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Avant/Après : À Paris 11e, 27m2 idéalement rénovés pour 35 000 €
Cette petite surface dans son jus depuis 50 ans a été rénovée clés en main par un contractant général. Explications.
Non loin de République, au 3ᵉ étage sur cour d’un vieil immeuble du 11ᵉ arrondissement, ce mini deux-pièces n’avait pas été rénové depuis plus de 50 ans. Racheté par un jeune homme habitant en province, il nécessite une totale remise en état pour que celui-ci puisse poser confortablement ses valises dans la capitale. Afin de gérer les travaux, le trentenaire se fait conseiller par des amis les services de la société Avoltis, contractant général. Un choix astucieux qu’il ne va pas regretter.
Avant. Ayant contacté la société Avoltis après l’achat de ce vétuste deux-pièces de 27 m², le propriétaire est mis en contact avec Alice Romagon, la responsable rénovation et sa seule interlocutrice jusqu’à la fin du projet. « Nous sommes contractant général ce qui signifie que nous livrons des projets clés en main. Nous nous occupons de tout : la conception, les commandes, les réceptions, le suivi de chantier jusqu’à sa livraison et la gestion du budget. Nous pilotons également les différents acteurs, certains en interne comme le plombier ou l’électricien, et d’autres corps de métiers que nous faisons intervenir lorsque c’est nécessaire. Autre avantage, nous avons une obligation contractuelle de résultat, ce qui n’est pas le cas d’un maître d’œuvre, par exemple », explique-t-elle.
Pour le jeune homme, faire appel à cette société rime surtout avec deux atouts : la maîtrise de son budget et la possibilité de déléguer totalement son chantier. En effet, avant toute mise en relation physique, il a dû préremplir un formulaire de chiffrage des travaux en ligne. « Sur le site d’Avoltis Rénovation, il a pu réaliser une estimation en ligne. Cet outil de préchiffrage permet de fixer le particulier et la société Avoltis sur la viabilité du projet », indique la chef de projet. Dès cette étape, le porteur de projet a dû indiquer un ordre de prix pour les finitions de sol et mur souhaitées. « Le choix de finitions éco, confort ou premium correspond à des matériaux de 25 à 100 € du m² », précise la professionnelle. Souhaitant maîtriser ses dépenses travaux au plus juste, le propriétaire a opté pour les finitions « éco », ce qui a établi le premier estimatif à 34 000 euros.
Pour le jeune homme, faire appel à cette société rime surtout avec deux atouts : la maîtrise de son budget et la possibilité de déléguer totalement son chantier. En effet, avant toute mise en relation physique, il a dû préremplir un formulaire de chiffrage des travaux en ligne. « Sur le site d’Avoltis Rénovation, il a pu réaliser une estimation en ligne. Cet outil de préchiffrage permet de fixer le particulier et la société Avoltis sur la viabilité du projet », indique la chef de projet. Dès cette étape, le porteur de projet a dû indiquer un ordre de prix pour les finitions de sol et mur souhaitées. « Le choix de finitions éco, confort ou premium correspond à des matériaux de 25 à 100 € du m² », précise la professionnelle. Souhaitant maîtriser ses dépenses travaux au plus juste, le propriétaire a opté pour les finitions « éco », ce qui a établi le premier estimatif à 34 000 euros.
Après. À la suite, Alice Romagon, la responsable des travaux, a convenu d’un RDV avec lui pour effectuer la première visite du bien. « Elle permet de valider la faisabilité technique des travaux souhaités et d’établir le devis dans la foulée. C’est aussi lors de cette première visite que se fait le relevé de cotes, opération réalisée grâce à l’outil métré de Houzz Pro qui permet un gain de temps précieux », indique-t-elle. Le logiciel permet en effet de créer rapidement des plans en ligne et de les convertir simplement en devis. Si en cours de chantier des travaux supplémentaires (« TS ») viennent à se présenter, il est toujours possible de les rajouter moyennant un avenant au devis de départ, « des travaux sans surcoût même s’ils sont prévus dans l’urgence », assure la pro.
Après cette phase de chiffrage et d’acceptation du devis, la chef de projet a proposé au propriétaire des plans et moodboards. « Ici, mon client savait déjà très bien ce qu’il voulait, mais ce n’est pas un préalable pour réaliser des travaux avec Avoltis. Je peux également proposer des plans ou des ambiances déco en fonction des souhaits des clients », explique Alice.
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Après cette phase de chiffrage et d’acceptation du devis, la chef de projet a proposé au propriétaire des plans et moodboards. « Ici, mon client savait déjà très bien ce qu’il voulait, mais ce n’est pas un préalable pour réaliser des travaux avec Avoltis. Je peux également proposer des plans ou des ambiances déco en fonction des souhaits des clients », explique Alice.
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Avant. L’entrée du mini deux-pièces et la cuisine.
Un mois après la signature du devis, les travaux ont commencé et duré 3,5 mois, pendant lesquels le propriétaire a reçu toutes les semaines un compte rendu sur l’avancement de son projet, photos et explications à l’appui, ce qui lui a permis de suivre les opérations à distance.
La dépose des anciens éléments et les démolitions de petites cloisons dans l’entrée ont été nécessaires. Comme les murs étaient fort endommagés, ils ont été recouverts par une plaque de plâtre, « un traitement moins coûteux que cinq passes d’enduits successives qui n’auraient peut-être pas tenu », partage Alice.
La dépose des anciens éléments et les démolitions de petites cloisons dans l’entrée ont été nécessaires. Comme les murs étaient fort endommagés, ils ont été recouverts par une plaque de plâtre, « un traitement moins coûteux que cinq passes d’enduits successives qui n’auraient peut-être pas tenu », partage Alice.
Après. La cuisine est restée dans le couloir : le meilleur emplacement pour qu’elle occupe un minimum de place. Elle a été conçue avec des caissons, des portes en stratifié et un plan de travail en chêne de chez Ikea.
Pour une intégration parfaite, les placards ont été posés toute hauteur, sous le plafond légèrement abaissé afin de faire courir les réseaux électriques. La cuisine a également été enserrée par deux placards réalisés sur mesure, l’un à l’entrée, en biseau, pour ranger les manteaux et chaussures, et l’autre à la suite des éléments de cuisine, accueillant la buanderie. « Nous avons créé un placard pour accueillir un lave-linge top de 45 centimètres de large avec un logement au-dessus pour le séchoir. Tout en haut a été niché le ballon d’eau chaude extraplat de 80 litres », détaille la chef de projet.
Pour une intégration parfaite, les placards ont été posés toute hauteur, sous le plafond légèrement abaissé afin de faire courir les réseaux électriques. La cuisine a également été enserrée par deux placards réalisés sur mesure, l’un à l’entrée, en biseau, pour ranger les manteaux et chaussures, et l’autre à la suite des éléments de cuisine, accueillant la buanderie. « Nous avons créé un placard pour accueillir un lave-linge top de 45 centimètres de large avec un logement au-dessus pour le séchoir. Tout en haut a été niché le ballon d’eau chaude extraplat de 80 litres », détaille la chef de projet.
Le propriétaire qui affectionne la décoration s’est chargé du choix de son mobilier et de ces poignées en cuir qui apportent un surcroît de chaleur et de personnalisation aux façades blanches de la cuisine. Il a également opté pour une teinte chaude à l’entrée afin d’isoler cette zone en créant une boîte colorée.
Peinture entrée : Beige Tadrart chez Seigneurie
Peinture entrée : Beige Tadrart chez Seigneurie
Avant. Voici le couloir d’entrée de l’appartement avec la cuisine. Au fond se trouve la salle d’eau.
Au moment de la dépose, le propriétaire s’est posé la question d’ouvrir la cloison séparant la cuisine de la pièce de vie. Un bureau d’étude structure a été mandaté pour sonder le bâti, confirmant la possibilité de déshabiller la cloison et mettre à nu les poutres porteuses.
Après. Cette opération, facturée en TS (travaux supplémentaires) par Avoltis, a permis de faire circuler la lumière jusqu’au couloir d’entrée comme s’il s’agissait d’un claustra.
Avant. La pièce de vie avant travaux.
À l’origine, l’appartement était recouvert de carrelage dans l’entrée et d’un plancher en pin dans les pièces de vie.
Après. Le propriétaire imaginait son séjour « clair, fonctionnel et attrayant ». Les murs ont été mis en blanc, tandis que le plancher a été poncé et vitrifié. « Notre menuisier a fait un travail de qualité pour le récupérer et remplir les manques au niveau des endroits où nous avons abattu les cloisons », apprécie la chef de projet.
Alice Romagon a proposé les finitions de sol et murs de la cuisine en fonction de la gamme de prix « éco » choisie par son client. « Nous nous sommes fournis chez Leroy Merlin et Castorama, en optant pour ces carreaux de grès cérame imitation carreaux de ciment et pour la crédence en carreaux brillants texturés », partage la spécialiste de la rénovation, attentive ici à garder l’esprit de l’immeuble et à créer des jeux de lumière.
Plus de photos de cuisines blanches sur Houzz
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Avant. Le séjour avant travaux.
Entre le salon et la chambre d’origine, la cloison a été abattue puis recréée afin de gagner 50 centimètres côté pièce de vie. Les fenêtres en bois ont été changées au préalable par le client par des doubles vitrages aux montants PVC.
Après. Le mobilier du séjour a été choisi par le propriétaire. Banquette en velours orange brûlé, tables gigognes en bois clair, pouf et enfilade/meuble TV ont été achetés à petit prix. « Il s’est beaucoup impliqué sur la déco et a recherché les meilleures promotions pour rester dans son budget », se remémore Alice.
Signe de l’évolution de l’habitat postpandémie, le propriétaire a souhaité ajouter un bureau suspendu dans le séjour, en prévision des jours de télétravail.
Depuis la pièce de vie, les perspectives s’allongent vers l’entrée. Le claustra en poutres anciennes est l’élément de charme de l’appartement qui apporte un cadrage et des jeux de lignes originaux vu du salon.
Depuis la pièce de vie, les perspectives s’allongent vers l’entrée. Le claustra en poutres anciennes est l’élément de charme de l’appartement qui apporte un cadrage et des jeux de lignes originaux vu du salon.
Depuis le bureau suspendu, on distingue le meuble sur mesure de l’entrée, réalisé en médium à peindre par le menuisier d’Avoltis. Il comprend une colonne pour les manteaux, une petite banquette pour se chausser et un rangement à chaussures surplombé par un miroir.
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Avant. La chambre avant travaux. L’accès à la salle de bains se faisait par la chambre à l’origine.
La cloison entre la chambre et le séjour a été abattue (photo) puis déplacée afin de donner plus d’importance à la pièce de vie.
La nouvelle cloison intègre un vitrage atelier afin de laisser circuler la lumière. « Le propriétaire avait envie d’une verrière toute hauteur mais elle était hors budget. Nous avons fait appel à des éléments préfabriqués, intégrés soigneusement dans la cloison, environ dix fois moins chers que du sur-mesure » explique Alice.
Avant. La chambre d’origine n’avait pas bougé depuis plus de 50 ans.
Après. Le lit du propriétaire a été installé à l’emplacement de l’ancien lit, mais il n’a pas opté pour un lit pont, encadré de rangements comme à l’époque. Il a préféré alléger la tête de lit et la rendre plus déco. La chef de projet a proposé un aménagement malin et peu coûteux : un papier peint encadré de baguettes dessine un agréable fond de scène végétal.
Avant. Après la dépose de la chambre, les ouvriers ont constaté ici aussi que les murs étaient abîmés et ont collé en périphérie des plaques de plâtre à même les anciennes cloisons.
Après. Le propriétaire souhaitait un dressing ouvert. Il a sélectionné cet aménagement chez Ikea.
Avant. La salle d’eau avec toilettes était aussi vintage que le reste.
La salle d’eau était desservie depuis la chambre à coucher. Il a été décidé de l’ouvrir côté cuisine afin que les invités n’aient pas à passer par la chambre du propriétaire.
Après. Alice Romagon a fait rentrer les éléments sanitaires au chausse-pied pour que le propriétaire bénéficie d’une salle d’eau confortable. Comme il désirait une porte à galandage, il a fallu modifier l’emplacement d’origine des toilettes et trouver un bâti-support et une cuvette faible profondeur qui se coulent sous la fenêtre. En face, la vasque a été choisie également en faible profondeur (35 centimètres). Une grande douche de 140 × 70 centimètres a ainsi pu s’épanouir sur le mur du fond.
Pour ce propriétaire fixé sur « une ambiance noire et blanche », elle a également sélectionné une robinetterie de qualité (Hansgrohe) et un carrelage texturé (Bakerstreet chez Leroy Merlin).
L’enveloppe finale s’est chiffrée à 35 000 euros TTC, soit près de 1 300 euros au mètre carré, un tarif très compétitif dans la capitale pour une rénovation complète. Grâce au chiffrage préalable du contractant général, le propriétaire n’a pas eu de mauvaises surprises sur son budget ni payé d’honoraires. Enfin, le propriétaire n’a pas eu à se déplacer, avancer des frais de fournitures ou les réceptionner. Des travaux somme toute très confortables à vivre. Alice Romagon conclut : « La société Avoltis a été fondée il y a 4,5 ans avec la volonté de changer les mentalités sur les travaux, vus comme un univers obscur et peu recommandable par beaucoup de particuliers. Nous cherchons avant tout la transparence et la confiance des maîtres d’ouvrage. » Une démarche qui a fait le bonheur de ce primo-accédant.
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
L’enveloppe finale s’est chiffrée à 35 000 euros TTC, soit près de 1 300 euros au mètre carré, un tarif très compétitif dans la capitale pour une rénovation complète. Grâce au chiffrage préalable du contractant général, le propriétaire n’a pas eu de mauvaises surprises sur son budget ni payé d’honoraires. Enfin, le propriétaire n’a pas eu à se déplacer, avancer des frais de fournitures ou les réceptionner. Des travaux somme toute très confortables à vivre. Alice Romagon conclut : « La société Avoltis a été fondée il y a 4,5 ans avec la volonté de changer les mentalités sur les travaux, vus comme un univers obscur et peu recommandable par beaucoup de particuliers. Nous cherchons avant tout la transparence et la confiance des maîtres d’ouvrage. » Une démarche qui a fait le bonheur de ce primo-accédant.
ET VOUS ?
Que pensez-vous de cette rénovation ?
Localisation : Paris 11ᵉ
Qui habite ici : Un jeune homme trentenaire
Superficie : 27 m²
Livraison : printemps 2022
Durée du chantier : 3 mois et demi
Budget : 35 000 euros tout compris (la société Avoltis étant contractant général, des honoraires ne sont pas imputés)
Responsable de projets rénovation : Alice Romagon, AVOLTIS Rénovation
Photos : Meero