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Avant/Après : La Bastide des Louis retrouve sa superbe
Un an de travaux et moins de 200 000 € de budget pour rénover et meubler de A à Z une vieille bastide dedans et dehors
C’est au centre d’un hameau de Provence plein de charme, aux pierres blondes éclatantes de lumière et gorgées de la chaleur, que nous vous amenons aujourd’hui. Lassé par sa vie à Cannes, cet actif désireux de se mettre au vert, vient d’acheter une ancienne bastide de près de 300 m² dans l’arrière-pays de Saint-Tropez. Construite en 1833 et baptisée la Bastide des Louis, la maison de maître à deux étages a toujours appartenu à la même famille, dont les aînés se prénommaient tous Louis. Âgé et sans héritier, le dernier des Louis s’est résolu à regret à vendre la demeure bien entretenue et restée complètement dans son jus. À charge au nouveau propriétaire de la remettre au goût du jour avec à cœur de préserver l’authenticité d’un lieu qui servait autrefois de pressoir à huile.
C’est sur Houzz que ce dernier fait la rencontre du couple qui va prendre les travaux en main, de la refonte des réseaux à la restauration des murs, du paysagisme à l’ameublement, du linge de lit au choix des petites cuillères… Dans les environs de Grimaud, où ils ont installé leurs bureaux depuis une dizaine d’années, l’architecte d’intérieur Nathalie Odiot et son compagnon Rémi Sala, ingénieur, se sont en effet bâti une belle réputation sur les « rénovations de caractère dans le respect de l’artisanat et des savoir-faire anciens ou les villas 50-70 à retaper entièrement ». Retour sur un an de travail et les choix authentiques qui ont modernisé la bâtisse sans lui faire perdre une once de son charme d’antan.
C’est sur Houzz que ce dernier fait la rencontre du couple qui va prendre les travaux en main, de la refonte des réseaux à la restauration des murs, du paysagisme à l’ameublement, du linge de lit au choix des petites cuillères… Dans les environs de Grimaud, où ils ont installé leurs bureaux depuis une dizaine d’années, l’architecte d’intérieur Nathalie Odiot et son compagnon Rémi Sala, ingénieur, se sont en effet bâti une belle réputation sur les « rénovations de caractère dans le respect de l’artisanat et des savoir-faire anciens ou les villas 50-70 à retaper entièrement ». Retour sur un an de travail et les choix authentiques qui ont modernisé la bâtisse sans lui faire perdre une once de son charme d’antan.
Le décor n’a pas bougé depuis presque deux siècles. La maison de maître, typique du début du XIXe siècle, en pierres enduites de chaux blanche, semble figée dans le temps. Sur la placette ombragée par un platane centenaire, seul le grincement de la pompe de la vieille fontaine trouble la tranquillité des lieux. Près de la porte, à hauteur d’œil, un écriteau patiné par les ans annonce « La Bastide des Louis».
« C’étaient les notables du village. Ils ont longtemps possédé des champs d’oliviers tout autour de la propriété avant de passer à la vigne dans les années 50 comme dans toute la région du Plan-de-la-Tour. Ils ont cédé leurs terres au fil du temps et il ne restait au dernier Louis que cette maison avec sa courette devant et son patio à l’arrière », raconte Nathalie Odiot, l’architecte d’intérieur en compagnie de laquelle nous avons fait la visite.
« C’étaient les notables du village. Ils ont longtemps possédé des champs d’oliviers tout autour de la propriété avant de passer à la vigne dans les années 50 comme dans toute la région du Plan-de-la-Tour. Ils ont cédé leurs terres au fil du temps et il ne restait au dernier Louis que cette maison avec sa courette devant et son patio à l’arrière », raconte Nathalie Odiot, l’architecte d’intérieur en compagnie de laquelle nous avons fait la visite.
Du temps des Louis, on n’entrait pas par cette façade principale. On contournait le bâtiment pour pénétrer dans le patio, là où se trouvait le pressoir à huile. Le nouveau propriétaire lui a redonné sa fonction. La porte d’entrée, vitrée, apporte davantage de lumière à l’intérieur.
Les architectes d’intérieur ont d’ailleurs fait remplacer l’intégralité des anciennes menuiseries à crémones. Plus contemporains, les modèles au contour noir en alu thermolaqué sont également plus isolants.
« Les fenêtres fuyaient et nous avons dû reprendre la façade par endroits là où il y avait des fissures et de l’humidité », se remémore en effet Nathalie Odiot.
Besoin d’un architecte d’intérieur ?
Les architectes d’intérieur ont d’ailleurs fait remplacer l’intégralité des anciennes menuiseries à crémones. Plus contemporains, les modèles au contour noir en alu thermolaqué sont également plus isolants.
« Les fenêtres fuyaient et nous avons dû reprendre la façade par endroits là où il y avait des fissures et de l’humidité », se remémore en effet Nathalie Odiot.
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Plan rez-de-chaussée après travaux (porte d’entrée principale en haut du plan)
Le rez-de-chaussée, d’une superficie de 87 m², se composait d’une cuisine, d’une salle à manger, d’un salon, d’un cellier et de toilettes. Il permettait aussi d’accéder au préau et au patio. L’espace n’a guère été réagencé, si ce n’est l’ouverture de la cuisine. Les efforts ont surtout porté sur la rénovation intégrale des lieux dans le respect de l’ancien.
Le rez-de-chaussée, d’une superficie de 87 m², se composait d’une cuisine, d’une salle à manger, d’un salon, d’un cellier et de toilettes. Il permettait aussi d’accéder au préau et au patio. L’espace n’a guère été réagencé, si ce n’est l’ouverture de la cuisine. Les efforts ont surtout porté sur la rénovation intégrale des lieux dans le respect de l’ancien.
Avant. La cuisine, pièce importante s’il en est dans une maison de famille, était close de murs. Bien que des feux gaz aient été installés par le dernier des Louis pour la moderniser, il se servait encore de l’âtre pour cuisiner comme ses aïeux avant lui : « Je l’ai connu et quand on entrait dans cette cuisine, la soupe de poisson mitonnait depuis le matin dans la cheminée et embaumait la pièce », se remémore même Nathalie Odiot.
Après. Les cloisons de la cuisine ont été abattues afin qu’elle se prolonge sur l’entrée et le séjour et crée une grande pièce traversante. Cette opération a apporté du volume et de la lumière au rez-de-chaussée.
Outre cette modernisation, le propriétaire tenait à garder toutes les particularités de l’endroit, en dénaturant le moins possible le charme de cette maison. Le sol en damier, composé de carreaux de terrazzo noir et blanc a été soigneusement restauré et les murs, enduits de chaux. « La maison avait des problèmes d’humidité avec des infiltrations au pied des murs. Nous avons installé des drains en périphérie et privilégié les matériaux respirants comme la chaux », explique la professionnelle.
Outre cette modernisation, le propriétaire tenait à garder toutes les particularités de l’endroit, en dénaturant le moins possible le charme de cette maison. Le sol en damier, composé de carreaux de terrazzo noir et blanc a été soigneusement restauré et les murs, enduits de chaux. « La maison avait des problèmes d’humidité avec des infiltrations au pied des murs. Nous avons installé des drains en périphérie et privilégié les matériaux respirants comme la chaux », explique la professionnelle.
Pour séparer la cuisine de l’entrée, les architectes d’intérieur ont préconisé un claustra/bibliothèque. Ils l’ont équipée de carafes à whisky transformées en lampes, clin d’œil au passé de viticulteur des anciens résidents.
De nouveaux meubles aux plans de travail en bois clair ont remplacé la vieille cuisine, sans oublier la plaque à induction, le four pyrolyse et le lave-vaisselle. L’âtre, toujours fonctionnel, a été soigneusement conservé et son chapeau de cheminée mis en valeur par une peinture gris anthracite.
Nathalie Odiot se souvient d’un de ces détails d’aménagement impromptu qu’elle affectionne : « Alors que nous étions en train de poser l’îlot, le charpentier était venu élaguer le platane de l’entrée. Nous avons récupéré deux grosses branches afin de faire un support au porte-à-faux de l’îlot. »
Mobilier de cuisine : Leroy Merlin ; Luminaire : AM.PM ; Peinture gris clair des caissons du plafond : Bone chez Farrow & Ball ; Stores bateau en gaze de lin
Nathalie Odiot se souvient d’un de ces détails d’aménagement impromptu qu’elle affectionne : « Alors que nous étions en train de poser l’îlot, le charpentier était venu élaguer le platane de l’entrée. Nous avons récupéré deux grosses branches afin de faire un support au porte-à-faux de l’îlot. »
Mobilier de cuisine : Leroy Merlin ; Luminaire : AM.PM ; Peinture gris clair des caissons du plafond : Bone chez Farrow & Ball ; Stores bateau en gaze de lin
Avant. La pièce salle à manger/séjour jouxtait la cuisine. Les pièces étaient séparées, mais le sol en dalles de terrazzo était le même.
Après. Tandis que nous avançons dans le séjour qui prolonge désormais la cuisine, l’architecte d’intérieur évoque la difficulté des professionnels de l’aménagement à faire poindre les souhaits des propriétaires quand ils n’ont pas d’idées précises de ce qu’ils désirent : « C’est une nouvelle rencontre à chaque fois et j’adore mon métier pour ça. Je passe beaucoup de temps à parler avec eux pour cerner leur personnalité, savoir d’où ils viennent, afin de faire éclore un projet qui leur ressemble. Bien sûr nous parlons tout de suite de budget mais, au-delà de la rentabilité d’un projet, notre mission est avant tout de révéler l’âme du client », explique-t-elle.
En l’occurrence, ce client se sentait l’âme de Jean de Florette, quittant la ville pour cultiver l’authentique. Comme il désirait garder le plus possible les lieux à l’identique, les professionnels se sont appliqués à travailler tout en subtilité. « Nous avons peint les caissons du plafond de la cuisine dans un gris pâle afin de le mettre en valeur ainsi que la niche du salon. Il aimait aussi les matériaux naturels, comme la chaux blanche sur les murs avec son toucher légèrement granulé, mat et crayeux, si reconnaissable », explique Nathalie.
Pour rester dans le budget, le choix du mobilier a consisté en un savant mix de pièces chinées, de récupérations retapées d’objets trouvés dans le grenier, de commandes chez AM.PM et de DIY. Au-dessus de la table à manger, la suspension composée par une feuille de laiton est l’une des rares folies design « mais il est important de savoir se faire plaisir », rappelle la pro.
Table : AM.PM ; Chaises chinées et repeintes en Bone de chez Farrow & Ball ; Suspension Brass 96 de Gervasoni ; Vaisselle : Casa ; Dessous de plats verts : réalisés par Nathalie Odiot avec les branches du platane
Pour rester dans le budget, le choix du mobilier a consisté en un savant mix de pièces chinées, de récupérations retapées d’objets trouvés dans le grenier, de commandes chez AM.PM et de DIY. Au-dessus de la table à manger, la suspension composée par une feuille de laiton est l’une des rares folies design « mais il est important de savoir se faire plaisir », rappelle la pro.
Table : AM.PM ; Chaises chinées et repeintes en Bone de chez Farrow & Ball ; Suspension Brass 96 de Gervasoni ; Vaisselle : Casa ; Dessous de plats verts : réalisés par Nathalie Odiot avec les branches du platane
Avant. Le dernier des Louis avait deux salons. L’un dans le séjour, près de la table à manger et, un autre, plus intime, que l’on regagnait en descendant une volée de marches : « Il s’agissait à l’origine de l’atelier du domaine, l’endroit où l’on pressait l’huile. Cette pièce, voûtée comme une cave, comportait trois fenêtres en plein cintre qui donnaient dans le patio, chacune équipées d’un pressoir avec son énorme vis en bois », explique Nathalie Odiot.
Cette pièce était pavée d’une pierre blanche qui a été nettoyée. Les portes des niches autour de l’âtre ont quant à elles été restaurées, et les serrures révisées. Autant de tâches pour lesquelles Nathalie et son compagnon font appel à des artisans locaux : « Nous ne travaillons que comme ça, dans le respect des savoir-faire anciens et nos projets de rénovation prennent en général un à deux ans », affirme-t-elle.
Derrière la porte en bois à droite de la cheminée se cache désormais le téléviseur.
Canapé et table : AM.PM ; Bougeoirs : Casa
Derrière la porte en bois à droite de la cheminée se cache désormais le téléviseur.
Canapé et table : AM.PM ; Bougeoirs : Casa
Avant. Voici une autre vue du salon avant la rénovation des lieux.
Après. Dans ces maisons très anciennes, le pan difficile du travail concerne la rénovation des circuits électriques et de plomberie selon la professionnelle : « Dans une rénovation classique, on cache tout dans les doublages Placo, les faux plafonds ou dans les sols mais ici, pas question de doublage, d’autant plus dans cette pièce aux murs ronds ! L’électricité était lunaire et nous avons dû faire de microsaignées dans les murs en pierre puis réenduire à l’ancienne avec du plâtre… », explique-t-elle.
Trouvez un électricien et un plombier sur Houzz
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Avant. Pas de maison de maître sans escalier magistral. Celui-ci avait du charme avec son garde-corps en fer forgé et les tomettes en terre cuite qui pavaient ses marches.
Après. Malheureusement l’escalier n’était pas en très bon état. « Nous avons dû le reprendre entièrement. Les tomettes avaient travaillé, certaines étaient cassées et nous avons dû les remplacer. Nous travaillons avec plusieurs adresses dans le Haut-Var spécialisées dans les matériaux anciens. Quant au garde-corps, il était descellé et dangereux. Nous avons dû le refixer de bas en haut », explique la pro.
Plan existant étage
Outre le rez-de-chaussée, cette bastide possédait deux étages d’environ 90 m². Le premier comportait quatre chambres et leurs salles de bains, pièces qui ont toutes été restaurées. Au-dessus, le grenier est resté tel quel pour le moment. Le propriétaire envisage une rénovation dans le futur afin d’étaler ses dépenses.
Outre le rez-de-chaussée, cette bastide possédait deux étages d’environ 90 m². Le premier comportait quatre chambres et leurs salles de bains, pièces qui ont toutes été restaurées. Au-dessus, le grenier est resté tel quel pour le moment. Le propriétaire envisage une rénovation dans le futur afin d’étaler ses dépenses.
Avant. Voici un cliché de l’une des chambres de la bâtisse avant travaux. « Nous avons trouvé le fusil devant la fenêtre sur un panier de vigneron. C’était l’ambiance de cette maison de terroir habitée par une famille qui possédait un vignoble », évoque mi-sérieuse mi-amusée l’architecte d’intérieur alors que nous commençons la visite de l’étage.
Même si aujourd’hui, il n’y a plus de fusil à la fenêtre et qu’un couvre-pieds d’un rose très doux s’est invité dans cette chambre, les lieux ont été scrupuleusement respectés et la distribution laissée à l’identique. Les sols en tomettes ont été rénovés « à la monobrosse et à l’huile de lin », les murs réenduits à la chaux. Les poutres foncées ont malgré tout été repeintes en blanc pour gagner en luminosité dans les chambres et les fenêtres changées.
Dans cette chambre, un secrétaire retrouvé dans le grenier et repeint en gris est venu compléter le décor.
Avant. Cette salle de bains avec baignoire sabot était vétuste.
Après. Devenue la salle d’eau privative de la « chambre rose », elle s’est dotée d’une douche à l’italienne. Quant à la déco, elle a été faite avec des idées malignes et peu coûteuses : quatre carreaux de carrelage esquissent une crédence sous un miroir en forme d’écusson, que Nathalie a recyclé à partir d’une coiffeuse retrouvée dans le grenier.
Avant. Dans cette autre chambre baignée de soleil, une porte-fenêtre donnait sur une petite terrasse.
Après. Elle est devenue la « master » du propriétaire avec salle de bains attenante. La porte vitrée de la terrasse a été changée par un modèle sans petits bois.
« Toujours fidèle à l’histoire des lieux, le propriétaire a même insisté pour garder le nid d’hirondelle attaché à une poutre au-dessus de la tête de lit tapissée », nous fait remarquer l’architecte d’intérieur.
Avant. Cette salle de bains était datée avec son carrelage flammé et son bidet.
Après. Elle a été agrandie et éclaircie afin de devenir la salle de bains du propriétaire. Une baignoire d’angle et des toilettes privatives lui apportent du confort. Un meuble vasque et des rangements ont été maçonnés et finis à la chaux pour limiter les coûts.
Avant. Dans cette troisième chambre, une arche encadrée de deux placards dessinait la tête de lit.
Après. Rien n’a vraiment changé si ce n’est un nettoyage intégral. Les portes en noyer des placards ont été reprises et éclaircies. La petite niche en tête de lit repeinte en bleu pour attirer l’œil. « On a également intégré des spots dans les niches », note la pro.
Peinture bleue : De Nimes chez Farrow & Ball ; Courtepointe ocre : AM.PM
Peinture bleue : De Nimes chez Farrow & Ball ; Courtepointe ocre : AM.PM
Avant. Cette dernière chambre avait la particularité de disposer d’une cheminée.
Après. Elle est devenue « la chambre bleue » après un bon nettoyage de sol et des murs et l’enduction des poutres à la chaux. Une coiffeuse retrouvée au grenier et délestée de son miroir a été repeinte en bleu pour servir de commode.
Couette : AM.PM
Couette : AM.PM
Le mur en tête de lit a été paré d’une teinte « bleu de Nîmes » un bleu gris à la fois tendance est intemporel, à la croisée d’une palette de teintes de l’époque Régence et des bleus de travail des ouvriers fabriqués dans la ville de Nîmes.
Peinture bleue : De Nimes chez Farrow & Ball
Peinture bleue : De Nimes chez Farrow & Ball
Avant. Cette autre salle de bains vieillotte a été rénovée.
Après. Comme dans la salle de bains master, le meuble vasque a été maçonné. La baignoire a été remplacée par une douche. Un miroir cerclé de corde et fixé à une patère ronde lui donne sa personnalité.
Avant. En redescendant, nous sortons dans le patio via l’une des fenêtres en plein cintre de l’ancien atelier de pressage devenu salon.
Après. À l’origine, les pressoirs à huile étaient installés dans ces arches.
L’accès au patio peut également se faire par le préau situé à la perpendiculaire du salon voûté. Son toit sert de terrasse à la chambre du propriétaire.
Dans le patio, seul extérieur de cette maison, le propriétaire souhaitait disposer d’un coin salle à manger et d’un salon d’extérieur. La table a été disposée à l’endroit le plus ombragé tandis que le coin salon a été installé côté soleil pour se prélasser.
Chaises : La Redoute ; Arts de la table : Casa
Chaises : La Redoute ; Arts de la table : Casa
Outre l’organisation de la rénovation et la mission mobilier, les architectes d’intérieur se sont occupés de la partie paysagisme. Ils ont palissé du jasmin sur la grande échelle, ont installé des agrumes et des rosiers dans des bacs…
La piscine était existante mais la filtration a dû être revue entièrement.
La piscine était existante mais la filtration a dû être revue entièrement.
« Le propriétaire s’est dit enchanté de notre travail et précise souvent à ses invités que c’est grâce à nous qu’il est si bien installé. C’est un peu gênant, mais ça nous fait du bien d’entendre ces retours car nous nous investissons à 200 % pour nos clients et sommes heureux qu’ils soient fiers du résultat », nous a avoué Nathalie Odiot en quittant ces lieux enchanteurs.
ET VOUS ?
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Qui vit ici : le propriétaire
Emplacement : Vallaury, un hameau dans le golfe de Saint-Tropez
Livraison du projet : juin 2019
Durée des travaux : 1 an
Superficie : 273 m²
Architecte d’intérieur : Nathalie Odiot et Rémi Sala
Budget : 150 000 euros de travaux + 40 000 euros d’ameublement
Crédit photos : Nathalie Odiot et Arnaud Lefièvre