Un après-midi chez Mary, créatrice du blog Soul Inside
Dites-nous ce que vous pensez de cette maison pour avoir une chance de gagner un bon d'achat de 50 euros !
Nous sommes ici près de Marseille, où a grandi Mary, dans un petit village idéal pour l’épanouissement d’une famille. « Lorsque nous avons décidé d’emménager ensemble, nous nous sommes lancés dans un marathon de visites dans la région », raconte-t-elle. « Après avoir vu 25 maisons et commencé à perdre espoir, nous avons eu un vrai coup de cœur pour celle-ci. Elle ne réunissait pas tous nos critères – il manquait par exemple un garage attenant et la vue sur la vallée de l’Arc dont nous rêvions –, mais nous nous sommes immédiatement projetés. »
Construite en 1972, la bâtisse de 180 m² a vu la famille s’agrandir puisque deux petites filles sont nées depuis l’arrivée du couple il y a trois ans. Elle a aussi fait peau neuve pour répondre au goût et aux besoins des nouveaux propriétaires. Un habile mélange de touches industrielles, scandinaves et d’objets vintage rythme ainsi les pièces pour former un univers éclectique que l’on retrouve dans le troisième bébé de Mary : son blog. Lancé après le début des travaux de rénovation de la maison, il a offert à la jeune femme, qui travaille dans l’informatique, un véritable exutoire. « Je l’ai naturellement baptisé Soul Inside, car il m’a permis de partager mon goût pour la décoration et de me créer une soupape de décompression pour m’évader de l’univers très cartésien dans lequel j’évolue au quotidien. »
Construite en 1972, la bâtisse de 180 m² a vu la famille s’agrandir puisque deux petites filles sont nées depuis l’arrivée du couple il y a trois ans. Elle a aussi fait peau neuve pour répondre au goût et aux besoins des nouveaux propriétaires. Un habile mélange de touches industrielles, scandinaves et d’objets vintage rythme ainsi les pièces pour former un univers éclectique que l’on retrouve dans le troisième bébé de Mary : son blog. Lancé après le début des travaux de rénovation de la maison, il a offert à la jeune femme, qui travaille dans l’informatique, un véritable exutoire. « Je l’ai naturellement baptisé Soul Inside, car il m’a permis de partager mon goût pour la décoration et de me créer une soupape de décompression pour m’évader de l’univers très cartésien dans lequel j’évolue au quotidien. »
Le salon est l’une des rares pièces que le couple n’a pas encore eu l’occasion de rénover. « Nous voulions casser la cheminée pour poser un poêle suspendu mais l’imbrication à la main des pierres qui habillent le manteau de la cheminée est extraordinaire… », explique Mary.
Son plafond à la française, qui culmine à 5 mètres de haut, sera bientôt restauré. « Il a subi les affres de la toiture défectueuse qui avait été posée en 1972, et que nous avons entièrement remplacée à notre arrivée. Les tuiles étaient tellement poreuses qu’il pleuvait littéralement dans la maison ! »
Autre projet : agrandir la fenêtre située à droite du canapé et qui donne sur une grande véranda, pour ouvrir totalement le salon, créer un jardin d’hiver et renforcer le lien avec les 4 000 m² de terrain dont profite la famille.
Son plafond à la française, qui culmine à 5 mètres de haut, sera bientôt restauré. « Il a subi les affres de la toiture défectueuse qui avait été posée en 1972, et que nous avons entièrement remplacée à notre arrivée. Les tuiles étaient tellement poreuses qu’il pleuvait littéralement dans la maison ! »
Autre projet : agrandir la fenêtre située à droite du canapé et qui donne sur une grande véranda, pour ouvrir totalement le salon, créer un jardin d’hiver et renforcer le lien avec les 4 000 m² de terrain dont profite la famille.
Parmi les objets auxquels tient le plus la jeune femme, cette authentique lampe Jieldé. « C’est la première chose que j’ai chinée », raconte-t-elle. « Son ancien propriétaire, qui n’était pas au fait de sa valeur, m’en a proposé un prix tellement bas que j’ai sauté sur l’occasion ! » Les miroirs dépareillés accrochés au-dessus du canapé et l’ancienne armoire de cuisine en métal sont également des trouvailles de la jeune femme.
Fabriquée par un ami de Mary pour son ancienne maison, l’enfilade en chêne a parfaitement trouvé sa place dans le salon. Une aubaine ! Elle permet aujourd’hui au couple de ranger sa platine et une jolie collection de vinyles.
« Monsieur adore la pop anglaise. Plus les artistes sont petits et méconnus, mieux c’est ! », s’amuse-t-elle. « Moi je trouve qu’il n’y a rien de tel que d’écouter un vinyle de jazz avec une lumière tamisée… »
« Monsieur adore la pop anglaise. Plus les artistes sont petits et méconnus, mieux c’est ! », s’amuse-t-elle. « Moi je trouve qu’il n’y a rien de tel que d’écouter un vinyle de jazz avec une lumière tamisée… »
On distingue, au sol, le tracé d’un ancien couloir, ouvert avant l’arrivée du couple. « J’aime bien cette irrégularité », explique Mary. « Cela rappelle l’histoire de la maison, un peu à la manière d’une cicatrice. »
Fabriqué à partir de containers recyclés, ce meuble métallique chiné a été importé d’Inde. Au-dessus, une vieille publicité d’un magazine de 1930 pour les motos Monet Goyon a une valeur particulière pour Mary.
« Mon grand-père en avait une », raconte-t-elle. « J’ai trouvé la même en Allemagne. Elle datait de 1939 et je l’ai entièrement restaurée, mais j’ai dû m’en débarrasser. J’ai donc conservé tout ce que j’ai pu trouver à son sujet, son manuel d’entretien, etc. »
Fabriqué à partir de containers recyclés, ce meuble métallique chiné a été importé d’Inde. Au-dessus, une vieille publicité d’un magazine de 1930 pour les motos Monet Goyon a une valeur particulière pour Mary.
« Mon grand-père en avait une », raconte-t-elle. « J’ai trouvé la même en Allemagne. Elle datait de 1939 et je l’ai entièrement restaurée, mais j’ai dû m’en débarrasser. J’ai donc conservé tout ce que j’ai pu trouver à son sujet, son manuel d’entretien, etc. »
Au-dessus du buffet, trois photos en noir et blanc de Pierrot Men témoignent du goût de la jeune femme pour la photographie. « Je les ai achetées à Madagascar », raconte-t-elle.
Buffet : Zago
Buffet : Zago
Très encombrée et recouverte de carreaux caramel du sol au plafond avant les travaux, cette petite salle de bains affiche aujourd’hui une décoration contemporaine et épurée qui maximise la sensation d’espace.
La porte coulissante de type verrière atelier a été réalisée par un artisan ferronnier de la région.
Carreaux de ciment : Carocim ; Meuble vasque : Schmidt
La porte coulissante de type verrière atelier a été réalisée par un artisan ferronnier de la région.
Carreaux de ciment : Carocim ; Meuble vasque : Schmidt
Lorsque le couple emménage, la cuisine est en mauvais état. « Les meubles étaient mal montés et avaient pris l’eau. Même les poignées étaient tordues ! Nous n’avions pas prévu de la remplacer tout de suite, mais nous avons finalement réorganisé les travaux pour la remettre à neuf », raconte Mary.
Pour gagner en luminosité et garder un contact visuel avec la pièce à vivre sans laisser les odeurs se répandre dans la maison, une partie du mur a été supprimée. « Nous avons fait appel à un professionnel pour étayer le mur car il s’agit d’un élément porteur », précise Mary, qui a confié la réalisation de la verrière au même artisan ferronnier que pour la porte de la petite salle de bains.
Un soin du détail que l’on retrouve au sol. « Lorsque nous avons fait poser les carreaux de ciment, j’ai demandé au carreleur de découper sur mesure les carreaux en terre de la pièce à vivre pour une transition en douceur. Je vous laisse imaginer sa réaction ! », s’amuse Mary.
Pour gagner en luminosité et garder un contact visuel avec la pièce à vivre sans laisser les odeurs se répandre dans la maison, une partie du mur a été supprimée. « Nous avons fait appel à un professionnel pour étayer le mur car il s’agit d’un élément porteur », précise Mary, qui a confié la réalisation de la verrière au même artisan ferronnier que pour la porte de la petite salle de bains.
Un soin du détail que l’on retrouve au sol. « Lorsque nous avons fait poser les carreaux de ciment, j’ai demandé au carreleur de découper sur mesure les carreaux en terre de la pièce à vivre pour une transition en douceur. Je vous laisse imaginer sa réaction ! », s’amuse Mary.
Le couple savait exactement quel type de cuisine il souhaitait : « Une cuisine en bois, mais avec des veinures à l’horizontale et un plan de travail en pierre noir. »
Au sol, les carreaux de ciment reprennent la palette chromatique de la maison : noir, gris et blanc. « Ils demandent beaucoup de soin, mais je n’aurais jamais opté pour une imitation, j’aime les choses authentiques », confie Mary.
Un bar a été aménagé pour prendre les petits déjeuners avec les enfants et autres repas sur le pouce.
Cuisine : Schmidt ; Suspension en céramique : Creative Cables ; Tabourets : Hay ; Carreaux de ciment : Carocim
Au sol, les carreaux de ciment reprennent la palette chromatique de la maison : noir, gris et blanc. « Ils demandent beaucoup de soin, mais je n’aurais jamais opté pour une imitation, j’aime les choses authentiques », confie Mary.
Un bar a été aménagé pour prendre les petits déjeuners avec les enfants et autres repas sur le pouce.
Cuisine : Schmidt ; Suspension en céramique : Creative Cables ; Tabourets : Hay ; Carreaux de ciment : Carocim
Pour apporter une touche de fantaisie à la pièce, Mary a appliqué de la peinture ardoise au fond de la cuisine. « Il est suffisamment haut pour que les filles puissent dessiner dessus lorsqu’elles seront en âge de comprendre qu’il ne faut surtout pas le faire sur les autres murs de la maison. »
Achetée en l’état, cette commode des années 50 en bois repeint est dotée de poignées en cuir fixées à des éléments en bois recouverts de cuivre. « Je la trouve magnifique ! », confie Mary.
Au-dessus, une affiche vintage Solex chinée fait un clin d’œil au caractère exclusivement masculin de l’automobile. « On voit deux femmes devant un tableau de bord, j’ai beaucoup aimé ce clin d’œil. »
Table à manger : Moaroom ; Tréteaux de table Pi dessinés par Roderick Fry ; Chaises : Tolix
Au-dessus, une affiche vintage Solex chinée fait un clin d’œil au caractère exclusivement masculin de l’automobile. « On voit deux femmes devant un tableau de bord, j’ai beaucoup aimé ce clin d’œil. »
Table à manger : Moaroom ; Tréteaux de table Pi dessinés par Roderick Fry ; Chaises : Tolix
Un jeu de couleurs dynamise le hall d’entrée. « Nous nous sommes lancés cet été », confie Mary. « J’ai repris du gris et du blanc, car c’est le fil conducteur de toute la maison, et j’ai voulu ajouter une couleur lumineuse. Comme le bleu faisait un peu trop “ciel artificiel”, j’ai osé le jaune pour son côté lumineux. C’est pourtant une teinte que je n’utilise jamais ! »
Savamment appliquée, la peinture jaune donne l’impression que la pièce est plus grande et moins haute de plafond.
Autre secret de la réussite de ce projet : l’intégration des portes au décor. « Il y en a tellement dans cette partie de la maison que les exclure aurait rompu le fil du soubassement », explique Mary. « Mais cela a exigé énormément de travail pour un rendu impeccable ! »
Au mur, les six lettres qui forment « Berlin » ont une valeur particulière pour le couple. « Ce sont de vieilles lettres tout ce qu’il y a de plus authentiques », explique Mary. « Nous n’avons pas hésité une seule seconde quant au mot que nous voulions écrire car cette ville est liée à notre histoire. » En dessous, la flèche est l’ancien clignotant d’un camion de l’entre-deux-guerres.
Savamment appliquée, la peinture jaune donne l’impression que la pièce est plus grande et moins haute de plafond.
Autre secret de la réussite de ce projet : l’intégration des portes au décor. « Il y en a tellement dans cette partie de la maison que les exclure aurait rompu le fil du soubassement », explique Mary. « Mais cela a exigé énormément de travail pour un rendu impeccable ! »
Au mur, les six lettres qui forment « Berlin » ont une valeur particulière pour le couple. « Ce sont de vieilles lettres tout ce qu’il y a de plus authentiques », explique Mary. « Nous n’avons pas hésité une seule seconde quant au mot que nous voulions écrire car cette ville est liée à notre histoire. » En dessous, la flèche est l’ancien clignotant d’un camion de l’entre-deux-guerres.
Dans la chambre de l’aînée, pas question de rose ni de bleu. « Je voulais quelque chose de neutre et de doux à la fois », explique Mary. « Comme j’avais déjà des meubles bleus, j’ai opté pour du vert. »
La délimitation de la partie basse du mur et la ligne bleue ont été réalisées grâce à du ruban adhésif de carrossier. « Il est composé de petites lamelles qui permettent de créer des lignes blanches entre deux couleurs. »
Stickers : Vertbaudet
La délimitation de la partie basse du mur et la ligne bleue ont été réalisées grâce à du ruban adhésif de carrossier. « Il est composé de petites lamelles qui permettent de créer des lignes blanches entre deux couleurs. »
Stickers : Vertbaudet
La surface de la chambre a été rognée jusqu’à mi-longueur pour créer de nouvelles toilettes. Le volume restant a été optimisé grâce à l’ajout d’un placard.
Au sol, un tapis en jonc de mer a été ajouté pour réchauffer les carreaux en terre.
Rideaux : Leroy Merlin ; Éléphant : Magis
Au sol, un tapis en jonc de mer a été ajouté pour réchauffer les carreaux en terre.
Rideaux : Leroy Merlin ; Éléphant : Magis
Contrairement aux apparences, ce n’est pas du papier peint qui habille le mur de la chambre de la petite dernière, mais bien de la peinture et des motifs réalisés au pochoir par la maman.
Épurée, la commode a dû être ajoutée à la dernière minute par le couple. « Nous avons décapé et repeint une vieille commode en bois, mais l’odeur de White Spirit n’avait toujours pas disparu au moment de l’accouchement. »
Peinture : Farrow & Ball ; Plafonnier : Ikea ; Tapis : OYOY ; Étagère murale : Surdic
Épurée, la commode a dû être ajoutée à la dernière minute par le couple. « Nous avons décapé et repeint une vieille commode en bois, mais l’odeur de White Spirit n’avait toujours pas disparu au moment de l’accouchement. »
Peinture : Farrow & Ball ; Plafonnier : Ikea ; Tapis : OYOY ; Étagère murale : Surdic
Au mur, point de sticker mais des éléments en contreplaqué découpé à la main et peints.
Décoration murale : Puurrr
Décoration murale : Puurrr
Le couple a élu domicile dans la pièce située face aux chambres des filles.
Refaite cet été, la chambre affiche une décoration neutre personnalisée grâce à quelques astuces petit budget. Le mur, recouvert de liège à l’arrivée du couple, a notamment été mis à nu et entièrement repeint.
« J’avais envie de quelque chose de noir, ce qui tombait bien puisque je voulais cacher les lampes fixées au mur et l’étagère », explique Mary. « Grâce à du ruban adhésif de peintre, j’ai donc peint un rectangle noir dans lequel ils se fondent et qui a le double avantage de faire ressortir mes cadres et d’habiller l’angle de la pièce. »
À droite du lit, un coffre afghan fait office de table de chevet. « Je l’ai récupéré il y a dix ans en si mauvais état qu’il était démonté en plusieurs morceaux. Je l’ai restauré et même s’il n’est pas des plus pratiques, je le trouve magnifique dans la chambre. »
Au sol, du wengé, jugé trop foncé par le couple, a cédé la place à un stratifié. À gauche, un grand dressing sur mesure a également été ajouté dans une pièce où les rangements faisaient défaut.
Stratifié : Quick-Step ; Dressing : Centimetre.com
« J’avais envie de quelque chose de noir, ce qui tombait bien puisque je voulais cacher les lampes fixées au mur et l’étagère », explique Mary. « Grâce à du ruban adhésif de peintre, j’ai donc peint un rectangle noir dans lequel ils se fondent et qui a le double avantage de faire ressortir mes cadres et d’habiller l’angle de la pièce. »
À droite du lit, un coffre afghan fait office de table de chevet. « Je l’ai récupéré il y a dix ans en si mauvais état qu’il était démonté en plusieurs morceaux. Je l’ai restauré et même s’il n’est pas des plus pratiques, je le trouve magnifique dans la chambre. »
Au sol, du wengé, jugé trop foncé par le couple, a cédé la place à un stratifié. À gauche, un grand dressing sur mesure a également été ajouté dans une pièce où les rangements faisaient défaut.
Stratifié : Quick-Step ; Dressing : Centimetre.com
Posé au sol, ce grand miroir en bois a été chiné par la jeune femme. La table basse, elle, a subi quelques transformations. « À l’origine, elle reposait sur un pied en fer forgé dont je me suis lassée. Je l’ai remplacé par les pieds d’un sommier que j’avais mis de côté dans un coin du garage. »
Les volets à la provençale d’origine en bois ont été conservés.
La chambre donne sur une petite véranda isolée avec de la laine de verre et du BA13 par l’intérieur car, ici aussi, les tuiles étaient à nu. « Nous avons également coffré la partie basse du mur, en crépi, pour créer une banquette », explique Mary. « C’est un petit havre de paix où l’on vient bouquiner quand on veut être au calme. »
Le meuble, lui, servait à faire sa toilette dans la chambre, lorsque les salles de bains étaient encore rares.
Le meuble, lui, servait à faire sa toilette dans la chambre, lorsque les salles de bains étaient encore rares.
Attenante à la chambre, la salle de bains parentale a entièrement fait peau neuve. « Lorsque nous sommes arrivés, de l’ardoise en très mauvais état recouvrait le sol et les murs et une douche minuscule et brinquebalante, semblable à celles que l’on trouve dans certains vieux camping-cars, était posée dans un coin », raconte Mary. « Un vieux buffet sans charme sur lequel on avait posé un plant de travail en mélaminé faisait office de meuble vasque. »
Tout a donc été supprimé et remplacé, à l’exception de la baignoire encastrée. « C’était très tendance dans les années 70 », explique-t-elle. « Nous avons changé de vasque, mais nous avons gardé cet aménagement, que nous avons mis en valeur grâce à un carrelage foncé qui contraste avec la baignoire. »
On aperçoit le claustra, d’origine, à travers la baie vitrée. « Cela crée de magnifiques jeux de lumière le soir », explique Mary. « Mais cela ne protège pas du tout notre intimité. » L’astuce du couple pour éviter les regards indiscrets à la nuit tombée ? Un spot fixé à l’extérieur sur la charpente de la maison et orienté vers la salle de bains pour créer un reflet sur la vitre. Simple mais efficace !
Autre source lumineuse, à l’intérieur cette fois : une petite lampe outdoor posée à côté de la baignoire pour créer une ambiance tamisée propice à la détente.
Carrelage EC1 chez Cardias
Tout a donc été supprimé et remplacé, à l’exception de la baignoire encastrée. « C’était très tendance dans les années 70 », explique-t-elle. « Nous avons changé de vasque, mais nous avons gardé cet aménagement, que nous avons mis en valeur grâce à un carrelage foncé qui contraste avec la baignoire. »
On aperçoit le claustra, d’origine, à travers la baie vitrée. « Cela crée de magnifiques jeux de lumière le soir », explique Mary. « Mais cela ne protège pas du tout notre intimité. » L’astuce du couple pour éviter les regards indiscrets à la nuit tombée ? Un spot fixé à l’extérieur sur la charpente de la maison et orienté vers la salle de bains pour créer un reflet sur la vitre. Simple mais efficace !
Autre source lumineuse, à l’intérieur cette fois : une petite lampe outdoor posée à côté de la baignoire pour créer une ambiance tamisée propice à la détente.
Carrelage EC1 chez Cardias
Le motif nid d’abeille du carrelage en grès cérame qui habille la douche contraste en douceur avec les chevrons au sol.
Côté meuble vasque, l’iroko réchauffe la palette chromatique de la salle de bains.
Meuble vasque chez Ottofond O’Design ; Carrelage mural : Equipe Ceramicas
Côté meuble vasque, l’iroko réchauffe la palette chromatique de la salle de bains.
Meuble vasque chez Ottofond O’Design ; Carrelage mural : Equipe Ceramicas
Réparties sur les différents étages de cette échelle décorative, les plantes apportent de la vie à la pièce. « Si je pouvais, j’en aurais encore plus ! », explique Mary. « Je les collectionne dans la salle de bains car cela facilite leur entretien. »
Échelle : Ikea
Échelle : Ikea
Retapé pour reprendre sa couleur d’origine, cet escalier en colimaçon permet d’accéder à l’étage. « Nous aimerions le remplacer par un modèle en acier et en bois dont nous confierons la fabrication au même ferronnier que celui qui a fait la verrière de la cuisine et la porte de la salle de bains. »
À l’étage, une vaste pièce ouverte de 30 m² réunit une chambre d’amis, une bibliothèque et deux bureaux, dont celui qui permet à Mary d’alimenter son blog. « Je l’ai aménagé ici par la force des choses, puisque nous n’avions pas assez de place au rez-de-chaussée, mais finalement, c’est très bien comme ça ! », confie-t-elle. « Cela permet de faire une rupture aussi bien physique que mentale entre le temps que je consacre pleinement à mon blog, et celui que je passe avec ma famille. Quand je monte, je me mets dans ma bulle. »
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Habitat. Le gagnant du tirage au sort du reportage chez Mary a été annoncé : félicitations à Elisabeth tougard moulin ! Retrouvez les termes et conditions de ce concours ici.
Qui habite ici : Mary, son conjoint et leurs deux petites filles (2 ans et 2 mois)
Emplacement : près de Marseille
Superficie : 180 m² en tout ; 1 étage (chambre d’amis, bureau), 3 chambres, 2 salles de bains
Photos : Jours & Nuits © 2016 Houzz
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