & Ball. Pour trancher sur les plans en stratifié façon marbre et apporter la touche finale « bijou », elle a fait poser un évier doré. Elle a complété avec des accessoires, luminaires et tabourets idoines, aux finitions laiton.
Avant. L’ancienne salle à manger avec ses finitions rose layette et sa toile cirée n’était plus au goût du jour.
Après. Dans sa propre salle à manger, Alix Delclaux a misé sur du mobilier de designer (la table Tulip de Saarinen et les chaises Gubi), mixé avec une commode Louis XVI de famille qu’elle a repeinte. « Pour ce qui est des luminaires, ce sont des copies car je les change tous les trois ans et je ne veux pas me bloquer avec des objets que j’aurais payés les yeux de la tête. C’est fou le nombre de clients qui ont acheté une pièce de mobilier très cher comme un canapé et pour lesquels je dois faire des compromis en faisant tourner la déco autour », déplore la jeune femme.
Plans de l’étage avant et après
Nous regagnons l’étage en empruntant l’escalier dessiné en Y pour gagner de l’espace. « Il n’y avait que deux chambres et une salle de bains et il nous fallait gagner une chambre car nous avons deux enfants qui ont aujourd’hui 14 et 8 ans », justifie la pro.
Nous regagnons l’étage en empruntant l’escalier dessiné en Y pour gagner de l’espace. « Il n’y avait que deux chambres et une salle de bains et il nous fallait gagner une chambre car nous avons deux enfants qui ont aujourd’hui 14 et 8 ans », justifie la pro.
L’escalier, qui a changé d’orientation par rapport à celui d’origine, distribue d’un côté la chambre parentale, de l’autre les chambres d’enfants et la salle de bains.
Une coursive mène à la chambre parentale. Un Velux a été posé à ce niveau. Sa lumière est répercutée au rez-de-chaussée par un vide créé à l’endroit central de la vieille bâtisse afin d’illuminer la salle à manger. « C’est réfléchi, cette année nous allons transformer ce vide en salon de lecture pour les enfants en faisant tendre un filet », nous affirme Alix. Une bonne idée puisque l’espace perdu va regagner une utilité sans perdre le côté lumineux traversant.
La grande chambre parentale a trouvé ses couleurs toutes douces lorsque la maman d’Alix lui a offert pour Noël un tableau de Jean Lurçat avec une base céladon. Au sol, Alix tenait à poser une moquette épaisse. « Nous sommes une famille cocooning, nous vivons beaucoup entre nous et cette pièce nous sert de deuxième salon car nous avons la télé dans notre chambre. Nous souhaitions absolument une finition confortable », justifie-t-elle.
À ce propos, la pro recommande une moquette synthétique plutôt qu’en laine, car « plus pratique, plus durable, moins sujette aux taches et moins chère ».
À ce propos, la pro recommande une moquette synthétique plutôt qu’en laine, car « plus pratique, plus durable, moins sujette aux taches et moins chère ».
La chambre parentale était éclairée par un unique Velux jusqu’à il y a trois ans, lorsque les propriétaires ont fait construire la piscine. Afin de pouvoir surveiller les enfants au jardin depuis l’étage, Alix a pensé à créer cette fenêtre avec assise intégrée dans l’épaisseur du mur.
Pour renforcer l’aspect cocooning des lieux, l’architecte d’intérieur a rajouté un fauteuil suspendu, une peau de mouton, des coussins pastel et des bougies.
Chez Sixtine, la fille des propriétaires, il y a un sujet qui fâche : les deux portes de sa chambre ! L’une d’entre elle permet à ses parents de passer par sa chambre pour regagner plus facilement la salle de bains. Mais à 8 ans, plus question de renoncer à son intimité.
Sixtine a également choisi de changer les couleurs rose et mauve de ses murs, un choix de teintes faites par sa maman d’après la couleur exacte d’un bermuda qu’elle avait acheté pour sa naissance.
Alix avait également fait faire sur mesure ce rideau pour fermer la partie sous rampant de sa chambre et la transformer en cabane. Selon la pro, il a animé d’innombrables heures de jeu !
Alix Delclaux s’est aussi investie pour personnaliser la chambre de son fils Jules. « Nous avons dessiné ensemble le lit cabane, dans l’esprit bateau de pirates », explique-t-elle.
Aujourd’hui, les enfants ont grandi et la disposition, ainsi que la décoration, des pièces ne paraissent plus idéales à la famille. Les prochains travaux vont donc s’attacher à remodeler les chambres d’enfants et la salle de bains.
Après sept ans consacrés à rénover les écuries et le jardin, sans compter les dizaines de chantiers gérés pour ses clients, l’architecte d’intérieur Alix Delclaux ne semble pas avoir prévu de s’éloigner de sa passion : « Remodeler les espaces pour apporter du style aux lieux et du confort aux occupants ! »
Chez Alix, la vie de famille se prolonge au jardin ! Suivez prochainement le deuxième volet de notre reportage consacré aux extérieurs de ces anciennes écuries, avant/après !
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
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Après sept ans consacrés à rénover les écuries et le jardin, sans compter les dizaines de chantiers gérés pour ses clients, l’architecte d’intérieur Alix Delclaux ne semble pas avoir prévu de s’éloigner de sa passion : « Remodeler les espaces pour apporter du style aux lieux et du confort aux occupants ! »
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Si la coquette jeune femme avoue que les pavés d’époque ne sont toujours pas idéaux pour ses talons aiguilles, elle refuse farouchement de modifier l’allée. « Pas question de faire disparaître l’histoire du bâtiment. Nous avons totalement modernisé l’intérieur, mais j’ai été attentive à conserver le cachet de son enveloppe », explique-t-elle en longeant la maison principale. Au fond du jardin apparaît la seconde maison dont elle a fait son bureau tandis qu’entre les deux se profile le jardin.