Suivi de Chantier : L'intérieur d'une maison en métal prend forme
Ce second volet est dédié à l'isolation et l'aménagement intérieur de la maison d'Idalie et Pierre-Yves
Idalie et Pierre-Yves ont fait le pari ambitieux de construire eux-mêmes leur maison et de vivre une vraie aventure familiale. « Nous savions que nous devrions prendre plusieurs mois de notre vie sur nous, car il fallait avancer le chantier pendant les week-ends, mais nous étions déterminés. Mon ami a fait le gros du travail, aidé et soutenu par les enfants et moi comme nous le pouvions », raconte Idalie. Monteur et bardeur de charpente de métier, Pierre-Yves a travaillé d’arrache-pied pour mettre en place l’ossature et le bardage métalliques du bâtiment. Quatre mois plus tard, le couple avait achevé la mise hors d’eau et d’air de la maison et pouvait se concentrer sur son isolation et son aménagement intérieurs, racontés dans ce second épisode.
Coup d’œil
Qui habite ici : Idalie, Pierre-Yves et leurs deux enfants, Asia et Léo
Emplacement : Mûr-de-Bretagne, Côtes-d’Armor
Budget : 150 000 euros, hors terrain
Superficie : 100 m²
Durée des travaux : 6 mois
Fin des travaux : 12 août 2016
Coup d’œil
Qui habite ici : Idalie, Pierre-Yves et leurs deux enfants, Asia et Léo
Emplacement : Mûr-de-Bretagne, Côtes-d’Armor
Budget : 150 000 euros, hors terrain
Superficie : 100 m²
Durée des travaux : 6 mois
Fin des travaux : 12 août 2016
Après le montage de la charpente et du bardage métalliques, Idalie et Pierre-Yves ont commencé par contrôler l’isolation de la maison, à l’aide de mousse polyuréthane projetée sur tous les angles de la construction. Ce premier test d’infiltrométrie a permis d’identifier les fuites de l’installation et de les combler lors l’isolation par l’intérieur. « Les endroits des fuites ont été pointés avec des gros marqueurs. C’est tout l’intérêt de ce premier test, qui n’est pas obligatoire mais conseillé », confie Idalie.
1. Pose de la laine de verre
L’isolation par l’intérieur de la maison est constituée de laine de verre, que le couple a commencé à installer de ses propres mains le 29 avril 2016. Cette étape s’est déroulée en parallèle de la pose du Placo, de la mise en place des tuyaux et installations électriques, réalisée par les artisans.
Sous forme de rouleaux de taille imposante, la laine de verre a été livrée en quantités suffisantes pour recouvrir tous les murs sur une épaisseur de 20 centimètres et les plafonds sur une épaisseur de 40 centimètres. « Le bardage de la maison est plus fin en toiture que sur les murs, il était donc important de rééquilibrer son isolation avec la laine de verre. » Seuls les faux plafonds n’ont été recouverts que de 10 centimètres de laine de verre. Le couple a réalisé cette étape du chantier, une fois les rails du Placo posés par le plaquiste. « Il fallait bien fixer la laine de verre pour ne pas qu’elle s’affaisse entre le panneau de bardage et la plaque de Placo. Au niveau des croix de saint André présentes dans les murs, nous devions désépaissir la laine sur l’empreinte de la croix pour bien l’installer », raconte Idalie.
La pose de la laine de verre et du Placo a naturellement renforcé l’isolation de la maison. L’indicateur d’infiltrométrie est ainsi passé de 0,37 m³/h/m² à 0,28 m³/h/m² (il doit être compris entre 0,2 et 0,6 selon la RT 2012).
L’isolation par l’intérieur de la maison est constituée de laine de verre, que le couple a commencé à installer de ses propres mains le 29 avril 2016. Cette étape s’est déroulée en parallèle de la pose du Placo, de la mise en place des tuyaux et installations électriques, réalisée par les artisans.
Sous forme de rouleaux de taille imposante, la laine de verre a été livrée en quantités suffisantes pour recouvrir tous les murs sur une épaisseur de 20 centimètres et les plafonds sur une épaisseur de 40 centimètres. « Le bardage de la maison est plus fin en toiture que sur les murs, il était donc important de rééquilibrer son isolation avec la laine de verre. » Seuls les faux plafonds n’ont été recouverts que de 10 centimètres de laine de verre. Le couple a réalisé cette étape du chantier, une fois les rails du Placo posés par le plaquiste. « Il fallait bien fixer la laine de verre pour ne pas qu’elle s’affaisse entre le panneau de bardage et la plaque de Placo. Au niveau des croix de saint André présentes dans les murs, nous devions désépaissir la laine sur l’empreinte de la croix pour bien l’installer », raconte Idalie.
La pose de la laine de verre et du Placo a naturellement renforcé l’isolation de la maison. L’indicateur d’infiltrométrie est ainsi passé de 0,37 m³/h/m² à 0,28 m³/h/m² (il doit être compris entre 0,2 et 0,6 selon la RT 2012).
2. La pose du Placo
Une fois les murs recouverts de laine de verre, les plaquistes ont pu entamer la pose du Placo et des parois qui délimitent les différentes pièces de la maison. Pour rappel, cette dernière comporte une grande pièce à vivre avec salon et cuisine, une suite parentale avec salle d’eau, deux chambres d’enfant et une seconde salle d’eau à l’étage. Les bandes à joint ont ensuite été ajoutées pour solidariser les plaques entre elles. « Cela permet d’avoir des murs droits et au toucher lisse », précise Idalie. Deux semaines au total ont été nécessaires à la mise en place du Placo.
Une fois les murs recouverts de laine de verre, les plaquistes ont pu entamer la pose du Placo et des parois qui délimitent les différentes pièces de la maison. Pour rappel, cette dernière comporte une grande pièce à vivre avec salon et cuisine, une suite parentale avec salle d’eau, deux chambres d’enfant et une seconde salle d’eau à l’étage. Les bandes à joint ont ensuite été ajoutées pour solidariser les plaques entre elles. « Cela permet d’avoir des murs droits et au toucher lisse », précise Idalie. Deux semaines au total ont été nécessaires à la mise en place du Placo.
3. L’intervention simultanée des artisans
Alors que les plaquistes étaient occupés à poser le Placo, tandis qu’Idalie et Pierre-Yves terminaient la laine de verre, les électriciens et plombiers se sont lancés dans l’installation de tous les câbles électriques et de la tuyauterie de la maison. « Dès que l’électricien avait terminé son travail sur une zone, les plaquistes passaient juste derrière pour fixer le Placo sur les rails installés précédemment. Tout s’est très bien enchaîné et nous avons tiré notre chapeau aux artisans », se félicite Idalie. Toutes ces étapes ont été réalisées simultanément en l’espace d’un mois à peine.
Alors que les plaquistes étaient occupés à poser le Placo, tandis qu’Idalie et Pierre-Yves terminaient la laine de verre, les électriciens et plombiers se sont lancés dans l’installation de tous les câbles électriques et de la tuyauterie de la maison. « Dès que l’électricien avait terminé son travail sur une zone, les plaquistes passaient juste derrière pour fixer le Placo sur les rails installés précédemment. Tout s’est très bien enchaîné et nous avons tiré notre chapeau aux artisans », se félicite Idalie. Toutes ces étapes ont été réalisées simultanément en l’espace d’un mois à peine.
4. Installation de l’auvent
Pendant que les artisans terminaient leur travail à l’intérieur de la maison, Pierre-Yves s’est chargé des finitions extérieures. Il a entrepris de terminer la mise en place de l’auvent, qui abrite une partie de la terrasse sur laquelle s’ouvre la pièce à vivre. La poutre suspendue dans le vide sur 2,5 mètres, et sur laquelle repose la structure, avait été installée avant même la pose du plancher à l’étage. Pierre-Yves est parti de cette base pour installer l’auvent.
Pendant que les artisans terminaient leur travail à l’intérieur de la maison, Pierre-Yves s’est chargé des finitions extérieures. Il a entrepris de terminer la mise en place de l’auvent, qui abrite une partie de la terrasse sur laquelle s’ouvre la pièce à vivre. La poutre suspendue dans le vide sur 2,5 mètres, et sur laquelle repose la structure, avait été installée avant même la pose du plancher à l’étage. Pierre-Yves est parti de cette base pour installer l’auvent.
Il a ensuite couvert l’aménagement, avant de s’attaquer aux sous-faces blanches de l’auvent et aux pliages noirs pour les finitions. Des câbles ont été intégrés à la structure pour l’installation d’un éclairage extérieur, sous la forme de spots.
5. Isolation du sol
Le travail des différents artisans terminé à l’intérieur, la société Synersol, qui s’était déjà chargée des tests d’infiltrométrie, est revenue sur le chantier pour isoler le sol de la maison. La même mousse polyuréthane a été utilisée, mais sous une forme plus liquide, pour se répandre plus facilement sur la dalle de béton. Projetée directement depuis la camionnette, elle a ensuite été recouverte d’une grande bâche en plastique.
« L’isolation par le sol est une étape vraiment complexe des travaux, que nous ne pouvions pas faire nous-mêmes. L’épaisseur de la couche de mousse doit être calculée au millimètre près pour que le sol, une fois le carrelage posé, soit au même niveau que le seuil de la porte », explique Idalie. Des espaces ont été laissés libres à l’emplacement du futur escalier pour prévoir son ancrage dans le sol.
Le travail des différents artisans terminé à l’intérieur, la société Synersol, qui s’était déjà chargée des tests d’infiltrométrie, est revenue sur le chantier pour isoler le sol de la maison. La même mousse polyuréthane a été utilisée, mais sous une forme plus liquide, pour se répandre plus facilement sur la dalle de béton. Projetée directement depuis la camionnette, elle a ensuite été recouverte d’une grande bâche en plastique.
« L’isolation par le sol est une étape vraiment complexe des travaux, que nous ne pouvions pas faire nous-mêmes. L’épaisseur de la couche de mousse doit être calculée au millimètre près pour que le sol, une fois le carrelage posé, soit au même niveau que le seuil de la porte », explique Idalie. Des espaces ont été laissés libres à l’emplacement du futur escalier pour prévoir son ancrage dans le sol.
6. Installation du chauffage par le sol
Les artisans sont ensuite retournés sur le chantier pour installer le chauffage par le sol au-dessus de la mousse isolante. Ce dernier est composé d’un alignement de tuyaux, que l’on aperçoit sur la photo.
« Le maître d’œuvre nous avait aussi proposé de chauffer la maison avec un poêle à pellets, mais cette solution ne nous convenait pas. Nous ne voulions pas de feu dans la maison et nous trouvions contraignant le fait de devoir réserver un espace au stockage du combustible. » Le couple a donc préféré investir 10 000 euros en plus dans un équipement dont l’entretien est plus facile et qui ne demande pas d’être rechargé régulièrement. « Nous en sommes très contents aujourd’hui, car notre pompe à chaleur ne fonctionne qu’à 27 % de sa capacité pour chauffer toute la maison. » Des arrivées ont été prévues dans les chambres des enfants pour installer des radiateurs électriques en cas de besoin, mais la famille n’en voit pour le moment pas l’utilité.
Les artisans sont ensuite retournés sur le chantier pour installer le chauffage par le sol au-dessus de la mousse isolante. Ce dernier est composé d’un alignement de tuyaux, que l’on aperçoit sur la photo.
« Le maître d’œuvre nous avait aussi proposé de chauffer la maison avec un poêle à pellets, mais cette solution ne nous convenait pas. Nous ne voulions pas de feu dans la maison et nous trouvions contraignant le fait de devoir réserver un espace au stockage du combustible. » Le couple a donc préféré investir 10 000 euros en plus dans un équipement dont l’entretien est plus facile et qui ne demande pas d’être rechargé régulièrement. « Nous en sommes très contents aujourd’hui, car notre pompe à chaleur ne fonctionne qu’à 27 % de sa capacité pour chauffer toute la maison. » Des arrivées ont été prévues dans les chambres des enfants pour installer des radiateurs électriques en cas de besoin, mais la famille n’en voit pour le moment pas l’utilité.
7. La chape de béton avant le carrelage
Une chape de béton a par la suite été coulée par le carreleur pour recouvrir les tuyaux du chauffage et la couche isolante. « Il fallait, là aussi, faire preuve de précision et calculer l’épaisseur de cette couche supplémentaire au millimètre près. Le résultat devait être assez solide pour pouvoir poser le carrelage dessus sans que le sol ne s’affaisse. » La chape a été coulée le 22 juin, rapprochant un peu plus Idalie et sa famille de la fin des travaux.
Une chape de béton a par la suite été coulée par le carreleur pour recouvrir les tuyaux du chauffage et la couche isolante. « Il fallait, là aussi, faire preuve de précision et calculer l’épaisseur de cette couche supplémentaire au millimètre près. Le résultat devait être assez solide pour pouvoir poser le carrelage dessus sans que le sol ne s’affaisse. » La chape a été coulée le 22 juin, rapprochant un peu plus Idalie et sa famille de la fin des travaux.
8. Le ponçage des bandes
Une fois la chape sèche, Idalie et Pierre-Yves ont pu terminer le ponçage des bandes à joint du Placo avant de se lancer dans la peinture. « Nous avions emprunté une ponceuse électrique, mais nous avons dû l’abandonner à mon grand regret. Nous ne voulions effectivement pas trop attaquer les bandes à joint. De plus, le plaquiste avait très bien travaillé et nous n’avions pas grand-chose à reprendre », confie Idalie.
Une fois la chape sèche, Idalie et Pierre-Yves ont pu terminer le ponçage des bandes à joint du Placo avant de se lancer dans la peinture. « Nous avions emprunté une ponceuse électrique, mais nous avons dû l’abandonner à mon grand regret. Nous ne voulions effectivement pas trop attaquer les bandes à joint. De plus, le plaquiste avait très bien travaillé et nous n’avions pas grand-chose à reprendre », confie Idalie.
9. La peinture des murs et plafonds
Avant de commencer la peinture, le couple a calfeutré toutes les ouvertures de la maison pour les protéger. « L’avantage d’être avec quelqu’un du métier, c’est que nous avons pu, grâce à ses connaissances, emprunter du matériel de professionnel. » Le couple a donc gagné un temps précieux en réalisant cette étape à l’aide d’un pistolet à compresseur. « Les pots de peinture arrivaient par 10 litres, c’était impressionnant ! La peinture est propulsée avec une telle puissance qu’elle s’applique en couche très fine sur les murs sans faire de coulures. » Le temps de séchage est ainsi réduit de manière considérable et les murs ont été peints en une journée seulement. « Nous avons fait la sous-couche dans la matinée et nous avons pu faire la deuxième couche dans l’après-midi qui a suivi. » Le lendemain, tout était sec et les bâches de protection ont été retirées.
Avant de commencer la peinture, le couple a calfeutré toutes les ouvertures de la maison pour les protéger. « L’avantage d’être avec quelqu’un du métier, c’est que nous avons pu, grâce à ses connaissances, emprunter du matériel de professionnel. » Le couple a donc gagné un temps précieux en réalisant cette étape à l’aide d’un pistolet à compresseur. « Les pots de peinture arrivaient par 10 litres, c’était impressionnant ! La peinture est propulsée avec une telle puissance qu’elle s’applique en couche très fine sur les murs sans faire de coulures. » Le temps de séchage est ainsi réduit de manière considérable et les murs ont été peints en une journée seulement. « Nous avons fait la sous-couche dans la matinée et nous avons pu faire la deuxième couche dans l’après-midi qui a suivi. » Le lendemain, tout était sec et les bâches de protection ont été retirées.
10. La fabrication et la pose de l’escalier
L’escalier en acier a entièrement été réalisé par Idalie et Pierre-Yves. « Nous l’avons dessiné ensemble sur l’ordinateur avec un logiciel étudié pour, puis mon ami l’a montré au dessinateur de sa société pour qu’il le peaufine. » Tous les morceaux ont ensuite été découpés au laser puis soudés par Pierre-Yves dans les ateliers de son entreprise, où il passait ses week-ends. La structure terminée a été envoyée chez un artisan de la région pour le sablage du métal, comprenez le nettoyage, avant d’être peinte en noir par un carrossier. « Nous aurions pu faire une peinture thermolaquée, mais cela nous aurait coûté plus cher pour un résultat similaire. » Des marches en bois ont depuis été ajoutées pour réchauffer l’atmosphère de la pièce.
Une fois sur le chantier, l’escalier a été installé en 30 minutes, mais cela n’a pas été une mince affaire. « L’ensemble pèse quand même quelque 180 kilos. Nous avons eu besoin de sept hommes pour l’installer. Ils l’ont fait entrer à plat dans la maison, puis ont hissé son extrémité à l’étage à l’aide d’une corde », raconte Idalie.
L’escalier en acier a entièrement été réalisé par Idalie et Pierre-Yves. « Nous l’avons dessiné ensemble sur l’ordinateur avec un logiciel étudié pour, puis mon ami l’a montré au dessinateur de sa société pour qu’il le peaufine. » Tous les morceaux ont ensuite été découpés au laser puis soudés par Pierre-Yves dans les ateliers de son entreprise, où il passait ses week-ends. La structure terminée a été envoyée chez un artisan de la région pour le sablage du métal, comprenez le nettoyage, avant d’être peinte en noir par un carrossier. « Nous aurions pu faire une peinture thermolaquée, mais cela nous aurait coûté plus cher pour un résultat similaire. » Des marches en bois ont depuis été ajoutées pour réchauffer l’atmosphère de la pièce.
Une fois sur le chantier, l’escalier a été installé en 30 minutes, mais cela n’a pas été une mince affaire. « L’ensemble pèse quand même quelque 180 kilos. Nous avons eu besoin de sept hommes pour l’installer. Ils l’ont fait entrer à plat dans la maison, puis ont hissé son extrémité à l’étage à l’aide d’une corde », raconte Idalie.
11. La pose du carrelage
L’escalier en place, le carreleur était en mesure de poser le carrelage du rez-de-chaussée. Idalie a choisi le même revêtement foncé pour tout le sol du premier niveau, qui contraste avec le blanc des murs. « Mon ami a construit la maison et moi j’ai pris le relais pour toute la décoration intérieure. Il m’a entièrement fait confiance sur le choix des couleurs et des matières. Pour le carrelage, je suis très contente du résultat. Aucun carreau n’est identique et l’ensemble crée des nuances de gris. En plus, même si le sol n’est pas nickel, cela ne se voit pas. »
L’escalier en place, le carreleur était en mesure de poser le carrelage du rez-de-chaussée. Idalie a choisi le même revêtement foncé pour tout le sol du premier niveau, qui contraste avec le blanc des murs. « Mon ami a construit la maison et moi j’ai pris le relais pour toute la décoration intérieure. Il m’a entièrement fait confiance sur le choix des couleurs et des matières. Pour le carrelage, je suis très contente du résultat. Aucun carreau n’est identique et l’ensemble crée des nuances de gris. En plus, même si le sol n’est pas nickel, cela ne se voit pas. »
12. Les autres revêtements des sols
Dans leurs chambres, les enfants ont pu choisir le lino qu’ils souhaitaient. « Nous avons pris ce type de revêtement pour pouvoir en changer facilement dans cinq ou six ans si les enfants le veulent. Nous aurons ainsi moins mal au cœur que si nous avions mis des lames en PVC, plus coûteuses et longues à mettre en place. Le lino laisse aussi plus de choix que d’autres revêtements en termes de couleurs. »
Dans leurs chambres, les enfants ont pu choisir le lino qu’ils souhaitaient. « Nous avons pris ce type de revêtement pour pouvoir en changer facilement dans cinq ou six ans si les enfants le veulent. Nous aurons ainsi moins mal au cœur que si nous avions mis des lames en PVC, plus coûteuses et longues à mettre en place. Le lino laisse aussi plus de choix que d’autres revêtements en termes de couleurs. »
En revanche, des lames en PVC ont été installées dans les deux salles d’eau de la maison. « Je les ai choisies en imitation bois pour avoir la chaleur du matériau avec une mise en place plus facile. Le rendu est très sympa ! », précise Idalie. La mère de famille a opté pour des teintes claires, qui lui laissent plus de liberté pour la couleur des murs.
Dans la suite parentale, composée d’une chambre et d’une salle d’eau privée, Idalie voulait mettre du parquet flottant en lames de bois. Le chauffagiste lui a cependant déconseillé ce matériau au-dessus du sol chauffant : « Le caractère isolant du bois aurait empêché la chaleur de monter dans la maison. » La propriétaire a donc préféré des lames en PVC pour sa chambre et du carrelage imitation bois pour la salle d’eau.
13. L’aménagement des salles d’eau et de la cuisine
Les douches ont été aménagées par le carreleur avant la peinture des murs et l’installation des meubles dans les salles de bains. Dans chacune d’entre elles, une frise reprend les couleurs des meubles et du sol, gris pour celle des enfants et imitation bois pour celle des parents. Pour les meubles, le couple a une nouvelle fois fait appel à son réseau : « Je connais un représentant d’une marque connue spécialisée dans les salles de bains. Nous avons donc eu des tarifs intéressants pour tous les meubles sanitaires, toilettes, cabinets et vasques. »
Les douches ont été aménagées par le carreleur avant la peinture des murs et l’installation des meubles dans les salles de bains. Dans chacune d’entre elles, une frise reprend les couleurs des meubles et du sol, gris pour celle des enfants et imitation bois pour celle des parents. Pour les meubles, le couple a une nouvelle fois fait appel à son réseau : « Je connais un représentant d’une marque connue spécialisée dans les salles de bains. Nous avons donc eu des tarifs intéressants pour tous les meubles sanitaires, toilettes, cabinets et vasques. »
Pour la cuisine, Idalie a fait appel à son ex-beau-frère, installé à son compte. « J’ai fait les plans avec lui et j’ai ainsi obtenu une cuisine sur mesure à un prix défiant toute concurrence ! » Idalie souhaitait des couleurs claires pour sa cuisine, mais son beau-frère l’a convaincue de faire une partie en blanc et l’autre en gris anthracite, pour reprendre les mêmes codes que ceux de l’extérieur de la maison. Le mobilier est en composite de bois, imitation ardoise pour les plans de travail et blanc ivoire pour les façades des meubles. « Au départ, je voulais une finition laquée, mais on me l’a déconseillée à cause des traces de doigts. Le mélaminé offre aussi une sensation très douce au toucher mais est moins salissant. » La crédence de la cuisine reste à faire et Idalie la veut en verre de couleur noire.
Après toutes ces étapes, le gros des travaux était terminé. Toute la famille a pu s’installer dans la nouvelle maison le 12 août 2016, soit six mois après le début du chantier. Depuis cette date, Idalie peaufine doucement la décoration et l’aménagement des lieux, qu’elle nous fera découvrir une fois terminés. En attendant le résultat final, suivez la transformation de la maison étape par étape.
ET VOUS ?
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