Architecture
Avant/Après
Archi : Dans les coulisses de la première maison signée Starck
Le "Sphinx à deux faces" a changé de propriétaire. Découverte de cette maison œuvre d'art à l'occasion de sa rénovation
Notre visite du jour n’a rien de banal puisque nous partons à la découverte d’un bijou architectural, la première maison particulière conçue par Philippe Starck ! Construite pour son ami le publicitaire Bruno Le Moult en 1987, celle que le designer le plus connu de l’Hexagone a surnommée « Le Sphinx à deux faces », doit cette appellation à sa forme étroite et allongée et à la symétrie de ses façades vitrées, encadrées de deux escaliers posés parallèlement tels les pattes du Sphinx. Après avoir connu quatre propriétaires successifs, la maison vieillissante a été rachetée par une SCI dont les membres envisagent un usage mixte, à la fois habitation et lieu de travail. La rénovation intégrale a été confiée à l’architecte Jonathan Chheng et à l’entreprise générale du bâtiment Square Renovation. Domitille Nau, qui a suivi le chantier en tant que conductrice de travaux pour cette dernière, revient sur cette expérience professionnelle tout à fait hors du commun.
Cahier des charges
Au cœur de la verdoyante île Saint-Germain à Issy-les-Moulineaux, cette maison-œuvre d’art de 330 m² que l’on connaît aussi comme « Maison Le Moult » jouit d’un cadre exceptionnel. Idéalement orientée plein sud face à la Seine, elle dispose d’un petit jardin agrémenté d’un ponton particulier.
À l’époque, cette île toute proche de Paris, mais loin de la fureur de la Capitale, fut un vrai laboratoire architectural où Philippe Starck et l’architecte Jean Nouvel ont fait construire leurs bureaux, où le sculpteur Jean Dubuffet a agrémenté le parc du bout de l’île de son œuvre, la Tour aux Figures.
Pour Domitille Nau, conducteur de travaux qui a suivi cette rénovation sous la houlette de l’architecte Jonathan Chheng : « Cette maison est une œuvre atypique du patrimoine architectural et une valorisation étonnante d’une parcelle difficile à exploiter car très étroite (moins de 6,12 mètres de large NDNR) ».
Au cœur de la verdoyante île Saint-Germain à Issy-les-Moulineaux, cette maison-œuvre d’art de 330 m² que l’on connaît aussi comme « Maison Le Moult » jouit d’un cadre exceptionnel. Idéalement orientée plein sud face à la Seine, elle dispose d’un petit jardin agrémenté d’un ponton particulier.
À l’époque, cette île toute proche de Paris, mais loin de la fureur de la Capitale, fut un vrai laboratoire architectural où Philippe Starck et l’architecte Jean Nouvel ont fait construire leurs bureaux, où le sculpteur Jean Dubuffet a agrémenté le parc du bout de l’île de son œuvre, la Tour aux Figures.
Pour Domitille Nau, conducteur de travaux qui a suivi cette rénovation sous la houlette de l’architecte Jonathan Chheng : « Cette maison est une œuvre atypique du patrimoine architectural et une valorisation étonnante d’une parcelle difficile à exploiter car très étroite (moins de 6,12 mètres de large NDNR) ».
Cette impression d’une maison peu pratique pour une famille, Domitille l’a forgée au fil des travaux, en raison de la difficulté rencontrée par tous les intervenants du chantier à s’adapter à l’espace et à se repérer dans un plan qu’elle qualifie de « labyrinthique ».
En façade, on pénètre par l’escalier droit du Sphinx, puis c’est le dépaysement complet, tant la maison n’est pas composée d’étages traditionnels mais d’un jeu de demi-niveaux. Comme on le voit sur cette coupe émanant de l’architecte, les étages côté rue au nord (à gauche sur le plan), ne correspondent pas à ceux du côté jardin au sud, et seul le premier niveau est traversant.
« La maison est scindée entre avant et arrière. Le premier étage rue correspond au rez-de-chaussée jardin, le deuxième étage rue est un demi-étage, le troisième étage rue communique avec le deuxième jardin… Quand nous avons commencé le chantier en octobre 2020, nous avons dû développer un vocabulaire entre nous pour nous repérer : “1 rue” ou “2 jardin”, etc. », se remémore-t-elle.
En façade, on pénètre par l’escalier droit du Sphinx, puis c’est le dépaysement complet, tant la maison n’est pas composée d’étages traditionnels mais d’un jeu de demi-niveaux. Comme on le voit sur cette coupe émanant de l’architecte, les étages côté rue au nord (à gauche sur le plan), ne correspondent pas à ceux du côté jardin au sud, et seul le premier niveau est traversant.
« La maison est scindée entre avant et arrière. Le premier étage rue correspond au rez-de-chaussée jardin, le deuxième étage rue est un demi-étage, le troisième étage rue communique avec le deuxième jardin… Quand nous avons commencé le chantier en octobre 2020, nous avons dû développer un vocabulaire entre nous pour nous repérer : “1 rue” ou “2 jardin”, etc. », se remémore-t-elle.
Le visiteur est également déstabilisé par le fait qu’aucun étage ne soit consacré aux chambres mais que chacune des quatre chambres d’origine et leurs salles de bains soient ventilées à tous les étages.
Déroutant aussi le fait qu’il faille passer par les escaliers du jardin pour se rendre au dernier niveau, inaccessible depuis l’intérieur de la maison. « Nous avons rajouté un accès par la façade rue, à partir de l’escalier de gauche qui ne menait plus à rien suite à une précédente modification mais cet étage n’est toujours pas relié au reste de la maison », explique la conductrice de travaux.
Le sous-sol, à l’origine garage et buanderie, est également indépendant du reste de la maison, aménagé en deux appartements contigus et une « salle des machines ».
« Des précédents propriétaires en avaient fait le repaire de leurs enfants mais ce niveau est inondable et ne dispose que de deux prises de lumière côté jardin », poursuit-elle. Ce niveau bas est appelé à devenir un atelier de travail et un appartement.
Déroutant aussi le fait qu’il faille passer par les escaliers du jardin pour se rendre au dernier niveau, inaccessible depuis l’intérieur de la maison. « Nous avons rajouté un accès par la façade rue, à partir de l’escalier de gauche qui ne menait plus à rien suite à une précédente modification mais cet étage n’est toujours pas relié au reste de la maison », explique la conductrice de travaux.
Le sous-sol, à l’origine garage et buanderie, est également indépendant du reste de la maison, aménagé en deux appartements contigus et une « salle des machines ».
« Des précédents propriétaires en avaient fait le repaire de leurs enfants mais ce niveau est inondable et ne dispose que de deux prises de lumière côté jardin », poursuit-elle. Ce niveau bas est appelé à devenir un atelier de travail et un appartement.
Le séjour au moment du rachat
Avant. Malgré ces sources d’étonnement, le génie de Starck est palpable à travers des volumes intérieurs époustouflants reliés par un escalier magistral. « Côté jardin, deux niveaux d’environ 3,70 mètres de haut sont occupés par deux pièces de 75 m², à la façade vitrée : le salon d’origine et son escalier théâtral qui encadre la cuisine (photo) et, au-dessus, un second salon avec un poêle », partage Domitille Nau.
Avant. Malgré ces sources d’étonnement, le génie de Starck est palpable à travers des volumes intérieurs époustouflants reliés par un escalier magistral. « Côté jardin, deux niveaux d’environ 3,70 mètres de haut sont occupés par deux pièces de 75 m², à la façade vitrée : le salon d’origine et son escalier théâtral qui encadre la cuisine (photo) et, au-dessus, un second salon avec un poêle », partage Domitille Nau.
Après. Bien que la maison ne soit pas classée et que les maîtres d’ouvrage aient décidé de la transformer en différentes habitations et bureaux, tous les intervenants, et en particulier l’architecte Jonathan Chheng, ont été partie prenante pour conserver au plus près l’architecture d’origine.
« Nous avons restauré à l’identique l’enveloppe en nettoyant le béton brut au plafond et le béton ciré au sol. Les murs ont été simplement repeints en blanc. Le plancher chauffant hydraulique qui sert à chauffer tous les étages a également été conservé de même que l’ensemble des baies vitrées », résume Domitille Nau.
Mais avant de rénover à proprement parler, la première étape, la plus longue puisqu’elle s’est étendue d’octobre à Noël 2020, a consisté dans le désamiantage des lieux ; une opération confiée à une société spécialisée. « Ils ont déposé toutes les cloisons du sous-sol, gratté tous les plafonds de la maison. J’ai eu la chance de pouvoir faire une visite une fois le désamiantage opéré mais avant la dépose de l’installation de chantier. Et c’était lunaire. On avait l’impression de se mouvoir dans une station spatiale, éclairée par de grands rubans LED qui traçaient les cheminements », se remémore Domitille qui vivait sa première expérience de ce type.
« Nous avons restauré à l’identique l’enveloppe en nettoyant le béton brut au plafond et le béton ciré au sol. Les murs ont été simplement repeints en blanc. Le plancher chauffant hydraulique qui sert à chauffer tous les étages a également été conservé de même que l’ensemble des baies vitrées », résume Domitille Nau.
Mais avant de rénover à proprement parler, la première étape, la plus longue puisqu’elle s’est étendue d’octobre à Noël 2020, a consisté dans le désamiantage des lieux ; une opération confiée à une société spécialisée. « Ils ont déposé toutes les cloisons du sous-sol, gratté tous les plafonds de la maison. J’ai eu la chance de pouvoir faire une visite une fois le désamiantage opéré mais avant la dépose de l’installation de chantier. Et c’était lunaire. On avait l’impression de se mouvoir dans une station spatiale, éclairée par de grands rubans LED qui traçaient les cheminements », se remémore Domitille qui vivait sa première expérience de ce type.
Centrale dans la maison, la plus belle pièce est sans conteste le séjour/cuisine rehaussé par les escaliers collatéraux, se rejoignant en une estrade au centre, où prend place la cuisine.
Il se dégage une vraie émotion de cette cuisine implantée comme le chœur d’une cathédrale, où l’îlot tel un autel, trône en majesté entre deux imposantes colonnes. À croire que pour le fin gastronome qui a depuis signé la décoration de cinq grands restaurants, c’était déjà en cuisine que se célébrait la grand-messe…
Trouvez une entreprise générale du bâtiment près de chez vous sur Houzz
Il se dégage une vraie émotion de cette cuisine implantée comme le chœur d’une cathédrale, où l’îlot tel un autel, trône en majesté entre deux imposantes colonnes. À croire que pour le fin gastronome qui a depuis signé la décoration de cinq grands restaurants, c’était déjà en cuisine que se célébrait la grand-messe…
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Intacte, cette cuisine est un vestige du mobilier dessiné par Starck pour le premier propriétaire, de même que les salles de bains. Un marbre vert au veinage magnifique, compose le monolithe sur lequel repose l’évier en îlot, les plans de travail, la crédence et le carrelage de sol.
Après le désamiantage, est venu le temps des réseaux, avec la contrainte de refaire l’intégralité de l’électricité qui n’était plus aux normes. Domitille se souvient en particulier des plaques sibyllines posées sur les murs : « Les interrupteurs étaient de grandes plaques métalliques avec des entrelacs qui ressemblaient à un M, peut-être l’initiale de Le Moult. Nous n’avons pu les conserver car la connectique ne fonctionnait plus mais les propriétaires les ont gardées pour pouvoir les replacer dans la maison. »
À ce propos, la conductrice de travaux se souvient également qu’au niveau le plus bas, les réseaux électriques ont dû être posés à 1,50 mètre du sol en raison des risques d’inondation.
Plus de photos de cuisines sur Houzz
Après le désamiantage, est venu le temps des réseaux, avec la contrainte de refaire l’intégralité de l’électricité qui n’était plus aux normes. Domitille se souvient en particulier des plaques sibyllines posées sur les murs : « Les interrupteurs étaient de grandes plaques métalliques avec des entrelacs qui ressemblaient à un M, peut-être l’initiale de Le Moult. Nous n’avons pu les conserver car la connectique ne fonctionnait plus mais les propriétaires les ont gardées pour pouvoir les replacer dans la maison. »
À ce propos, la conductrice de travaux se souvient également qu’au niveau le plus bas, les réseaux électriques ont dû être posés à 1,50 mètre du sol en raison des risques d’inondation.
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Avant. À l’origine deux colonnes encadraient la cuisine, clin d’œil à l’architecture classique. Le garde-corps en métal forgé est lui aussi d’origine.
Après. Ces éléments ont été conservés mais tempérés par deux imposantes bibliothèques toute hauteur, en placage couleur merisier. Celles-ci soulignent les escaliers latéraux qui reprennent comme un leitmotiv le dessin des escaliers extérieurs.
« Après le passage des réseaux électriques, l’intervention d’une société pour la pose de la climatisation des lieux et le traitement des murs, le travail de menuiserie a été très conséquent sur ce chantier », confirme Domitille, en référence à ces bibliothèques et également aux cloisons boisées réalisées à tous les étages.
Souhaitées par les maîtres d’ouvrage pour cloisonner des lieux, complètement ouverts à l’origine, ces menuiseries ont la propriété de réchauffer les volumes de béton et de casser la réverbération du son très forte sur les surfaces dures (verre et béton).
Souhaitées par les maîtres d’ouvrage pour cloisonner des lieux, complètement ouverts à l’origine, ces menuiseries ont la propriété de réchauffer les volumes de béton et de casser la réverbération du son très forte sur les surfaces dures (verre et béton).
Face à la cuisine se dévoile devant nous le grand séjour minéral dont la vue s’étend jusqu’à la Seine.
La réfection de l’électricité, poste important de cette rénovation qui a duré neuf mois, a permis de moderniser l’éclairage dans cette pièce éclairée désormais par une succession d’appliques et un point central.
La réfection de l’électricité, poste important de cette rénovation qui a duré neuf mois, a permis de moderniser l’éclairage dans cette pièce éclairée désormais par une succession d’appliques et un point central.
Le premier demi-niveau côté rue se termine en un arc de cercle dominant la cuisine.
C’était là que se trouvait à l’origine le bureau d’Yves Le Moult, père de la célèbre pub « Eram, il faudrait être fou pour dépenser plus » (agence CLM/BBDO), transformé plus tard en salle à manger.
Cette grande pièce que tout le monde appelle encore « la salle à manger » a été cloisonnée en contreplaqué de bouleau lasuré, ce qui a demandé aux équipes un gros travail pour uniformiser le mélange de teintes. « Nous avons fait des dizaines d’essais ! », révèle la pro.
Voici la seconde des plus grandes pièces côté jardin, un autre salon à l’origine. Son poêle date de la construction.
Vous avez sans doute remarqué que plusieurs pièces présentent un nouveau coffrage ajouré au plafond. « Il s’agit de la climatisation plus que souhaitée par les maîtres d’ouvrage, en raison de l’orientation plein sud des deux salons et des grands vitrages sur toute la hauteur de la maison », précise la pro.
Vous avez sans doute remarqué que plusieurs pièces présentent un nouveau coffrage ajouré au plafond. « Il s’agit de la climatisation plus que souhaitée par les maîtres d’ouvrage, en raison de l’orientation plein sud des deux salons et des grands vitrages sur toute la hauteur de la maison », précise la pro.
Si l’architecte a décidé de changer l’un de ces grands vitrages sur le niveau bas de la façade du rez-de-chaussée car il était en très mauvais état, les autres baies sont d’origine, en simple vitrage. « Il aurait été obligatoire de les changer à l’identique car l’île est soumise au regard des Architectes des Bâtiments de France bien que l’habitat y soit disparate. Et le budget aurait sans nul doute été pharaonique », plaisante Domitille en référence au Sphinx bien sûr.
La pièce au poêle a été isolée de la cage d’escalier par des cloisons menuisées en contreplaqué de bouleau lasuré.
Aux équipes de Square Rénovation ont incombé le travail de fixation de ces cloisons dans le sol et le plafond : « un travail de précision car il ne fallait pas trop s’enfoncer dans le sol afin de ne pas entrer en conflit avec le réseau du chauffage au sol dont nous ne connaissions pas exactement la position dans la dalle », précise la conductrice de travaux.
Aux équipes de Square Rénovation ont incombé le travail de fixation de ces cloisons dans le sol et le plafond : « un travail de précision car il ne fallait pas trop s’enfoncer dans le sol afin de ne pas entrer en conflit avec le réseau du chauffage au sol dont nous ne connaissions pas exactement la position dans la dalle », précise la conductrice de travaux.
Dans cette grande pièce appelée à devenir des bureaux, le réseau électrique a également posé question : « pour faire venir l’électricité de quelque part, nous avons eu idée de la faire descendre d’un faux conduit de cheminée pour créer une symétrie avec le poêle », détaille la pro.
Domitille se souvient également du gros travail de création de portes coulissantes à galandage : « des bâtis Scrigno et des portes classiques recouvertes de contreplaqué de bouleau afin de disparaître dans les cloisons ».
Il faut s’imaginer qu’à l’origine, la maison n’avait d’autres portes que celles des pièces d’eau et des toilettes, soit un nombre infiniment faible pour une maison de 330 m² !
Avant. Le R+3 côté rue.
Après. Au sommet de la maison, cette autre pièce a elle aussi été cloisonnée avec des murs de bois, un choix de l’architecte.
« Avec ces cloisons, l’architecte du projet Jonathan Chheng avait l’intention de respecter les volumes, de travailler le naturel afin de ne pas heurter l’œil. Nous avons eu un vrai échange appréciable pendant toute la durée du projet afin de trouver les meilleures solutions », lui rend hommage Domitille Nau.
Trouvez un architecte près de chez vous sur Houzz
« Avec ces cloisons, l’architecte du projet Jonathan Chheng avait l’intention de respecter les volumes, de travailler le naturel afin de ne pas heurter l’œil. Nous avons eu un vrai échange appréciable pendant toute la durée du projet afin de trouver les meilleures solutions », lui rend hommage Domitille Nau.
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Bien que la conductrice de travaux ait œuvré dans la bâtisse vide de mobilier, celle-ci garde le souvenir d’une maison chaleureuse. « Elle semble austère vue de l’extérieur mais lorsque l’on est dedans, les deux grandes pièces avec vue, la lumière qui rentre partout et les demi-niveaux qui donnent une petite impression de cabane font que l’on ne sent pas de froideur, bien au contraire ! C’est même une maison amusante avec son côté labyrinthe et je me suis véritablement attachée à ces lieux », témoigne-t-elle.
Quant à l’opportunité d’avoir été pendant neuf mois la conductrice de travaux sur cette rénovation, cela reste pour celle qui a étudié dans le domaine du design et de l’histoire de l’art, « un honneur d’avoir participé à la rénovation de ce bijou architectural ! ».
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
Quant à l’opportunité d’avoir été pendant neuf mois la conductrice de travaux sur cette rénovation, cela reste pour celle qui a étudié dans le domaine du design et de l’histoire de l’art, « un honneur d’avoir participé à la rénovation de ce bijou architectural ! ».
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
Coup d’œil
Emplacement : à Issy-Les-Moulineaux sur l’île Saint-Germain
Superficie : 330 m²
Durée des travaux : octobre 2020 à juin 2021
Architecte : Jonathan Chheng de Plaan_
Entreprise tout corps d’état : Square Rénovation (Paris XVe) - Domitille Nau
Crédit photos : Shoootin