Un après-midi chez Sophie, créatrice du blog (dé)maquillages
Dites-nous ce que vous pensez de cet appartement pour tenter de gagner un bon d'achat de 50 euros
Pousser la porte de chez Sophie, c’est pénétrer dans une « quiet happy zone », comme le rappelle avec humour la lightbox accrochée au mur du salon. « Nous sommes ici en plein Paris, mais c’est très calme ! On entend les oiseaux chanter et comme il y a beaucoup de bureaux alentour, les week-ends sont paisibles », confie la jeune femme. Une douceur de vivre que l’on assimile trop peu souvent à la capitale. « Dans le XXᵉ arrondissement, il y a beaucoup d’ateliers d’artistes et d’arrière-cours cachées derrière de petites maisons ouvrières que l’on découvre en flânant », explique Sophie. « J’adore cet esprit bohème de l’est parisien. On a presque la sensation de vivre dans un village ! »
Une philosophie que l’on retrouve dans l’aménagement de cet appartement où les couleurs primaires mettent en valeur des objets empreints d’histoire. « J’ai acheté ce 62 m² il y a deux ans », raconte-t-elle. « À l’époque, un entrepreneur a racheté le rez-de-chaussée et le premier étage de cet ancien bâtiment industriel construit en 1917. Tout a été cassé pour aménager huit appartements de tailles différentes. » Sophie achète sur plans, alors que le plateau est encore en cours de rénovation, et profite du timing pour choisir certaines finitions de l’appartement. « J’ai eu la chance d’emménager dans du flambant neuf tout en étant dans un vieux bâtiment plein de caractère et d’histoire. Sans compter qu’il était vital pour moi d’avoir un petit bout de verdure, une cour où souffler car je travaille de la maison. » Biologiste cosmétologue de formation, Sophie accompagne de petites marques de cosmétiques dans leur stratégie de communication. « Me lancer en free-lance il y a neuf ans a été une grande décision, à laquelle j’ai réfléchi pendant un an à faire de l’humanitaire. C’est à cette époque qu’une amie m’a conseillé de lancer mon blog pour rester active. J’ai adoré l’idée de vulgariser les coulisses des cosmétiques au grand public en m’appuyant sur mon expertise scientifique tout en choisissant une approche ludique. »
Une philosophie que l’on retrouve dans l’aménagement de cet appartement où les couleurs primaires mettent en valeur des objets empreints d’histoire. « J’ai acheté ce 62 m² il y a deux ans », raconte-t-elle. « À l’époque, un entrepreneur a racheté le rez-de-chaussée et le premier étage de cet ancien bâtiment industriel construit en 1917. Tout a été cassé pour aménager huit appartements de tailles différentes. » Sophie achète sur plans, alors que le plateau est encore en cours de rénovation, et profite du timing pour choisir certaines finitions de l’appartement. « J’ai eu la chance d’emménager dans du flambant neuf tout en étant dans un vieux bâtiment plein de caractère et d’histoire. Sans compter qu’il était vital pour moi d’avoir un petit bout de verdure, une cour où souffler car je travaille de la maison. » Biologiste cosmétologue de formation, Sophie accompagne de petites marques de cosmétiques dans leur stratégie de communication. « Me lancer en free-lance il y a neuf ans a été une grande décision, à laquelle j’ai réfléchi pendant un an à faire de l’humanitaire. C’est à cette époque qu’une amie m’a conseillé de lancer mon blog pour rester active. J’ai adoré l’idée de vulgariser les coulisses des cosmétiques au grand public en m’appuyant sur mon expertise scientifique tout en choisissant une approche ludique. »
Dès l’entrée, la décoration se veut joyeusement éclectique. « Des amis m’ont offert ce téléphone vintage l’automne dernier parce que le jaune moutarde et le bleu se marient à merveille », explique Sophie. Quant aux plantes, nombreuses à souhaiter la bienvenue aux amis qui lui rendent régulièrement visite, elle confie que si elle s’écoutait, « il y en aurait partout ! ».
Le meuble en bois est un classique de chez Ikea dont Sophie a changé les boutons. La petite ardoise est un clin d’œil à ses parents, qui étaient instituteurs à Paris.
Le meuble en bois est un classique de chez Ikea dont Sophie a changé les boutons. La petite ardoise est un clin d’œil à ses parents, qui étaient instituteurs à Paris.
Vestige du passé industriel du bâtiment, la poutre en métal a été mise en valeur plutôt que camouflée. « Il y en a une dans chacun des huit appartements. C’est contraignant, mais je trouve que c’est ce type d’imperfection qui donne du charme à un lieu. Et puis c’est une question d’habitude », explique Sophie. « C’est drôle car plutôt que de les camoufler, nous avons tous choisi de les mettre en valeur en les repeignant. Comme nous avons tissé des liens de voisinage assez forts, nous sommes souvent chez les uns et les autres pour dîner, prendre l’apéritif ou un café et nous avons réalisé que chacun avait choisi une couleur différente. »
Réalisée sur mesure pour s’adapter aux contraintes de la pièce, la cuisine en angle a été achetée chez Mobalpa, en clin d’œil aux origines savoyardes de la famille de Sophie. « Tout a été calculé au millimètre près. Au niveau de la poutre métallique, les meubles sont moins profonds, pour ouvrir aisément les placards et le micro-ondes », explique Sophie. « Avec son placage en noyer, la cuisine est finalement très rétro, ce qui n’était pas le cas dans mon ancien appartement. Je pense que mon choix est lié au cachet du bâtiment, avec sa cage d’escalier, son escalier en bois avec carreaux de ciment… Je ne m’imaginais pas opter pour de la laque ! »
Prochaine étape : finaliser l’optimisation de l’espace cuisine en remplaçant le meuble de l’entrée par un élément de la même gamme, pour profiter à la fois d’un petit bar et d’un plan de travail supplémentaire. Au sol, le chêne massif, peu pratique dans un espace cuisine donnant, de surcroît, sur l’extérieur, doit être poncé et protégé.
Prochaine étape : finaliser l’optimisation de l’espace cuisine en remplaçant le meuble de l’entrée par un élément de la même gamme, pour profiter à la fois d’un petit bar et d’un plan de travail supplémentaire. Au sol, le chêne massif, peu pratique dans un espace cuisine donnant, de surcroît, sur l’extérieur, doit être poncé et protégé.
« J’ai besoin d’être dans un intérieur qui vit et qui a une bonne énergie », explique Sophie. « Ma déco n’est pas vraiment réfléchie. J’associe simplement des objets qui ont du sens pour moi, que j’ai chinés ou dont j’ai hérité. D’autant que depuis toute petite, je suis incapable de jeter ! »
Repeint l’automne dernier du même bleu paon que la poutre métallique de l’espace cuisine, le mur du coin salon apporte du caractère à cette grande pièce carrée de 32 m². « Les gens sont souvent surpris de découvrir un volume aussi agréable quand ils passent la porte de l’appartement, avec 2,75 mètres sous plafond (un faux plafond a grignoté 25 centimètres de hauteur) et la cour en fond. L’ouverture sur l’extérieur change tellement la perspective qu’on a l’impression d’être dans une maison », explique Sophie.
Peinture : Evolutex Velours Bleu Java, chez Seigneurie ; Table basse : Miliboo ; Sphères lumineuses : Ikea et Muji
Repeint l’automne dernier du même bleu paon que la poutre métallique de l’espace cuisine, le mur du coin salon apporte du caractère à cette grande pièce carrée de 32 m². « Les gens sont souvent surpris de découvrir un volume aussi agréable quand ils passent la porte de l’appartement, avec 2,75 mètres sous plafond (un faux plafond a grignoté 25 centimètres de hauteur) et la cour en fond. L’ouverture sur l’extérieur change tellement la perspective qu’on a l’impression d’être dans une maison », explique Sophie.
Peinture : Evolutex Velours Bleu Java, chez Seigneurie ; Table basse : Miliboo ; Sphères lumineuses : Ikea et Muji
« Ce canapé me suit depuis dix ans », confie Sophie. « Il est recouvert d’une couverture tricotée il y a trente ans par ma grand-mère et dont j’adore les couleurs. » À droite, le petit meuble en bois appartenait à un oncle. « Personne ne le remarquait car il était recouvert d’un vernis qui avait noirci avec le temps et ses boutons étaient rouillés… Je l’ai décapé et voilà le résultat ! »
Quand Sophie visite l’appartement en plein mois de décembre, la lumière fait cruellement défaut. « Au-delà de la saison, pas vraiment idéale il faut l’avouer, j’ai tout de suite vu qu’il faudrait trouver un moyen d’optimiser la luminosité naturelle de l’appartement », explique-t-elle. « L’entrepreneur m’a expliqué que, sous réserve d’un accord de la mairie de Paris, puisque nous sommes à 500 mètres de plusieurs monuments historiques, dont le cimetière du Père-Lachaise, nous pourrions ouvrir les murs. »
Après avoir envisagé une ouverture horizontale, la jeune femme a finalement opté pour plusieurs ouvertures verticales de 60 centimètres de largeur. « Pour ne pas être considérées comme des fenêtres, les ouvertures horizontales doivent être réalisées à une hauteur minimale de 2,30 mètres et induisaient l’ajout d’un IPN pour ne pas fragiliser la structure de l’immeuble », explique-t-elle. Les murs du bâtiment faisant 47 centimètres d’épaisseur, l’aménagement de ces ouvertures a créé des niches. « Comme ce ne sont pas des fenêtres, nous n’avions pas le droit de poser du verre transparent. J’ai donc opté pour une finition mate effet givré et une forme rectangulaire pour éviter l’effet salle de bains », ajoute-t-elle. « De ce côté, on est en réalité orienté nord-nord-est, mais comme le bâtiment voisin est blanc, il reflète les rayons du soleil. Je ne regrette absolument pas d’avoir investi 4500 euros dans ce projet, ça a transformé l’appartement. »
Fauteuil et bibliothèque : AM.PM
Après avoir envisagé une ouverture horizontale, la jeune femme a finalement opté pour plusieurs ouvertures verticales de 60 centimètres de largeur. « Pour ne pas être considérées comme des fenêtres, les ouvertures horizontales doivent être réalisées à une hauteur minimale de 2,30 mètres et induisaient l’ajout d’un IPN pour ne pas fragiliser la structure de l’immeuble », explique-t-elle. Les murs du bâtiment faisant 47 centimètres d’épaisseur, l’aménagement de ces ouvertures a créé des niches. « Comme ce ne sont pas des fenêtres, nous n’avions pas le droit de poser du verre transparent. J’ai donc opté pour une finition mate effet givré et une forme rectangulaire pour éviter l’effet salle de bains », ajoute-t-elle. « De ce côté, on est en réalité orienté nord-nord-est, mais comme le bâtiment voisin est blanc, il reflète les rayons du soleil. Je ne regrette absolument pas d’avoir investi 4500 euros dans ce projet, ça a transformé l’appartement. »
Fauteuil et bibliothèque : AM.PM
De l’autre côté du canapé, le coin salle à manger a été aménagé de façon à accueillir de grandes tablées dans un esprit maison de campagne.
Miroir : Maisons du Monde ; Pouf : Habitat
Miroir : Maisons du Monde ; Pouf : Habitat
Un magnifique papyrus offre une transition en douceur vers la cour. « Les boutures viennent de chez mes parents, qui les avaient récupérés chez leurs voisins », explique Sophie. « De mon côté, j’ai donné des boutures à beaucoup de proches ! C’est très facile à faire et ça pousse comme du chiendent ! Résultat : c’est un peu comme s’il y avait des bouts de ce papyrus chez tout le monde. »
Orientée plein sud, la grande cour du bâtiment a été divisée en trois zones réparties entre les appartements du rez-de-chaussée. « Nous n’avons aucun passage donc c’est très calme, une vraie bulle d’air ! », explique Sophie. « Comme nous avons tous emménagé en même temps, avec les voisins, nous nous entendons à merveille et discutons à travers la cour, y compris avec ceux qui habitent au premier quand ils ouvrent leurs fenêtres. Cela crée une ambiance très chouette. »
Pour se créer un petit nid à l’abri des regards, Sophie s’est tournée vers la végétation. Un bambou fait ainsi office de séparation avec la cour voisine tandis qu’un jasmin s’élève pour créer un cocon de verdure. Contre le mur, un joyeux pêle-mêle de plantes offertes par la famille et les amis réchauffent le mur de briques. Au sol, le béton brut a été repeint dans une teinte tomette pour égayer l’espace.
Pour se créer un petit nid à l’abri des regards, Sophie s’est tournée vers la végétation. Un bambou fait ainsi office de séparation avec la cour voisine tandis qu’un jasmin s’élève pour créer un cocon de verdure. Contre le mur, un joyeux pêle-mêle de plantes offertes par la famille et les amis réchauffent le mur de briques. Au sol, le béton brut a été repeint dans une teinte tomette pour égayer l’espace.
Des pots colorés sont mis en scène sur une échelle récupérée dans une maison de campagne familiale.
Même le mobilier ose la couleur dans un esprit bistrot parisien décalé.
Mobilier : Hespéride
Mobilier : Hespéride
De retour à l’intérieur, Sophie nous ouvre les portes de son bureau. « C’est un vrai confort de pouvoir dédier une pièce entière à mon travail. Dans mon ancien appartement, un deux-pièces, je devais travailler sur la table de la salle à manger, c’était vraiment compliqué », explique Sophie. « De façon générale, pour réussir à travailler de chez soi, il faut identifier la zone de travail, que ce soit un coin ou une pièce, pour faire la coupure entre vie privée et vie professionnelle et mettre en place une discipline. Je ne rentre, par exemple, jamais dans mon bureau en dehors des heures de travail. »
Quant aux pauses café ou appels téléphoniques, la jeune femme a le plaisir de pouvoir les passer dans la cour. « J’essaye tout de même de me rendre quelque part au moins une fois dans la journée, que ce soit pour voir un client, assister à un événement blogueur ou déjeuner. Rester chez moi toute la journée m’est insupportable, j’ai besoin de voir du monde ! »
Quant aux pauses café ou appels téléphoniques, la jeune femme a le plaisir de pouvoir les passer dans la cour. « J’essaye tout de même de me rendre quelque part au moins une fois dans la journée, que ce soit pour voir un client, assister à un événement blogueur ou déjeuner. Rester chez moi toute la journée m’est insupportable, j’ai besoin de voir du monde ! »
Côté déco, tout n’est pas encore finalisé mais s’il y a bien un meuble qui a vocation à rester, c’est le bureau ! « C’est ma plus grande fierté car c’est un Pierre Paulin des années 50 », confie Sophie. « Il y en a aux Arts déco et à une exposition au centre Pompidou. En réalité, il me vient de ma famille : je me souviens dessiner dessus quand j’étais petite. Il y a quinze ans, nous voulions le donner à Emmaüs, mais monsieur Paulin est décédé à la même époque et nous avons réalisé la valeur d’une telle pièce. J’aime beaucoup son allure aérienne. » Confortable, le fauteuil affiche volontairement des lignes bien loin de celles des assises de bureau classiques.
Au mur, une citation humoristique rappelle que chez Sophie, bonne humeur et bienveillance priment. « Les clins d’œil positifs sont importants pour dédramatiser le travail. »
Fauteuil : Ikea
Au mur, une citation humoristique rappelle que chez Sophie, bonne humeur et bienveillance priment. « Les clins d’œil positifs sont importants pour dédramatiser le travail. »
Fauteuil : Ikea
Parmi les finitions choisies par Sophie, les carreaux de ciment qui recouvrent le sol des toilettes.
Recouverte de peinture ardoise, la porte arbore des dessins rigolos laissés par les enfants des proches de la jeune femme. « J’aime qu’ils puissent customiser une partie de l’appartement », explique Sophie. « Ça apporte de la vie et puis c’est comme s’il y avait un peu d’eux à la maison ! » Derrière, la carte qui a habillé un mur de la classe du père de Sophie pendant quarante ans dans une école du XIᵉ arrondissement de Paris !
Recouverte de peinture ardoise, la porte arbore des dessins rigolos laissés par les enfants des proches de la jeune femme. « J’aime qu’ils puissent customiser une partie de l’appartement », explique Sophie. « Ça apporte de la vie et puis c’est comme s’il y avait un peu d’eux à la maison ! » Derrière, la carte qui a habillé un mur de la classe du père de Sophie pendant quarante ans dans une école du XIᵉ arrondissement de Paris !
La chambre à coucher affiche une décoration pastel plus douce que la pièce à vivre. Des souvenirs de voyages, comme le chat doré posé sur l’étagère murale, ramené de Tokyo, personnalisent la pièce. « Je voyage beaucoup, surtout dans des conditions un peu “roots” », explique Sophie. « J’aime bien ramener des objets que les locaux achètent pour eux et qu’ils utilisent vraiment. »
La fenêtre de la chambre a été transformée en porte-fenêtre pendant les travaux de rénovation de l’appartement. « Une véranda de 12 m² peut être aménagée dans la cour pour créer une pièce en plus, pour déplacer le bureau par exemple », explique Sophie. « Je voulais pouvoir y accéder depuis la chambre. »
Fonctionnelle, la salle de bains tout en longueur paraît plus grande grâce à l’utilisation de couleurs claires et à la fenêtre, dans la douche, qui apporte de la perspective.
Miroir : AM.PM ; Échelle : La Redoute
Miroir : AM.PM ; Échelle : La Redoute
Conçu à l’origine pour habiller le mur d’un bureau, ce panneau mural a été détourné pour ranger des accessoires de beauté. « Il apporte un côté ludique à la salle de bains », s’amuse Sophie. « Qui sait où il sera demain ? »
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Drawer. Le gagnant du tirage au sort du reportage chez Sophie a été annoncé : félicitations à Céline Dubois ! Retrouvez les termes et conditions de ce concours ici.
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Drawer. Le gagnant du tirage au sort du reportage chez Sophie a été annoncé : félicitations à Céline Dubois ! Retrouvez les termes et conditions de ce concours ici.
Qui habite ici : Sophie
Emplacement : XXᵉ arrondissement de Paris
Surface : 62 m² + 22 m² de terrasse
Anecdote : La famille de Sophie est installée sur Paris depuis quatre générations.
Photos : Jours & Nuits © 2017 Houzz
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Drawer. Le gagnant du tirage au sort du reportage chez Sophie a été annoncé : félicitations à Céline Dubois !