Un après-midi chez Béatrice, créatrice du blog Madame Décore
Dites-nous ce que vous pensez de cette maison des années 30 pour tenter de gagner un bon d'achat de 50 euros
Certains partent s’installer à des milliers de kilomètres de la ville qui les a vus naître, d’autres, comme Béatrice, choisissent un retour aux sources. « Avec mon mari, nous vivons dans la commune du Val-de-Marne, où nous avons grandi, car nous ne voulions pas nous éloigner de nos proches et de nos racines », explique-t-elle. « C’est un parfait compromis, puisque nous sommes à la fois au calme et tout près de Paris, où nous sortons régulièrement. »
Après avoir vécu dans un duplex de 27 m², le couple décide d’acheter une première maison, le temps d’en trouver une seconde, plus ancienne, à retaper. « Un jour que je passais par hasard devant l’agence immobilière du village, j’ai vu l’annonce de cette meulière située dans un quartier calme », raconte Béatrice. « Nous l’avons visitée le samedi suivant et sommes tombés sous son charme. » Avec son sous-sol et son grand jardin, la bâtisse des années 30 réunissait tout ce dont rêvait le couple. Seule ombre au tableau : la nécessité de revendre leur première maison avant que ce bien ne soit acquis par une autre famille. « Nous rêvions tellement de vivre dans cette meulière que nous nous promenions souvent devant avec notre fils d’un an et nous amusions à nous y projeter », confie Béatrice. Heureusement, trois visites ont suffi à trouver preneur et six mois après avoir passé la porte de la meulière pour la première fois, le couple en a récupéré les clés.
Coup d’œil
Qui vit ici : Béatrice, créatrice du blog Madame Décore, son mari et leur petit garçon Paul, 4 ans
Emplacement : Val-de-Marne, Île-de-France
Surface :
Achat de la maison : juin 2014
Budget de la rénovation de l’intérieur de la maison : 27 000 euros (cuisine, salle de bains, sols, peinture, électricité et verrière)
Budget de la rénovation de l’extérieur de la maison : 25 000 euros (isolation du toit, terrasse, ravalement de façade)
Photos : Jours & Nuits © Houzz
Après avoir vécu dans un duplex de 27 m², le couple décide d’acheter une première maison, le temps d’en trouver une seconde, plus ancienne, à retaper. « Un jour que je passais par hasard devant l’agence immobilière du village, j’ai vu l’annonce de cette meulière située dans un quartier calme », raconte Béatrice. « Nous l’avons visitée le samedi suivant et sommes tombés sous son charme. » Avec son sous-sol et son grand jardin, la bâtisse des années 30 réunissait tout ce dont rêvait le couple. Seule ombre au tableau : la nécessité de revendre leur première maison avant que ce bien ne soit acquis par une autre famille. « Nous rêvions tellement de vivre dans cette meulière que nous nous promenions souvent devant avec notre fils d’un an et nous amusions à nous y projeter », confie Béatrice. Heureusement, trois visites ont suffi à trouver preneur et six mois après avoir passé la porte de la meulière pour la première fois, le couple en a récupéré les clés.
Coup d’œil
Qui vit ici : Béatrice, créatrice du blog Madame Décore, son mari et leur petit garçon Paul, 4 ans
Emplacement : Val-de-Marne, Île-de-France
Surface :
Achat de la maison : juin 2014
Budget de la rénovation de l’intérieur de la maison : 27 000 euros (cuisine, salle de bains, sols, peinture, électricité et verrière)
Budget de la rénovation de l’extérieur de la maison : 25 000 euros (isolation du toit, terrasse, ravalement de façade)
Photos : Jours & Nuits © Houzz
Quand ils achètent la maison, sa façade est dénaturée par des garde-corps en tubes verts. Un autre coup de chance permettra à Béatrice de les remplacer par ces ravissants modèles en fer forgé. « Je suis passée par hasard devant une maison très ancienne sur le point d’être détruite. J’ai récupéré le contact du propriétaire et lui ai expliqué que j’adorais la bâtisse », raconte-t-elle. « Quand je lui ai proposé de lui racheter les garde-corps d’origine, il a accepté et m’a même proposé de visiter la maison pour voir si je voulais d’autres choses… Inutile de dire que je ne suis pas repartie les mains vides ! »
Quant à la porte, il s’agit en réalité d’un modèle réalisé sur mesure par un menuisier du village, sur lequel a été fixée une grille récupérée sur une porte ancienne dénichée dans les encombrants. De cette façon, elle affiche un charme ancien qui s’harmonise parfaitement à la bâtisse tout en étant parfaitement sécurisée et isolée.
Quant à la porte, il s’agit en réalité d’un modèle réalisé sur mesure par un menuisier du village, sur lequel a été fixée une grille récupérée sur une porte ancienne dénichée dans les encombrants. De cette façon, elle affiche un charme ancien qui s’harmonise parfaitement à la bâtisse tout en étant parfaitement sécurisée et isolée.
Le sol de l’entrée et de la cuisine était recouvert d’un carrelage marron des années 80. Béatrice, qui rêvait de carreaux de ciment, en a déniché à moindre coût sur Le Bon Coin et est partie les chercher à plusieurs heures de là. Seulement voilà, le projet ne s’est déroulé pas comme prévu. « Quand le carreleur a cassé le carrelage marron, il a découvert, dessous, des carreaux de ciment, trop abîmés par la colle pour être conservés. Je lui ai alors proposé de poser les carreaux que je venais d’acheter, mais il m’a expliqué que c’était impossible car le dénivelé avec les parquets de la maison aurait été trop important », raconte Béatrice. « Résultat : j’ai revendu mes carreaux de ciment pour acheter une imitation finalement bien pratique puisqu’elle ne s’abîme pas. »
Revêtement au sol : Saint Maclou
Revêtement au sol : Saint Maclou
Le salon se situe sur la gauche, en entrant. Ouvert sur l’espace salle à manger par les anciens propriétaires, il n’était pas accessible par le couloir. Le couple a décidé d’agrandir la première ouverte et d’en créer une seconde pour circuler plus facilement. « J’aime les grandes pièces avec de belles hauteurs sous plafond », explique Béatrice. « On se sent bien mieux dans une petite surface si le volume est beau. »
On voit ici la démarcation de la cloison qui séparait les deux pièces. Au sol, le parquet massif a été dégagé et vitrifié par le couple. « Les anciens propriétaires avaient posé un parquet flottant, découpé de façon très approximative, surtout au niveau des cheminées », raconte Béatrice. « Lors de notre première visite, il a suffi de lever une lame pour voir le potentiel du parquet massif en dessous. Finalement, ça l’a bien protégé ! »
D’origine elles aussi, les cheminées ont été conservées avec soin par la jeune femme, très attachée au charme de cette maison des années 30. « Nous avons fait appel à quelqu’un pour agrandir l’ouverture entre le salon et la salle à manger et abattre les murs dont nous ne voulions plus. “J’imagine que vous allez retirer les cheminées », nous a-t-il dit. Hors de question ! Elles font partie de l’ADN de la bâtisse. » En revanche, elles ont été bouchées, à l’exception de celle du salon, qui peut offrir un agréable feu de bois à l’occasion.
Autre avantage des cheminées : elles offrent un support idéal pour mettre en valeur de petits accessoires déco. « J’adore mélanger les époques, associer des trouvailles à quelques objets iconiques pour lesquels j’ai économisé et patienté », explique Béatrice. Dans le salon, par exemple, on aperçoit le vase d’Avril de chez Tsé Tsé, la suspension Vertigo de chez Petite Friture ou encore le canapé Ghost dessiné par Paola Navone pour Gervasoni. On aperçoit aussi le petit fauteuil en bois qui permet au petit Paul de s’installer confortablement pour dessiner sur la table basse.
Autre avantage des cheminées : elles offrent un support idéal pour mettre en valeur de petits accessoires déco. « J’adore mélanger les époques, associer des trouvailles à quelques objets iconiques pour lesquels j’ai économisé et patienté », explique Béatrice. Dans le salon, par exemple, on aperçoit le vase d’Avril de chez Tsé Tsé, la suspension Vertigo de chez Petite Friture ou encore le canapé Ghost dessiné par Paola Navone pour Gervasoni. On aperçoit aussi le petit fauteuil en bois qui permet au petit Paul de s’installer confortablement pour dessiner sur la table basse.
Pour gagner en luminosité, et grâce à une rue peu passante, Béatrice a choisi de ne mettre aucun voilage devant les fenêtres. Autre astuce de la jeune femme : choisir un canapé déhoussable, plus facile d’entretien. « J’ai aussi fabriqué un édredon, que je mets lorsqu’on reçoit pour éviter les taches. »
Un tapis inspiré des kilims a été posé au sol pour le confort de la famille, qui aime marcher pieds nus. « J’adore les tapis et n’imagine pas ma maison sans, mais je ne voulais pas un nid à poussière », explique Béatrice. Le tapis fait écho aux tissages achetés à Cap Town, en Afrique du Sud, et fixés au-dessus du canapé.
Canapé : Ghost, par Paola Navone pour Gervasoni ; Tapis : Ikea
Un tapis inspiré des kilims a été posé au sol pour le confort de la famille, qui aime marcher pieds nus. « J’adore les tapis et n’imagine pas ma maison sans, mais je ne voulais pas un nid à poussière », explique Béatrice. Le tapis fait écho aux tissages achetés à Cap Town, en Afrique du Sud, et fixés au-dessus du canapé.
Canapé : Ghost, par Paola Navone pour Gervasoni ; Tapis : Ikea
La décoration de la salle à manger traduit le goût de Béatrice pour la chine. Ici, rien n’est neuf, à commencer par le grainetier, déniché sur Le Bon Coin. « L’astuce, quand on chine sur Internet, c’est de ne pas se fixer de date limite : il faut prendre le temps de chercher ! », explique-t-elle. « Je rêvais de trouver un meuble de ce type, alors j’ai regardé tous les jours avec le même mot-clé et en me fixant un budget. »
Autour de la table, achetée d’occasion, la plupart des chaises ont été sauvées de la poubelle. Au sol, un tapis kilim acheté aux Puces de Tbilissi, en Géorgie, apporte de la couleur à la pièce. « J’essaye d’avoir une maison cocon avec de jolies matières, agréables au toucher », explique Béatrice.
Table : AM.PM ; Miroir Cargo : Maisons du Monde ; Vase Cactus : Serax
Autour de la table, achetée d’occasion, la plupart des chaises ont été sauvées de la poubelle. Au sol, un tapis kilim acheté aux Puces de Tbilissi, en Géorgie, apporte de la couleur à la pièce. « J’essaye d’avoir une maison cocon avec de jolies matières, agréables au toucher », explique Béatrice.
Table : AM.PM ; Miroir Cargo : Maisons du Monde ; Vase Cactus : Serax
Le mur entre la salle à manger et la cuisine a été percé d’une verrière pour faire circuler la lumière naturelle tout en préservant les pièces à vivre des odeurs de cuisson et du bruit de la hotte.
Inspirée des aménagements scandinaves, la cuisine installée par le couple affiche un côté labo parfaitement assumé. Des carreaux blancs style métro sont ainsi associés à des meubles gris tandis que la hotte est reliée à l’extérieur grâce à un tube en Inox fabriqué par le père de la jeune femme. Au sol, un carrelage imitation bois réchauffe la pièce. Il a remplacé le même carrelage des années 80 qui recouvrait le couloir de l’entrée et s’étend dans le dressing, les toilettes et la chambre du couple.
Meubles de cuisine : Ikea
Meubles de cuisine : Ikea
Près de la fenêtre, une table achetée pour quelques euros il y a longtemps et repeinte accueille aujourd’hui les repas de la famille. « J’ai toujours voulu pouvoir manger dans ma cuisine, comme lorsque j’étais petite », confie Béatrice.
Cache-pot : Serax ; Lettre ancienne chinée aux Puces
Cache-pot : Serax ; Lettre ancienne chinée aux Puces
À droite de l’entrée de la maison, face au salon, se trouve la chambre parentale. L’aménagement de cette grande pièce lumineuse a suscité quelques questionnements. « Nous avions envie d’ouvrir la chambre sur le dressing attenant, mais cela aurait imposé de positionner le lit autrement et la circulation aurait été difficile », explique Béatrice, qui préfère les chambres peu encombrées.
La décoration est ici très douce. « Les murs blancs offrent une toile de fond neutre qui me permet de changer le linge de lit et les accessoires à loisir. C’est idéal car je suis assez versatile en matière de déco », confie la jeune femme.
Linge de lit : AM.PM ; Couvre-lit acheté en Inde
La décoration est ici très douce. « Les murs blancs offrent une toile de fond neutre qui me permet de changer le linge de lit et les accessoires à loisir. C’est idéal car je suis assez versatile en matière de déco », confie la jeune femme.
Linge de lit : AM.PM ; Couvre-lit acheté en Inde
Parmi les rares meubles présents dans la chambre, cette commode a été chinée. Au mur, une composition de cadres mêle des cartes postales, une photo et une aquarelle.
Les paniers remplis de pelotes témoignent du goût de Béatrice pour le tricot. « Je m’y suis mise il y a deux ans, c’est un vrai antistress ! Cela coûte moins cher d’acheter un pull dans le commerce, mais je prends beaucoup de plaisir à les faire moi-même. »
Terrarium : AM.PM
Les paniers remplis de pelotes témoignent du goût de Béatrice pour le tricot. « Je m’y suis mise il y a deux ans, c’est un vrai antistress ! Cela coûte moins cher d’acheter un pull dans le commerce, mais je prends beaucoup de plaisir à les faire moi-même. »
Terrarium : AM.PM
Nous voici dans l’espace dressing aménagé dans la pièce attenante à la chambre. Au mur, Béatrice a accroché un cadre sur lequel elle a fixé un morceau du voile de mariée de sa mère pour y suspendre ses boucles d’oreilles. Déniché sur Le Bon Coin, le buste de couturière lui permet de garder chapeaux et colliers à portée de main. « Il est ancien, je l’adore ! Le tissu est délavé et on voit même les trous d’aiguilles plantées dedans », ajoute la jeune femme.
Commode : collection Hemnes, chez Ikea
Commode : collection Hemnes, chez Ikea
L’unique salle de bains de la maison se trouve en face du dressing. Lorsque le couple a acheté la maison, ses murs étaient recouverts de lambris pour cacher un carrelage à fleurs et le sol de carrelage marron. La baignoire et le lavabo, kakis, étaient remplis de calcaire.
« J’avais envie d’une salle de bains inspirée des années 30 pour rester fidèle à l’histoire de la maison », explique Béatrice. « J’avais très envie de carreaux de ciment, mais comme il y avait déjà ce type de motif dans l’entrée et que mon mari n’en raffole pas, nous avons plutôt opté pour des carreaux de métro. »
« J’avais envie d’une salle de bains inspirée des années 30 pour rester fidèle à l’histoire de la maison », explique Béatrice. « J’avais très envie de carreaux de ciment, mais comme il y avait déjà ce type de motif dans l’entrée et que mon mari n’en raffole pas, nous avons plutôt opté pour des carreaux de métro. »
Aussi discrète soit-elle, on distingue une nuance entre différentes zones du mur car les carreaux proviennent de trois lots différents, achetés d’occasion. La vasque rétro aussi a été chinée sur Internet.
Miroir barbier : AM.PM ; Miroir dépliable : Ikea
Miroir barbier : AM.PM ; Miroir dépliable : Ikea
À l’étage, on a aménagé la chambre de Paul, à gauche lorsqu’on arrive sur le palier, et la chambre d’amis, à droite, où se situe également le bureau de Béatrice. Chaque pièce était séparée d’un petit grenier attenant par une cloison, abattue pour gagner en surface.
Résultat : la chambre du petit garçon de 4 ans est suffisamment vaste pour accueillir un espace jeu délimité par un tapis. Près de la fenêtre, un petit coin lecture a été aménagé avec des coussins de sol récupérés et recouverts de tissu. « J’essaye de faire avec ce que j’ai déjà pour jeter un minimum », explique Béatrice. « De la même façon, je prends le temps de réfléchir pour éviter les achats compulsifs. Objectif : arrêter de surconsommer ! »
Tapis : Ikea
Résultat : la chambre du petit garçon de 4 ans est suffisamment vaste pour accueillir un espace jeu délimité par un tapis. Près de la fenêtre, un petit coin lecture a été aménagé avec des coussins de sol récupérés et recouverts de tissu. « J’essaye de faire avec ce que j’ai déjà pour jeter un minimum », explique Béatrice. « De la même façon, je prends le temps de réfléchir pour éviter les achats compulsifs. Objectif : arrêter de surconsommer ! »
Tapis : Ikea
À l’étage, le parquet massif était recouvert d’une moquette soigneusement retirée par le couple avant de poncer et vitrifier le bois.
Trophée éléphant : Bibib & Co ; Carte : boutique Les Fleurs, à Paris
Trophée éléphant : Bibib & Co ; Carte : boutique Les Fleurs, à Paris
Alors que son mari a investi le sous-sol avec son bureau, son piano, sa guitare et sa bibliothèque, Béatrice a préféré placer son bureau à l’étage, dans la chambre d’amis. Si la décoration est le fruit de compromis dans les autres pièces, elle est ici très personnelle. « Comme je travaille depuis chez moi, notamment sur mon blog, j’avais besoin d’une pièce lumineuse dans laquelle je me sens bien », explique-t-elle. Le bureau, sauvé de la poubelle, a trouvé une seconde jeunesse grâce à un coup de pinceau.
Vase pied : Fleux’ ; Carte de Paris : Le Petit Florilège ; Ventilateur : Castorama ; Gant rose : chez Fish Eddy, une boutique située à New York
Vase pied : Fleux’ ; Carte de Paris : Le Petit Florilège ; Ventilateur : Castorama ; Gant rose : chez Fish Eddy, une boutique située à New York
Les mêmes modules de rangement que ceux utilisés dans la chambre de Paul ont permis d’investir les rampants et d’en faire une bibliothèque.
Peau de mouton et modules de rangement : Ikea ; Tête de lit : chinée sur Internet ; Linge de lit : La Redoute ; Papier peint : Leroy Merlin (n’est plus disponible)
Peau de mouton et modules de rangement : Ikea ; Tête de lit : chinée sur Internet ; Linge de lit : La Redoute ; Papier peint : Leroy Merlin (n’est plus disponible)
À l’arrière de la maison, la famille profite d’un vaste jardin orienté sud-est. « À notre arrivée, c’était une véritable forêt ! », se souvient Béatrice. « De grands pins cachaient la lumière et le sol était brûlé par les aiguilles. » Avec l’aide de son mari, elle s’est donc attelée pendant plusieurs semaines à déraciner les arbres à mains nues, à retirer un lierre très encombrant et à retourner la terre.
Autre projet d’envergure mené l’année dernière : le ravalement de façade et l’isolation de la maison. « C’est simple, il faisait 14 degrés dans la chambre de Paul l’hiver, 33 l’été ! », explique Béatrice. « Et pour cause, l’isolation par le toit était inexistante. Nous y avons donc remédié grâce à la pose de laine de roche. »
Autre projet d’envergure mené l’année dernière : le ravalement de façade et l’isolation de la maison. « C’est simple, il faisait 14 degrés dans la chambre de Paul l’hiver, 33 l’été ! », explique Béatrice. « Et pour cause, l’isolation par le toit était inexistante. Nous y avons donc remédié grâce à la pose de laine de roche. »
Idéal pour recevoir et se détendre à l’extérieur, un salon de jardin a été aménagé sous l’auvent. « Nous avons recouvert une simple dalle en béton par une terrasse en épicéa et nous avons fait hausser, étendre et ravaler le mur, en parpaings apparents », explique Béatrice.
Côté mobilier, un banc indien fait office de canapé tandis que des assises en rotin et un fauteuil suspendu en macramé créent un espace convivial d’inspiration bohème. Au mur, le cadre, destiné à la poubelle, a été récupéré par Béatrice et met en valeur un morceau du même papier peint que la chambre d’amis. Une astuce petit budget de plus chez cette surdouée de la récup’ !
Tapis : H&M Home ; Fauteuil suspendu : La Redoute ; Suspension bleu marine : Ikea ; Suspension blanche : Alinéa
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Sodezign. La gagnante du tirage au sort du reportage chez Béatice a été annoncée : félicitations à daphne_fortin55 !
Retrouvez les termes et conditions de ce concours ici.
Côté mobilier, un banc indien fait office de canapé tandis que des assises en rotin et un fauteuil suspendu en macramé créent un espace convivial d’inspiration bohème. Au mur, le cadre, destiné à la poubelle, a été récupéré par Béatrice et met en valeur un morceau du même papier peint que la chambre d’amis. Une astuce petit budget de plus chez cette surdouée de la récup’ !
Tapis : H&M Home ; Fauteuil suspendu : La Redoute ; Suspension bleu marine : Ikea ; Suspension blanche : Alinéa
Pour célébrer la présence de nos blogueurs favoris sur Houzz, nous offrons à tous nos lecteurs la chance de gagner un bon d’achat de 50 euros, valable chez Sodezign. La gagnante du tirage au sort du reportage chez Béatice a été annoncée : félicitations à daphne_fortin55 !
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Avant d’investir les lieux, Béatrice et son mari ont décidé de réaliser l’ensemble des gros travaux pour éviter les désagréments (poussière, bruit…) liés à ce type de projet dont ils avaient déjà fait l’expérience. Pendant deux mois, ils ont donc vécu chez les parents de la jeune femme. « Installé dans les années 50, le réseau électrique était dangereux car les gaines étaient entourées de tissu », se souvient-elle. « La salle de bains n’était pas viable, la cuisine dégoûtante et les sols à rénover. » En outre, quelques murs méritaient d’être abattus pour ouvrir un espace divisé en petites pièces, typiques des années 30.