Tour du monde
Tour du monde : Visite de 7 maisons multigénérationnelles
Comment trois, voire quatre, générations arrivent-elles à vivre ensemble ? Avec un tendre savoir-vivre qui en surprendra plus d'un !
Alors que certaines familles sont éparpillées sur différents continents, d’autres ont décidé de relever le défi un peu fou de vivre ensemble. Trois, voire quatre générations forment ainsi une heureuse tribu, réunie sous le même toit (ou presque). C’est le cas de ces sept familles des quatre coins du monde. De la répartition des tâches ménagères aux soirées télé sur un canapé XXL, découvrez comment elles réussissent le pari de la vie multigénérationnelle.
Depuis combien de temps vivez-vous ensemble ?
« Toute la famille s’est rassemblée autour du projet de gîte il y a quatre ans », explique Josiane. « Nous avons acheté la maison en 2009 pour nous consacrer à un projet commun. Xavier, Julie et Eloïse s’y sont installés dès le début pour garder un œil sur la bâtisse. Nous avons vendu la nôtre en 2010 pour rejoindre nos enfants et notre grand-mère a suivi dans la foulée. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Nous aimons nous rassembler dans la grande cuisine pour les dîners de famille », raconte Josiane. « Nous aimons aussi inviter des amis pour partager nos plus beaux souvenirs et les événements marquants (naissances, nouvelles dans nos vies professionnelles…). Mais ce que je préfère par-dessus tout, c’est organiser nos intérieurs et extérieurs pour en faire un grand espace commun. »
« Toute la famille s’est rassemblée autour du projet de gîte il y a quatre ans », explique Josiane. « Nous avons acheté la maison en 2009 pour nous consacrer à un projet commun. Xavier, Julie et Eloïse s’y sont installés dès le début pour garder un œil sur la bâtisse. Nous avons vendu la nôtre en 2010 pour rejoindre nos enfants et notre grand-mère a suivi dans la foulée. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Nous aimons nous rassembler dans la grande cuisine pour les dîners de famille », raconte Josiane. « Nous aimons aussi inviter des amis pour partager nos plus beaux souvenirs et les événements marquants (naissances, nouvelles dans nos vies professionnelles…). Mais ce que je préfère par-dessus tout, c’est organiser nos intérieurs et extérieurs pour en faire un grand espace commun. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« S’entraider pour construire et diriger le gîte familial est super car nous pouvons vraiment nous faire confiance », ajoute Josiane. « Il pourrait parfois y avoir des problèmes d’intimité, mais chaque ménage a son propre studio où il peut vivre à son propre rythme et selon son propre style. Il est parfois difficile de concilier vie professionnelle et vie quotidienne quand on vit tous ensemble, mais cela reste une expérience très positive. »
Découvrez plus de photos de la maison
« S’entraider pour construire et diriger le gîte familial est super car nous pouvons vraiment nous faire confiance », ajoute Josiane. « Il pourrait parfois y avoir des problèmes d’intimité, mais chaque ménage a son propre studio où il peut vivre à son propre rythme et selon son propre style. Il est parfois difficile de concilier vie professionnelle et vie quotidienne quand on vit tous ensemble, mais cela reste une expérience très positive. »
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2. Le passé côtoie le futur en Suède
Qui habite ici : Inga-Lill, 75 ans, et Hans Svensson, 79 ans ; leur fils Marcus Svensson, 45 ans, et sa compagne, Emma Erlandsson, 38 ans ; et leurs fils Emil et Viktor Svensson, âgés respectivement de 7 et 5 ans
Emplacement : Bredaryd, province de Småland, dans le sud de la Suède
La maison : Ce sont deux maisons adjacentes : la maison de Inga-Lill et de Hans fait 180 m² et celle de Marcus et Emma 270 m².
Professions : Inga-Lill et Hans sont à la retraite ; Marcus est comptable et Emma est enseignante.
Qui habite ici : Inga-Lill, 75 ans, et Hans Svensson, 79 ans ; leur fils Marcus Svensson, 45 ans, et sa compagne, Emma Erlandsson, 38 ans ; et leurs fils Emil et Viktor Svensson, âgés respectivement de 7 et 5 ans
Emplacement : Bredaryd, province de Småland, dans le sud de la Suède
La maison : Ce sont deux maisons adjacentes : la maison de Inga-Lill et de Hans fait 180 m² et celle de Marcus et Emma 270 m².
Professions : Inga-Lill et Hans sont à la retraite ; Marcus est comptable et Emma est enseignante.
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Dîner ensemble, chez notre fils ou chez nous », raconte Inga-Lill. « C’est agréable de ne pas toujours avoir à cuisiner. Nous aimons aussi nous promener dans nos bois. Si Hans et Marcus sont en train d’y travailler, les enfants et moi leur amenons du café et des sandwiches. Nous aimons aussi voyager et nous amuser ensemble, mais nous avons bien sûr nos propres vies. Marcus, Emma et leurs enfants vivent de leur côté et nous ne savons pas toujours ce qu’ils font. Ça dépend des jours… La vie ensemble se déroule naturellement après toutes ces années. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« L’avantage, c’est que l’on peut s’entraider. Notre fils et sa compagne sont là pour nous aider dans les tâches que nous ne sommes plus capables de réaliser. Mais nous en faisons un maximum tant que nous en avons l’énergie, et sommes ravis d’aider Marcus et Emma à s’occuper de leurs enfants. Ils vont et viennent à leur guise. Viktor était là il y a seulement quelques heures pour discuter et partager un verre de jus de fruits. Il pourrait également être pénible de vivre si proches les uns des autres, mais pour nous, ça marche plutôt bien. Nous serions plus au calme si les enfants ne venaient pas tous les jours, mais encore une fois, nous ne voudrions pas qu’il en soit autrement. »
« Dîner ensemble, chez notre fils ou chez nous », raconte Inga-Lill. « C’est agréable de ne pas toujours avoir à cuisiner. Nous aimons aussi nous promener dans nos bois. Si Hans et Marcus sont en train d’y travailler, les enfants et moi leur amenons du café et des sandwiches. Nous aimons aussi voyager et nous amuser ensemble, mais nous avons bien sûr nos propres vies. Marcus, Emma et leurs enfants vivent de leur côté et nous ne savons pas toujours ce qu’ils font. Ça dépend des jours… La vie ensemble se déroule naturellement après toutes ces années. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« L’avantage, c’est que l’on peut s’entraider. Notre fils et sa compagne sont là pour nous aider dans les tâches que nous ne sommes plus capables de réaliser. Mais nous en faisons un maximum tant que nous en avons l’énergie, et sommes ravis d’aider Marcus et Emma à s’occuper de leurs enfants. Ils vont et viennent à leur guise. Viktor était là il y a seulement quelques heures pour discuter et partager un verre de jus de fruits. Il pourrait également être pénible de vivre si proches les uns des autres, mais pour nous, ça marche plutôt bien. Nous serions plus au calme si les enfants ne venaient pas tous les jours, mais encore une fois, nous ne voudrions pas qu’il en soit autrement. »
Depuis combien de temps vivez-vous ensemble ?
« Je suis né dans le salon de cette maison en 1937 et ai vécu ici avec mes cinq frères et sœurs et mes parents jusqu’à mon mariage, lorsque j’ai déménagé pour aller m’installer ailleurs », raconte Hans. « En 1977, quand mes parents sont devenus trop vieux pour s’occuper de la ferme tout seuls, je l’ai rachetée et j’ai construit une nouvelle maison juste à côté de celle de mon enfance, pour y installer ma propre famille. Je me disais que ma femme Inga-Lill ne voudrait pas venir m’y rejoindre, mais elle m’a confié, pendant son premier Noël ici : “C’est la première fois que je me sens vraiment chez moi.” En 1997, nous avons rénové la vieille maison familiale où j’ai grandi et nous y avons emménagé, Inga-Lill et moi. Mon fils Marcus est resté vivre dans la maison plus récente, la maison de son enfance à lui. Il y vit désormais avec sa famille. »
« Je suis né dans le salon de cette maison en 1937 et ai vécu ici avec mes cinq frères et sœurs et mes parents jusqu’à mon mariage, lorsque j’ai déménagé pour aller m’installer ailleurs », raconte Hans. « En 1977, quand mes parents sont devenus trop vieux pour s’occuper de la ferme tout seuls, je l’ai rachetée et j’ai construit une nouvelle maison juste à côté de celle de mon enfance, pour y installer ma propre famille. Je me disais que ma femme Inga-Lill ne voudrait pas venir m’y rejoindre, mais elle m’a confié, pendant son premier Noël ici : “C’est la première fois que je me sens vraiment chez moi.” En 1997, nous avons rénové la vieille maison familiale où j’ai grandi et nous y avons emménagé, Inga-Lill et moi. Mon fils Marcus est resté vivre dans la maison plus récente, la maison de son enfance à lui. Il y vit désormais avec sa famille. »
3. Ensemble dans la cuisine italienne de mamie
Qui habite ici : Francesca Broggian, 81 ans ; Ottorino Scquizzato et sa femme Michela Tasca, tous deux âgés de 57 ans ; Wilma Scquizzato, 56 ans, et son mari Paolo Melchiori, 61 ans ; Giulia Scquizzato et son mari Fabio Vanin, tous deux âgés de 31 ans, et leur fille qui vient de naître, Anna Vanin ; Elena Scquizzato et son mari Luca Milan, tous deux âgés de 28 ans
Emplacement : Piombino Dese, au nord-est de l’Italie
La maison : Ce corps de ferme de 1 100 m², maison de famille depuis cinq générations, a été rénové quatre fois. Aujourd’hui, un peu moins de la moitié de la maison est ouverte au public en tant que Bed & Breakfast Ca’ de Memi.
Professions : Certains membres de la famille travaillent pour le B&B ou pour la ferme, d’autres ont des emplois à l’extérieur. Grand-mamie Francesca s’occupent de ses fleurs et de ses amis. Papi Ottorino s’occupe des animaux et du potager. Mamie Michela est la fondatrice du B&B. Tante Wilma fait de la pâtisserie avec passion. Giulia, la fille de Michela et Ottorino, s’occupe des relations publiques pour le B&B et est en charge de l’accueil des clients. Sa sœur, Elena, est directrice de création pour le B&B.
Qui habite ici : Francesca Broggian, 81 ans ; Ottorino Scquizzato et sa femme Michela Tasca, tous deux âgés de 57 ans ; Wilma Scquizzato, 56 ans, et son mari Paolo Melchiori, 61 ans ; Giulia Scquizzato et son mari Fabio Vanin, tous deux âgés de 31 ans, et leur fille qui vient de naître, Anna Vanin ; Elena Scquizzato et son mari Luca Milan, tous deux âgés de 28 ans
Emplacement : Piombino Dese, au nord-est de l’Italie
La maison : Ce corps de ferme de 1 100 m², maison de famille depuis cinq générations, a été rénové quatre fois. Aujourd’hui, un peu moins de la moitié de la maison est ouverte au public en tant que Bed & Breakfast Ca’ de Memi.
Professions : Certains membres de la famille travaillent pour le B&B ou pour la ferme, d’autres ont des emplois à l’extérieur. Grand-mamie Francesca s’occupent de ses fleurs et de ses amis. Papi Ottorino s’occupe des animaux et du potager. Mamie Michela est la fondatrice du B&B. Tante Wilma fait de la pâtisserie avec passion. Giulia, la fille de Michela et Ottorino, s’occupe des relations publiques pour le B&B et est en charge de l’accueil des clients. Sa sœur, Elena, est directrice de création pour le B&B.
Depuis combien de temps vivez-vous ensemble ?
« Tout a commencé en 1954 quand [ma] grand-mère Francesca s’est mariée avec Memi, qui a bâti cette maison », raconte Elena. « Ma sœur Giulia et moi sommes toutes les deux nées ici, ainsi que la petite Anna. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Nous aimons penser à de futurs projets, préparer le petit déjeuner avec les œufs du poulailler d’Ottorino, et avec nos invités, profiter d’un long déjeuner dans la cuisine de mamie, la pièce que nous préférons car elle renferme nos meilleurs souvenirs », explique Elena. « Nous aimons cueillir les fruits des arbres et préparer la confiture ensemble. Nous aimons nous réunir dans le jardin, la salle du petit déjeuner et le porche. Je dirais que seules les chambres sont des espaces privés ici ! »
« Tout a commencé en 1954 quand [ma] grand-mère Francesca s’est mariée avec Memi, qui a bâti cette maison », raconte Elena. « Ma sœur Giulia et moi sommes toutes les deux nées ici, ainsi que la petite Anna. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Nous aimons penser à de futurs projets, préparer le petit déjeuner avec les œufs du poulailler d’Ottorino, et avec nos invités, profiter d’un long déjeuner dans la cuisine de mamie, la pièce que nous préférons car elle renferme nos meilleurs souvenirs », explique Elena. « Nous aimons cueillir les fruits des arbres et préparer la confiture ensemble. Nous aimons nous réunir dans le jardin, la salle du petit déjeuner et le porche. Je dirais que seules les chambres sont des espaces privés ici ! »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« Dans une grande maison comme celle-ci, on ne s’ennuie jamais : il y a toujours beaucoup de monde et on a toujours quelque chose à faire », détaille Elena. « Il y a de nombreuses tâches et responsabilités à endosser pour faire que les choses fonctionnent bien – c’est une grande exploitation et une grande maison de campagne. Le bon côté d’avoir une grande famille, c’est qu’on apprend beaucoup des autres ; nous sommes tous très proches et nous nous entraidons beaucoup. »
Découvrez plus de photos de cette ferme
« Dans une grande maison comme celle-ci, on ne s’ennuie jamais : il y a toujours beaucoup de monde et on a toujours quelque chose à faire », détaille Elena. « Il y a de nombreuses tâches et responsabilités à endosser pour faire que les choses fonctionnent bien – c’est une grande exploitation et une grande maison de campagne. Le bon côté d’avoir une grande famille, c’est qu’on apprend beaucoup des autres ; nous sommes tous très proches et nous nous entraidons beaucoup. »
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4. Rassembler ses ressources aux États-Unis
Qui habite ici : Aimee Stone McConkie et Bryant Joseph McConkie, tous deux âgés de 41 ans ; leurs filles, Ava, 14 ans, Gwendolyn, 11 ans, Mae, 7 ans, et Beatrice, 3 ans ; les parents de Bryant, Judith Miller McConkie, 68 ans, et James Wilson McConkie II, 69 ans. La sœur de Bryant, Kelly McConkie Stewart, vit dans la maison d’à côté avec son mari et leurs quatre enfants.
Emplacement : Millcreek, dans l’Utah, aux États-Unis
La maison : environ 883 m² ; 6 chambres, 5 salles de bains
Professions : Aimee est manager dans le commerce et s’occupe de l’organisation de la communauté, Bryant est avocat. Judith est artiste, conservatrice de musée à la retraite et professeur. Elle enseigne l’histoire de l’art et James est avocat.
Qui habite ici : Aimee Stone McConkie et Bryant Joseph McConkie, tous deux âgés de 41 ans ; leurs filles, Ava, 14 ans, Gwendolyn, 11 ans, Mae, 7 ans, et Beatrice, 3 ans ; les parents de Bryant, Judith Miller McConkie, 68 ans, et James Wilson McConkie II, 69 ans. La sœur de Bryant, Kelly McConkie Stewart, vit dans la maison d’à côté avec son mari et leurs quatre enfants.
Emplacement : Millcreek, dans l’Utah, aux États-Unis
La maison : environ 883 m² ; 6 chambres, 5 salles de bains
Professions : Aimee est manager dans le commerce et s’occupe de l’organisation de la communauté, Bryant est avocat. Judith est artiste, conservatrice de musée à la retraite et professeur. Elle enseigne l’histoire de l’art et James est avocat.
Depuis combien de temps vivez-vous ensemble ?
« Quand mes parents n’ont plus eu de grands enfants à la maison, ils ont revendu la maison de famille et acheté un appartement en copropriété en pensant que ce serait une bonne idée de ne plus avoir à s’occuper du jardin », explique Bryant. « Mais quand leurs enfants ont commencé à avoir des enfants, l’appartement est devenu trop petit et peu pratique pour les réunions de famille. Nous avons donc commencé à parler de mettre nos ressources en commun pour construire un endroit qui accueillerait toute la famille. »
« Nous avons commencé par faire des plans et un ami de mes parents, Jack Hammon, qui est un talentueux architecte et qui travaille pour l’une des principaux cabinets de Salt Lake City, nous a aidés à construire notre maison multigénérationnelle. Nous avons acheté une propriété avec un terrain qui pouvait être divisé en deux, puis vendu la maison à la famille de ma sœur après la construction de notre maison. »
« Nous avons commencé à vivre à quatre générations sous le même toit en octobre 2011. Les enfants passent d’une maison à l’autre sans arrêt et nous avons donné à notre maison le petit nom de “McRésidence”. »
« Quand nous avons emménagé, nous étions quatre générations, âgées de 1 à 91 ans (ma grand-mère). Lorsque nous avons fini la maison en 2011, ma grand-mère, Gwendolyn Wirthlin McConkie Cannon, vivait dans un appartement et nous avons converti notre sous-sol en appartement pour elle, sous la partie de mes parents, avec une douche pour personne à mobilité réduite et une chaise automatisée pour monter les escaliers afin qu’elle puisse monter et descendre au sous-sol. »
« Quand mes parents n’ont plus eu de grands enfants à la maison, ils ont revendu la maison de famille et acheté un appartement en copropriété en pensant que ce serait une bonne idée de ne plus avoir à s’occuper du jardin », explique Bryant. « Mais quand leurs enfants ont commencé à avoir des enfants, l’appartement est devenu trop petit et peu pratique pour les réunions de famille. Nous avons donc commencé à parler de mettre nos ressources en commun pour construire un endroit qui accueillerait toute la famille. »
« Nous avons commencé par faire des plans et un ami de mes parents, Jack Hammon, qui est un talentueux architecte et qui travaille pour l’une des principaux cabinets de Salt Lake City, nous a aidés à construire notre maison multigénérationnelle. Nous avons acheté une propriété avec un terrain qui pouvait être divisé en deux, puis vendu la maison à la famille de ma sœur après la construction de notre maison. »
« Nous avons commencé à vivre à quatre générations sous le même toit en octobre 2011. Les enfants passent d’une maison à l’autre sans arrêt et nous avons donné à notre maison le petit nom de “McRésidence”. »
« Quand nous avons emménagé, nous étions quatre générations, âgées de 1 à 91 ans (ma grand-mère). Lorsque nous avons fini la maison en 2011, ma grand-mère, Gwendolyn Wirthlin McConkie Cannon, vivait dans un appartement et nous avons converti notre sous-sol en appartement pour elle, sous la partie de mes parents, avec une douche pour personne à mobilité réduite et une chaise automatisée pour monter les escaliers afin qu’elle puisse monter et descendre au sous-sol. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Nous aimons manger ensemble, skier, parler, passer du temps ensemble et nous soutenir mutuellement au rythme de nos vies bien remplies », explique Bryant. « Ce que je préférais avec ma grand-mère, c’est quand elle lisait des histoires à nos quatre filles à l’heure du coucher. Grâce à cette proximité, il nous était facile de nous occuper d’elle. Elle est restée à la maison jusqu’aux derniers jours de sa vie, en 2013. En souvenir d’elle, mon père, James, a installé une bibliothèque dans sa chambre avec une plaque à son nom. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« L’avantage, c’est qu’il y a une véritable synergie », raconte Bryant. « Nous gardons le chien de mes parents lorsqu’ils sont en voyage. Je m’occupe du jardin la plupart du temps et j’ai tendance à être l’homme à tout faire de la maison. Ma mère arrose les plantes, s’occupe des mauvaises herbes et prépare les repas. Aimee adore cuisiner et c’est souvent elle qui nourrit toute la famille. Mon père emmène les enfants à la piscine, au ski et lorsqu’il sort pour avoir de la compagnie. Nous faisons les courses ou allons au cinéma tard le soir car nous savons que s’il arrive quelque chose, nos enfants peuvent compter sur mes parents. Si une de nos filles nous en veut, elle peut s’adresser à mes parents. Il y a quatre paires d’yeux qui surveillent les petits – et même six, si on compte ma sœur et son mari dans la maison voisine. Le samedi matin, l’hiver, nous partons à trois voitures pleines pour skier et chantonner “Who is going up to the hill today ?” [NDLT : Qui monte en haut de la colline aujourd’hui ?]. Nous gardons un œil sur les autres et nous nous soutenons en toutes circonstances. »
« Pour le mauvais, disons que nous vivons dans un chaos heureux en activité perpétuelle. »
« Nous aimons manger ensemble, skier, parler, passer du temps ensemble et nous soutenir mutuellement au rythme de nos vies bien remplies », explique Bryant. « Ce que je préférais avec ma grand-mère, c’est quand elle lisait des histoires à nos quatre filles à l’heure du coucher. Grâce à cette proximité, il nous était facile de nous occuper d’elle. Elle est restée à la maison jusqu’aux derniers jours de sa vie, en 2013. En souvenir d’elle, mon père, James, a installé une bibliothèque dans sa chambre avec une plaque à son nom. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« L’avantage, c’est qu’il y a une véritable synergie », raconte Bryant. « Nous gardons le chien de mes parents lorsqu’ils sont en voyage. Je m’occupe du jardin la plupart du temps et j’ai tendance à être l’homme à tout faire de la maison. Ma mère arrose les plantes, s’occupe des mauvaises herbes et prépare les repas. Aimee adore cuisiner et c’est souvent elle qui nourrit toute la famille. Mon père emmène les enfants à la piscine, au ski et lorsqu’il sort pour avoir de la compagnie. Nous faisons les courses ou allons au cinéma tard le soir car nous savons que s’il arrive quelque chose, nos enfants peuvent compter sur mes parents. Si une de nos filles nous en veut, elle peut s’adresser à mes parents. Il y a quatre paires d’yeux qui surveillent les petits – et même six, si on compte ma sœur et son mari dans la maison voisine. Le samedi matin, l’hiver, nous partons à trois voitures pleines pour skier et chantonner “Who is going up to the hill today ?” [NDLT : Qui monte en haut de la colline aujourd’hui ?]. Nous gardons un œil sur les autres et nous nous soutenons en toutes circonstances. »
« Pour le mauvais, disons que nous vivons dans un chaos heureux en activité perpétuelle. »
5. La vie avec mamie en Nouvelle-Zélande
Qui habite ici : Paul Smith, 36 ans, et Lee Smith, 32 ans ; leurs enfants, Riley, 6 ans, and Ruby, 2 ans ; et la mère de Lee, Miemmie Prins, 55 ans
Emplacement : Auckland, Nouvelle-Zélande
La maison : Paul, Lee et les enfants vivent dans le bâtiment principal, de 110 m², de cette ferme d’élevage de brebis. Miemmie vit dans un appartement de 62 m² qu’ils ont construit pour elle juste à côté.
Professions : Lee est propriétaire d’une société de gestion immobilière, Paul gère une société d’alarmes pour particuliers et Miemmie travaille dans le domaine de l’optique.
Qui habite ici : Paul Smith, 36 ans, et Lee Smith, 32 ans ; leurs enfants, Riley, 6 ans, and Ruby, 2 ans ; et la mère de Lee, Miemmie Prins, 55 ans
Emplacement : Auckland, Nouvelle-Zélande
La maison : Paul, Lee et les enfants vivent dans le bâtiment principal, de 110 m², de cette ferme d’élevage de brebis. Miemmie vit dans un appartement de 62 m² qu’ils ont construit pour elle juste à côté.
Professions : Lee est propriétaire d’une société de gestion immobilière, Paul gère une société d’alarmes pour particuliers et Miemmie travaille dans le domaine de l’optique.
Depuis combien de temps vivez-vous ensemble ?
« L’idée de vivre avec ma mère nous a toujours plu », explique Lee, « surtout tant que nos enfants sont petits. » Au début, Paul et Lee cherchaient une maison avec une dépendance pour en faire un appartement, mais ils n’ont rien trouvé qui convenait. Ils rêvaient aussi de vivre à la campagne sur quelques hectares de terrain, mais pensaient qu’il leur faudrait plusieurs années. Après avoir fait le point sur leurs budgets, ils ont décidé de mettre leurs ressources en commun pour acheter cette maison de campagne plus tôt que prévu et construire sur la propriété une maison pour Miemmie.
« Maman a emménagé avec nous il y a trois ans, en 2012, alors que j’étais enceinte de Ruby », raconte Lee. « Au début, elle s’est installée dans notre petite villa centenaire de quatre pièces, qui était en cours de rénovation à l’époque. On était un peu à l’étroit, mais nous avons rapidement décidé des plans et nous avons sélectionné un entrepreneur pour lui construire un cottage avec deux chambres. »
« L’idée de vivre avec ma mère nous a toujours plu », explique Lee, « surtout tant que nos enfants sont petits. » Au début, Paul et Lee cherchaient une maison avec une dépendance pour en faire un appartement, mais ils n’ont rien trouvé qui convenait. Ils rêvaient aussi de vivre à la campagne sur quelques hectares de terrain, mais pensaient qu’il leur faudrait plusieurs années. Après avoir fait le point sur leurs budgets, ils ont décidé de mettre leurs ressources en commun pour acheter cette maison de campagne plus tôt que prévu et construire sur la propriété une maison pour Miemmie.
« Maman a emménagé avec nous il y a trois ans, en 2012, alors que j’étais enceinte de Ruby », raconte Lee. « Au début, elle s’est installée dans notre petite villa centenaire de quatre pièces, qui était en cours de rénovation à l’époque. On était un peu à l’étroit, mais nous avons rapidement décidé des plans et nous avons sélectionné un entrepreneur pour lui construire un cottage avec deux chambres. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
Après avoir passé la semaine en compagnie de Ruby dans le cottage, Miemmie rejoint les autres tous les vendredis soirs pour dîner et souvent aussi pour regarder un film sur le large canapé d’angle du salon. Ensuite, c’est à Riley de profiter de son temps avec sa grand-mère : il passe la nuit chez elle tous les vendredis.
« Nous passons aussi beaucoup de temps ensemble à l’extérieur avec les animaux, à explorer la nature qui nous entoure », raconte Lee.
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« Nous adorons habiter si près les uns des autres et partager cette belle propriété à la campagne », explique Lee. « En plus d’aider avec les enfants, Miemmie donne un coup de main à chaque fois que nous en avons besoin à la maison et aide à déplacer le troupeau tandis que Paul s’occupe des travaux de maintenance pour les deux maisons. J’adore que toute la famille soit ensemble et nous avons comme projet de construire une autre maison en contrebas du pré, pour le père de Paul quand il prendra sa retraite. »
Des côtés négatifs ? La famille n’en voit pas et dit qu’habiter tous ensemble comme une grande famille marche à merveille pour eux. « Il n’y a pas vraiment de mauvais côté, mais nous disons toujours ce que nous pensons si un problème se présente », explique Miemmie. « Je pense que c’est le secret pour vivre proches les uns des autres. »
Après avoir passé la semaine en compagnie de Ruby dans le cottage, Miemmie rejoint les autres tous les vendredis soirs pour dîner et souvent aussi pour regarder un film sur le large canapé d’angle du salon. Ensuite, c’est à Riley de profiter de son temps avec sa grand-mère : il passe la nuit chez elle tous les vendredis.
« Nous passons aussi beaucoup de temps ensemble à l’extérieur avec les animaux, à explorer la nature qui nous entoure », raconte Lee.
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« Nous adorons habiter si près les uns des autres et partager cette belle propriété à la campagne », explique Lee. « En plus d’aider avec les enfants, Miemmie donne un coup de main à chaque fois que nous en avons besoin à la maison et aide à déplacer le troupeau tandis que Paul s’occupe des travaux de maintenance pour les deux maisons. J’adore que toute la famille soit ensemble et nous avons comme projet de construire une autre maison en contrebas du pré, pour le père de Paul quand il prendra sa retraite. »
Des côtés négatifs ? La famille n’en voit pas et dit qu’habiter tous ensemble comme une grande famille marche à merveille pour eux. « Il n’y a pas vraiment de mauvais côté, mais nous disons toujours ce que nous pensons si un problème se présente », explique Miemmie. « Je pense que c’est le secret pour vivre proches les uns des autres. »
6. Villa traditionnelle en Espagne
Qui habite ici : Antonio del Río, 83 ans, et Cionín Pérez, 82 ans ; leur fils Alberto del Río, 54 ans, et sa femme Gema Pérez, 51 ans ; leur petit-fils Pablo del Río, 28 ans ; et sa petite amie, Thais Morais, 28 ans ; et pendant les mois d’été, Noël et les autres vacances, la fille d’Antonio et de Cionín, Rosalía del Río, 45 ans, son mari, Cali Bibang, 41 ans, et leur fille Irene, 8 ans.
Emplacement : Santander, région de Cantabria dans le nord de l’Espagne
La maison : 300 m²
Professions : Antonio et Cionín sont à la retraite. Cali travaille sur des projets télévisuels et Rosalía travaille dans les relations publiques. Alberto vend des équipements pour cuisines et salles de bains et Gema tient un magasin. Pablo est dans le management d’affaires et Thais est psychologue.
Qui habite ici : Antonio del Río, 83 ans, et Cionín Pérez, 82 ans ; leur fils Alberto del Río, 54 ans, et sa femme Gema Pérez, 51 ans ; leur petit-fils Pablo del Río, 28 ans ; et sa petite amie, Thais Morais, 28 ans ; et pendant les mois d’été, Noël et les autres vacances, la fille d’Antonio et de Cionín, Rosalía del Río, 45 ans, son mari, Cali Bibang, 41 ans, et leur fille Irene, 8 ans.
Emplacement : Santander, région de Cantabria dans le nord de l’Espagne
La maison : 300 m²
Professions : Antonio et Cionín sont à la retraite. Cali travaille sur des projets télévisuels et Rosalía travaille dans les relations publiques. Alberto vend des équipements pour cuisines et salles de bains et Gema tient un magasin. Pablo est dans le management d’affaires et Thais est psychologue.
La maison, typique de la région de Cantabria, possède une galería, une sorte de balcon couvert où la famille peut apprécier la lumière du jour sans avoir à sortir – le climat de cette partie de la côte nord espagnole peut être rude.
Depuis combien de temps vivent-ils ensemble ?
Cinq ans. La maison, qui est dans la famille del Río depuis six générations, a été rénovée il y a vingt ans. Antonio et Cionín ont décidé de conserver les fondations de pierre, sur lesquelles ils ont fait construire une plus grande maison en même temps qu’un appartement attenant, dont on aperçoit le balcon à l’arrière-plan de la première photo. L’appartement devait être pour le frère d’Antonio, qui n’était pas marié, pour qu’ils puissent vivre leurs retraites ensemble. Cependant, après avoir vécu célibataire tout sa vie, Antonio n’a pu s’habituer à la vie commune et a préféré emménager ailleurs. Les années ont passé et la crise économique est arrivée. Alberto a commencé à avoir des difficultés et a fini par vendre sa maison pour emménager dans l’appartement avec Gema et leur fils, Pablo. Depuis, Pablo a emménagé dans la maison principale.
Depuis combien de temps vivent-ils ensemble ?
Cinq ans. La maison, qui est dans la famille del Río depuis six générations, a été rénovée il y a vingt ans. Antonio et Cionín ont décidé de conserver les fondations de pierre, sur lesquelles ils ont fait construire une plus grande maison en même temps qu’un appartement attenant, dont on aperçoit le balcon à l’arrière-plan de la première photo. L’appartement devait être pour le frère d’Antonio, qui n’était pas marié, pour qu’ils puissent vivre leurs retraites ensemble. Cependant, après avoir vécu célibataire tout sa vie, Antonio n’a pu s’habituer à la vie commune et a préféré emménager ailleurs. Les années ont passé et la crise économique est arrivée. Alberto a commencé à avoir des difficultés et a fini par vendre sa maison pour emménager dans l’appartement avec Gema et leur fils, Pablo. Depuis, Pablo a emménagé dans la maison principale.
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Faire la fête, toujours et encore la fête. Vous n’êtes pas autorisés à venir ici si vous n’apportez pas de bouteille de vin – nous ne vous laisserons pas entrer », plaisante Rosalía en riant. « Et nous restons, bien sûr, des “gens de la mer”. Nous aimons les poissons de saison. Vous trouverez donc toujours des fruits de mers locaux sur notre table : de la bonite, des anchois, des sardines, des bernaches… Alberto adore faire les courses, c’est lui qui est chargé de la nourriture. Il va même jusqu’à Isla [un village situé à 45 km, NDLR], juste pour acheter de bonnes tomates pour la salade, car les légumes de là-bas sont les meilleurs de la région. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
La famille est très heureuse de vivre ensemble, raconte Rosalía, surtout sa mère, Cionín, qui adore quand sa petite-fille Irene vient pour les vacances. « En fait, elle a commencé à passer la nuit avec Irene dans le grenier pour qu’elle [Irene] ne se sente pas trop seule puisque la chambre de Cali et moi est au premier », explique Rosalía. « Elle a tellement aimé la pièce que maintenant, même lorsqu’Irene n’est pas là, Cionín dort dans le grenier au lieu de dormir dans sa chambre du premier. Entre-temps, Alberto et sa femme, Gema, ont tellement pris goût à notre mode de vie qu’ils ont abandonné l’idée d’acheter leur propre maison pour venir habiter ici. Pablo quittera probablement le nid bientôt car il prévoit de se marier avec Thais. Le seul côté négatif est que nous sommes parfois trop nombreux et qu’il devient impossible d’être au calme. Et puis ma mère va parfois “faire ses courses” dans le frigo d’Alberto – ce qui rend mon frère complètement fou. »
« Faire la fête, toujours et encore la fête. Vous n’êtes pas autorisés à venir ici si vous n’apportez pas de bouteille de vin – nous ne vous laisserons pas entrer », plaisante Rosalía en riant. « Et nous restons, bien sûr, des “gens de la mer”. Nous aimons les poissons de saison. Vous trouverez donc toujours des fruits de mers locaux sur notre table : de la bonite, des anchois, des sardines, des bernaches… Alberto adore faire les courses, c’est lui qui est chargé de la nourriture. Il va même jusqu’à Isla [un village situé à 45 km, NDLR], juste pour acheter de bonnes tomates pour la salade, car les légumes de là-bas sont les meilleurs de la région. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
La famille est très heureuse de vivre ensemble, raconte Rosalía, surtout sa mère, Cionín, qui adore quand sa petite-fille Irene vient pour les vacances. « En fait, elle a commencé à passer la nuit avec Irene dans le grenier pour qu’elle [Irene] ne se sente pas trop seule puisque la chambre de Cali et moi est au premier », explique Rosalía. « Elle a tellement aimé la pièce que maintenant, même lorsqu’Irene n’est pas là, Cionín dort dans le grenier au lieu de dormir dans sa chambre du premier. Entre-temps, Alberto et sa femme, Gema, ont tellement pris goût à notre mode de vie qu’ils ont abandonné l’idée d’acheter leur propre maison pour venir habiter ici. Pablo quittera probablement le nid bientôt car il prévoit de se marier avec Thais. Le seul côté négatif est que nous sommes parfois trop nombreux et qu’il devient impossible d’être au calme. Et puis ma mère va parfois “faire ses courses” dans le frigo d’Alberto – ce qui rend mon frère complètement fou. »
7. Dacha pour trois générations aux environs de Moscou
Qui habite ici : Elena Nikolayevna et Yuri Valentinovich Sheremet, tous deux âgés de 61 ans ; leur fille Alina, 27 ans, et son mari, Kirill Gronskie, 29 ans ; ainsi que leur petite fille, Alisa
Emplacement : Velegozh, région de Tula en Russie
La maison : 160 m² plus la terrasse
Professions : Elena est femme au foyer et Yuri Valentinovich dirige une entreprise de construction ; Alina est spécialiste marketing et Kirill est chef des ventes.
Qui habite ici : Elena Nikolayevna et Yuri Valentinovich Sheremet, tous deux âgés de 61 ans ; leur fille Alina, 27 ans, et son mari, Kirill Gronskie, 29 ans ; ainsi que leur petite fille, Alisa
Emplacement : Velegozh, région de Tula en Russie
La maison : 160 m² plus la terrasse
Professions : Elena est femme au foyer et Yuri Valentinovich dirige une entreprise de construction ; Alina est spécialiste marketing et Kirill est chef des ventes.
Depuis combien de temps vivez-vous ensemble ?
« Notre rêve d’avoir une dacha est né d’une peinture », explique Elena. « Nous aimons les objets rares et ne manquons jamais un marché aux puces ou une foire. C’est en achetant une peinture représentant un paysage avec des coqs de Mozhaisk [une région près de Moscou], dont nous sommes tombés amoureux, que nous avons commencé à chercher une vraie “dacha”, maison secondaire typique en Russie. Nous avons trouvé un superbe terrain dans un lotissement récent appelé Velegozh, que nous avons tout de suite adoré en dépit de – ou peut-être grâce à – son emplacement isolé : le district de Zaokskiy est un endroit verdoyant et propre. »
« L’idée du constructeur est que tout le lotissement soit fait de maisons en pin identiques, que peuvent personnaliser les propriétaires. Nous aimions l’idée de posséder une maison dans les bois. La parcelle est remplie de jeunes pins verts, qui nous ont inspirés la teinte verte du cadre des fenêtres. Nous aimons beaucoup l’idée de nous rapprocher de la nature, en particulier par le biais des couleurs. Nous avons ajouté la terrasse nous-mêmes, pour permettre à la famille de se réunir à l’extérieur. »
« Notre rêve d’avoir une dacha est né d’une peinture », explique Elena. « Nous aimons les objets rares et ne manquons jamais un marché aux puces ou une foire. C’est en achetant une peinture représentant un paysage avec des coqs de Mozhaisk [une région près de Moscou], dont nous sommes tombés amoureux, que nous avons commencé à chercher une vraie “dacha”, maison secondaire typique en Russie. Nous avons trouvé un superbe terrain dans un lotissement récent appelé Velegozh, que nous avons tout de suite adoré en dépit de – ou peut-être grâce à – son emplacement isolé : le district de Zaokskiy est un endroit verdoyant et propre. »
« L’idée du constructeur est que tout le lotissement soit fait de maisons en pin identiques, que peuvent personnaliser les propriétaires. Nous aimions l’idée de posséder une maison dans les bois. La parcelle est remplie de jeunes pins verts, qui nous ont inspirés la teinte verte du cadre des fenêtres. Nous aimons beaucoup l’idée de nous rapprocher de la nature, en particulier par le biais des couleurs. Nous avons ajouté la terrasse nous-mêmes, pour permettre à la famille de se réunir à l’extérieur. »
Qu’aimez-vous faire ensemble ?
« Les environs du lotissement offrent de nombreux endroits intéressants où se divertir, depuis le musée Dvoryaninovo jusqu’au club hippique, en passant par la ville ancienne de Tarusa, toute proche », raconte Elena. « Il y a aussi un site pour faire des barbecues et la terrasse permet de réunir amis et voisins pour goûter des plats délicieux préparés avec des légumes frais, cultiver dans notre potager. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« Nous ne voyons que des avantages à vivre à plusieurs générations », explique Elena. « C’est une véritable chance de pouvoir passer du temps avec les gens qu’on aime, de pouvoir inviter des amis et de se détendre à la campagne. Les plus âgés vivent ici toute l’année et les enfants ne perdent pas une occasion de s’échapper de la ville pour venir ici. Et si un membre de la famille a besoin de solitude, il peut se replier dans le coin de la maison qui lui est dédié, et qu’il a décoré et aménagé en fonction de ses goûts et de ses besoins. »
Découvrez plus de photos de cette maison
« Les environs du lotissement offrent de nombreux endroits intéressants où se divertir, depuis le musée Dvoryaninovo jusqu’au club hippique, en passant par la ville ancienne de Tarusa, toute proche », raconte Elena. « Il y a aussi un site pour faire des barbecues et la terrasse permet de réunir amis et voisins pour goûter des plats délicieux préparés avec des légumes frais, cultiver dans notre potager. »
Quels sont les bons et les mauvais côtés de la vie à plusieurs générations ?
« Nous ne voyons que des avantages à vivre à plusieurs générations », explique Elena. « C’est une véritable chance de pouvoir passer du temps avec les gens qu’on aime, de pouvoir inviter des amis et de se détendre à la campagne. Les plus âgés vivent ici toute l’année et les enfants ne perdent pas une occasion de s’échapper de la ville pour venir ici. Et si un membre de la famille a besoin de solitude, il peut se replier dans le coin de la maison qui lui est dédié, et qu’il a décoré et aménagé en fonction de ses goûts et de ses besoins. »
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ET VOUS ?
Vivez-vous à plusieurs générations ? Partagez vos anecdotes et vos photos en précisant votre pays et votre ville de résidence !
Lire aussi :
Visite Privée : Deux maisons en une pour quatre générations !
Découvrez le reste de notre série Tour du monde :
11 hommes ouvrent les portes de leurs repaires
Dans les bureaux à domicile de 11 architectes
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Poussez les portes de 11 studios d’artistes et artisans
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10 locataires confient leurs astuces déco
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Qui habite ici : Josiane et Serge Alberola, tous deux âgés de 50 ans ; leurs enfants Xavier Alberola (déjà père), Eloïse Alberola et Julie Alberola, toutes deux enceintes et âgées de presque 30 ans ; les époux d’Eloïse et de Julie et l’épouse de Xavier ; un oncle de 70 ans ; et une grand-mère de 95 ans
Emplacement : Sérignan, Languedoc-Roussillon, France
La maison : 2 500 m²
Professions : Ils étaient imprimeurs, mais ils ont acheté la maison pour la transformer en gîte.