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Visite Privée : Une maison de vacances modeste en Nouvelle-Zélande
Tradition et simplicité font de cette maison située tout près d’un village de pêcheurs un havre de paix confortable, paisible et ressourçant
Un mur de verre ouvre sur une superbe vue de l’île, nommée Moturata ou Île Taieri. Ses parois vitrées et l’absence d’étage font de ce salon une pièce complètement ouverte sur l’extérieur. Les « baches » d’origine étaient volontairement dépouillés et n’avaient parfois même pas d’électricité ou d’eau courante. Si celui-ci offre tout le confort de la vie moderne, il ne perd pas pour autant de vue ses racines.
Les matériaux utilisés sont francs et sans prétention, et vieilliront au fil du temps. Partout dans la maison, le choix des architectes s’est porté sur l’emploi de murs en contreplaqué nu – après avoir pris soin de sceller les zones exposées à l’humidité – et d’un revêtement de sol en rimu* recyclé et huilé. Les renforts croisés au niveau de la double structure de verre du salon sont le seul soutien en acier utilisé dans le cottage. Sinon, la structure du « bach » est entièrement supportée par des poutres-caissons de contreplaqué. La structure du plafond est restée apparente, comme il est de tradition dans les « baches » de Nouvelle-Zélande.
Bien que la résidence ne soit pas destinée à être habitée toute l’année, ses concepteurs ont voulu qu’elle puisse accueillir des invités en toute saison. Les murs et les plafonds sont parfaitement isolés et un poêle à bois autoportant permet de chauffer le salon. En hiver, il y fait aussi chaud que dans un sauna. De plus, une pompe à chaleur fait circuler l’air de manière efficace tandis qu’une chaudière à gaz chauffe l’eau distribuée dans toute la maison. Sur le toit, un système de récolte des eaux de pluie a été installé.
*Le rimu est une variété de cyprès néo-zélandais
Les matériaux utilisés sont francs et sans prétention, et vieilliront au fil du temps. Partout dans la maison, le choix des architectes s’est porté sur l’emploi de murs en contreplaqué nu – après avoir pris soin de sceller les zones exposées à l’humidité – et d’un revêtement de sol en rimu* recyclé et huilé. Les renforts croisés au niveau de la double structure de verre du salon sont le seul soutien en acier utilisé dans le cottage. Sinon, la structure du « bach » est entièrement supportée par des poutres-caissons de contreplaqué. La structure du plafond est restée apparente, comme il est de tradition dans les « baches » de Nouvelle-Zélande.
Bien que la résidence ne soit pas destinée à être habitée toute l’année, ses concepteurs ont voulu qu’elle puisse accueillir des invités en toute saison. Les murs et les plafonds sont parfaitement isolés et un poêle à bois autoportant permet de chauffer le salon. En hiver, il y fait aussi chaud que dans un sauna. De plus, une pompe à chaleur fait circuler l’air de manière efficace tandis qu’une chaudière à gaz chauffe l’eau distribuée dans toute la maison. Sur le toit, un système de récolte des eaux de pluie a été installé.
*Le rimu est une variété de cyprès néo-zélandais
À l’étage inférieur, tous les espaces sont ouverts et le couloir abrite une salle de bains. Le nom « bach » viendrait de « bachelor pad » qui signifie « garçonnière » ; à cause de la petite taille de ces maisons qui se prêtaient bien à un(e) célibataire. Alors que ces cottages sont aujourd'hui utilisés comme des résidences de vacances familiales, leur taille modeste est restée la même. L’absence de cloisons intérieures permet de bénéficier d’une vraie sensation d’espace.
À l’étage supérieur, on trouve un bureau et une chambre. La structure du « bach » est généralement composée d’un seul corps de logis mais les architectes ont désiré le faire évoluer pour suivre la famille sur plusieurs générations. Ainsi, ils ont anticipé de futurs projets d’extension et ont construit le cottage de manière à ce qu’il soit possible, à l’avenir, d’ajouter une aile du côté de la cuisine.
À l’étage supérieur, on trouve un bureau et une chambre. La structure du « bach » est généralement composée d’un seul corps de logis mais les architectes ont désiré le faire évoluer pour suivre la famille sur plusieurs générations. Ainsi, ils ont anticipé de futurs projets d’extension et ont construit le cottage de manière à ce qu’il soit possible, à l’avenir, d’ajouter une aile du côté de la cuisine.
Niché entre les dunes, ce cottage est un petit havre de paix à l’abri des regards. On aperçoit uniquement une autre maison perchée sur la colline.
« Ce bach est à la fois stimulant et reposant », indiquait l’un des jurés du prix NZIA. « C’est un lieu de vie inspirant. Cette propriété est la moins chère que nous ayons vue, mais c’est l’une des plus inspirantes. Comme un haïku ! »
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Dernièrement, les architectes du cabinet Mason & Wales ont proposé leur réinterprétation d’un « bach » typique situé à Taeiri Mouth, un petit village de pêcheurs situé sur l’île sud de la Nouvelle-Zélande. Leur travail a été récompensé par le prix d’architecture locale NZIA. S’inspirant de l’histoire de ces cottages de plage et de leur esthétique originelle, ils ont utilisé des matériaux abordables ou recyclés pour créer un espace respectueux de l’environnement. Ce « bach » a été construit dans un esprit d’évasion et de vacances. L’idée directrice de sa conception était de créer un espace confortable où la famille reviendrait chaque année avec plaisir.
La structure de cette maison rend hommage à ses racines tout en étant résolument moderne. La forme en pignon, très simple, allie élégance et petit budget. Le cabinet Mason & Wales a bâti l’ensemble de cette construction en huit semaines.