Décryptage : 8 lits mezzanines optimisent les studios
Ce n'est pas parce que l'on vit dans un petit appartement que l'on doit dormir la tête dans le réfrigérateur
La mezzanine est la solution idéale pour créer un coin nuit dans une pièce, à condition d’avoir une belle hauteur sous plafond. Dans un studio, où la surface au sol est particulièrement comptée, l’exploitation verticale de la pièce permet d’optimiser l’espace et d’isoler le lit pour plus d’intimité. Décryptage d’un aménagement qui a fait ses preuves à travers 8 projets de studios commentés par les professionnels qui en sont à l’origine. Ils ne manquent pas de partager avec nous leurs astuces d’aménagement.
Le mot du pro
« Nous avons installé un garde-corps en cordage qui donne une impression de légèreté, presque comme si la mezzanine était suspendue. Des matériaux de qualité rehaussent un mobilier plus simple, comme le plan de travail et la crédence en quartz de chez Netovia. Côté déco, rien de superflu, tout a été fait dans un esprit frais et contemporain », explique Valérie Laporte Volatier, architecte d’intérieur pour l’agence Les Murs ont des Oreilles.
NDLR : Les travaux ont duré trois mois pour un budget de 40 000 euros hors taxe.
« Nous avons installé un garde-corps en cordage qui donne une impression de légèreté, presque comme si la mezzanine était suspendue. Des matériaux de qualité rehaussent un mobilier plus simple, comme le plan de travail et la crédence en quartz de chez Netovia. Côté déco, rien de superflu, tout a été fait dans un esprit frais et contemporain », explique Valérie Laporte Volatier, architecte d’intérieur pour l’agence Les Murs ont des Oreilles.
NDLR : Les travaux ont duré trois mois pour un budget de 40 000 euros hors taxe.
2. Du rangement partout
D’importantes rénovations ont été entreprises dans ce studio de 46 m², situé dans l’East Village, à Manhattan. Des planches en chêne blanc délimitent les différents espaces. Tous les recoins susceptibles d’offrir du rangement ont été exploités : des tiroirs ont été astucieusement aménagés dans les marches de l’escalier, tandis que des armoires s’élèvent jusqu’au plafond et qu’un nouveau dressing a été conçu sous la mezzanine. Cette dernière a été incorporée au cœur même de la structure cubique en bois. Un aménagement qui donne une impression de hauteur et de volume, en étirant l’espace. Un store déroulant permet aussi de séparer l’espace nuit du reste de l’appartement.
D’importantes rénovations ont été entreprises dans ce studio de 46 m², situé dans l’East Village, à Manhattan. Des planches en chêne blanc délimitent les différents espaces. Tous les recoins susceptibles d’offrir du rangement ont été exploités : des tiroirs ont été astucieusement aménagés dans les marches de l’escalier, tandis que des armoires s’élèvent jusqu’au plafond et qu’un nouveau dressing a été conçu sous la mezzanine. Cette dernière a été incorporée au cœur même de la structure cubique en bois. Un aménagement qui donne une impression de hauteur et de volume, en étirant l’espace. Un store déroulant permet aussi de séparer l’espace nuit du reste de l’appartement.
Le mot du pro
« Notre objectif a été de fondre le mode de vie du propriétaire dans l’ADN de cet endroit, de laisser ses habitudes sculpter et modeler l’espace afin d’en faire un lieu cohérent et élégant. Le volume sculptural qui se dégage du résultat final donne l’impression que l’appartement a été aménagé à l’intérieur d’une grande boîte blanche dans laquelle on aurait établi un point focal avant de définir les pièces privées et communes », l’architecte Jordan Parnass.
« Notre objectif a été de fondre le mode de vie du propriétaire dans l’ADN de cet endroit, de laisser ses habitudes sculpter et modeler l’espace afin d’en faire un lieu cohérent et élégant. Le volume sculptural qui se dégage du résultat final donne l’impression que l’appartement a été aménagé à l’intérieur d’une grande boîte blanche dans laquelle on aurait établi un point focal avant de définir les pièces privées et communes », l’architecte Jordan Parnass.
3. Un espace ouvert
L’entrée de ce studio a été décloisonnée pour ouvrir l’espace, puis peinte en vert sapin pour le délimiter. Le choix a été fait d’isoler la mezzanine de la pièce de vie par une cloison en bouleau, pensée comme une cabane. L’architecte d’intérieur a proposé de conserver le beau sol d’origine, qui a été vitrifié et poncé. La mezzanine dispose quant à elle d’un plancher autoportant Boucaud. Pour gagner de la place, une porte à galandages ferme le dressing. Seul un bar, qui sépare la cuisine de la pièce de vie, coupe la pièce visuellement libérée.
L’entrée de ce studio a été décloisonnée pour ouvrir l’espace, puis peinte en vert sapin pour le délimiter. Le choix a été fait d’isoler la mezzanine de la pièce de vie par une cloison en bouleau, pensée comme une cabane. L’architecte d’intérieur a proposé de conserver le beau sol d’origine, qui a été vitrifié et poncé. La mezzanine dispose quant à elle d’un plancher autoportant Boucaud. Pour gagner de la place, une porte à galandages ferme le dressing. Seul un bar, qui sépare la cuisine de la pièce de vie, coupe la pièce visuellement libérée.
Le mot du pro
« L’idée du projet était d’ouvrir tous les espaces dans ce 34 m² en les délimitant par des choix esthétiques. La ligne conductrice de couleur grise sépare visuellement le haut et le bas de l’appartement. En plus de la cabane mezzanine, nous avons créé sur mesure un module comprenant des rangements ouverts et fermés, un meuble TV et deux petites marches amovibles pour accéder au-dessus du meuble, et enfin à l’escalier à pas japonais qui monte dans la chambre », explique l’architecte d’intérieur Mylène Séguy.
NDLR : Le budget de ce projet est de 32 000 euros hors taxe.
« L’idée du projet était d’ouvrir tous les espaces dans ce 34 m² en les délimitant par des choix esthétiques. La ligne conductrice de couleur grise sépare visuellement le haut et le bas de l’appartement. En plus de la cabane mezzanine, nous avons créé sur mesure un module comprenant des rangements ouverts et fermés, un meuble TV et deux petites marches amovibles pour accéder au-dessus du meuble, et enfin à l’escalier à pas japonais qui monte dans la chambre », explique l’architecte d’intérieur Mylène Séguy.
NDLR : Le budget de ce projet est de 32 000 euros hors taxe.
4. Une structure optimisée
Jean-Christophe Peyrieux a rénové ce studio parisien pour son fils étudiant. Il s’agissait à l’origine d’une chambre de service de 20 m² en piètre état. En face de l’unique fenêtre, qui éclaire le salon, on découvre une mezzanine d’une hauteur de 2,85 mètres. Pour optimiser chaque recoin, un canapé convertible a été installé dans l’alcôve. Afin d’éviter l’inconfort quotidien d’une échelle, l’architecte a pris le parti d’installer un véritable escalier. La structure en medium qui sépare la mezzanine de la pièce de vie renferme un gros volume de rangement. Un plan bar marque la délimitation entre cuisine et pièce de vie. Pour cela, une table haute a été choisie afin de rééquilibrer les proportions.
Jean-Christophe Peyrieux a rénové ce studio parisien pour son fils étudiant. Il s’agissait à l’origine d’une chambre de service de 20 m² en piètre état. En face de l’unique fenêtre, qui éclaire le salon, on découvre une mezzanine d’une hauteur de 2,85 mètres. Pour optimiser chaque recoin, un canapé convertible a été installé dans l’alcôve. Afin d’éviter l’inconfort quotidien d’une échelle, l’architecte a pris le parti d’installer un véritable escalier. La structure en medium qui sépare la mezzanine de la pièce de vie renferme un gros volume de rangement. Un plan bar marque la délimitation entre cuisine et pièce de vie. Pour cela, une table haute a été choisie afin de rééquilibrer les proportions.
Le mot du pro
« J’ai adoré travailler sur ce chantier car j’ai pu maximiser les optimisations structurelles et meubler dans un style qui me plaisait. La problématique de base était de créer deux lits séparés dans ce studio, car mon fils voulait recevoir régulièrement son grand frère. Le résultat est vraiment bien, l’ensemble est très lumineux et la sensation d’espace est préservée malgré l’exiguïté de l’appartement. Comme il n’est pas possible de repousser les murs dans un petit espace, il faut faire en sorte que le regard bénéficie de perspectives les plus larges possible afin de ne pas se sentir confiné. Ici, dès l’entrée, on peut voir à travers la salle de bains jusqu’aux toits de la ville », l’architecte d’intérieur Jean-Christophe Peyrieux.
« J’ai adoré travailler sur ce chantier car j’ai pu maximiser les optimisations structurelles et meubler dans un style qui me plaisait. La problématique de base était de créer deux lits séparés dans ce studio, car mon fils voulait recevoir régulièrement son grand frère. Le résultat est vraiment bien, l’ensemble est très lumineux et la sensation d’espace est préservée malgré l’exiguïté de l’appartement. Comme il n’est pas possible de repousser les murs dans un petit espace, il faut faire en sorte que le regard bénéficie de perspectives les plus larges possible afin de ne pas se sentir confiné. Ici, dès l’entrée, on peut voir à travers la salle de bains jusqu’aux toits de la ville », l’architecte d’intérieur Jean-Christophe Peyrieux.
5. Un petit studio qui a tout d’un grand
Tout a été refait dans ce 18 m² : seuls le plancher d’origine et l’un des pieds de la mezzanine ont été conservés. La cuisine, désormais nichée sous la mezzanine, est délimitée visuellement par des carreaux de ciment qui, en association avec un jaune lumineux, apportent chaleur et personnalité. Réalisée sur mesure par l’entreprise de ferronnerie FMD, l’échelle permet d’accéder à la zone nuit. Grâce au rail, il est possible de la plaquer contre le mur et ainsi de libérer de la place dans l’espace de vie. Cette chambre en hauteur a été pensée comme une boîte noire, pour créer un espace intime, bien que proche du lieu de vie. La table en métal a été conçue sur mesure et fait écho au parquet d’origine juste traité et vernis.
Tout a été refait dans ce 18 m² : seuls le plancher d’origine et l’un des pieds de la mezzanine ont été conservés. La cuisine, désormais nichée sous la mezzanine, est délimitée visuellement par des carreaux de ciment qui, en association avec un jaune lumineux, apportent chaleur et personnalité. Réalisée sur mesure par l’entreprise de ferronnerie FMD, l’échelle permet d’accéder à la zone nuit. Grâce au rail, il est possible de la plaquer contre le mur et ainsi de libérer de la place dans l’espace de vie. Cette chambre en hauteur a été pensée comme une boîte noire, pour créer un espace intime, bien que proche du lieu de vie. La table en métal a été conçue sur mesure et fait écho au parquet d’origine juste traité et vernis.
Le mot du pro
« La règle est de ne pas dépasser trois couleurs dans un intérieur : ici, blanc, gris anthracite et jaune. Le lit en mezzanine ressemble à une vraie chambre grâce aux pans de mur peints en gris foncé, qui accentuent la partie nuit. Le tout est accessible grâce à l’échelle en métal amovible, réalisée sur mesure, et fait face à la partie salle à manger qui, sur le même principe, se démarque visuellement grâce à ses murs de couleurs qui créent une pièce dans la pièce. Table et chaises hautes ont été choisies pour casser la hauteur sous plafond », Margaux Carnevali, de Neva Architecture Intérieure.
« La règle est de ne pas dépasser trois couleurs dans un intérieur : ici, blanc, gris anthracite et jaune. Le lit en mezzanine ressemble à une vraie chambre grâce aux pans de mur peints en gris foncé, qui accentuent la partie nuit. Le tout est accessible grâce à l’échelle en métal amovible, réalisée sur mesure, et fait face à la partie salle à manger qui, sur le même principe, se démarque visuellement grâce à ses murs de couleurs qui créent une pièce dans la pièce. Table et chaises hautes ont été choisies pour casser la hauteur sous plafond », Margaux Carnevali, de Neva Architecture Intérieure.
6. Un esprit zen
Ce studio parisien de 23 m² a été repensé dans des tons neutres et intemporels qui illuminent l’espace et se prêtent à toutes les envies déco. Réduite à sa plus simple expression, la cuisine est fonctionnelle avec de nombreux rangements et un équipement électroménager intégré complet. Pour ne pas surcharger l’espace, elle se fond dans le décor dans un ton sur ton virginal. Au sol, un grès cérame délimite la zone cuisine. Chaque centimètre a été optimisé avec une table coulissante qui se cache dans un tiroir. Le ruban de marches en chêne clair cache des tiroirs de grande profondeur dans les contremarches. Une lumière intégrée dans le parquet rase le mur du fond et permet d’augmenter visuellement la hauteur sous plafond. Le même parquet est repris sur le sol de la mezzanine pour créer une unité.
Ce studio parisien de 23 m² a été repensé dans des tons neutres et intemporels qui illuminent l’espace et se prêtent à toutes les envies déco. Réduite à sa plus simple expression, la cuisine est fonctionnelle avec de nombreux rangements et un équipement électroménager intégré complet. Pour ne pas surcharger l’espace, elle se fond dans le décor dans un ton sur ton virginal. Au sol, un grès cérame délimite la zone cuisine. Chaque centimètre a été optimisé avec une table coulissante qui se cache dans un tiroir. Le ruban de marches en chêne clair cache des tiroirs de grande profondeur dans les contremarches. Une lumière intégrée dans le parquet rase le mur du fond et permet d’augmenter visuellement la hauteur sous plafond. Le même parquet est repris sur le sol de la mezzanine pour créer une unité.
Le mot du pro
« Nous voulions avoir la pièce à vivre la plus spacieuse possible (16 m² sur 23 m² au total). Pour cela, nous avons créé une boîte autour de laquelle s’articulent les différentes fonctions du studio. La mezzanine a été pensée comme un petit nid douillet, avec un lit encastré dans le socle afin de gagner en hauteur sous plafond et de pouvoir s’asseoir confortablement. En résumé, nous avons créé une grande pièce à vivre en développant la surface par le haut », précise l’architecte d’intérieur Lara Grand.
« Nous voulions avoir la pièce à vivre la plus spacieuse possible (16 m² sur 23 m² au total). Pour cela, nous avons créé une boîte autour de laquelle s’articulent les différentes fonctions du studio. La mezzanine a été pensée comme un petit nid douillet, avec un lit encastré dans le socle afin de gagner en hauteur sous plafond et de pouvoir s’asseoir confortablement. En résumé, nous avons créé une grande pièce à vivre en développant la surface par le haut », précise l’architecte d’intérieur Lara Grand.
7. Une hauteur exploitée
Après avoir investi dans un programme neuf, les propriétaires souhaitaient optimiser l’espace pour en tirer le meilleur parti. C’est en exploitant la hauteur sous plafond de 3,50 mètres que cela a été rendu possible, grâce à la création d’un double espace nuit. Ainsi, la pièce principale a conservé une surface de vie confortable et une belle luminosité. Il n’y a pas eu de gros œuvre, puisque l’appartement était livré neuf, mais une réorganisation structurelle de l’espace. La mezzanine est une structure en bois et dotée d’un plancher en OSB peint en blanc. Elle est séparée du lieu de vie par des tasseaux en bois, qui créent de l’intimité en laissant filtrer la lumière. La pièce en dessous est fermée quant à elle par une verrière en bois sur mesure peinte en blanc pour un aspect propre et net.
Après avoir investi dans un programme neuf, les propriétaires souhaitaient optimiser l’espace pour en tirer le meilleur parti. C’est en exploitant la hauteur sous plafond de 3,50 mètres que cela a été rendu possible, grâce à la création d’un double espace nuit. Ainsi, la pièce principale a conservé une surface de vie confortable et une belle luminosité. Il n’y a pas eu de gros œuvre, puisque l’appartement était livré neuf, mais une réorganisation structurelle de l’espace. La mezzanine est une structure en bois et dotée d’un plancher en OSB peint en blanc. Elle est séparée du lieu de vie par des tasseaux en bois, qui créent de l’intimité en laissant filtrer la lumière. La pièce en dessous est fermée quant à elle par une verrière en bois sur mesure peinte en blanc pour un aspect propre et net.
Le mot du pro
« Les propriétaires, qui pour la petite histoire me confient un troisième projet, ont réalisé un nouvel investissement immobilier en acquérant ce grand studio dans un programme neuf pour en faire une location meublée. J’ai travaillé sur l’aménagement, réalisé des vues 3D, le plan de la cuisine, le choix des couleurs, du mobilier et des accessoires déco. Les propriétaires sont conquis. Ils ont apprécié le choix des couleurs et l’harmonie de l’ensemble », détaille Marion Tournadre, décoratrice d’intérieur pour Secrets Déco.
« Les propriétaires, qui pour la petite histoire me confient un troisième projet, ont réalisé un nouvel investissement immobilier en acquérant ce grand studio dans un programme neuf pour en faire une location meublée. J’ai travaillé sur l’aménagement, réalisé des vues 3D, le plan de la cuisine, le choix des couleurs, du mobilier et des accessoires déco. Les propriétaires sont conquis. Ils ont apprécié le choix des couleurs et l’harmonie de l’ensemble », détaille Marion Tournadre, décoratrice d’intérieur pour Secrets Déco.
8. Une unité retrouvée
Au dernier étage d’un immeuble montpelliérain datant du début du XIXᵉ, ce studio en simple hauteur était vétuste et morcelé en petites pièces. La charpente d’origine, pleine de charme, a été laissée apparente. L’appartement ne disposant que d’une seule fenêtre, des ouvrants de toit apportent une belle lumière naturelle. Sobre et épurée, la décoration mise sur la transparence et sublime les volumes. Duo de noir et blanc et carreaux de ciment géométriques permettent de jouer à fond la carte du contraste dans la cuisine. Pour accéder à l’espace nuit, on emprunte un escalier sur mesure, à pas japonais, graphique et minimaliste. La pièce à vivre, qui dispose d’une hauteur sous plafond pouvant aller jusqu’à 4,50 mètres, permet ainsi de bénéficier à l’étage d’une mezzanine accueillant la zone de nuit.
Au dernier étage d’un immeuble montpelliérain datant du début du XIXᵉ, ce studio en simple hauteur était vétuste et morcelé en petites pièces. La charpente d’origine, pleine de charme, a été laissée apparente. L’appartement ne disposant que d’une seule fenêtre, des ouvrants de toit apportent une belle lumière naturelle. Sobre et épurée, la décoration mise sur la transparence et sublime les volumes. Duo de noir et blanc et carreaux de ciment géométriques permettent de jouer à fond la carte du contraste dans la cuisine. Pour accéder à l’espace nuit, on emprunte un escalier sur mesure, à pas japonais, graphique et minimaliste. La pièce à vivre, qui dispose d’une hauteur sous plafond pouvant aller jusqu’à 4,50 mètres, permet ainsi de bénéficier à l’étage d’une mezzanine accueillant la zone de nuit.
Le mot du pro
« L’un des défis de cette rénovation a indéniablement été le budget. Avec une enveloppe totale de 60 000 euros, nous avons dû reconstruire entièrement cet appartement, de la démolition jusqu’au choix des rideaux, en passant par les réseaux d’eau et d’électricité. Afin de réduire le coût global du projet, nous avons choisi de miser sur l’efficacité énergétique avec une isolation optimale, un système de chauffage performant ainsi qu’une ventilation naturelle contrôlée. En travaillant avec la lumière, les matières et la volumétrie, l’idée était de créer un lieu singulier, épuré et chaleureux », l’architecte Thomas Landemaine.
ET VOUS ?
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Lire aussi :
Conseils de pro pour aménager une mezzanine chez soi
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D’autres solutions pour aménager un petit espace
« L’un des défis de cette rénovation a indéniablement été le budget. Avec une enveloppe totale de 60 000 euros, nous avons dû reconstruire entièrement cet appartement, de la démolition jusqu’au choix des rideaux, en passant par les réseaux d’eau et d’électricité. Afin de réduire le coût global du projet, nous avons choisi de miser sur l’efficacité énergétique avec une isolation optimale, un système de chauffage performant ainsi qu’une ventilation naturelle contrôlée. En travaillant avec la lumière, les matières et la volumétrie, l’idée était de créer un lieu singulier, épuré et chaleureux », l’architecte Thomas Landemaine.
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Situé rive gauche, en plein cœur du Paris historique, ce studio de 23 m² a bénéficié d’une rénovation complète qui l’a fait basculer dans un style résolument contemporain. La mezzanine existante a été poncée. Le bois ainsi éclairci participe, avec les murs aux teintes clairs, à donner une impression générale de luminosité. Des rangements sur mesure ont été installés dans la mezzanine tout comme dans le reste du studio, où les meubles ont été pensés spécifiquement pour cet espace restreint. Du banc télé au meuble de l’entrée, qui camoufle un lave-linge, en passant par la penderie qui se glisse dans un petit coin, tout a été mis en œuvre pour que l’appartement soit le plus fonctionnel possible.