Avant/Après : À Vincennes une mini-maison ouvrière se mue en loft
Ils ont investi en croisant les doigts et la mini-maison leur a dévoilé ses trésors avec l'aide d'une archi d'intérieur
À Vincennes, quand ce couple de trentenaires découvre cette petite maison ouvrière en fond de cour, il espère avoir trouvé le bien idéal pour investir en réalisant une location meublée. La bâtisse de briques ne fait que 19 m² au sol mais son toit à une pente laisse entrevoir la possibilité de récupérer des combles. Il y a néanmoins de quoi douter de la rentabilité de l’opération car la maison, anciennement occupée par une dame âgée, n’est plus habitée depuis longtemps et a connu des problèmes d’étanchéité clairement perceptibles à l’intérieur. Sans tarder, les propriétaires cherchent une professionnelle aguerrie pour les aider à remettre le bien en état et ils contactent Margaux Carnevali dont ils ont repéré sur Houzz les rénovations prometteuses. « Je les ai rassurés d’emblée sur l’état de la maisonnette ainsi que sur les possibilités et, à partir de la prise de contact, il nous a fallu moins de 5 moins pour la transformer en petit loft cosy », explique la professionnelle que nous avons suivie dans la visite des lieux.
Coup d’œil
Qui vit ici : Un locataire, chef cuisinier. L’appartement appartient à un couple de trentenaires
Superficie : 19 m² au sol
Emplacement : dans une petite maison en fond de cour à Vincennes
Livraison du projet : mars 2019
Durée des travaux : 3 mois
Durée de l’étude : 2 mois
Architecte d’intérieur : Margaux Carnevali de Neva Architecture Intérieure
Budget : 35 000 euros de travaux + 2000 euros de mobilier et décoration, hors honoraires
Crédit photos : Agathe Tissier
Coup d’œil
Qui vit ici : Un locataire, chef cuisinier. L’appartement appartient à un couple de trentenaires
Superficie : 19 m² au sol
Emplacement : dans une petite maison en fond de cour à Vincennes
Livraison du projet : mars 2019
Durée des travaux : 3 mois
Durée de l’étude : 2 mois
Architecte d’intérieur : Margaux Carnevali de Neva Architecture Intérieure
Budget : 35 000 euros de travaux + 2000 euros de mobilier et décoration, hors honoraires
Crédit photos : Agathe Tissier
Plan avant travaux
La distribution d’origine était plutôt intéressante : une entrée avec placard desservait une grande salle de bains. Ces pièces étaient impossibles à décloisonner car séparées de la pièce de vie par un porteur. L’entrée menait par ailleurs au séjour dans lequel un petit volume renfermait une cuisine dotée d’une fenêtre.
La distribution d’origine était plutôt intéressante : une entrée avec placard desservait une grande salle de bains. Ces pièces étaient impossibles à décloisonner car séparées de la pièce de vie par un porteur. L’entrée menait par ailleurs au séjour dans lequel un petit volume renfermait une cuisine dotée d’une fenêtre.
Plan après travaux
Les propriétaires ont demandé à Margaux d’étudier la possibilité de récupérer les combles de la toiture à une pente. Elle a donc mandaté un bureau d’études techniques dont le spécialiste structures a confirmé qu’il était possible d’ôter plusieurs poutres non porteuses pour accéder au volume complet et envisager une « chambre » en hauteur.
Pour le reste de la distribution et de l’ambiance, ils ont fait confiance aux propositions de leur architecte d’intérieur, permettant au projet d’avancer rapidement et harmonieusement. « Une bonne entente entre maîtres d’ouvrage et architectes d’intérieur est la clé d’un projet réussi », glisse Margaux Carnevali.
Les propriétaires ont demandé à Margaux d’étudier la possibilité de récupérer les combles de la toiture à une pente. Elle a donc mandaté un bureau d’études techniques dont le spécialiste structures a confirmé qu’il était possible d’ôter plusieurs poutres non porteuses pour accéder au volume complet et envisager une « chambre » en hauteur.
Pour le reste de la distribution et de l’ambiance, ils ont fait confiance aux propositions de leur architecte d’intérieur, permettant au projet d’avancer rapidement et harmonieusement. « Une bonne entente entre maîtres d’ouvrage et architectes d’intérieur est la clé d’un projet réussi », glisse Margaux Carnevali.
Après. Le placard d’entrée avait simplement besoin d’un bon coup de peinture et d’un nouvel aménagement intérieur.
Le parquet aspergé d’eau et taché a pu être récupéré : « Après un bon ponçage, le chêne s’est beaucoup éclairci. Il est encore taché par endroits, mais cela faisait partie de l’histoire du lieu et se mariait à la perfection avec l’esprit loft souhaité par les propriétaires », raconte Margaux Carnevali.
Si le réseau électrique a été entièrement revu et les menuiseries changées, les deux radiateurs en fonte de l’appartement ont été seulement repeints : « Ces belles pièces historiques étaient rattachés au circuit de chauffage collectif de l’immeuble. Notre aménagement est venu tourner autour. »
Les tuyaux auraient pu être coffrés, mais au contraire, on a choisi de les laisser apparents pour renforcer le côté industriel de l’endroit : « Ceux au niveau du plafond de l’entrée ne servaient plus à rien et nous aurions pu les ôter, mais ils présentaient une jolie fixation en forme de clochettes que nous aimions bien », explique Margaux.
Le parquet aspergé d’eau et taché a pu être récupéré : « Après un bon ponçage, le chêne s’est beaucoup éclairci. Il est encore taché par endroits, mais cela faisait partie de l’histoire du lieu et se mariait à la perfection avec l’esprit loft souhaité par les propriétaires », raconte Margaux Carnevali.
Si le réseau électrique a été entièrement revu et les menuiseries changées, les deux radiateurs en fonte de l’appartement ont été seulement repeints : « Ces belles pièces historiques étaient rattachés au circuit de chauffage collectif de l’immeuble. Notre aménagement est venu tourner autour. »
Les tuyaux auraient pu être coffrés, mais au contraire, on a choisi de les laisser apparents pour renforcer le côté industriel de l’endroit : « Ceux au niveau du plafond de l’entrée ne servaient plus à rien et nous aurions pu les ôter, mais ils présentaient une jolie fixation en forme de clochettes que nous aimions bien », explique Margaux.
Pour habiller le radiateur du salon, la professionnelle a préconisé de poser une tablette et un miroir : « Une astuce que je conseille souvent, car cela leur donne un petit look de cheminée. »
Après. Tous les enduits, abîmés par des ruissellements, ont été grattés. En dessous, les murs se sont avérés en briques de belle qualité.
Atout charme de la rénovation, un mur complet de briques a été conservé, lequel a donné le tempo à l’esprit loft de la déco :
« Nous avons gardé les briques apparentes sur le pan de mur principal, le plus haut, face à la fenêtre. Nous avons refait les enduits sur les autres parois dans un souci d’isolation de la bâtisse et avons également isolé les rampants », précise l’architecte d’intérieur.
Atout charme de la rénovation, un mur complet de briques a été conservé, lequel a donné le tempo à l’esprit loft de la déco :
« Nous avons gardé les briques apparentes sur le pan de mur principal, le plus haut, face à la fenêtre. Nous avons refait les enduits sur les autres parois dans un souci d’isolation de la bâtisse et avons également isolé les rampants », précise l’architecte d’intérieur.
À l’origine, le plafond de la pièce de vie culminait à 2,92 m comme dans tout l’appartement. Délesté de son enduit puis de nombreuses poutres, la pente du toit s’est dévoilée entièrement. Les combles ont été récupérés, portant le plafond à 4,10 m au faîte, côté mur de briques, et à 3 m de l’autre côté. Certaines poutres ont dû être conservées au plafond : « Celles que le bureau d’études techniques a indiquées comme porteuses », confirme Margaux.
Côté salon, le canapé a été placé face à la fenêtre, là où la pleine hauteur a été récupérée. Parmi les teintes suggérées par la pro, les propriétaires ont opté pour un canapé en velours bleu nuit. L’histoire ne raconte pas s’ils sont des aficionados du loft new-yorkais du film Blue Velvet, mais ils ont trouvé que cette teinte convenait bien au passé ouvrier de la maison. L’architecte d’intérieur ajoute que ce bleu prend bien la lumière et, pour ajouter du contraste, a opté pour des coussins jaunes.
Canapé et coussins : Maisons du Monde
Canapé et coussins : Maisons du Monde
Pour meubler le plafond très haut, Margaux Carnevali a conseillé de placer une suspension design d’un mètre d’envergure. « Il fallait à la fois un bel objet, mais aussi quelque chose de discret. Selon qu’on la regarde sous un angle ou un autre, cette suspension métallique filaire s’impose plus ou moins. »
Suspension : House doctor
Suspension : House doctor
Face au canapé, une étagère formant un cadre de faible épaisseur a été posée au mur, à droite de la fenêtre : « Elle fait transition jusqu’à l’entrée où elle rejoint le coffrage que nous avons créé pour cacher le compteur. Cette étagère permet de poser les clés, de ranger la box ou les télécommandes et a été équipée de prises pour recharger les téléphones. Sous le doublage du mur passent les branchements du téléviseur 24 pouces que nous avons accroché au-dessus », détaille Margaux Carnevali.
Tables basses : La Chaise Longue chez AM.PM
Tables basses : La Chaise Longue chez AM.PM
Après. La plus-value du projet se dévoile de ce côté de la pièce de vie et illustre le bien fondé de faire appel à un bon professionnel pour tirer la quintessence d’un lieu difficile.
Margaux Carnevali nous explique son cheminement : « Nous avons décloisonné le volume cuisine et envisagé un coin chambre en mezzanine, placé le plus haut possible (à 2,30 m) pour passer confortablement dessous et y loger le coin salle à manger. Impossible de faire aller la mezzanine d’un côté à l’autre de la pièce en raison de la fenêtre… Nous avons donc adapté sa taille à un lit de 140 x 200. Pour ne pas perdre de place au niveau du pied de la mezzanine, nous avons fait remonter le plafond côté cuisine pour éviter la fenêtre, mais en y dissimulant une niche accessible depuis le lit. »
Margaux Carnevali nous explique son cheminement : « Nous avons décloisonné le volume cuisine et envisagé un coin chambre en mezzanine, placé le plus haut possible (à 2,30 m) pour passer confortablement dessous et y loger le coin salle à manger. Impossible de faire aller la mezzanine d’un côté à l’autre de la pièce en raison de la fenêtre… Nous avons donc adapté sa taille à un lit de 140 x 200. Pour ne pas perdre de place au niveau du pied de la mezzanine, nous avons fait remonter le plafond côté cuisine pour éviter la fenêtre, mais en y dissimulant une niche accessible depuis le lit. »
« L’étude est toujours beaucoup plus longue et technique pour les petites surfaces, ce qui explique le prix de la rénovation, un peu plus cher que pour une surface classique », souligne Margaux.
En l’occurrence, la recherche d’ergonomie a été poussée loin ici. Une échelle s’imposait pour rejoindre la plateforme et un rangement pour les habits était nécessaire. Margaux a cumulé ces deux besoins pour venir appuyer de jour l’échelle sur le dressing afin qu’elle ne prenne aucune place.
L’échelle aurait-elle pu être envisagée à demeure sur ce pan de mur ? « Mais non, car outre le fait qu’elle aurait été très raide, il aurait fallu qu’un occupant passe potentiellement sur la tête de l’autre pendant la nuit », souligne Margaux.
En l’occurrence, la recherche d’ergonomie a été poussée loin ici. Une échelle s’imposait pour rejoindre la plateforme et un rangement pour les habits était nécessaire. Margaux a cumulé ces deux besoins pour venir appuyer de jour l’échelle sur le dressing afin qu’elle ne prenne aucune place.
L’échelle aurait-elle pu être envisagée à demeure sur ce pan de mur ? « Mais non, car outre le fait qu’elle aurait été très raide, il aurait fallu qu’un occupant passe potentiellement sur la tête de l’autre pendant la nuit », souligne Margaux.
En effet, pour une question évidente de praticité, il vaut mieux placer l’entrée de la mezzanine par le pied et également envisager la tête de la mezzanine sous le plafond le plus haut pour éviter la sensation d’enfermement.
Margaux a donc prévu une échelle de meunier escamotable, que l’on déplace de nuit au milieu de la pièce, dans le prolongement du plan de la cuisine. Afin qu’elle soit aussi confortable qu’un escalier, elle l’a choisi avec de larges marches : « L’entreprise qui s’est chargée des travaux s’est procurée cette échelle standard et a retaillé toutes les marches, qui étaient trop larges. Comme l’échelle était en pin, une essence très claire, elle l’a teintée façon chêne pour qu’elle s’intègre dans le projet », explique la professionnelle.
En haut de la mezzanine construite entièrement en bois, un matelas de 140 x 200 a été posé à même son plancher tandis qu’un garde-corps protège des chutes. Côté tête de lit, une menuiserie en medium forme une tête de lit, équipée de liseuses et de prises. Un bleu Klein pare l’alcôve.
Matelas : Ikea
Matelas : Ikea
Au pied du lit, la niche créée dans le plafond de la cuisine permet de stocker des livres.
Les propriétaires ont utilisé les poutres visibles de la charpente comme support de déco et y ont installé ces poupées russes.
Zoom sur le coin salon depuis la mezzanine. La mise en blanc de la majeure partie de l’appartement a ramené beaucoup de lumière dans la maisonnette située pourtant en fond de cour. Les briques et le sol en chêne ancien apportent charme et authenticité.
Après. La cuisine a été laissée à la même place, mais décloisonnée et envisagée comme deux petits linéaires face à face, derrière lesquels un plan bar sert de table à manger. Ce plan terriblement efficace a permis à la mini-surface d’être équipée comme une grande. Pour preuve, c’est un chef cuisinier qui loue actuellement la petite maison !
Après. Ce linéaire de 120 cm de long a été retourné dans le prolongement de la fenêtre par rapport au plan existant. Il a été optimisé avec un four, un lave-vaisselle, une plaque à induction double et un évier rond de taille confortable. Bonne astuce petits espaces : « Le module double four/lave-vaisselle est un Candy. C’est l’unique marque à faire un duo encastrable sous plan », indique Margaux.
Combiné four/lave-vaisselle : Candy ; Évier : Ikea
Combiné four/lave-vaisselle : Candy ; Évier : Ikea
Question mobilier, la cuisine est une Ikea, équipée de portes sans poignées « pour ne pas se blesser dans un si petit espace », ajoute la pro, qui a visiblement pensé son projet dans les moindres détails. Le plan de travail en stratifié a été choisi dans une finition « chêne foncé » afin de s’assortir au plancher. L’évier rond de style indus’ s’accorde au décor général. Quant à la crédence, « il s’agit d’un parement briques en carrelage à poser un par un pour faire un clin d’œil au mur de briques anciennes ».
Mobilier de cuisine : Ikea Besta ; Portes : Voxtorp chez Ikea ; Crédence carrelage briques : Leroy Merlin
Mobilier de cuisine : Ikea Besta ; Portes : Voxtorp chez Ikea ; Crédence carrelage briques : Leroy Merlin
Autres optimisations en cuisine : une vraie hotte à extraction a été positionnée au-dessus des plaques à induction. Plus haut, des placards vont jusqu’au plafond et le faux plafond a été équipé de spots.
Face au premier linéaire, le second se découpe en trois modules de 60 x 60 cm : la colonne réfrigérateur/congélateur, puis un module micro-ondes et un autre rempli de tiroirs de rangement, tous deux positionnés sous un plan de travail de 120 cm de long, pratique pour cuisiner.
La table à manger a été installée sous le centre de la mezzanine, tel un plan bar de 60 cm de large x 110 cm de haut, appuyé sur le linéaire de cuisine : « Le vrai confort d’une petite surface, c’est de ne pas devoir déplier quelque chose pour accéder à une autre. Autant que faire se peut, je souhaitais un coin repas fixe qui puisse aussi jouer le rôle de bureau », explique Margaux.
À l’arrière du plan déjeuner, le dressing a été aménagé avec un système d’étagères à crémaillères et fermé par un rideau, un choix que justifie l’architecte d’intérieur : « Les lignes de la mezzanine et de la cuisine étaient très droites et anguleuses. Opter pour de beaux rideaux en lin permettait de ramener de la matière, du vivant à la forme organique grâce à leur drapé. »
Rideaux en lin : Leroy Merlin
À l’arrière du plan déjeuner, le dressing a été aménagé avec un système d’étagères à crémaillères et fermé par un rideau, un choix que justifie l’architecte d’intérieur : « Les lignes de la mezzanine et de la cuisine étaient très droites et anguleuses. Opter pour de beaux rideaux en lin permettait de ramener de la matière, du vivant à la forme organique grâce à leur drapé. »
Rideaux en lin : Leroy Merlin
Des tabourets recouverts de cuir véritable de couleur fauve ont été trouvés sur le net par l’architecte d’intérieur qui recherchait un matériau de caractère dans l’esprit loft.
Chaises de bar VidaXL en cuir chez vidaxl.fr
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Après. La salle de bains occupait un beau volume carré de 185 cm de profondeur sur 180 cm de large. Au lieu de placer une baignoire dans le travers, les propriétaires ont préféré une douche de 80 x 80 jouxtée par un meuble vasque de 60 cm. En entrant à gauche, on trouve les toilettes. L’espace sauvé par le choix de la douche a été réinvesti dans un grand placard buanderie dissimulant les machines, produits de lessive et l’étendoir.
Le mur du fond, en prolongement du mur de briques de la pièce de vie, a été carrelé en parement comme la crédence pour rester dans la thématique loft. Des appliques métalliques éclairant en haut et en bas (« des modèles outdoor pour coller aux normes d’étanchéité ! ») donnent à l’ensemble une belle apparence.
Le soin de la pro a même été jusqu’au choix précis des interrupteurs : « Sur les surfaces blanches, nous avons opté pour des interrupteurs blancs Schneider, mais sur le carrelage briques, nous avons employé des interrupteurs noirs Legrand à des fins esthétiques », précise-t-elle.
Appliques : Lumidora ; Meuble vasque acheté en ligne sur monmagasingeneral.com ;
Robinetterie noire : Amazon ; Miroir rond : Alinéa ; Poignées cuir : Castorama
Le soin de la pro a même été jusqu’au choix précis des interrupteurs : « Sur les surfaces blanches, nous avons opté pour des interrupteurs blancs Schneider, mais sur le carrelage briques, nous avons employé des interrupteurs noirs Legrand à des fins esthétiques », précise-t-elle.
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Côté toilettes, l’espace a été également rentabilisé avec une cuvette suspendue dont le bâti-support a été prolongé en placard aux poignées de cuir.
Et Margaux Carnaveli de conclure sans bouder son plaisir : « Les projets sont plus faciles quand les propriétaires nous font confiance. Ceux-ci étaient adorables et ont adhéré à toutes mes propositions. En fin de projet, ils m’ont même indiqué qu’ils étaient très heureux et fiers ! »
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
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Et Margaux Carnaveli de conclure sans bouder son plaisir : « Les projets sont plus faciles quand les propriétaires nous font confiance. Ceux-ci étaient adorables et ont adhéré à toutes mes propositions. En fin de projet, ils m’ont même indiqué qu’ils étaient très heureux et fiers ! »
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« Ils ont eu beaucoup de chance car leurs rêves se sont réalisés. Après avoir visité les lieux, je les ai bien rassurés. La maison n’avait plus de problèmes d’humidité, sans quoi il aurait fallu attendre des mois pour que les murs sèchent et commencer les travaux. Par ailleurs, il était effectivement possible de récupérer les combles, ce qui a transfiguré les lieux et a fait de cet investissement une bonne opération », explique Margaux Carnevali.
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